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Les Robinsons de Bohème – Chapitre 2

Les Robinsons de Bohème - Chapitre 2



Chapitre 2

résumé du chapitre 1.

La famille Konopisté, à la suite du désastre de la montagne blanche est obligée de quitter sa bohème natale, affrétant une flûte pour rejoindre le nouveau monde. En chemin, le navire sombre sur des récifs bordant une île vierge sur laquelle la famille, à l’aide des épaves parvient à créer un semblant de civilisation. Le père a des séquelles du naufrage, lui bloquant le dos et Jan le fils tombe malade. Au cours de sa maladie, il a une relation sexuelle avec sa mère qui s’était offerte pour lui tenir au chaud. Par la même occasion, le père qui y a assisté, très ému retrouve sa mobilité et se porte guéri.

Peu après, un groupe d’indigènes sauvage veut sacrifier un couple et la famille vole à leurs secours avec succès.

Suite :

Dès que les sauvages sortirent de la vue, la famille se précipita sur les deux indigènes encore garrottés, coupèrent les liens et leurs firent signe de les suivre.

Mais, ils avaient vraiment de la peine à marcher, la circulation sanguine coupée depuis quelques heures, ils souffrirent la mort quand elle fut rétablie, mais il fallait évacuer le site, aussi la mère chargea sut ses épaules le garçon affaibli et Jan fit de même avec la fille qui ne pesait pas lourd non plus. Bartolome, encore faible surveillait avec les deux soeurs si tout était en ordre et qu’aucun retour des sauvages était en vue.

Après une courte marche, ils arrivèrent à la caverne et là, Jan et Vlasta frottèrent vigoureusement les membres qui n’avaient pas une très belle couleur, mais à force de persévérance et un peu de souffrance, le sang revint dans les parties basses et tout s’irrigua, à la surprise de Vlasta qui constata une érection du pénis particulièrement importante. Le garçon gêné, voulut caché avec ses deux mains, mais Vlasta l’en empêcha, se disant qu’une bonne branlette allait accélérer la circulation sanguine en général.  On peut douter qu’à cette époque, on ait des connaissances médicales si développée, mais il ne faut pas oublier que le sens de l’observation était beaucoup plus développé qu’au temps du smartphone et ne se résumait pas à un petit écran de x pouces. Jan de son coté avait remarqué le même phénomène chez cette jeune fille.

— Qu’est.ce qu’on fait mère, je vois qu’ils sont en transe sexuelle pratiquement, on les laisse faire cracra ou si on les aides chacun de notre coté à améliorer leur circulation sanguine ?

— Envoyons d’abord le reste de la tribu aller chercher du bois pour l’hiver, après on verra !

… Barto, tu ne pourrais pas emmener les deux filles pour ramasser du bois pour faire la cuisine, on a des invités et il faut faire plus et si tu pouvais attraper un ou deux lapins, ce serait bien, les collets sont dans l’armoire du fonds.

Se doutant bien de la chose, mais ne voulant pas s’interposer, il prend les deux filles cadettes avec lui pour cette tâche.

Revenant à nos moutons, Vlasta qui n’en est pas à sa première queue, mais à sa deuxième se dit que ce serait bien de goûter une troisième, ne serait-ce que pour comparer.

— Si tu ne vois pas d’inconvénients, Jan, je pense qu’ils sont encore trop faibles pour qu’ils accumulent leurs faiblesses pour un coît entre eux, allons jusqu’au bout et aidons-les.

— Je te vois venir coquine, la vue d’une nouvelle queue a aiguisé ton appétit, mais il faut dire que je ne suis pas contre d’essayer une nouvelle jeune femme.

— Salaud, tu profites.

— Salope toi-même dit-il en riant, j’ai l’impression qu’on est les deux à bien vouloir.

Évidement ces discours se passent en tchèque, langage que nos deux indigènes ne pratique vraiment pas et se demande à quelle sauce, ils vont être mangés. Mais une fois que Vlasta a enjambé le jeune homme, (les présentations n’ont pas encore été faites dans la précipitation) il comprend très bien ce langage universel et commence à faire bouger ses reins et le reste dans cet accueil bien faisant. On disait que Vlasta était une femme médecine, il semble que cela se vérifie en constatant l’ardeur que ce jeune-homme met dans ce jeu amoureux.

Jan de son coté, sentant l’hydromel qui coule dans la source en face de ses yeux, hésite entre étancher sa soif quitte à faire exploser son excroissance caudale. (sa queue pour ceux qui manquent d’imagination) Finalement il monte sur la jeune fille offerte en sacrifice qui n’ose contredire le sauveur et doucement plonge dans les délices de Capoue (et non de capote comme certains traduirait)

— Aïe, Bruirnk djdojohad mllduo crie la pucelle à qui il vient d’enlever son ticket de garantie Leclerc

— Aïe, j’ai compris dit Jan en dialecte de Tabor, mais le reste, je le devine, tu étais toute neuve et le garçon qui était avec toi, ce n’était pas ton compagnon. Mais maintenant que le plus dure est fait, on va continuer et doucement, il continue sa pénétration, jusqu’à toucher le fonds du puits d’amour qui est loin d’être à sec.

— Jak ! Jak ! Jak ! Boububi bououboub  bouboub gémit la belle de plus en plus enchantée d’avoir ce sceptre qui laboure son champ vierge de toutes semences.

— Je commence à comprendre que la douleur a passé et que maintenant tu récoltes et engranges, mais attends un peu que je lâches mes spermatozoïdes dans tes ovaires, tu vas grimper au ciel, à défaut des rideaux qu’on a pas encore installés.

— Ikou,ikou brâme la belle en se tendant comme un arc mongol

— Je crois que je vais pas résisté à cont Ikou ikou répond Jan en déversant le produit de ses couilles dans ce petit conin tout neuf qu’il vient de mettre en service 3 pièces.

De l’autre coté, là mère, toujours emmanchée sur le jeune homme, chevauchant, telle une Walkyrie sa monture, amène son partenaire à crier aussi des :

— Jak ! Jak ! Jack ! Boubouboubim ! Ikou ! Ikou !  

«  tiens se dit la mère, on a les premiers mots de leurs vocabulaire, Jak ! Doit marquer le contentement sexuel et Ikou ikou l’épanouissement.»

— Ah cela fait toujours du bien annonce Jan en se retirant et en embrassant les jeunes seins à sa disposition.

— Youp, fait la belle en se mettant de coté l’air peu engageante.

— Je crois que j’ai fait une bêtise en voulant lui baiser les seins dit Jan confu.

— Elle ne sait peut-être pas que cela se fait entre amant, lui répond sa mère également en dialecte de Tabor. Viens m’embrasser les miens, ils supporteront encore bien ceci.

— Cela sera intéressant de voir leurs réactions. Jusqu’à maintenant, à part ce refus, cela s’est bien passé. Peut-être qu’elle avait peur que je les lui mange.

Pendant ce temps, Jan s’approche de sa mère, qui a basculé de coté vers son fils chéri en lui offrant les merveilles de son torse, la cuisine viendra plus tard.

Jan à ce moment là, embrasse les seins de sa mère et les deux sauvages regardent étonnés cette pratique qu’ils croyaient  réservée qu’aux nouveaux nés, mais devant le plaisir évident de la mère à cette attention, le jeune homme se penche sur son ancienne compagne et commence à lui sucer les seins. Elle découvre que c’est très agréable de se faire tripoter les tétons et en redemande.  

Voyant cela, Jan, tente une première dans sa famille malgré tout très attachée à des moeurs assez rigides, voire les chemises de nuit avec le trou «  Hussite » brodé amoureusement par les jeunes-filles en âge d’épousailles. Il plonge sa tête entre les jambes de sa mère et lui passe la langue entre les poils entre-mêlés d’un mélange de mouille et du sperme du mâle précédent.

— Jan, tu pourrais au moins attendre que j’aie fait une toilette plutôt que de te jeter sur les restes du jeune sauvage.

— Tu as raison, c’est pas fameux le réchauffé. Un peu surpris par les bruits à coté fait de Jak Jak jak.

… Tu vas voir qu’on va bientôt entendre le boubouboum de la belle. Dit-il en riant. Je crois qu’après cette épisode, il faudra consacrer quelques jours à trouver un langage commun. Il faudra que père nous donne à tous des rudiments d’allemand car je suppose que si on peut s’en sortir et qu’un autre bateau nous trouve et qu’on aie en Amérique, ce sera l’allemand ou peut-être le latin qui nous sortirons d’affaire.

Le boubouboum ayant retenti haut et distinct, Vlasta s’inquiète du retour des chasseurs cueilleurs et commence à rassembler ses marmites pour le rapas de midi, ces exercices l’on mise en appétit.

Profitant d’un instant de répit, Jan, pointant son doigt vers son coeur dit :

— Jan. Et en suite il pointe son doigt vers le torse du jeune homme avec un air interrogatif.

— Arracouillabot, répond le jeune-homme

— Trop compliqué on va dir Ara tout simplement. Ou Arrac.

Alors le jeune-homme, pressant son doigt contre sa poitrine dit : – Arrac !

— C’est bien, mais maintenant en tendant son doigt vers la jeune-fille, interrogatif, et toi ?

— Couillicoulic.

— C’est tout joli cela, adopté. Et en montrant sa mère il fait :

— Elle c’est Vlasta.

Se dirigeant vers Vlasta, Arrac met le genou par terre et disant  

— fofinfoi  fofiifn elle c’est Vlasta.

 

Comprenant que son fils a un peu compliqué la chose, elle tend son doigt vers sa poitrine et dit :

— Vlasta

Se remettant à genou, Arrac redit :

— fofinfoi  fofiifn Vlasta.

— – fofinfoi  fofiifn doit probablement dire merci dans leur langue.

— Notre diki est quand même plus simple ou danke selon les germains.

À ce moment là, voyant les occupations de Vlasta, la jeune Couillicoulic se précipite dehors et déterre deux ou trois plantes qui étaient toutes proches. En disant :

— Miam miam, cuterbul manioc  

— Cela doit être universel se dit Vlasta, en répétant miam miam.

D’un coup elle les jette après avoir enlever la terre dans le chaudron. Mais Couillicoulic retourne en chercher et toute enrobée de terre, les met dans le feu direct, sans autre commentaire.

Les Nemrods familiaux sont sur le retour avec un lapin, rapidement, il est dépecé, sa peau soigneusement nettoyée et tendue sur un cadre puis après avoir enlevé les viscères inconsommables, jeté dans le chaudron.

Après le repas, la discussion retourne sur la langue commune :Zajic  

Les deux indigènes répètent consciencieusement Zajic. Avec leur accent des îles sous le vent, Pas zajic, mais Zaaajic il faut marquer le début du mot.

— Tu ne crois pas que tu exagères lui remarque Vlasta, c’était très bien.

Elle est prise d’un sentiment maternel pour ce jeune indigène, qui lui a donner tellement de plaisir tout à l’heure. C’était encore mieux qu’avec Jan. Vu qu’avec Bartolomé, c’est à Paques ou à la Trinité et les années bissextiles, on peut rajouter Noël. Ce ne serait pas mal d’en avoir deux à disposition pour calmer sa libido qui s’est brutalement réveillée lorsque Jan l’a prise la première fois, surtout qu’elle soupçonne d’avoir une marionnette dans le tiroir.  

La leçon continue en nommant les différents objets sur la base du tchèque, on a renoncé à l’allemand, vu qu’on ne sait pas de quoi est fait l’avenir. Les arbres, la cuisine et ses ustensiles, la bouffe etc, tout y a passé. Ils apprennent très vite.

La nuit tombant, se pose le problème de qui va avec qui, c’est un petit dilemme, d’une part, Vlasta, aimerait continuer sa relation avec Arrac pour déguster la nouveauté, mais elle n’aimerait pas perdre Jan qui est vraiment un bon coup. Vlasta et Jan se retirent dans un coin pour discuter un peu de leur problème à l’abri des oreilles indiscrètes des deux filles encore un peu jeune pour participer. Bartolomé se joint à la discussion, même si il n’a pas été invité.  

— Je peux dire mon mot ?

— Oui bien sur Pa.

— J’aimerai voir l’effet quand Arrac prend ta mère sur moi, en tout cas, il faut rester uni, mais pas borné, J’espère que de voir Coulicoulic se faire prendre, va réveiller ma virilité bien mal mise.

— On peut essayer, si cela te fait de l’effet à ce niveau, tu pourras toujours essayer Coulicoulic, je ne pense pas qu’elle refuserait. C’est tout nouveau pour elle, elle n’a pas refusé qu’il y en ai deux qui s’amuse avec elle, alors trois pourquoi pas, répond Jan.

— Cela me rappelle Olovec, dans le camp des adamistes, dit Barto,  il courrait après tout ce qui bouge et qui avait une tirelire. L’ennui, c’est que quand elles disaient oui, lui, il était en rade avec sa saucisse qui pendait lamentablement entre ses cuisses et là, il se prenait un terrible râteau, ce qui ne l’empêchait pas de recommencer dès que l’occasion se présentait, même si tout le monde se moquait de lui.  

La nuit tombant, chacun prépare sa couche, mais il y a des modifications avec l’ancien ordre car il y a deux nouveaux qui sont à placer. Les deux filles restent avec leur père bien sage, tout au moins à ce qu’on voit.

D’un autre coté, Vlasta se met au milieu avec Arrac à sa gauche et Jan à sa droite et plus loin Couilicoulic.

Très vite, Vlasta se tourne ver Arrac et commence à lui caresser le torse, puis descend plus bas où elle rencontre une queue bien dressée, à voir, il n’a pas besoin d’aide supplémentaire, il est prêt. Mais ayant vu Jan, l’après-midi, il a aussi envie de découvrir plus complètement Vlasta et il commence à lui caresser aussi la poitrine, elle se laisse retomber sur le dos et lui suit pour aussi embrasser les tétons, il a compris que la femme aime se faire lécher, sucer la poitrine et que ce n’est pas seulement l’usine pour lait maternel. Curieuse, Vlasta a abandonné toute initiative pour voir comment cela va se dérouler, si ce n’est qu’elle tiens la tête dans ses bras et que lui n’arrête pas de lui bouffer la fraise qui honore son sein. Mais lui n’a pas oublié cette vision du fils qui visite la grotte maternelle avec sa langue.

Il veut aussi déguster la moule à Vlasta. 

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