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Les six week-ends marquants d'Emilie – Chapitre 2

Les six week-ends marquants d'Emilie - Chapitre 2



Contexte : Deux ans et demi que nous sommes ensemble et près autant de vie commune. La vie est toujours merveilleuse aux côtés d’Émilie qui vient de fêter ses 31 ans. Le porte-jarretelles offert deux ans plus tôt a vu plusieurs congénères le rejoindre dans la commode. Mieux, Émilie en porte parfois lorsque nous sortons les deux et cela me ravit. Côté sexe, Émilie a évolué très lentement durant deux ans, soufflant le chaud et, plus souvent, le froid. En février, nous avons eu un rapport très bref et très sexe un matin, alors qu’elle partait au travail. En retard, elle a quitté l’appartement sans se nettoyer, du sperme entre les fesses. Et depuis cet évènement, une nouvelle Émilie se révèle petit à petit, coquine et demandeuse.

Week-end : Émilie a organisé ce week-end pour mes 30 ans. Je sais que nous partons, mais je ne sais pas où et j’imagine que nous partons en amoureux. Pourtant, en arrivant à l’hôtel, nous tombons sur Noémie, la meilleure amie d’Émilie, et son mari. Les deux femmes essayent encore de me faire croire que la rencontre est fortuite, mais l’arrivée de Jérémy, mon meilleur ami, et de sa copine, met un terme à leur micmac. Quelques minutes plus tard, un troisième et dernier couple d’amis, Livia et Pierre, nous rejoignent.

Nous buvons des verres sur la terrasse de l’hôtel en riant. Il fait un temps magnifique et nous ne montons dans nos chambres qu’au moment de se changer pour le souper. En arrivant dans notre chambre, à nouveau une suite sous les toits, Émilie retire sa petite robe noire et m’attire sur le lit en disant :

— Il commençait vraiment à me tarder de monter…

Elle gobe alors mon sexe et me gratifie d’une splendide et longue fellation. L’ébat qui suit est assez commun, néanmoins Émilie se montre particulièrement active et semble prendre un plaisir intense. Elle jouit à de nombreuses reprises.

Nous passons ensuite à la douche puis nous nous habillons. Je le fais plus rapidement qu’Émilie et l’attend en regardant la télé. A cinq minutes de l’heure du rendez-vous, Émilie est toujours à la salle de bains et je décide d’aller voir. Je pousse la porte et découvre la belle devant le miroir, en train de se maquiller. Elle n’a pas encore mis sa robe et sa "tenue" me rend fou. Émilie porte un ensemble de lingerie rouge, composé d’un soutien-gorge, d’un string et d’un porte-jarretelles, auxquels sont suspendus des bas couleur chair. Elle sourit :

— C’est nouveau, ça te plaît ?

— Bébé, tu es divine…

Notre baiser nous électrise et je bande très vite. Émilie comprend mes intentions :

— On va être en retard si…

Elle se cambre pourtant sans que je le lui demande lorsque je baisse son string déjà humide. Je la pénètre et la prend avec vigueur face au miroir. Émilie gémit assez bruyamment et elle dit :

— J’ai trop chaud…

Je me retire et l’attire au salon pour qu’elle s’agenouille dans le fauteuil. Nous reprenons notre ébat de la même manière :

— J’aime te baiser, ma puce…

— Mmmh…

Émilie halète au moment où je jouis en elle. Je me retire et elle file aux toilettes. Nettoyage rapide puis elle met sa nouvelle robe rouge, celle que je lui ai offert à son anniversaire quelques semaines plus tôt. Mi-longue et évasée.

Nous descendons et retrouvons nos amis déjà à l’apéro. Ils nous chambrent gentiment. Nous trinquons avec eux avant de passer à table. Le souper est succulent et chaque plat est accompagné d’un verre de vin. Les digestifs et autres alcools forts se succèdent ensuite. Passé minuit, le restaurant s’est bien vidé. Jérémy, qui était malade, monte se coucher avec sa copine. Livia et Pierre les suivent quelques minutes plus tard. De mon côté, j’ai encore envie de profiter un peu de la soirée. Un serveur nous propose de nous installer dans un salon, plus convivial et plus discret.

Nous nous y rendons à trois car le copain de Noémie monte se coucher. Cette dernière semble regretter cette décision, mais elle nous accompagne tout de même. Nous nous installons et Noémie dit à Émilie :

— Je suis venue vous chercher avant de manger.

A son sourire, je comprends immédiatement de quoi il en retourne. Émilie aussi, elle rougit et feint :

— Oui. Et ?

— Et vu comme tu gémissais, j’ai préféré ne pas toquer à la porte.

Émilie passe du rouge au blanc, livide :

— Tu… tu étais seule ?

— Rassure-toi, oui.

Nous rions et Noémie nous dit le plaisir qu’elle a à nous voir ensemble, notre complicité et la douceur qui émane de nous.

Nous buvons un dernier verre avant de monter. Deux étages avec des escaliers normaux avant un dernier étage avec un escalier plus raide et plus étroit pour accéder aux deux suites. Je ne sais pas pourquoi Émilie est partie en premier dans ce dernier escalier. Ni pourquoi Noémie l’a suivie. Mais au milieu de l’escalade, j’entends Noémie s’écrier :

— Coquine, va, t’as mis un porte-jarretelles !

Je relève instinctivement la tête pour découvrir que Noémie ne porte rien sous son collant chair. Je frissonne et termine la montée non sans y jeter encore quelques coups d’il.

Devant nos portes, Noémie est hilare. Émilie est un peu gênée, mais semble assumer sa tenue.

— Tu as bien raison, ma belle, c’est les 30 ans de ton homme, tu te devais d’être sexy. Tu aurais dû me dire, j’en aurais mis un aussi.

— C’est la première fois que je le mets pour une soirée avec des amis.

Noémie sourit.

— Je suis fière de toi, ma puce.

Nous nous faisons la bise et nous souhaitons bonne nuit. Noémie fait un pas en direction de sa porte puis se retourne.

— Émilie, attends. Il faut que tu m’aides à ouvrir ma robe. Avec mon épaule douloureuse, je ne peux pas ouvrir la fermeture Éclair.

Émilie recherche la clé de la chambre dans son sac et je m’approche de Noémie.

— Tu permets ? Je sais que tu n’as pas de culotte.

Elle éclate de rire et se tournant, relève ses cheveux pour que j’ouvre la robe jusqu’à l’orée de la raie de ses fesses.

— Merci, tu es un amour.

Émilie a retrouvé la clé et nous pouvons entrer dans la chambre. La porte à peine refermée, la passion nous embrase. Nos vêtements semés dans sur le chemin qui nous mène au lit devant lequel Émilie me gratifie d’une fellation énergique et profonde. Jamais elle ne m’avait sucé avec une telle ardeur. Elle se relève ensuite en retirant son string. Elle ne porte plus que son porte-jarretelles et ses talons. Surexcitante.

Émilie me désire immédiatement en elle et notre ébat est d’une intensité folle. Je prends un plaisir fou à faire l’amour avec elle et ses mots au terme de cette relation indiquent qu’Émilie à elle aussi pris son pied.

La nuit est douce, mon sommeil profond et mon réveil au delà de toute espérance. Quelques semaines après le début de notre relation, j’avais fait part à Émilie de mon désir de pratiquer la sodomie. Sa réponse avait été claire et elle ne souhaitait même pas en parler. Par la suite, j’étais revenu sur le sujet à raison de deux ou trois fois par année et j’avais essuyé les mêmes refus sans commentaire. Mais en mars, deux mois plus tôt, Émilie avait parlé de son expérience. Lorsqu’elle avait 20 ans, elle avait essayé avec son partenaire de l’époque et se souvenait surtout de la douleur qu’elle éprouvait lorsqu’ils le faisaient. Ils l’avaient pratiqué une dizaine de fois. Je l’avais questionnée :

— Si c’était douloureux, pourquoi acceptais-tu de le faire ?

Gênée, elle avait rougi avant de répondre :

— La troisième ou quatrième fois que nous l’avions fait, j’avais eu un orgasme tellement puissant et agréable que je voulais absolument le retrouver. Mais j’avais bien trop mal et ça m’a traumatisée.

La discussion s’était poursuivie sur une ouverture. Pas immédiatement, elle ne se sentait pas prête, mais Émilie n’était plus fermée.

Ce dimanche matin à l’hôtel, Émilie revient de la salle de bains et s’allonge sur le lit. Je sens que son sourire gêné cache quelque chose et ce quelque chose se matérialise en un petit tube qu’elle pose entre nous sur le matelas : "Lubrifiant". Nous nous regardons :

— Tu es sûre ?

— Oui.

Pendant plusieurs minutes, je prépare Émilie. Nous parlons et elle me dit que son ex n’avait jamais fait cela et n’avait jamais pris de temps pour le faire. Juste le lubrifiant et voilà tout. Là, petit à petit, je sens qu’Émilie se détend. Son anus s’ouvre, son sphincter se dilate. Elle me dit se sentir bien et décontractée.

— Je pense que c’est bon.

Émilie donne le feu vert et en cuillère, j’introduis mon sexe très lentement dans son anus. Émilie semble à l’aise et la pénétration se passe bien. Mes premiers va-et-vient s’accompagnent d’un commentaire rassurant d’Émilie :

— Ça n’a jamais été aussi bon…

Après quelques minutes dans cette position, Émilie demande à passer à quatre pattes. Je sors de ses fesses, mais y revient avec facilité après avoir remis du lubrifiant. Plus rapide puis plus profonde, la pénétration excite de plus en plus Émilie qui gémit bruyamment. Jusqu’à l’explosion. Alors qu’elle est pénétrée en rythme depuis quelques instants, Émilie a un orgasme fantastique. Son corps s’électrifie violemment, elle crie puis gémit, avant d’affaler la tête dans le coussin. Je me retire rapidement et m’allonge à côté d’elle.

— Ça va ?!?

— Oh mon Dieu, oui !

Les yeux clos, Émilie a néanmoins un large sourire aux lèvres. Elle ouvre les yeux, me regarde et m’embrasse. Nous terminons l’ébat ainsi sans que je ne jouisse. Mais j’ai la satisfaction immense d’avoir redonnée confiance à Émilie et lui avoir procuré cette jouissance presque oubliée.

Nous passons à la douche puis nous nous habillons pour descendre prendre le petit-déjeuner avec nos amis. Ils sont déjà attablés lorsque nous arrivons. Nous nous servons au buffet avant de nous asseoir avec eux. Plus tard, alors que je vais me resservir de café, Noémie vient à côté de moi et dit :

— Je ne sais pas ce que tu lui as fait ce matin, mais on l’entendait parfaitement dans notre chambre.

Je ris :

— Ne lui dis rien, tu vas la gêner.

— Non, je ne dirais rien. Mais je la connais bien, tu sais, et si elle se lâche comme ça quand vous faites l’amour, c’est qu’elle est vraiment tombée sur un sacré numéro.

Le regard que nous échangeons ensuite est lourd de sous-entendus. Noémie est mariée depuis quinze mois et ce que je lis dans ses yeux est un désir ardent pour ma personne. Nous sommes interrompu par Jérémy qui se plaint ironiquement de l’embouteillage devant la machine à café.

En remontant dans la chambre, Émilie et moi baisons rapidement sur le canapé. Pour ce faire, elle a juste écarté son string avant de s’asseoir à califourchon sur moi.

Ces deux jours modifient évidemment notre sexualité, mais également le comportement coquin d’Émilie. Car au-delà de la sodomie, l’évolution d’Émilie, déjà en transition depuis février, subit là un booste prodigieux et va gonfler à bloc la confiance qui lui faisait défaut au début de notre relation.

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