Contre toute attente, George ne se montra plus entreprenant et se conduisit au contraire de façon tout à fait normale. Quant à Sara, elle était en proie à des sentiments bien contradictoires… Sa raison satisfaite, un vague soulagement l’avait gagnée mais ses désirs la taraudaient et son bas-ventre réclamait une attention toute particulière… Heureusement, la honte l’empêchait de montrer le moindre signe d’excitation au père de Marc qui faisait les courses comme si de rien n’était. Marc lui manquait terriblement… Ou plutôt le membre de Marc.
"A quoi tu penses?
George la ravit à ses pensées érotiques tandis qu’ils passaient à la caisse. Confuse, Sara répondit :
"A rien…
Mais l’apparente fermeté de sa voix fut balayée par son regard fuyant devant l’insistance de celui de George. Elle avait réellement perdu tous ses moyens face à cet homme… Dire qu’ils avaient désormais prévu de rester une semaine chez eux! Pour se donner une contenance, elle fonça remplir les sacs des courses mais fut interrompue par la sonnerie de son portable.
C’était Marc. Elle salua cet appel avec bonheur et son petit ami crut trouver là une marque d’affection à son égard, si bien qu’il ne cessa de s’excuser de ne pouvoir rentrer tôt le soir même. Il devait apparemment finir certains dossiers dont l’importance était capitale pour telle ou telle entreprise… Bref. Il la laissait seule avec ses parents.
"Tout va bien?
Sara leva les yeux de son portable qu’elle devait fixer avec désespoir. Non, tout n’allait pas bien.
’Marc ne va pas rentrer tôt ce soir.
"C’est dommage.
Son large sourire qu’il ne cherchait même pas à cacher fit craindre le pire à Sara: elle déglutit, porta un sac et le suivit à l’extérieur.
La jeune femme avait du prétexter la visite d’un ami pour fuir la compagnie de Georges, au moins le temps de l’après-midi. Elle ne savait que faire. Elle essaya de joindre Marc pour déjeuner avec lui mais il ne répondait pas. Désespérée, elle trouva un café et mangea seule, sur une terrasse, à l’ombre d’un soleil estival. Repue, elle profita de ce début d’après-midi, contempla les passants avec un léger sourire, oubliant toutes ses mésaventures. Soudain, elle crut reconnaître Georges dans la foule. Immédiatement, ses joues rosirent… Mais ce n’était pas lui. Cette erreur lui rappela néanmoins ce qui s’était passé dans la matinée, non sans lui procurer un certain effet. Sa raison ne faisait plus obstacle maintenant qu’il n’était plus là, et ses désirs s’emportaient vers des fantasmes inavoués dont l’intensité se traduisait par une humidité grandissante… Elle se souvenait du métro, comprenait qu’il avait du la regarder être l’objet de plaisir d’un inconnu… Elle sentait ses doigts dans sa chatte brûlante, entrer brutalement et sortir pour exhiber son excitation en pleine rue… Elle mourait d’envie de se soulager, ici et maintenant. Mais comment? Ses désirs étaient certes bien présents mais de là à se masturber en public… Tant pis, elle décida de rentrer. Elle pourrait prendre une douche et se satisfaire en toute discrétion!
Seulement, la satisfaction vint plus tôt que prévu… Dans le métro, elle se retrouva dans une position légèrement incommodante, à nouveau collée à une barre fixe et coincée dans la foule. Son excitation perlait entre ses cuisses et cette fois, elle entreprit elle même un mouvement de va et vient contre la barre en suivant plus ou moins les déplacements du métro. Peu à peu, elle écarte insensiblement les jambes… La barre touchait presque son clitoris à travers la jupe, ce qui déclenchait des vagues de plaisir qu’elle peinait à dissimuler. A un arrêt, un homme prit la place de celui qui se trouvait de dos, face à elle et son petit jeu ne pouvait plus passer inaperçu. Avec une grande frustration, elle cessa ses mouvements mais resta dans la même position. Seulement, une bousculade derrière elle la propulsa contre la barre et le contact la fit gémir devant l’homme d’une quarantaine d’année qui la regarda avec étonnement. Il baissa les yeux et en la voyant ainsi collée à cette barre, il comprit. Sara ne pouvait plus bouger et même ses lèvres étaient écartées par la barre de fer à travers la jupe. Elle se sentait sur le point de défaillir, les yeux fermés, quand une main prit la sienne. Surprise, elle rouvrit les yeux et vit l’homme guider sa main sur sa braguette. Elle le regarda, paralysée. Il la fixa avec insolence et imposa à sa main une caresse bien placée. Sara ne la retira même pas, bientôt, elle caressa d’elle même le membre dur qu’elle sentait à travers le pantalon tout en se frottant à la barre. Elle le regardait dans les yeux, oubliant toute dignité, et se caressait de plus en plus vite… Il lui souriait d’un air goguenard, avec ce regard qu’elle avait déjà vu chez Georges… Sa respiration s’accélérait… Ses seins sortaient presque de son décolleté… Brusquement, l’homme souleva le devant de sa jupe au niveau des hanches et la tira vers lui. Ses cuisses étaient ouvertes et trempées, sa chatte ruisselante, ses lèvres écartées autour de la barre… Il força son mouvement contre ce membre de métal et Sara perdit tout contrôle. Elle caressa avec frénésie la bosse de son pantalon, prête à ouvrir la braguette et à le sucer au milieu de tout le monde… Mais elle n’en eut pas le temps. Le métro arrivait à une autre station dans un fracas assourdissant tandis qu’elle jouit en poussant un gémissement plus ou moins discret. L’homme s’était également lâché, reculant pour sortir de la rame. Sara reprit lentement sa respiration après avoir remis sa jupe correctement, honteuse, elle constata, soulagée, que leur manège avait du passer inaperçu.
Arrivée chez les parents de Marc, elle se dirigea tout droit vers la douche pour se débarrasser de l’impression de souillure. Étrangement, cette impression s’accompagnait d’un reste de désir, comme si elle avait ouvert les portes d’un monde nouveau qui lui offrait encore beaucoup d’aventures à découvrir et expérimenter. L’humiliation n’était plus qu’un nouveau facteur d’excitation parmi d’autres… Elle resta plus longtemps qu’à son habitude sous le jet chaud de la douche et se laissa aller à un plaisir solitaire. Au fond d’elle, elle souhaitait venir à bout de ses pulsions sexuelles qui risquaient de la mener vers des eaux dangereuses, comme elle avait pu l’observer peu de temps avant. Peut être suffirait il d’une petite séance de masturbation pour redevenir la gentille et douce Sara, comme ses amis l’appelaient…
Après quelques minutes, proche de la jouissance, elle fut interrompue par des coups à la porte:
"Sara c’est toi?
C’était la voix d’Annie. Par reflex, elle retira sa main et répondit sur un ton qui se voulait naturel:
"Oui, je prends une douche!
"Ah d’accord, je ne t’avais pas entendue entrer.
La jeune femme pensa être à nouveau seule et s’apprêta à reprendre ses caresses mais la porte s’ouvrit à sa grande surprise. La douche était cachée par une vitre presque opaque mais Sara reconnut Annie qui se tenait devant la glace.
"J’en ai pour deux minutes, je me maquille.
Gênée, la jeune femme ne sut que faire. Elle mourait d’envie d’achever sa besogne mais difficile à faire dans ces conditions… Annie pouvait elle voir avec distinction ce qui se tramait de l’autre côté de la vitre? Rien n’était sûr… Mais si elle s’arrêtait là, elle serait encore frustrée… Lentement, elle se retourna légèrement, cachant ainsi le mouvement de sa main vers sa chatte. Enfin elle posa son index sur le clitoris. Elle jeta un coup d’oeil par dessus son épaule: Annie était toujours affairée à son maquillage.
"Au fait, la journée s’est bien passée?
"Oui mais je suis rentrée plus tôt, mon ami n’était pas là.
Elle tourna doucement son doigt autour de son clitoris.
"George m’a dit que Marc ne rentrait pas ce soir?
"Non, il doit travailler tard.
Avec deux autres doigts, elle écarta ses lèvres et appliqua une caresse plus prononcée avec le majeur…
"On sera juste nous trois alors, tant pis pour lui.
Elle retenait son souffle qui se faisait plus rapide…
"Bon je te laisse, à plus tard.
"Oui, à tout à l’heure!
Sara n’en pouvait plus, elle se pencha en avant pour arrêter l’eau et usa de ses deux mains pour se caresser. En deux secondes, elle jouit. Son corps entier tremblait et il lui fallut une minute pour s’en remettre.
Vint l’heure du dîner… La cuisine faisait office de salle à manger, étant par ailleurs une pièce agréable, éclairée tardivement grâce à une large fenêtre devant l’évier. Les derniers rayons du soleil traversaient donc les carreaux pour terminer leur course sur la table de bois au centre de la pièce. Trois couverts étaient déjà mis et George installé avec un verre de vin. Annie s’occupait de couper des tomates qui s’ajouteraient à une salade composée. Sara, gagnée par la chaleur plaisante de cette ambiance estivale, oublia toute appréhension et s’assit face à George avec le sourire. Annie apporta la salade et le repas commença sans le moindre désagrément. Les conversations elles mêmes allaient bon train dans une humeur joviale et la jeune femme rit plusieurs fois et n’hésita pas à taquiner le père de Marc. Finalement, elle s’était inquiétée pour rien! Les assiettes vides, George recula sur sa chaise et passa la main sur son ventre, soupirant d’aise. Un silence de fin de repas s’installait pendant qu’Annie débarrassait la table. Son mari regardait Sara dans les yeux puis dit:
"Alors Sara, ce séjour te plaît?
"Oui, vous avez une maison très agréable d’ailleurs, répondit elle avec un sourire.
"Il fait bon vivre ici, c’est vrai.
Son regard ne la quittait pas. Elle rougit un peu et baissa les yeux, gênée.
"Tu as quel âge déjà?
"Dix-huit ans, bientôt dix-neuf.
"Tu es bien jeune pour te laisser aller à certaines expériences…
Sara leva les yeux, étonnée. De quoi parlait il? Savait il pour cette après-midi?
"Mais tu as raison, il faut se laisser aller et se faire plaisir! ajouta Annie qui revint avec des tasses de café.
"Je suis content que Marc ait trouvé quelqu’un comme toi!
Sara reprit contenance et répliqua avec sincérité:
"C’est moi qui ai de la chance de l’avoir!
"C’est ce que j’ai cru comprendre hier soir, dit George avec un sourire complice.
"Je peux te donner un conseil Sara? demanda Annie.
Ravie de changer d’interlocuteur, la jeune femme acquiesçât.
"S’il y a bien une chose qui peut faire durer le bonheur d’une vie de couple, c’est la sexualité, il faut jamais oublier ça. George et moi, on a eu des phases difficiles mais à la fin, on s’en sort mieux qu’on n’était!
"Des phases difficiles, dis le carrément chérie, tu m’as trompé…
Sara était décontenancée par ces révélations plutôt intimes mais les laissa poursuivre.
"Elle s’est fait sauter par le voisin, alors que j’étais là, à côté!
Les mots crus mirent la jeune femme mal à l’aise, la faisant bouger sur sa chaise et boire son café avec embarras.
"Tu sais comment je l’ai su?
"Heu… Non…
"Je l’ai entendue! J’étais dans le jardin et je l’ai entendu jouir !
"N’exagère pas non plus chéri…
"Mais je n’exagère pas du tout, tu sais quand tu jouis, tu pousses de véritables cris.
"Enfin bref, reprit Annie, après ça, on en a discuté et on s’est fermés l’un à l’autre, jusqu’à ce que George ait à nouveau envie de moi. Ça a été surprenant et brutal mais il m’a baisé comme jamais et j’ai aimé comme jamais! Depuis on vit à nouveau le parfait amour!
"Je suis contente pour vous, dit Sara en reposant sa tasse de café.
"Donc ne te fais pas avoir, avant d’aller ailleurs, parles en à Marc, continua Annie.
"Ah mais je n’irai pas ailleurs, ne vous inquiétez pas!
"Vraiment?
George l’observa de ses yeux pénétrants en se grattant le ventre.
"Tu n’en as jamais eu envie? Ça ne t’a jamais excité de te faire prendre par un autre?
"Heu… Non…
"Allez, tu as bien des fantasmes! Tu penses à quoi en te caressant?
Sara pensa "à vous" mais se contenta de ne rien dire.
"Il n’y a pas de honte à ça, tout le monde a des fantasmes. Moi à ton âge je rêvais qu’un homme bien musclé me prenne dans une salle de sport, tu vois le genre…
"Eh bien, je n’y ai jamais tellement pensé, je suis bien avec votre fils…
"Bon, ce matin, tu as aimé dans le métro, non?
Elle savait bien que George sortirait cette carte à un moment ou à un autre… Que pouvait elle répondre, il l’avait vu lui même qu’elle avait apprécié l’outrage…
"Oui…
"Oui, bien sûr que oui! Eh bien tu vois, tu as aimé te faire caresser par un inconnu! Çà veut dire que tu aimes le sexe toi… Tu as eu beaucoup d’expériences jusque là?
"J’ai été avec un autre à 16 ans mais c’est tout.
"Et Marc était ton premier?
"Non, j’ai eu ma première relation à 16 ans.
"Tu as aimé ?
"…Oui.
"C’est bien d’avoir un bon souvenir de la première fois, c’est pas toujours le cas! salua Annie.
"Il avait quel âge?
"Vingt ans. C’était le frère d’une amie.
"Et alors ça s’est passé comment?
Sara répondait sans trop réfléchir mais cette histoire était déjà plus intime… Pas même Marc ne savait comment ça s’était passé.
"Tu l’as sucé d’abord?
"Ou bien il t’a doigtée?
Les questions fusaient… Sara y mit un terme en racontant l’histoire:
"Ça s’est passé dans des toilettes publiques… On se promenait le soir tous les deux et il m’a dit vouloir aller aux toilettes, je ne voulais pas rester seule dehors alors je l’ai accompagné. c’était assez sale et ça ne sentait franchement pas bon mais j’étais quand même plus rassurée là. Il s’est soulagé sauf qu’une fois fini, il s’est tourné vers moi, sans avoir rangé son…
"Sexe.
"Oui… J’ai compris qu’il bandait parce que je savais bien comment ça marchait et je ne savais pas trop quoi faire. Mais il est venu vers moi et il m’a embrassé. Son sexe touchait mon entrejambe et j’ai commencé à …
"Mouiller, finit George.
Sara acquiesçât, sentant d’ailleurs que sa chatte s’humidifiait à ce moment même.
"Il a retiré mes vêtements et m’a entraînée vers le mur, là il m’a retournée et m’a caressé la poitrine.
"Tu étais entièrement nue? demanda George.
"Oui.
Il poussa un soupir avec un regard lubrique.
"Continue.
"Il a essayé d’entrer son sexe… J’ai eu mal puis c’est allé. Il a fait des va et vient en me caressant les seins.
"Tu as joui?
"Oui… Mais après.
"Comment ça?
"Ben il a arrêté et s’est retiré et il m’a demandé de me mettre à genoux. J’ai compris ce qu’il voulait que je fasse, donc je l’ai fait. La fellation a duré quelques temps, j’avais un peu de mal et j’étais encore excitée, j’avais encore envie.
"Et alors?
"Alors j’ai joui et lui aussi après.
"Tu veux dire que tu as joui comme ça? En le suçant simplement? demanda Annie.
"Oui…
Sara s’en voulut de raconter tout ça mais elle se sentait comme dans une impasse. George avait un oeil plus pervers que jamais et déclara calmement:
"Tu sais que tu dois être une vraie salope pour jouir en suçant…
Sara rougit et détourna le regard. Elle était trempée en plus… Heureusement, Annie se leva pour faire la vaisselle et George la suivit. Sara se resservit du café et retourna à sa place. George s’était placé derrière Annie qui nettoyait, pendant qu’il rinçait. Sara se rendit compte que cette discussion avait ranimé ses désirs et qu’elle mourait d’envie de retrouver George. Elle but avec empressement une gorgée de café. Soudain, elle entendit comme un bruit de fermeture. Ne voyant pas d’où ça pouvait venir, elle pansât avoir rêvé jusqu’à ce qu’elle remarque le bassin du père de Marc avancer et reculer régulièrement sur le cul de sa femme. Les yeux ronds, Sara faillit avaler de travers… Il n’était tout de même pas en train de la baiser, là devant elle? Sa jupe était un peu remontée pourtant… Et le bruit de fermeture… Sans hésiter, Sara se leva, prête à partir. Mais George lui intima de venir poser sa tasse dans l’évier. Elle s’approcha donc avec le visage de l’innocence même… Elle donna sa tasse à Annie et George lui saisit le bras:
"Tiens prends ça et essuie.
Il prit un chiffon de la main droite et le lui tendit. Sara prise au dépourvu, accepta pour ne pas sembler impolie. Elle essuya ainsi les assiettes et couverts que George lui tendait non sans un coup d’oeil vicieux dans le décolleté. La jeune femme mouillait abondamment, terriblement excité par la situation. Elle ne rechignait pas à exciter George également… A chaque fois qu’elle devait ranger une assiette, elle se penchait et se cambrait sous les yeux du père de Marc, allant jusqu’à écarter les jambes… Puis quand elle passait le chiffon sur la vaisselle, elle se collait à l’évier, pour offrir un point de vue généreux sur son cul. A un instant, Annie ferma les yeux et laissa tomber une cuiller. Sara devina qu’elle jouissait et faillit l’accompagner dans sa jouissance. Néanmoins elle fit mine de n’avoir rien remarqué.
"Tiens au fait Sara, tu n’as pas dit, il t’a joui dans la bouche ou pas?
Sara sursauta presque tant elle était dans un état second. Elle se tourna vers George et dut encore une fois faire face à son regard perçant. Le fait qu’il la regarde dans les yeux en pénétrant sa femme à ses côtés donna un frisson de plaisir à Sara qui répondit sans pudeur:
"Oui. Il ne s’est pas retiré au moment de jouir.
"Ah…
Son "ah" ressemblait autant à une affirmation qu’à un soupir…
"Mais tu as recraché?
"Non, j’ai avalé.
"Ah putain…
Sara haussa les sourcils et George entreprit de laver un verre pour ne pas se dévoiler.
"Et ça t’a plu?
"Quoi ?
"D’avaler du sperme?
Sara le regarda dans les yeux et dit alors sans détour:
"Oui.
Il eut un petit rire pervers et répliqua:
"Toi, tu étais déjà une salope à 16 ans, Marc doit adorer te tringler!
L’allusion à Marc la troubla. Elle perdit son assurance et retourna à ses chiffons, sous le regard de George.
"C’est bon, on s’occupe du reste.
Dépitée, Sara les laissa là et sortit de la cuisine. Dès qu’elle se trouva dans le salon, elle entendit des râles et des gémissements en provenance de la pièce qu’elle venait de quitter. Sans retenue, elle mit une jambe sur un accoudoir du canapé, souleva sa jupe, et rentra deux doigts dans sa chatte brûlante. A ce seul contact, elle jouit.
La nuit, George murmura à sa femme:
"Je crois que je l’ai bien en main, bientôt, elle va me supplier pour que je la baise, cette petite salope de dix huit ans…