Les réfugiés 3
Participants
Dr Ali Ben Jalloud le père 50 ans, une belle prestance, parlant couramment le français.
Wouarda, la mère, Femme soumise à son époux de 45 ans.
Alicia, l’ainée 21 ans, étudiante en lettres orientales à Beyrouth.
Akim, 20 ans, étudiant au lycée technique en agriculture.
Lilia, 18 ans la cadette vient de finir son bac.
Jean Dutrou, Agriculteur, 49 ans, adepte de José Bovet.
Viviane son épouse 48 ans.
Julot son fils aîné 22ans prévu pour reprendre l’exploitation familiale.
Lolette, la cadette 19 ans, un peu fofolle.
Résumé :
Résumé :
La famille Ben Jalloud, après un long périple à travers l’Europe arrive dans un village de la Beauce, accueillie par la famille Dutrou. Après quelques petites frictions culturelles, les deux familles commencent à bien vivre ensemble, mieux, la nuit passée, ils ont eu une première expérience échangiste initialisée par les femmes.
— Tu as aimé au moins.
— Pas aimé, mais adoré. J’aimerai bien le refaire souvent comme cela.
— Je dois t’avouer quelque chose, chéri, ce n’était pas moi.
— Comment cela ?
— Avec Wouarda, suite à nos discussions, on a décidé de temps en temps d’échanger nos époux. À ce qu’elle m’a dit, elle a bien apprécié ton gros gourdin,
— Ah ! Ah ! Et toi pendant ce temps-là ?
— Je suis retournée à l’école pour apprendre et j’ai bien aimé les cours.
Au petit matin, les deux couples se retrouvent au tour d’une bonne tasse de café, ne sachant comment aborder le problème. Finalement, c’est Viviane qui lance la conversation :
— Chacun sait que la nuit passée, on l’a passée avec le partenaire de l’autre couple. Pour ma part, ce fut merveilleux, si vous êtes d’accord, on pourrait le répéter à la demande.
— Je ne l’ai appris que ce matin, bien que je m’en doutais un peu, je dois dire que je ne me plains pas, j’ai rarement eu un plaisir comme cela, peut-être la notion de nouveauté, d’interdit. Répond Jean et comme Viviane a eu aussi un très grand plaisir, je ne me sens pas coupable d’adultère, puisqu’il était partagé.
— Moi, cela faisait déjà un moment que je flashais sur Viviane, cette nuit m’a permis de réaliser plusieurs fantasmes avec beaucoup de plaisirs. Ajoute Ali, volontiers, je referai cette expérience.
— C’est pas différent pour moi, dit Wouarda, ce géant blond m’a souvent fait soupirer. J’ai apprécié sa sexualité simple et surtout sa force quand il l’a placée dans mon minou. Je n’ai jamais senti un tel diamètre, si ce n’est à l’accouchement. Mais les circonstances sont différentes et c’était il y a longtemps, s’il y a moyen de remettre le couvert, je ne suis pas contre.
— Je vois que tout le monde est content de cette expérience, mais a priori, trop souvent tuerait peut-être le charme. On pourrait le faire une fois pas semaine, ou quand les enfants sont absents de la maison et peut-être pas le faire en cachette, mais ensemble, conclu Viviane.
— Pour ma part, cela fait 22 ans que je le fais avec Wouarda et je ne peux pas dire que je ne suis plus sous son charme. Donc pour moi, je ne vois pas la mort de ton charme dans un avenir proche ma chère Viviane. Ton corps m’enchante encore ce matin. Surtout le côté pile.
La semaine se passe sans de nouvelle aventure et le week-end, Akim et Julot ont prévu de visiter la foire agricole et dans la foulée et il demande s’ils peuvent prendre avec eux les filles. C’est pas mal de voir de manière un peu plus générale les nouveautés.
— Pour moi, c’est Ok, dit Jean en se disant, cela tombe bien, j’ai les bourses qui débordent en pensant à Wouarda.
— Cela ne me va pas, dit Alicia, je dois trouver une université qui convienne à la suite de mes études. Papa, si tu pouvais m’avancer un peu d’argent, j’irai dimanche et lundi à Paris.
— Le samedi matin, Akim prend la voiture paternelle et les 4 plus jeunes sont partis pour Cambray, probablement pour y faire des bêtises. (c’est bien connu les bêtises de Cambray)
— Qu’est-ce que tu vas faire ce soir Alicia, demande son père.
— Je ne sais pas encore, il y a un bal au village, ce serait peut-être l’occasion de rencontrer des gens. On vit un peu en cercle fermé depuis qu’on est arrivé.
— C’est une bonne idée, mais ne rentre pas trop tard.
— Tu sais Papa, je suis adulte depuis un moment.
Le soir arrive et les quatre se retrouvent dans la chambre nuptiale de Jean et Viviane, les habits giclent, Ali, comprend ce que voulait dire sa femme en voyant comment Jean est équipé, mais Viviane a envie que son homme s’améliore dans les préliminaires.
— Chéri, j’aimerai que tu voies comment Ali prépare Wouarda pour la suite et que tu en prennes exemple.
— Je ne comprends pas !
— Ali, montre lui ce qu’est un beau cunnilingus et toi Jean, profite, je vais contrôler si tu as bien appris ta leçon.
— Pourquoi pas, qu’est-ce qu’il faut faire.
— Regarde Jean, une femme a son trésor enfoui entre ses jambes et il est accessible principalement par trois choses, les doigts, la langue et le sexe. Mais il faut y aller lentement et avec méthode, à sec un sexe féminin n’apprécie pas trop au début, donc il faut qu’il soit prêt quand on plante sa queue. Il y a aussi les seins qui ont des terminaisons nerveuses qui ont une connexion avec le sexe, si tu les caresses, ils réagissent et durcissent tout en créant l’excitation, excitation qui se traduit par une humidification du conduit vaginal.
— Dis-moi, mais tu parles comme un docteur !
— Je ne te l’ai pas dit, mais je suis également médecin, mais je ne voulais pas créer un problème avec cela, Je n’ai pas le droit actuellement d’exercer en France.
— C’est formidable, tu connais aussi un peu l’art du vétérinaire ?
— Oui, c’est le médecin pour les animaux et souvent, c’est pareil pour les humains, à la différence qu’ils n’ont pas trop de maladies imaginaires.
— Vous allez cesser de parler boulot et occupez-vous de nous ? Proteste Wouarda que l’interruption du cunnilingus avait laissée frustrée. Jean, je crois que ta femme réclame aussi tes soins.
— Mes excuses, je m’y mets
Et le voilà qui rapproche ses célèbres moustaches de l’intimité de sa femme.
— Diantre, cela sent drôlement bon la cocotte ici, j’aurai su, j’aurai bien venu, ajoute-t-il sur un air de p’tit Gibus.
— N’oublie pas ma noisette mon chéri, c’est aussi important. C’est bien, tu peux aussi passer un petit coup de serpillière à l’entrée de service. Je l’ai bien nettoyée, mais pas essuyée.
— Qu’entends-tu par entrée de service ?
— le trou du cul. Il faut qu’il soit aussi traité si Ali veut m’en remettre une couche.
— Dis Viviane, tu y as pris goût à te faire sodomiser !
— Oui, mais je n’oserai pas avec Jean, il est trop gros pour cela, lui, il faut qu’il passe par l’entrée principale.
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant, on change et on pine ou on continue se dit Jean, la bourse plus que pleine de bon jus de bite.
— Viens me faire le premier service mon homme, tu vas me faire grimper une première fois aux rideaux et après tu vas avec Wouarda pendant qu’Ali va utiliser ce que tu as bien préparé.
C’est ainsi que les couples se changent au gré de la soirée quand tout d’un coup, au milieu d’un coït relativement violent, Alicia apparaît sur le pas de porte de la chambre :
— On ne peut pas vous laisser seuls, un moment, sans que vous vous amusiez, sans les enfants. Et moi alors ?
Surpris les quatre compères sursautent fautifs et ne savent comment expliquer la situation. Rougissant tant l’un ou l’une que l’autre, à par peut-être Jean qui se dit que où il y a de la place pour 4, il y en a pour 5.
— Allez, déshabille-toi et joins-toi à nous. Tu es une grande fille ! Tu es encore vierge ?
— He ! Oui, le père Noël n’a pas encore passé.
— C’est l’occasion de faire sauter ton label de garantie, là, tu vas être à une école privée non laïque avec des professeurs qualifiés et pour des branches non académiques, annonce Jean. Qui veut donner la première leçon ? Wouarda, toi qui as un PHD en léchage de minou, tu es partante ?
— C’est quand même ma fille, non, je préférerai que ce soit Alicia. Ma fille, mets-toi à l’aise, sur le dos et relève bien tes jambes que ton minou soit bien accessible. Finalement, ce serait mieux que ce soit Jean, il faut qu’il fasse des exercices pratiques.
— Volontiers, je vais pouvoir déguster une jeune moule toute fraîche, je me réjouis.
Sans transition, il plonge sa tête entre les deux cuisses graciles, promène sa langue et ses bacchantes dans les replis de ce jeune sexe, sans oublier le petit bouton qui jaillit à la première léchouille.
— Comme hors duvre, on peut difficilement trouver mieux. Mais si je mets ma grosse bite, je vais lui faire mal, il faut un premier passage avec un calibre plus adapté, Ali, tu sais ce qu’il te reste à faire, je crois qu’elle est fine prête pour lholocauste. Cela te fait quoi de penser que tu vas porter sur ta pine la marque du pucelage de ta fille ? Cela t’excite ou thorrifie ?
— J’y ressens surtout un immense honneur que je m’efforcerais de justifier de sa confiance.
— Oui père, viens me faire sauter ce label de garantie Leclerc, on est plus en Syrie et il me gêne plus qu’autre chose. De toute façon, en Syrie, presque toutes les jeunes filles soi-disant vierges ne le sont plus du cul ou de la bouche aux premières heures de la puberté.
Le père, Ali de son prénom, s’approche et déclare:
— Avant de procéder au sacrilège, je veux aussi goûter à ton abricot qui a encore son noyau. Il paraît qu’après, ce n’est plus le même goût, c’est du moins ce que prétendent les éleveurs de chèvres, entre avant où elle sent la chèvre et après où elle sent le bouc, c’est évident.
— Fais père, je sais que toi, tu es hors catégorie dans l’art du broute-minou. Tout au moins à ce que dit maman.
C’est ainsi qu’après avoir conduit sa fille dans un premier orgasme en lui lutinant sa fleur, Ali a passé aux choses sérieuses, il s’est mis sur le dos et a déclaré :
— Viens sur moi et c’est toi qui vas adapter ta vitesse et progression. C’est toujours mieux quand tu peux commander la manuvre
Alicia a perdu comme cela son opercule sur les couilles de son père. Père tellement excité par l’interdit qu’il lui décharge sur le ventre, tout ce qui lui restait dans les gonades, avant qu’elle puisse prendre son pied.
— Jean, je me suis laissé aller, Je n’ai pas assuré, peux-tu prendre ma place et finir le travail.
— Sans problème, mais je fais comme toi, je vais me mettre en tout cas dans un premier temps sur le dos qu’elle puisse s’adapter elle-même.
Sur ce, il se met sur le dos et Alicia prend ce tronc d’arbre et le dirige vers son sanctuaire avec un peu dappréhension. Est-ce que cela va passer sans problème ? Eh oui, le pucelage enlevé, son vagin s’adapte merveilleusement bien à son mandrin, vraiment, c’est super de se sentir bien remplie par cet homme mûr. Elle descend et remonte tout en faisant un mouvement de balancier pour bien sensibiliser toutes les régions de sa craquette. Son père :
— Chérie, puisque l’envers est déjà du domaine publique, tu me permettrais d’y faire un petit détour, après les formalités d’usage évidement.
— Oui, mais cela va être difficile, maintenant que j’ai pris le train et que tu es hors du wagon.
— Pas de problème, j’avais prévu cette éventualité, de me faire un petit cul, je pensais à Alicia, mais maintenant que tu es emmanchée, un petit complément par derrière serait certainement un plus et j’ai pris de la vaseline. Montre-moi un peu ton petit cul que je le prépare.
— C’est bon quand tu me tartines le fion en même temps que je fais de l’équitation sexuelle. J’aime.
— Tu verras quand je t’enculerai, la double, c’est à mettre dans tes anales de l’anus. Je m’y mets, tu me diras ce que tu en penses.
— C’est super, déjà qu’avec Jean, c’était la complète, maintenant, avec du rab, je ne vais pas grimper aux rideaux, mais ramper au plafond. Quand je sens vos deux queues qui se disputent mon espace vital, c’est tout simplement divin. Encore ! Wouarda, tu devrais essayer, je crois que c’est encore une chose que tu n’as pas testé. Ce serait certainement mieux que de te gougnotter avec Viviane.
— Pourquoi pas, je prendrai la suite si il reste encore des forces à nos étalons et que tu ne leur pompes pas leurs forces vives.
Pendant ce temps là, les 4 plus jeunes se retrouvent à Cambray, visitent la foire et le soir, ils se mettent à la recherche d’un motel, pas trop cher.
Ils trouvent enfin au camping Dupanlou qui a aussi des chambres, une pièce à 4 lits pour la nuit à un prix raisonnable.
On connait bien la chanson:
"
Père Dupanlou dans son cercueil
bandait encore comme un chevreuil
La bite en arc de cercle
il essayait de soulever le couvercle
Ah Ah oui vraiment… "
Pour m’éviter de mauvaises surprises
de gens bien pensants,
je ne mettrai pas ce qu’il fit au Paradis avec Jésus Christ.
Ni comment se plaignirent ses apôtres.