Les surprises des vacances dans la famille
— Que diable crois-tu que tu puisses faire, Monsieur ?
Demande Rachel, en regardant de haut son mari François, en s’asseyant à côté sur le siège en osier dans la véranda. Elle vient de lui apporter une bière fraîche et se tient debout regardant la pelouse et la baie. C’est samedi après-midi et ils attendent des visiteurs. François boit sa bière à petits coups et réfléchit au temps dont il dispose. Il en arrive à la conclusion que c’est plus qu’il ne lui en faut, il s’étire et fait glisser sa main libre entre ses jambes, effleure ses cuisses et caresse doucement avec ses doigts leur intérieur. Rachel porte une tenue décontractée de week-end, une robe assez courte et sandales à hauts talons, assez chics pour sortir et assez confortable pour trainer à la maison. Il agite sa main plus haut sur sa cuisse, sous la jupe.
— Je crois que tu sais exactement ce que je fais, Madame et je ne me souviens pas si tu n’as jamais refusé un jour de te laisser faire.
A-t-il dit. Il continue de progresser jusqu’à ce qu’il arrive sur son périnée couvert, il prend dans le creux de sa main et commence à masser. Il sent la chaleur moite qui filtre par le mince nylon et sait que ses gestes sont efficaces.
Rachel laisse un gémissement s’échapper de ses lèvres alors qu’elle frissonne au contact de son mari. Elle regarde vers lui et voit son short kaki déformé. Comme François fait glisser son pouce sous l’élastique de son string pour arriver à caresser directement son clitoris, elle halète :
— En ce qui concerne Sophie et les jumeaux ? Ils peuvent arriver n’importe quand !
Elle s’accroche aux accoudoirs pour se tenir et écarte instinctivement ses jambes plus largement.
— Conneries. Tu m’as dit qu’ils visitaient l’École navale. La visite ne commence pas avant dix heures du matin et ça prend deux ou trois heures et il faut deux heures pour venir d’Annapolis. Nous avons bien deux bonnes heures tranquilles.
La main de François se trouve entre ses jambes et écarte fermement sa culotte, en glissant adroitement deux doigts dans son minet dégoulinant.
— Maintenant, as-tu des idées sur ce que nous pouvons faire pour tuer le temps ?
— Oh, Dieu, sale bâtard !
Siffle-t-elle, en passant ses mains sous sa robe et en faisant glisser sa culotte le long ses cuisses jusqu’au sol. François continue de masser sa fourche, Elle se penche et défait son short. Elle devrait savoir qu’il était sans slip, c’est son mode de tenue le week-end! Sa bite massive jaillit de son emprisonnement, frémissant par anticipation.
Tu ne n’as pas assez baisé la nuit dernière et ce matin ?
François a été dans particulièrement excité la nuit dernière. Il l’a amenée dîner dans un restaurant sur la Plage, mais a prévu sa tenue. Une blouse transparente, une minijupe de cuir noir, culotte ouverte en bas et talons hauts noirs. Alors, il la prise à plusieurs reprises pour son plaisirs chaque fois que l’occasion et que son pieu le lui a permis. D’abord il l’a mise sur le dos du canapé et l’a baisée vite fait avant le départ, l’a obligée ensuite de lui tailler une pipe dans le parking du restaurant. Dans le bar, Rachel a été forcée de s’exposer à la vue des autres clients et pendant le dîner François lui a ordonné de défaire un bouton sur sa blouse à chaque plat. Un autre pipe sur le retour à la maison et ensuite François lui avait ordonné de se déshabiller pour se trimballer nue et a attrapé un vibromasseur dans la boîte à gants pour qu’elle se fasse jouir elle-même avec dans la voiture. À la maison, il ne lui a pas même laissé sa robe pour entrer dans la maison. Heureusement il faisait sombre et ils vivent à l’extérieur de la ville! Une fois à la maison, il a satisfait ses désirs en la sodomisant deux fois.
— Non pas comme hier.. Juste un soixante-neuf pour attendre Poussin.
Sophie jette brièvement un coup d’oil à la carte quand elle arrive dans la petite ville. Cela fait plusieurs années depuis qu’elle l’a visitée et elle a oublié la plupart des différents repères. En fait, elle n’est pas venue ici avec son mari depuis bien longtemps avant as mort. Elle prend la petite route vers l’île et a continué sa route. La visite à l’École navale avait été un échec. Ils sont arrivés tôt, seulement pour s’entendre dire l’Académie est fermée pour un exercice de sécurité, mais qu’ils pourraient revenir le lendemain. Ils auraient la possibilité de revenir pendant la semaine, peut-être même avec Rachel et François. Sa sour et son beau-frère qui les ont invités à rester une quinzaine de jours, donc ils auront le temps. Enfin, elle voulait tellement montrer à Benjamin et Béatrice où leur père est allé à l’école. Il a été si fier de servir son pays et a été obligé par force avec sa maladie du cour il y a dix ans de la quitter. Il y a deux ans il est décédé. Il avait trouvé un bon travail dirigeant une usine à Indianapolis, mais c’était simplement un trop long voyage pour faire cette visite sauf avec des vacances un peu longues. Sophie a été surprise par la rapidité du décès de son mari. Il lui a laissé une bonne assurance vie. Elle est partie travailler pas tant par besoin mais parce cela lui a permis de sortir de la maison maintenant vide ! Les gosses pouvaient s’échapper en allant à l’école, sans un travail prenant Sophie n’avait pas cette possibilité. Son mari a été le seul homme dans sa vie. Pour sa plus grande joie, il avait découvert qu’elle était encore une vierge quand il a réussi d’abord à la cajoler dans son lit. Elle s’était protégée pour le mariage. Maintenant, tandis qu’elle conduit sa voiture, elle set rend compte qu’il lui manque. Le mari de Sophie avait été fier d’une bite longue et épaisse et il avait pris un plaisir considérable à la faire coulisser dans elle chaque fois que lui ou elle en avaient envi. Depuis ce jour terrible, Sophie a porté son deuil presque comme un emblème d’honneur. Quand, après une période convenable, les hommes ont commencé à demander à la jeune femme gaie de sortir avec eux, elle les a remballés, en donnant des raisons variées. les enfants. la pression du travail, mais la vraie raison est qu’elle ne voulait pas être enceinte d’un autre que de son mari mort. Ses besoins étaient liés à sa mémoire et les nuits solitaires ont été comblées seulement par l’usage fébrile du vibromasseur qu’elle a acheté pendant les premier temps. La plupart des hommes n’ont pas souhaités avoir de rapport sérieux de toute façon, n’étant pas du tout intéressés de recueillir une paire d’adolescents et d’une famille toute faite. Ils voulaient simplement la baiser.
Finalement elle trouve la petite boîte aux lettres marquée ’Mercer’ et s’est garée. Le trio est descendu de la voiture et s’est dirigé dans l’allée, en laissant leurs bagages dans la petite voiture. En grimpant les marches, Sophie a appuyé sur la sonnette. Aucune réponse. Elle sonne de nouveau, deux fois, mais personne ne vient ouvrir. En se retournant elle aperçoit la voiture de sa sour et un nouveau pick-up qu’elle pense être à François, aussi où étaient ils ? Elle se met à frapper sur la porte, d’abord faiblement, puis fort. Finalement elle demande aux gosses :
— Passez derrière. Peut-être qu’ils sont dans l’eau. Je reste ici au cas où ils viennent à la porte d’entrée.
Benjamin hausse les épaules et ils descendent les marches pendant que leur mère continue à frapper à la porte. Sophie les regarde partir, en s’étonnant comme elle le fait toujours de leur différence. Elle sait, comme plus que la plus part des gens, que les jumeaux, frère et sour, ne devaient pas sembler pareils, mais la différence entre eux est extrême. Benjamin est le portrait craché de son père, grand et musclé, sportif, blond et aux yeux bleus. Sa sour est également blonde, mais les yeux noisette, petite et menue, plus petite même que Sophie, avec une plus grande poitrine que sa mère puisse voir pour une adolescente. Son mari avait plaisanté qu’il faudrait faire l’achat d’un fusil quand elle a commencé à être plus âgée. Leur dix-neuvième anniversaire va bientôt arriver. Ils ont tourné au coin et elle est retournée à la porte dans l’attente.
En dépit de leurs différentes apparences, les deux adolescents sont assez affectueux l’un avec l’autre, ayant passés ensembles toutes ces difficultés. Ils passent par la porte du jardin. Ils ne sont jamais venus ici auparavant et ils voient un assez grand jardin avec une piscine enterrée, complètement entourée avec une haute clôture. Au fond une autre porte s’ouvre sur une allée jusqu’à une petite jetée sur la baie. Un petit bateau est amarré là, donc personne n’est sorti en mer et personne n’est dans le parc. Ils se regardent en silence, puis entendent ensuite un faible gémissement venant du porche derrière la maison. Ils marchent et regardent attentivement par une fenêtre. La vue les stupéfie. L’oncle François est torse nu le dos sur le canapé. La tante Rachel porte une très petite robe, mais le haut est ouvert et le bas est remonté autour de sa taille. Elle enfourche l’Oncle François, son con nu s’asseyant sur son visage les jambes de chaque côté de ses oreilles et ils poussent tant de gémissement et de soupirs qu’il est évident qu’aucun ne fait la moindre d’attention aux regards de personnes arrivant vers eux. Subitement, François pousse un grand gémissement et commence à grogner, ses hanches s’activent et forcent avec ardeur la bouche de sa femme. Benjamin est étonné de voir les résultats de ce qu’il a compris être une fellation. La tante Rachel a reculé jusqu’à ce que seulement le gland de leur oncle soit encore entre ses lèvres, elle branle vigoureusement la tige avec les deux mains. L’oncle François gémit sous ce traitement de choc et les deux adolescents distinguent ses couilles se contracter puis balancer une giclée de sperme dans la bouche de sa femme. Béatrice pense que ça doit avoir été une assez grande charge, parce que Tante Rachel ne pouvait pas la prendre toute tout et l’avaler, des trainées de jute coule de ses lèvres, sur ses mains et la bite de François.
Après que le couple se soit satisfait et commence à récupérer autant que possible, Rachel nettoie parfaitement la tige –
— Oh merde !
Se sont-ils exclamés tous les deux. Rachel a couru à l’intérieur, en tombant presque quand sa robe est tombée autour de ses jambes. François simplement leur a tourné le dos, en tirant sa chemise de sports sur son pantalon.
Habillé, il se retourne et s’avance jusqu’à la porte vitrée.
— Bien, ça. Nous ne nous attendions pas avant une ou deux heures.
— Ouais, je le pense ainsi.
C’est tout ce que Benjamin trouve à dire. Sa sour scrute silencieusement son oncle. François lui sourit malicieusement et claque ses doigts sous son nez.
— Bonjour, il y a quelqu’un à la maison ? Ici la terre. Béatrice ! Béatrice atterrit !
Béatrice régit un peu et saute d’un pied sur l’autre, elle grimace ensuite et avance fait un pas en avant.
— Écoutez, vous deux, nous ne dirons pas à votre mère comment vous nous avez trouvés, d’accord ?
— Bien sûr, tonton François.
Répond Béatrice souriant.
— Ouais, pour moi aussi. Au moins nous avons attendu que vous ayez fini, n’est ce pas ?
Plaisante Benjamin.
— Ouais, au moins vous avez attendu.
François s’approche et donne une légère tape Benjamin sur la tête, et lui passe ensuite la main dans les cheveux. Il a passe un bras autour des épaules de sa nièce et sortent jusqu’à la voiture dans l’allée, avec son neveu dans le sillage. Comme ils arrivent devant la maison, la porte d’entrée s’ouvre et Rachel a fait irruption, pour serrer ses bras autour de sa sour dans une forte étreinte.
— Désolé, Frangine, François et moi étions descendus au bord de l’eau ! Les gosses nous ont trouvés. Vous êtes les premiers ici !
Les trois autres ont compris et ne la contredisent pas. Tout le monde aide à décharger la conduite intérieure et prendre des valises et les vêtements dedans. François balance tout cela dans au milieu de la salle de séjour et les autres font de même. Finalement, quand la voiture est vide et la salle de séjour pleine, Rachel les amène plus loin. Les gosses vont prendre les anciennes chambres de leurs cousins, ils sont partis depuis quelques années, bien qu’ils viennent passer le week-end prochain. Joséphine travaille dans une agence publicitaire à New York et Jean est soudeur à Baltimore. Sophie dormira dans un débarras que François a transformé en bureau, mais il y a encore un canapé convertible. Le reste de l’après-midi est passé pour les visiteurs à prendre possession de leurs chambres et se mettre au courant des nouvelles de la famille depuis les dernières fois ou ils en ont parlé. François fait découvrir le jardin, promet à Benjamin et Béatrice de faire une sortie en bateau le jour suivant. Il dirige une agence d’assurances et a pris quelques jours au cours de quelques semaines suivantes. À l’heure du dîner, il demande à tout le monde de finir de ranger et de s’habiller pour le dîner qu’ils vont prendre dans un restaurant spécialisé dans les fruits de mer. Cela enthousiaste les adolescents, il y a longtemps qu’ils n’ont jamais mangé de crabes.
A Suivre…
