Je connais Yves depuis toujours. Il a fait longtemps celui qui ne maimait pas. Moi, je fondais devant lui. Javais envie quil me fasse lamour dans les règles. Un soir après une fête entre amis pour un anniversaire, il ma embrassée. Jétais heureuse de sentir sa langue dans la bouche qui jouait avec le mienne. Il a continué longtemps ses baisers : jen étais toutes remuée et je mouillais comme jamais. Il sest arrêté là, sans même me peloter, moi qui en mourrais denvie.
Ce nest quand me couchant que jai pu me satisfaire en me masturbant. Je me faisais un cinéma pas possible où il tenait la première place en me baisant. Puis très lentement il ma enfin caressé les seins, puis encore longtemps après il a posé sa main sur mon genoux : jen écartais les cuisses pour quil vienne sur ma chatte. Cest bien ce quil a fait. Il ma même branlée. Je jouissais enfin avec lui. Jai pris mon courage à deux mains pour sortir sa queue. Je lai branlé aussi pour lui faire cracher son jus. Il avait un sperme très blanc, plus blanc que les autres.
Un jour, sans que nous ayons fait mamour, ce que je refusais, nous nous sommes mariés. La nuit devenait fantastique quand enfin il entrait dans mon sexe mouillé. Nous avons recommencé plusieurs fois de suite. Le lendemain il me disait :
— Je taime énormément, encore plus que tu le crois.
— Moi aussi je taime.
— Tu accepte de me donner tous les plaisirs ?
— Oui, mon chéri.
— Cest vrai, tous.
— Bien sur.
Nous avons ensuite prit une douche ensemble où il ma obligée à me branler devant lui. Ce nétais pas une corvée de me donnait du plaisir puisque lui aussi sest masturbé devant moi. Jétais fière de voir sa main aller et venir sur sa grosse queue pour montrer son plaisir donner du sperme. Nous restions nus dans la chambre de lhôtel pour être à laise pour recommencer.
Cest tout juste si nous nous sommes couverts par un drap quand on nous a servir le petit déjeuner. Sinon, le serveur aurait vu sa main sur ma chatte pendant quil me branlait. Jai même failli jouir à cet instant. La journée sest trop vite passée. Jen vais presque mal au vagin de le recevoir sans cesse. Il bandait beaucoup. Son désir nétait satisfait que quand il déchargeait dans mon vagin.
Toujours ardent avec moi, il me rappelait un jour ma promesse de la satisfaire toujours. Il me demandait de lui sucer la queue. Je nen étais pas étonnée, plusieurs de mes copines le faisaient fréquemment. Je me suis tournée sur le lit, ai pris sa bite dans les lèvres. Je ne savais pas trop comment faire. A tout hasard ma langue a léché son gland. Jai du bien faire puisquil a voulu jouir dans ma bouche, ce que je refusais. Rien que de penser avoir sa liqueur dans la bouche mécurait.
— Cest nest pas ce que je voulais. Tu avaleras la prochaine fois. Tu vas voir ce que je te fais. Il a passé sa tête entre mes cuisses, sa bouche est venue sur ma bouche du bas. Il ma embrassé partout sur la chatte. Je mouillais plus que quand il me branlait. Cest là quil a pris mon bouton dans ses lèvres pour y faire je ne sais quoi : il men a fait jouir. Quand il sest relevé, il avait ma cyprine sur ses lèvres quil léchait devant moi :
— Tu vois, jaime ta mouille comme tu devrais aimer mon sperme.
— Jessaierais la prochaine fois.
— Fais-moi le maintenant.
Je lui ai encore pris la bite dans la bouche. Je la coinçais entre la langue est une lèvre en allant et venant avec ma tête. Je lai sentir se durci, gémir un peu puis donner sa semence. Cette fois je gardais tout dans la bouche. Il me regardait attendre je ne sais quoi, noyer son jus avec la salive sans doute. Je passais ma langue pleine dans toute la bouche. Après un court instant je trouvais que finalement il nétait pas si mauvais que ça : je lavalais sans plus rien dire. Il a pris ma bouche pour membrasser. Ma langue lui donnait le peu de semence que javais. Je sentais également le goût de ma cyprine.
Plus tard il a eu envie de jouir entre mes seins. Il est venu sur moi, les jambes écartées, a posé sa pine entre mes mamelles. Je les ai resserrées pour quil puisse juste glisser. Je regardais sa bite aller et venir. Je guettais surtout son plaisir. Il ma étonné de jeter tant de semence jusquà ma bouche pour certains jets.
— Tu es une bonne baiseuse, tu satisferais pas mal dhommes. Je te veux plus salope. Je veux ton cul.
— Ca va me faire mal.
— Un peu oui, les premières fois, après tu le demanderas seule.
— Vas doucement.
— Je ne suis pas sadique. Je te sodomiserais dans les règles que je me suis fixées. Mets-toi en levrette, mouille ton anus avec ta cyprine, mets en beaucoup. Tu verras ça passe presque tout seul.
— Jai fais de grosses crottes seule ;
— Tant mieux, la prochaine fois tu me montreras.
Je suis en levrette, ma main fait le va-et-vient entre mon con et mon cul. Jessaie même dy entrer un bout de doigt. Il me regarde faire avant de remplacer mon doigt par le sien. Il lenfonce profondément. Je sens bien son doigt sans avoir mal. Cest quand il entre le second que jai un peu mal. Il les écarte petit à petit. Je sens bien qu’il mélargit.
Il met son bout juste à lentrée. Cest assez excitant, surtout sachant qu’il va menculer pour la première fois. Jespère quil me fera du bien. Quand Yves entre doucement sa pine dans le cul, je ne sens aucun plaisir : jai mal tout simplement. Pourtant il entre doucement, très doucement. Il me tarde qu’il en sorte. Il reste au contraire en entrant davantage. Il me lime longuement, comme sil était dans mon con. Ouf, enfin je le sens jouir. Il reste encore pour ne sortir que quand il est débandé.
— Jai eu un mal de chien.
— Tant que tu ne jouiras pas de cet endroit, je continuerais à te la mettre au cul.
Cest-ce quil a fait, je ne lai plus senti dans le vagin, malgré ma demande répétée. Un soir, je ne sais pourquoi, enfin je sentais un début de jouissance.
— Reste encore dans le cul, je crois que je vais jouir.
— Tant mieux.
Jai en effet joui de ce plaisir inégalé. Depuis, baise rime avec les deux portes dentrée, la troisième même. Nous procédons, en principe dans lordre, dabord nous langues, puis sa bite dans le con et ensuite, pour finir en beauté, dans le cul.
Je suis devenue une adepte convaincue de la sodomie. Il a acheté un double gode pour que je puisse me baiser et menculer seule quand il est absent, en principe seulement puisque souvent il me demande de le faire devant lui pour lexciter avant de recommencer une série de baises.
Souvent il me fit mettre sur lui pour baiser, je suis à plat ventre sur son corps, il me baise avec le gode dans le cul. Jen suis plus que satisfaite. Je ne pensais jamais atteindre ce niveau dimmoralité.
Jaimerai le voir baiser une autre fille. Je le lui demande longtemps avant quil arrive chez nous avec une fille dun parfait mauvais genre.
— Voilà notre future maîtresse.
— Notre ?
— Bien sur vous vous amuseraient beaucoup toutes les deux, même si je ne suis pas là.
— Tu las déjà baisé ?
— Non, nous allons létrenner.
Ainsi la fille est pour nous deux. Elle me déplaît un peu. Lui lembrasse sur la bouche en lui mettant la main au panier. Elle écarte les jambes : elle ne porte pas de culotte. Je vois toute sa chatte mouillée. Il commence à la branler, comme il me fait. Sauf que je le regarde. Cest sa main sur une autre chatte que la mienne qui mexcite.
— Branles moi aussi.
— Attends un peu, cest elle qui va le faire.
Cest bien une main de fille qui est sur mon bouton, en plus elle me fait du bien. Je suis embarrassée pour rendre ce quelle me fait, alors sans réfléchir je passe ma main entre ses fesses à la recherche de son cul. Elle doit apprécier puisquelle recule un peu quand je suis sur son rectum. Jentre facilement. Elle jouit, je ne sais si cest grâce à la main dYves ou la mienne.
Nous sommes vite nus. En temps normal je ne laurais pas voulu. Mais cette nana mexcite pas mal, je ne sais trop pourquoi. Est-ce parce quelle a rendu ce que je faisais ? Je ne sais. Yves lui lèche le con, ses jambes sont écartées. Je lui donne mes lèvres pour un baiser lesbien. Elle me le rend en me branlant encore. Reste quYves na pas encore joui. Je me demande dans qui il va donner son jus. Pas à moi en tout cas puisquil se baisse un peu pour la baiser. Il aurait pu attendre dêtre au lit. Il la lui met assez profond daprès ce que je vois. Elle gémit, comme moi. Je lui remets non plus un mais trois doigts dans le cul. Je sens la pine de mon époux dans son con.
Nous nous regardons en nous souriant beaucoup : il aime ce que nous faisons. Elle aussi sans doute à sentir ses spasmes de jouissance de plus en plus proches.
Quand il jouit, Yves va chercher le gode. Il nous fait coucher sur le lit, entre le gode dans le cul de lautre et dans le mien. Il ne regarde plus que le gode quil manie fort bien. Jaurais bien aimé avoir une langue sur le clito. Il nen fait rien. Il se contente de nous faire jouir.
Comme il bande à nouveau, je voudrais bien quil me la mette. Ce nest pas mon jour, il baise lautre qui jouit bien sur comme Yves. Je me contente comme je peux avec le gode en double pénétration.
Après cette folle après midi, il a même la reconnaissance du vente, il remercie cette fille qui sen va pour revenir la semaine prochaine. Ce qui ne me déplaît pas du tout.