par : Philippe C de Harles.
Enfin mon petit Claude est dans son autobus scolaire. Ouf, fille!, je vais pouvoir respirer un peu. Surtout que depuis que je suis debout, je cours sans arrêt.
Maman par ci, maman par là.
Bon relaxe la grande!. Tu te démènes bien trop. En plus de cela, comme de raison, à chaque matin, il faut que je m’occupe de mon grand bébé de mari. Lui, sapristi, je crois qu’il a encore de besoin de sa mère. Avec mon grand fland mou, pas moyen de continuer à dormir, car, il est tout le temps perdu. Même pas capable de s’organiser. Ce n’est certainement pas la belle mère qui a dû lui apprendre. Oui!, parce qu’elle, elle n’a jamais cessé de le dorloter son grand bébé. Puis lui, il me tape sur les nerfs tous les matins, avec ses:
Chérie as-tu sortie ma chemise.
Trésor, où sont mes bas.
Cristiane, quel pantalon je vais mettre?
Dis, mon bébé, mes toasts sont-elles prêtes?
Je me dis tout bas:
Normand, tu es mieux d?arrêter de m’appeler ton bébé.
Normand, si tu..
Puis va donc chier.
Toi, mon maudit fatiguant, je suis à la veille de te flusher.
Normand, un bon matin, tu vas connaître ma façon de penser.
Mais, rendu-là, il va être trop tard pour notre vie de couple.
Je vais te retourner chez ta mère.
Salut, pour de bon, mon Normand et la belle-mère.
Moi, je ne joue plus.
Normand, si tu savais comme je suis tannée de faire ta servante et de toujours te torcher.
Tu veux continué à rester assis sur ton cul et à crier après moi.
O.k, o.k.
Tu fais comme tu veux.
Mais, je t’avertis tout de suite, tu retournes chez ta mère, si tu penses que moi, la folle, je vais continuée à courir comme un diable pour te servir.
Fini, f.i., fi, n.i., ni.
Bye-bye, Normand puis, la belle-mère.
Moi, je décroche.
Ouf!, je me fatigue pour rien, oublies tout cela, fille!.
Enfin seule, je peux prendre mon café en sainte paix. En passant devant le miroir du salon, j’entrevois mon image.
Ouf, fille!. ?a parait que j’ai veillé tard. J’ai le visage des mauvais jours. Pinoutche que je m’hais dans ces moments-là. Et en plus, comme ça m’arrive à chaque fois que je relève d’une bonne cuite, je réalise que je suis pas mal moins vite que de coutume. Ouf, ma fille!, en plus, ce maudit mal de bloc.
Pinoutche, quand je repense à notre soirée, ce n’est pas possible comme nous avons fait les folles toutes les trois. Maudite boisson aussi!.
Ouais!, la Suzie est sautée bien nette. Elle doit en avoir plus sur le coeur qu’elle veut bien le laissée voir. Faut qu’elle y en veuille en chien à son ex pour avoir fait scandale comme hier au soir.
La Suzie s’est défoulée. Elle qui aime cela se montrée. Une vraie folle!
Sacrée Suzie!, ça prends du toupet en crime pour s’exhiber en public comme elle l’a fait hier soir devant tous ces mâles. C’est vrai que nous étions était pas mal packetées toutes les trois. Mais, ce n’est pas une excuse pour agir ainsi.
Ouf, fille!. Une chance que je suis seule, parce que le monde me croirait félée bien raide, de me voir rire ainsi toute seule. ?a en devient une mauvaise habitude.
Sapristi!, à chaque fois que nous sortons ensemble, nous nous packtons comme trois fofolles. O.k, va falloir modérer la dessus.
Ouais!, mais pour revenir à Suzie. Elle a accroché un sacré beau mâle. Wow!. Marco, c’est un beau nom à part de cela. Mais pinoutche!, personne ne sait pas d’où il sort ce gibier-là. Fille!, tu parles d’un bel homme, bâti tout d’un bloc. Ouf!, je m’imagine que lui, quand il te met les mains sur le corps, tu dois en ressentir des frissons.
Ouais!, mais l’as-tu vu, l’animal! Un vrai macho. Puis, vite en affaire. Moi icitte, fille, je l’ai bien observé lorsqu’il dansait avec Suzie.
Ouf, ma fille!, ses mains sont pas mal voyageuses.
Ouais!, encore un autre beau salaud.
Calmes-toi, ma grande! Ce genre de club, ce n’est pas un endroit pour une femme mariée. Pas pour celles qui veulent rester sage en tout les cas. Oui, les maudits mâles!. Ils sont tous une belle gang de macho.
Pinoutche!, eux, ils cherchent tous du premier au dernier, juste à se trouver une aventure pour la nuit.
Moi, je serais bien trop farouche pour me laisser cruiser à la hâte comme cela. Tu vois cela, la grande!
Qu’est-ce que tu ferais si un beau mâle te disait dret là?
?a te tentes-tu, fille.
Tu m’accompagnes au motel.
Toi, tu t’imagines qu’il te dit cela en te donnant une petite claque sur les fesses. Puis toi, la folle!, tu es déjà prête à le suivre. Dans ta tête, tu rêves à tout le romantisme de te retrouver dans ses bras.
Le grand bang quoi?
Mais, la première chose que tu sais, le beau salaud ne pense qu’a t’enlever ta petite culotte.
Pinoutche!, moi, je gélerais sur place. Je serais bien trop figée pour essayer de le calmer un peu. Puis, de nos jours, tu ne sais jamais à quel genre de moineau!, tu as affaire.
Pour eux, les mâles, c’est bien simple. Pourvu qu’ils ont leur fun tout de suite. Je suis certaine qu?il n?y en a pas un seul d?entre eux qui se casse la tête. Et, comme ils ne se génent pas avec les conséquances. Ils peuvent te donner m’importe quelle maladie.
Attrappée une M.T.S.?
Moi, je me suiciderais, certain, avant d’être obliger d’annoncer cela à Normand.
Bon!, arrêtes de te conter des peurs. Nous avons eu du fun hier soir.
Il faudrait que je l’appelle, la Suzie. Huit heures et quart, nous allons pouvoir placotter un bon quart d’heure avant que son boss rentre travailler.
Allo!,
Oup!, c’est encore le grand foinfoin à Gerry.
Je peux-tu parler à Suzie?
Quoi?, elle n’est pas rentrée ce matin.
O.k., je vais rappeler plus tard.
C’est curieux!, Suzie n’a pas l’habitude de manquer sur la job. Dis-moi pas qu’elle est malade?
Maudit mélange de boisson aussi. Je l’appelle chez elle.
Allo!
O!, excusez-moi.
Je me suis trompée de numéro.
Pourtant, depuis le temps que je compose son numéro. O.k., cette fois, ça devrait fonctionner.
Christiane?
Oui, Allo!.
C’est encore la même voix de mâle. Pourtant, cette fois, je ne me suis pas trompée de numéro de téléphone. ?a ne me reviens pas, cette voix.
En tous les cas, je ne dois pas oublier de lui demander à Suzie, qui c’est cette belle voix? La Suzie, ne me compte pas tout. Elle va se faire gronder, si elle me fait des cachettes.
Bon, assez de révasser!, déjà neuf heures. Fille!, j’ai juste le temps de m’habiller pour aller à mon avant-midi de bénévolat.
Une chance, ce matin, je dois me rendre chez pépère Albert. Lui au moins, il est tranquille. C’est gentil pas possible, ce vieux-là. Jamais une parole plus haute que l’autre. Le pépère ne se plaint jamais. On dirait qu’il n’est jamais contrarié, mon petit vieux.
?a doit être, parce qu’il n’a jamais d’autre personne avec qui placoter. C?est vrai, il n?a jamais de visite. Le genre plutôt solitaire quoi?.
Après tout ce n’est pas de mes affaires. Puis, s’il aime mieux cela ainsi. Je me demande ce que ça peut penser un petit vieux comme lui. C’est drôle à dire, mais, je crois que sa vie est au calme plat. Va faloir que je le réveille un peu, mon petit vieux.
S’il continue à se laisser aller ainsi sans réagir, mon petit vieux, à un moment donné, il n’aura même pas le temps de s’en apercevoir qu’il va se retrouvé dans sa tombe.
Puis, après tout, ce ne doit pas être plus plat que sa petite vie tranquille.
Mon gentil, petit vieux, la dernière fois que j’ai été chez-lui, il me regardait avec un drôle d’air.
Aie!, pour moi, je le dérange le bonhomme? Je ne suis certainement pas la seule femme qu’il voit.
Aie!, ça se peux-tu? Je crois que j’ai deviné juste. C’est certainement cela. Plus je réfléchis à son comportement, plus je suis sûr qu’il en pince encore pour les femmes.
Sapristi!, depuis près de quatre mois que je passe faire son ménage une fois par semaine. Je ne m’étais jamais imaginée que le vieux sacripant peut encore être dérangé par la présence d’une femme.
Sapristi!, ça se peux-tu? Un bonhomme de plus de quatre-vingt ans.
Je gage, et puis sapristi!, ça ne se peut pas? Le vieux torrieux! Peut-il encore s’exciter pour un jupon?. Bien, ma fille!, c’est la meilleur que j’apprends ce matin.
Fille!, il va falloir que je fasse plus attention à ma tenue. Je ne veux pas que mon gentil petit vieux me pête une crise cardiaque en pleine face.
Le pépère, lui, je l’aime bien trop, il me fait tellement penser à grand-père. Les même yeux rieurs.
Pinoutche!, ma fille. Même pas moyen de truster un petit vieux, asteure!. Pourtant à son âge, sapristi! ?a se peux-tu?
Calmes-toi, la grande! Tu t’en fais encore pour rien. Pour lui, pépère, c’est sûrement son seul divertissement.
O.k., mais, à partir de ce matin, je l’ai à l’oeil. Ce ne sera pas long que je vais savoir se qu’il manigance vraiment. Si je l’excite, mon petit vieux, je vais en avoir le coeur net.
Pépère aime tellement parler. ?a va m’être facile de le faire se raconter. Il faut que je m’informe. Pépère doit bien y avoir quelque présence féminine dans sa vie.
Sapristi!, je ne connais même pas ses enfants, ses proches. Remarques fille!, que j’en n’ai jamais vu aucun auprès de lui. Pépère doit sûrement avoir encore un lien quelque part.
Bon!, ce matin, le vieux sacripant va tout me raconter pendant que moi, je vais faire le ménage.
Bonjour Pépère.
C’est encore la fatiguante qui vient vous déranger pour le ménage de la semaine.
Debout pépère, fini la matinée à paresser au lit.
Dix heures! Il est temps de secouer vos puces.
Pépère qui aime toujours m’étriver avec ses farces, ce matin, reste bien tranquille sans même me sourire.
Bon, qu’est-ce qu’il y a, à matin, pépère.
?a n’a pas l’air d’aller bien bien fort la santé.
Vous me semblez pas mal songeur.
Le pépère ne réagit même pas.
Bon!, dis-moi pas qu’il va falloir que je dorlote encore mon petit vieux préféré.
O.k., pépère.
Ne bougez pas, je m’occupe de vous.
Je m’approche tout près de lui pendant que pépère me regarde avec ses grands yeux tristes. Le veillard appui sa main sur mon épaule. Il semble complétement abattu.
Bon Pépère, on raconte tout à sa petite amie.
On lui dit son gros chagrin.
Ce n’est pas dans ses habitudes, l’homme agé se penche la tête et il évite mon regard.
Je sens son désarroi. Je le berce tout contre moi. Je lui caresse doucement la tête comme je faisais à mes enfants lorsqu’ils avaient un gros chagrin. Je suis toute bouleversée en voyant de grosses larmes coulées sur les joues du vieillard.
Pépère pleure silencieusement. L’homme agé s’abandonne en toute confiance contre mon épaule pendant que de profonds sanglots font sursauter ses fragiles épaules.
Je ne peux que sympatiser avec lui, J’en suis toute chavirée. C’est la première fois que je vis ce genre d’événement depuis que je fais du bénévolat. Je me sens si impuissante, si petite, totalement bouleversée par la peine que vit pépère.
Inconsolable, pépère pleure sans arrêt. Lorsqu’il se calme, je le trouve três épuisé. Je l’aide à s’étendre sur son lit, pépère tombe endormi presqu’aussitôt.
Ce comportement inhabituel me surprend et me chagrine beaucoup. Le vieillard dort les traits crispés. Sa respiration est très saccagée, après quelques minutes, il se met à ronfler à fond de train.
Je me dépèche de faire son ménage en essayant de faire le moins de bruit possible.
?a doit faire une bonne demi-heure que j’époussette et que je m’efforce de tout faire reluire.
À un certain moment, pendant que je suis en train d’essuyer le vidéo, ma curiosité est attirée par une cassette qui se trouve encore à l’intérieur de celui-ci.
Machinalement j’actionne le vidéo. Surprise!. Je tombe sur une vieille épisode de La Série Rose, série à saveur érotique qui passait à la télévision il y a au moins quatre ou cinq ans.
J’arrête mon ménage et je regarde ce bout de film qui commence quand un homme à l’allure rustre empoigne une jeune femme qu’il couche brûtalement sur ses genoux.
La demoiselle se débat énergiquement, mais, l’homme n’a aucun trouble à l’immobiliser en la retenant d’une seule main sur ses genoux, tandis que de son autre main, l’homme retrousse sa robe.
Aussitôt, la main de la brûte se promène allègrement sur les cuisses de la fille qui comme de raison dans ce genre de film se trouve nue sous la robe.
L’homme prend le temps d’admirer ses rondeurs, puis, sans avertissement, il donne la fessée à la demoiselle en frappant sur ses fesses nues que le caméraman se dépêche à nous montre en gros plan.
Captivée par l’action, je ne me suis pas aperçue que pépère s’est réveillé. Soudain, je le surprend qui me relouque.
Et, comme je suis accroupie en face de son lit, le bonhomme a une bonne vue sur mon postérieur. Après l’avoir vu si triste, je suis soulagée en remarquant que pépère est beaucoup plus serein.
Malgré tout, je suis choquée de me faire relouquer si cavalièrement. Je me dépêche de réprimander pépère en lui faisant les gros yeux.
Pépère me sourit d’un air géné, et aussitôt, son visage devient tout rouge comme un enfant qu’on surprendrait à faire une mauvaise action.
Ouf!, la femme en moi se sens flattée de le voir subitement si mal à l’aise. Machinalement, je cambre le dos et du même mouvement, je bouge le fessier dans des gestes très provocateurs. Je fais semblant de m’accrocher dans ma robe, et, délibérément, je la retrousse pour lui dévoiler le haut de ma cuisse.
Pinoutche!, pépère.
C’est assez d’émotions pour ce matin.
Fermez vos yeux, pépère.
Il faut vous reposer.
Essayez de continuer à dormir.
Vous en avez bien besoin, vous à votre âge.
Et, surtout, avec ce que vous avez vécu ce matin.
Un peu de repos va vous faire du bien.
Pépère me répond:
Calmes-toi ma fille!
Je vais te dire une chose.
Tu ne t’en doutes peut-être même pas, mais, depuis que je suis vieux, je ne fais que cela dormir.
Et, éffrontémemt, le bonhomme se liche les babines en continuant de fixer mes fesses.
Mon âge!, mon âge!
Tout le monde ne me parle que de cela mon âge.
Pas moyen d’aller chez le médecin, sans qu’il ne me répète toujours ce même refrain.
Et, en plus, je dois te dire qu’à chaque visite de l’infirmière, elle me répète encore la même chose.
Madame!, encore la semaine passée, c’était au tour de monsieur le curé de me répéter qu’à mon âge, je dois seulement penser à me reposer.
Torrieux!, les jeunes!, je commences à croire que c’est vous autres, les jeunes qui radotez.
Vous devriez arrêter de me le dire que j’ai dépassé l’âge de mourir.
Ma gang de jeune, vous allez apprendre que je suis encore assez vert que je vais vous faire patienter encore un bout de temps, si le bon Dieu le veut.
Rendu à mon âge, comme vous dites, je sais que je suis à la veille de dormir pour longtemps.
Après avoir vu pépère secoué par son gros chagrin, le voir réagir de nouveau à la vie, me fait du bien. Je n’ose pas le contrarier.
Pendant ce temps-là, à la télévision, c’est au tour de la jeune servante de surprendre sa patronne qui s’ébat en pleine nature avec un jeune travailleur agricole. Le couple est grimpé sur une meule de foin à la vue de tous le monde.
Ma foi, c’est toute une partie de jambe en l’air qui se passe à l’écran. Ouf!, c’est vraiment, toute une histoire de fou.
L?épouse qui était si choquée d’avoir surprise son mari de la tromper avec une autre, se reprend avec coeur. La polissonne chevauche son partenaire avec entrain.
Le language est vraiment grivoire, et, à la vue de ce couple qui se donne avec enthousiasme, je commence ressentir une chaleur entre mes cuisses.
Comme de raison, à chaque fois que je me tourne en direction de pépère, je remarque qu’il en oublie le film.
Le bonhomme est comme hynoptisé à la vue de mes cuisses et de mes fesses. Et, pour le provoquer davantage, je tire sur ma robe pour que le bonhomme puisse entrevoir ma petite culotte.
Je me surprend à entendre ma voix la plus langoureuse lorsque je demande à pépère:
Aimez-vous cela regarder ce genre de film?
Pour toute réponse, le vieux sacripant me répond par un sourire.
Vous êtes juste un autre vieux matou.
Qu’est-ce que ca vous donne de vous exciter comme cela.
Ce n?est même pas de bon film de cul.
Ce genre de film, c’est juste des histoires pour obsédés.
Ma dernière réplique choque pépère, il enchaine:
Comme cela, je suis un vieux obsédé.
Ecoutes-moi bien, ma fille.
Premièrement, c’est toi qui a voulu regarder ce bout de film.
Et deuxièmement, ce matin, je n’ai vraiment pas le goût de me faire sermoner.
Si ce n’est pas à ton goût?
Tu ramasses tes torchons et tes guénilles et tu fiches le camp tout de suite.
Tut, tut, pépère.
Ne vous choquez pas!
Je ne suis pas venue ici pour vous chicaner.
Je trouve juste que ça fais pitié en chien d’être pris pour regarder ce genre de film archi cheap.
Ouf!, je crois que je viens de rajouter de l’huile sur le feu car le vieillard me réplique.
C’est cela astheure!, je suis juste vieux cheap.
Tut!, tut!, pépère.
Là, on va prendre le temps de ce parler.
Si ce matin, je suis si scandalisée, c’est parce que moi, je ne m’attendais pas à voir ce genre de film chez une personne de votre âge.
En tous les cas, moi, je ne perd pas notre temps à regarder ce genre de film, je laisse cela à mon mari.
Lui, il n’a pas peur de perdre son temps avec ce genre de film si quétaine.
Mais, cela ne m’empêche pas de vous donner mon opinion.
Premièrement dans ce genre de film, il n’y a pas de romantisme.
La femme est là, seulement comme objet, le joujou de monsieur, quoi?
Deuxièmement, avez-vous remarquez que dans ce genre de film?, ca semble trop arrangé avec le gars des vues.
Pour toute action, il nous montre toujours une fille nue.
Pépère me répond.
Ma fille, si je regarde ce genre de film, c’est justement pour en voir du nue.
Et, en parlant d’action, remarques que cette épisode se passait à la fin du siècle dernier.
Je connais assez l’histoire pour te dire que dans ce temps-là, les femmes n’avaient pas le temps de s’arrêter pour suivre la mode comme aujourd’hui.
Tu sauras ma fille que même dans mon jeune temps, il y avait des femmes qui ne portaient jamais de petite culotte, ni de brassière, du moins dans le petit rang de campagne où je vivais.
Ma première femme Emilienne, que Dieu est son âme.
Milienne n’a jamais porté aucune culotte, du moins durant nos premières années de mariage.
Je me souviens encore de la première fois que je lui en ai acheté une paire de ces fameuses petites culottes.
Milienne devait avoir trente-cinq, trente six ans.
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Et, je dois te dire que premièrement, elle m’a fait une crise mémorable.
Et que deuxièmement, lorsque Milienne s’est enfin décidée à l’essayer, je te dis que je la surveillait attentivement tout le temps que Emilienne se pavanait devant son miroir.
Nous en avons ri un coup, tous les deux.
Ma fille, je vais te conter une anecdote, Emilienne, lorsqu’elle devait se rendre chez son docteur pour son examen annuelle.
Milienne ne mettait jamais de petite culotte.
Qu’est-ce que ca me donne?, qu’elle me disait.
Aussitôt que j’entre dans le bureau du docteur, tu sais la première chose qu’il me dit le beau docteur:
Déshabiles-toi.
Et je sais pour en avoir parler avec d’autres femmes, que le beau docteur dit cela à toutes les femmes, avant même de leur dire bonjour.
Là, elle riait de bon coeur, ma Milienne.
Pour les brassières, c’est assez simple, Milienne n’a jamais voulu en portée aucune de toute sa vie.
Elle me disait:
Je ne suis plus une jeune pouliche et si tu penses que je vais mettre cette attelage-là, tu te trompes en crime.
Ma fille, si tu penses que le sexe, c’est fini, chez une personne âgée?
Tu te trompes en torrieux.
En tous les cas, moi, je vais aimer cela jusqu’à ma mort voir le corps d’une femme, même si depuis quelques années, j’en vois juste à la télévision.
Le bonhomme se liche les lèvres et à ma surprise, il enchaîne:
Ce matin, je suis gâté.
Et, le bonhomme m’envoie un baiser du bout des doigts.
Je me laisse cruiser et le lui demande de continuer son récit.
Il y a encore six, sept ans, je me rendais à deux pas d’ici, tu sais au Club de Danseuses Nues, chez Bébert, au coin de la rue.
Ma fille, la première fois que je suis rentré dans ce club, c’est mon petit fils Hugo qui a insisté pour que je l’accompagne.
Pour un petit vieux comme moi, qui a toujours été croyant et très respectueux, la première fois que j’ai vu le show d’une danseuse nue à ma table, j’étais très scandalisé.
Mon petit fils a payé pour que la fille, une grande brunette toute en cuisse avec un corps et des seins et un cul à faire damné un ange.
Torrieux!, je ne suis pas fais en bois?
Je te dis que j’en ai pratiquement avaler ma salive.
La danseuse, une belle femme dans la vingtaine a grimpé aussitôt sur la table et elle s’est empressé d’enlever sa petite culotte, ouf!.
Moi, torrieux!, je me suis presque étouffé en avalant mon fort d’une seule traîte
Torrieux!, j’avais le nez presque à la hauteur de son sexe qu’elle nous dévoilait impudiquement.
Puis, ma fille, le party ne c’est pas arrêté-là.
Mon petit fils, le petit torrieux!, il m’a payé les danses de trois autres filles, coup sur coup, toutes plus aguichantes les unes que les autres.
À la fin de cette journée, je dois dire que je n’étais plus indisposé et plus du tout farouche devant ce genre de spectacle.
Et, à la long, je m’y suis habitué.
Si bien que je me rendais régulièrement faire mon tour dans ce club.
Et, je dois te dire que si mes jambes me porterais encore, je crois que je serais rendu-là encore au moins une fois par mois.
Surtout que maintenant, comme, mon petit-fils me le disait encore dernièrement:
Pépère tu manques le meilleur.
Maintenant, nous avons le droit de toucher.
Pépère me fait un clin d’oeil et enchaine.
Maintenant, je suis rendu trop vieux.
Torrieux!, ma fille, si tu savais comme ça me choque de ne plus pouvoir me déplacer.
Machinalement, je secoue la tête en signe de reprobation.
Pépère remarque mon désaccord, il enchaîne.
Ma fille, fais-toi pas de jugement trop vite.
Si tu savais comme c’est plat d’être toujours tout seul, tout le temps?
Ma fille, moi le vieux pépère comme tu dis, j’ai toujours vécu avec une femme, du moins jusqu’à la mort de ma deuxième, il y a déjà dix ans.
Aujourd’hui, rendu à mon âge, je n’ai même pas la force ni le goût de me rendre rencontrer les gens du troisième âge.
Regarder la télévision, c’est mon seul divertissement.
Même mes vieux films de cul comme tu dis, m’aident à passer le temps.
Je vais te dire une chose que je pense de plus en plus souvent. Parfois, je commence à croire que je serais peut-être mieux être mort.
Ce matin, lorsque tu es arrivé ici, je pensais à ma petite vie plate, bien tranquille.
C’est un des raisons, pourquoi j’étais si triste.
Ma foi!. S’il vous plait ne penser plus à votre votre gros chagrin de ce matin.
Cela me fais trop mal de vous voir pleurer.
Puis, tant qu’à moi?, vous pouvez bien les regarder vingt-quatre heures par jour vos maudits vieux film de cul, si cela vous rend de bonne humeur.
Mais pépère, je crois que ce n’est pas seulement le film qui vous dérange.
Je commence à penser que le fait de regarder trop souvent en direction de mes fesses, c’est cela qui fait grossir la bosse que je vois monter de plus en plus sous votre couverture.
Ne dites pas que ce n’est pas vrai, je vous surveille.
Pépère deviens tout rouge et il me sourit encore plus géné.
Bon!, pépère, c’est assez de folie pour aujourd’hui.
Il est déjà onze heures.
Il est temps que je partes.
J’ai mes copines qui m’attendent pour mon cours de culture physique.
Pépère me réponds:
Tes copines, tu les voir à tous les jours.
Mon entrainement d’exercises physique qu’est-ce que vous en faites?
Je suis déjà en retard.
Mon cours commence dans une vingtaine de minutes.
Puis, s?il ne faut pas que je commence à manquer cela?
Vous devez voir que je suis déjà pas mal trop grassette?
Mes exercises, j’en ai réellement de besoin.
Si c’est juste pour tes exercises, pourquoi tu ne les fais pas ici.
Qu’est-ce que vous dites-là?, vous.
En regardant attentivement pépère, je comprends qu’il est très sérieux. Après un moment de réflexion, je lui réplique:
Je vous ai assez gatée pour ce matin.
Puis, pépère, vous me voyez en jupe pour faire mes étirements.
Pépère me réplique:
Torriuex, ma fille, tu n?es pas trop débrouillarde.
Tu n’as qu’a l’enlevée ta jupe, et, ce n’est sûrement pas moi qui va m’en plaindre.
Je m’approche de pépère, lui caresse la joue du bout des doigts. Le bonhomme semble tout ému. Soudainement, j’ai une envie folle de lui plaire, je lui donne un baiser sur la joue.
Je me surprends et je surprends encore plus le bonhomme en retirant mon tee-shirt que je laisse tombé par terre.
Et, pour le provoquer davantage, je replace mes seins sous ma brassière en me penchant à seulement quelques pouces de son visage.
Je lui tourne le dos pendant que je retire ma jupe et pour savoir la réaction du bonhomme, je me dandine langoureusement vétue seulement de ma brassière et de ma petite culotte.
Et, pour l’exciter davantage, je me remet à quatre pattes et, effrontément, je retrousse ma culotte pour lui présenter une bonne partie de mes fesses.
Du même mouvement, je détache mes cheveux et les laisse tombée sur mes épaules.
J’hésite entre enlever ma culotte ou ma brassière. C’est celle-ci que je détache et que je lance en direction du lit.
En me relevant, je lui demande:
Puis, pépère, comment que vous me trouver.
Le bonhomme me répond.
Je ne sais pas si je rêve.
Torrieux, je crois que je suis déjà rendu au paradis, mais j’aime cela à mort.
Je me caresse les seins sous l’oeil attendri de pépère et comme c’est un peu frisquet dans la pièce, je rattrappe mon teeshirt.
Je joue avec mon teeshirt durant quelques instants, en laissant la chance à pépère d?entrevoir mes seins durant de court laps de temps avant de remettre le teeshirt.
Pour débuter mes exercises de culture physique, je lève les jambes bien haut au dessus du lit de pépère.
Surprise de mon audace, je souris à pépère qui me regarde comme un enfant qui découvrirait un nouveau jeu.
Après une quinzaine d’étirements, je change d’exercise. Cette fois, je suis étendue sur le dos et je lève une jambe et la redescends lentement en l?ouvrant dans un angle de quatre vingt-dix degré.
Pépère a les yeux rivés à la hauteur de mon sexe pendant que j’alterne d’une jambe à l’autre.
En complétant chacun des vingt étirements, je surveille pépère qui suit le moindre de mes mouvements, ce qui m’enhardie de plus en plus.
Pour le troisième exercise, je me remets à quatre pattes, dos au bonhommme. Et, en me supportant sur les mains, je plie les coudes jusqu’à toucher le plancher avec ma poitrine.
Ouf!, le froid du prélard chatouille mes mamelons qui deviennent de plus en plus sensible à chaque fois que je répéte ce mouvement.
Si bien qu’après seulement quatre de ces mouvements, j’arrête pour retirer mon teeshirt et pour frôter mes seins qui sont très sensibles.
Lorsque je reprends mon exercise, j’ai les seins très gonflés. Mes mamelons durcissent encore plus, à chaque fois que je touche le plancher avec mes seins.
Je me repose quelques secondes pendant que pépère s’assois confortablement dans son lit pour suivre chacun de mes exercises.
Justement pour l’exercise suivant, je m’assois face au vieillard, les mains croisées sur mes seins qui sont encore très sensibles.
Après un moment de repos, l’exercise débute lorsque je descends mes mains sur mes chevilles et du même mouvement, je lève la jambe en retenant ma chevile d’une main tout en essayant d’étirer la jambe le plus loin possible.
Mon coeur bat à tout rompre autant à cause de ces exercises qui sont de plus en plus essoufflant, que de me voir seins nues devant pépère.
J’en suis toute excitée. Au bout d’une dizaine de mouvement, où, j’alternais d’une jambe à l’autre. Je gâte le pépère, en levant les deux jambes en même temps.
Pour cet exercise, j’ai toujours du trouble à me tenir en équilibre sur les fesses.
À toutes les fois que je fais cet exercise, je dois toujours bouger du bassin pour garder la position.
Le bonhomme s’en liche les lèvres pendant que je me trémousse ainsi pour essayer de garder la position le plus longtemps possible.
Ouf!, ma fille. Je fais la folle et je remarque que le bonhomme en soupire, pendant que je lui en mets plein la vue.
Je suis toute en sueur et je remarque que le bonhomme est de plus en plus excité.
En jettant un regard à ma tenue, je vois ce qui l’excite tant.
Oh, la,la, ma fille! C?est pas possible?
Ma culotte entre dans mon sexe et des poils en sortent impudiquement.
Ho, la,la, ma fille, je deviens plus audacieuse, je garde les jambes bien ouvertes et j’en profite pour me caresser le sexe. Ouf, ma main entre sous ma culotte. Je souris à pépère qui ne manque que rien du spectacle. Pépère a un regard attendri pendant que je continue mes caresses. L’homme âgé me fait des baisers du bout des doigts. Ouf, ma fille, ce n’est pas long que je mouille.
Je suis toute en sueur et je m’approche du lit de pépère en me faisant provocante. Rendu près du lit, je joue avec mes seins en me penchant au dessus du visage de pépère. Le bonhomme ne reste pas indifférent. Sa main me caresse le haut de la cuisse pendant que sa bouche gobe un sein. Le bonhomme me mordille un mamelon pendant que ses doigts montent cavalièrement le long de ma cuisse. Cette main d’homme s’approche dangereusement de ma petite culotte.
Je ne me reconnais plus, je demeure immobile sous les caresses. Pendant que je regarde pépère dans les yeux, des doigts se glissent sous ma culotte. Lentement et avec d’infime précautions, une main dégage le tissus de ma culotte qui restait emprisonné entre les lèvres de mon sexe. Je m’abandonne sous la chaleur de cette main quelque peu nerveuse mais combien habile qui s’introduit dans mon sexe déjà bien ouvert. Toute excitée, je bouge du bassin pour que mes lèvres l’emprisonnent. Lorsqu’elle s’attarde à mon clitoris, je suis frappée comme par une décharge électrique. Ouf, ma fille, je vis un premier orgasme pendant qu’un doigt expert me fouille sans pudeur. Je me laisse ennnivrée par ses caresses. Je mouille comme jamais.
Je ne veux pas que le temps s’arrête. Après ces minutes délicieuses, pépère retire sa main de son sexe et son premier geste est de passer ses doigts sous son nez pour les sentir. Le bonhomme me fait un clin d’oeil et se lèche les doigts. Pépère me dit qu’il aime sentir mon odeur de femme. Je suis gâtée, sa main retourne fouiller mon sexe. Le bonhomme sens ses doigts et les lèche plusieurs fois de suite. Je suis toute conquise. Ouf, je suis parcourue par de nombreux orgasmes qui se suivent sans arrêt.
Je décide de grimper sur le lit pour ne pas épuiser pépère. Délibérément, je me place à quatre pattes, le sexe directement au dessus du visage de pépère. Le bonhomme ne reste pas indifférent, ses mains me poussent pour que je place dans la position du soixante-neuf. Je ne veux pas le décevoir. Ouf! c’est une bouche gourmande qui me lèche à même ma culotte. Pépère m’ouvre les cuisses et il me dit qu’il aime se caresser toute la face contre ma culotte et qu’il aime sentir l’odeur de mon sexe. Moi, pour le gâter, je mouille comme une fontaine. Pépère place ses deux mains sur mes fesses et son nez fouille mon sexe par-dessus ma petite culotte pendant que sa bouche caresse et mordille mon entre-cuisse. Ouf, je vis un orgasme torride.
Impatiente, ma main entrouvre ma culotte. Je me masturbe en même temps que la moustache et la bouche du bonhomme caresse mes lèvres ouvertes et qu?il agace mon clitoris. Ouf, le bonhomme est vraiment gourmand et il me lape à pleine bouche. Moi, pour le récompenser, j’en crie de jouissance.
C’est mon tour de gâter pépère. Mes mains parcourent tout au long de son pénis. Ma bouche le caresse pendant que mes doigts tâtent ses testicules. Lorsque je rentre son membre dans ma bouche, mes lèvres caressent le gland pendant que mes yeux se délectent du spectacle d’une verge bandée à l’extrême. Comme une gamine, je vis de toutes nouvelles audaces. Malgré son grand âge, pépère réponds à mes attentes. Après seulement quelques instants, je sens monter la sève dans son membre pendant que la bouche de pépère broute mon sexe avidement. Je veux le recevoir en moi, mais, je m’aperçois que le rythme est trop rapide pour pépère. Comme un jeune homme qui ne peut se contrôler, pépère éclate. Je reçois le chaud liquide au fond de la gorge. J’en avale une portion pendant que je retire son membre de ma bouche.
Le bonhomme a un sursaut d’énergie, de jets de son sperme m’éclaboussent tout le visage, j’en reçois même sur les paupières. Je lèche tout le gâchis pendant que pépère me sourit d’un air gêné. J’essuie le sperme qui me coule sur les lèvres et sur le menton pendant que le membre de pépère rétrécie rapidement. Je souris au bonhomme et je me lèche le bout des doigts pour récupérer tout le gâchis.
Soudain, j’entends: Ouais, on ne se prive pas. Je relève la tête, et, j’aperçois un homme d’une trentaine d’année qui se tient debout à côté du lit et qui me reluque pendant que mon sexe est encore au dessus du visage de pépère. Le bonhomme ne semble pas c’être aperçu de l’intrus et il continue à me laper à pleine bouche.
Huho mon petit torrieu, tu devrais frapper avant d’entrer chez les gens.
On ne t’a pas élevé de même, lui réponds pépère.
Aie, pépère, où as-tu dénicher cela, cette belle poupounne. Une maudit belle plotte en tous les cas. Puis, pas farouche à ce que je vois. Vous vous gâter pépère. Occupez-vous pas de moi. Vous pouvez continuer votre petit jeu tous les deux. Continuez comme si je n’étais pas là. Moi, je ne suis pas pressé, je regarde et comme vous dites souvent, je suis encore à l’age d’apprendre.