Aujourd’hui, c’est le grand jour. Le matin , j’ai reçu un message de Julien me demandant de prendre comme simple affaire des sous-vêtements de rechange en précisant que le bas devait être un string. Je compris qu’il était inutile de prendre un pyjama et que nous n’allions de toutes façons pas beaucoup dormir. Je devais me rendre chez lui à 19h, car ses parents partaient à cette heure la. Jétais très impatiente et nos séances tous les jours à la même heure au lycee m’avaient certes fait beaucoup de bien mais, cela faisait maintenant plusieurs jours qu’il ne m’avait pas fait plus que des doigts et je mourrais d’envie de sentir une autre partie de lui en moi… Toutes ces nouveautés avaient provoqué en moi un sentiment jusqu’à ce jour inconnu : jétais chaude. Je supposais que cétait son but et qu’il savait très bien que dans un état comme celui la, je serais prête à tout.
Mais cet entrain s’est subitement au moment ou je reçu un message d’une de mes amies du lycée : « Salut toi ! Je veux pas te stresser mais j’ai quelques doutes sur la fidélité de Julien avec toi ! Regarde ! » il y avait en pièce jointe une photo de Julien en train de serrer une fille dans ses bras dans les couloirs du lycée. Jétais assez facile à vivre en couple mais si il y a bien un défaut pour me définir, c’est jalouse. Quesqu’il foutait avec une fille comme ça alors qu’il est en couple avec moi depuis des mois ?! J’avais l’intention de lui poser la question le soir même .
A 19h, je me retrouve devant sa porte, il m’ouvre et essaye de m’embrasser que j’esquive froidement. Je lui montre la photo et lui demande directement si il me trompe.
« Mais non c’est juste une amie, t’as aucun soucis à te faire bébé ! Aller pense pas à ça j’ai envie de m’amuser… Pas toi ? »
Il me disait tout ça en se rapprochant de plus en plus de moi. Il finit par ma plaquer totalement contre le mur. Je sentais ses mains se balader sur ses fesses. J’avais envie de lui. Mais non. Il fallait que je garde mon sang froid.
« Tu sais que j’aime pas te voir avec d’autres filles Julien ».
« Et ca tu aimes ça ma chérie ? » Il entrait sa main dans la culotte qu’il avait réclamé que je mette et commença à me caresser en me regardant avec ses deux beaux yeux. Je ne pouvais pas rester de marbre et un gémissement sorti de ma bouche sans que je puisse le contrôler.
« Je m’en doutais « dit-il en enfonçant le premier doigt. Il fit des vas et viens. J’adorais ça, il nétait jamais allé aussi loin, je sentais son doigt aller au plus profond de mon intimité. Le plaisir était tel que je sentais à peine mes jambes, j’avais l’impression que seule sa main à l’intérieur de moi me maintenait debout.
« Aller suis moi ». Nous marchions en direction de sa chambre;j’avais envie de lui sauter dessus, qu’il me baise comme jamais, il me rendait complètement dingue !
Il me fit allonger sur le lit et grimpa sur moi. Je sentais son poids sur moi, son pouvoir, son corps. Il me fit enlever mon t shirt et mon jean. Jétais en sous-vêtements alors que lui était encore tout habillé. Il caressa mes seins au dessus de mon soutien gorge, puis, il passa un doigt en dessous pour aller simuler son téton, il enleva ensuite le soutien gorge et me stimula avec de tous les côtes : sa main gauche me pinçait les tétons et sa main droite était perdue dans ma chatte déjà trempée.
Tout alla très vite ensuite, il s’est déshabillé et m’a pénétré avec beaucoup dénergie. A chaque fois qu’il faisait un va et vient et qu’il se retrouvais prés de mon oreille, il me chuchotait des choses à l’oreille comme :
« T’aime ça hein », »Salope » « T’en a toujours rêvé que je te baise comme ca hein ? Tu l’attendais ». J’adorais l’entendre me dire ces mots pourtant rabaissants pendant que je le sentais me pénétrer. Depuis quelques temps, il ne voulait plus utiliser de capote, disant que de toutes façons il était le seul à pouvoir me baiser et que je lui appartenais à lui seul. Au moment d’éjaculer, il partit vite hors de sa chambre et en revenant, il mannonça qu’il avait une surprise pour moi mais qu’il fallait être patiente et qu’en attendant il aimerait que j’aille lui cuisiner quelque chose car il avait faim. J’allais me rhabiller pour partir en cuisine mais il s’installa à table et mannonça qu’il préférait me voir cuisiner en sous vêtements et que si il m’avait demandé d’acheter un string, ce nétait pas pour ne pas le montrer.
Je cuisinais donc sentant son regard parcourir mon corps. Au début, je trouvais cela gênant mais je finis vite par trouver la situation terriblement excitante. Alors que je finissais par réussir à me concentrer sur mon steak en train de cuir, je sentis une main en train de tâter mes fesses sans retenu et sa douce voix à mon oreille « C’est bientôt prêt ? ».
Une fois que tout était prêt, je le rejoignit à table et lui servit son plat. Il ne me remercia pas et au moment ou je pris la cuillère pour me servir, il me prit la main et me dit :
« Non chérie pour toi c’est pas le même repas ce soir » il me montra une gamelle au sol. Dans cette gamelle, son sperme. Il me regarda et en me faisant à nouveau signe vers la gamelle me dit « Bon appétit ! ».
C’est au moment ou je me suis retrouvée par terre que j’ai réalisé à quel point je devais avoir l’air pitoyable. Les sentiments se mélangeaient : cétait terriblement humiliant et comment qui que ce soir pourrait-il trouver ce « plat » appétissant. Je savais que si je mangeais ça, Julien comprendrait à quel point je pouvais être soumise et que faire ça serait pour lui l’assurance qu’il pourrait aller aussi loin qu’il le voulait et que jétais prête à tout. Pourtant, j’en avais envie. Non pas seulement pour lui faire plaisir mais aussi pour mon plaisir personnel. Ce repas m’attirait. J’avais envie de sentir le goût de son sperme dans ma bouche et de lui montrer comme je l’aimais. A partir du moment ou je compris cela, ma décision fut prise. Je me baissait ( présentant bien mes trous à Julien qui était à table derrière moi ) et je me trouvais le nez touchant ce liquide visqueux. Je baissais la tête et sortit ma langue. Cétait assez gluant et plus de sperme que ce que je n’avais prévu sortit de la gamelle pour venir dans ma bouche et dégouliner sur mon menton. Je me surprenais moi même à aimer sentir le liquide de Julien couler sur mon visage de salope. Il prit quelques photos de moi pour les montrer à ses fans sur son site et une fois la gamelle finie jusqu’au bout, il m’ordonna de venir nettoyer sa bite qu’il n’avait pas essuyé après m’avoir baisé puisqu’il voulait me garder un dessert. Jallais à 4 pattes sous la table et me retrouva face à sa bite, molle mais assez imposante quand même. Du sperme dégoulinait de son gland pour couler jusqu’à ses couilles. Je commença par bien le sucer pour nettoyer tout le haut de son sexe et laissa glisser ma langue tout le long pour aller lécher ses couilles ou il en restait. Je sentais sa main dans mes cheveux me caresser. Il me caressait doucement, comme on caresserait un chien, ou plutôt une chienne.
L’humiliation était loin dêtre finie : alors que jétais sous la table, je vis sa serviette par terre. D’une voix sèche, il m’ordonna de la ramasser, en utilisant bien sur ma bouche. Je mexécuta et en levant la tète, je le vis la camera en main avec un sourire satisfait. En guise de remerciement, il me caressa un peu le visage et plaça son doigt sur mes lèvres. Je les ouvris et me mis à faire une véritable pipe à son doigt en regardant bien la camera. Je commençais à me prendre au jeu, il le savait. Il retourna rapidement dans la cuisine, passa son doigt dans ma gamelle pour y mettre le peu de sperme qu’il y restait et le repositionna à l’entrée de ma bouche. Je n’avais même plus besoin qu’il me dise quoi faire ; lavala d’un coup de langue le sperme. Ce petit goût salé me plaisait et le simple fait de savoir que cela sortait de sa bite à lui me donnait encore plus envie de le boire. Son regard tendre et dur à la fois posé sur moi, son doigt rempli de son sperme dans ma bouche, cétait jouissif.
« Merci bébé cétait génial ! Suis moi je t’ai préparé une surprise pour te remercier ! ». Je le suivis et il mamena dans la grande chambre de ses parents qu’il avait redécoré spécialement pour l’occasion : pétales de roses au sol, une odeur envoûtante, le lit bien fait ; tout était parfait.
Je métonnais à nouveau de sa capacité à passer du garçon autoritaire à ce jeune homme attentionné et charmant ; il devait y avoir un piège…
« Allonge toi sur le ventre, je t’offre un massage ». Je mallongea comme demandé, lui présentant mon dos et mes fesses, en string ( je me doutais qu’il n’avait pas l’intention de rester sur le haut de mon corps. ».
Avant de débuter le massage, il se mit en caleçon et me dit que ce serait plus agréable. J’adorais le voir en caleçon. Il était bien foutu mais pas trop musclé, imposant…. et cette ligne de poil au bas de son ventre me rendait folle.
Il était dans un premier temps debout, à cote du lit. Il commençait à masser tendrement le haut de mon dos et mes jambes. Il se débrouillait vraiment bien et il savait appuyer la ou cela faisait le plus de bien. Puis, il descendait vers mes fesses. Je sentis un liquide couler dessus et glisser sur ma peau jusqu’à entrer dans ma raie pour glisser jusqu’à ma chatte. Cétait très stimulant de sentir ce liquide froid parcourir mon intimité avec une telle rapidité. Puis, ses deux grosses mains commencèrent à glisser sur mes fesses, les malaxer, les caresser. Je poussais des gémissements à peine audibles pour qu’il comprenne qu’il pouvait aller plus loin….
Soudain, je sentis une sensation inconnue : un doigt venait de rentrer dans mon anus. Cétait la première fois que quelque chose y rentrait puisque je lui ai expliqué ne pas souhaiter me faire sodomiser. Suivit un deuxième doigt. Cétait beaucoup plus douloureux que l’autre trou… Celui ci était plus étroit et chaque doigt en plus était un effort en plus pour moi pour ne pas hurler. C’est au troisième doigt que la douleur fut trop forte et que je commença à m’agiter dans tous les sens. Il me saisit de ses deux mains et me dit :
« Calme toi sinon ça ne passera jamais. Tu as besoin dêtre détendue pour que la suite se passe bien.. Tu ne voudrais pas gâcher un si beau rendez vous romantique ! ».
Les questions s’’enchaînaient dans ma tête, cétait quoi « la suite ? ». Je dus donc le laisser jouer avec mon anus et après quelques secondes de douleur, ces trois doigts commençaient à me procurer un certain plaisir…. Je jouait, accentuait les vas et viens par des mouvements de fesses, exagérait mes gémissements….
Il arrêta les doigts et viens se positionner à un mètre en face de moi. Il enleva son boxer pour me présenter sa bite bien tendue et m’interpella : « Aller viens chercher la récompense !».
Ce monstre de chair m’appelait, je me redressa et avança à 4 pattes jusqu’à l’objet de mon désir. Sans perdre une seconde, j’ouvris la bouche mais jeus simplement le temps de goûter à son gland qu’il m’attrapait par les cheveux pour me forcer à le regarder
« Attends un peu ma belle, si tu la veux vraiment il va falloir le prouver… Mets toi à 4 pattes ! Les fesses vers moi ».
Bien sur que je la voulais ! Je mexécuta à une vitesse incroyable mais ça n’allait pas :
« Cambre mieux ! Présente bien ton trou ! ». Je pris la position d’une vraie salope pour le satisfaire. Qu’allait t-il encore mettre dans mon anus ? Sa bite ? Plus de doigts ? ».
Soudain, sans me prévenir, il introduit un gode gigantesque dans mon cul. La douleur était terrible, je hurlais son nom… Il me répondit calmement alors qu’il commençait des vas et viens avec son gode « Quoi ? Je croyais que tu la voulais ! Si tu ne peux pas prendre ça, tu ne tiendras jamais avec ma bite .
Il ne fallait pas que je le déçoive. Il fallait que j’encaisse, sans hurler. Que je lui prouve que je pouvais tout faire pour lui.
Pendant plus de 15 minutes, la torture continua. Pourtant, la douleur ne partait pas, il n’y avait aucun plaisir, à part celui de satisfaire le sien. Chaque mouvement du gode allait un peu plus loin au fond de mes entrailles, je mouillais comme jamais, les draps étaient trempés, le gode aussi ce qui facilitait un peu le glissement. Après tout ce temps, il avait l’air satisfait et présenta le gode devant ma bouche. Sans réfléchir, j’avalais. Je n’aimais pas le goût mais je me forçais. J’avais eu beau aimé le goût de son sperme lors du repas, ce goût la était affreux. Une fois le gode bien propre, je le regardais avec pitié pour savoir si j’allais enfin pouvoir le sucer mais il m’embrassa et dit
« Merci bébé, tu étais parfaite, mais, tu as assez sucé aujourd’hui, on verra demain. Lève toi un peu plus tôt, j’aime bien les petits déjeunes au lit…
Il se leva et partit, me laissant la, frustrée comme jamais, sachant que je ne fermerai pas lil de la nuit…