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Les tourments érotiques du jeune Markus Milka – Chapitre 7

Les tourments érotiques du jeune Markus Milka - Chapitre 7



Les jeunes détenus savaient que la dernière journée du séjour était dédiée à un spectacle spécial. Les garçons étaient épuisés par la frustration sexuelle sévèrement entretenue par les religieuses qui, tout en interdisant brutalement toute masturbation et tout acte sexuel, nen maintenaient pas moins activement leur libido en leur projetant quotidiennement des films pornographiques et en organisant des activités autour de leur corps en général, et de leurs organes génitaux en particulier. Cela avait pour objectif d’exacerber leur excitation tout en les maintenant dans un état d’esprit d’asservissement aveugle et dégradant.

De plus, ils étaient régulièrement témoins détreintes lesbiennes absolument torrides entre leurs gardiennes qui ne gênaient pas pour jouir sans retenue sous les yeux étonnés des pénitents.

Une semaine entière de chasteté forcée avait rendu Markus fou de désir. Il était devenu comme une bête furieuse, dans une érection permanente que compressait douloureusement sa trop petite cage pénienne. La seule vue de ses compagnes dinfortune, nues comme lui en permanence, lui faisaient sortir les yeux de sa tête.

Son entraînement à la soumission aux femmes ayant été jugé suffisant pour cela, Markus fut loué, le temps d’une soirée, à une dame riche qui désirait s’offrir les charmes d’un jeune esclave. Elle l’avait choisi, exposé sur un présentoir, comme on acquiert un vêtement. Il fut informé qu’il avait cependant la possibilité de refuser et que le mot de sécurité restait identique, même à l’extérieur de l’institution. Mais pour rien au monde il n’aurait laissé passer cette occasion de se livrer à une femme en toute vulnérabilité ; il espérait que ce qu’il aurait à subir serait extrême. Sur ce point, il ne fut pas déçu.

Son consentement recueilli, il passa chez le coiffeur et on le lava avec soin, afin qu’il ait une présentation correcte. Deux religieuses tenaient les gants de toilettes, et en profitaient pour samuser avec les charmes masculins de leur recrue en des gestes canailles. Puis on lui banda les yeux, lui retira sa cage pénienne, lui menotta les poignets derrière le dos afin de l’empêcher de se masturber, et on l’enferma dans le coffre verrouillé d’une voiture, au cas où il lui serait venu lidée saugrenue de s’échapper en route. Bien sûr, il restait privé de ses vêtements.

Même un fois descendu de la voiture, il dut garder son bandeau, car il n’était pas question qu’il puisse reconnaître sa cliente. Par contre, les religieuses qui l’emmenaient lui libérèrent les mains, tout en le priant de sourire. Il avait une petite pancarte attachée autour du cou :

Markus – Jeûne sexuel obligatoire merci de ne pas laisser éjaculer.

Il avait l’impression de se trouver dans un jardin fleuri, car différents parfums chatouillaient agréablement ses narines. Mais il devait marcher sur un gravier dont les petits cailloux aux arêtes aiguës éprouvaient la plante de ses pieds. C’était bien-sûr à dessein, afin de se moquer de sa démarche hésitante. Le principe était quil ne fallait jamais perdre une occasion pour faire souffrir les esclaves. La dame qui accueillit le groupe avait une voix de femme âgée. Elle remercia vivement ses deux accompagnatrices, qui allèrent attendre dans la voiture.

Il se laissa docilement attacher sur une table de jardin, bras et jambes écartés, puis il sentit qu’on positionnait des pinces crocodiles sur ses pieds et ses bourses. La dame tourna un bouton, et il sursauta, car une vive douleur l’envahit brusquement, puis cessa rapidement. Il frissonna car il comprit qu’il allait être torturé à l’électricité. Comme il était passionné de masochisme, il s’était beaucoup documenté sur cette pratique qui l’attirait pour son côté radical, mais aussi l’effrayait par la barbarie absolue que cela constituait. Il savait que le niveau de souffrance qu’il était possible d’infliger était susceptible de conduire jusqu’à la folie, voire la mort. La possibilité de tout arrêter par le mot de sécurité le rassura. Après quelques secondes de réflexion, il eut envie que cela continue, et même que cela s’amplifie. Sa pleine érection en témoignait ; son gland dégoulinait de rosée du désir.

Il entendit alors qu’une autre personne se joignait à eux.

Bonjour, Maman, fit la nouvelle venue. Je vois que tu as invité quelqu’un. Je te dérange ?

Pas du tout ! Bon anniversaire, ma chérie ! Il est tout pour toi ! C’est mon amie la mère Benoite qui me l’a loué. Regarde comme il est beau. Il est bien dressé et te sera parfaitement docile. Il est solidement attaché et tout léquipement est déjà en place. Tu peux le torturer autant que tu en as envie : je sais que tu aimes ça, alors, régale-toi. Assouvis ton fantasme ! Je n’ai pas hésité quand on me l’a proposé.

La fille sapprocha du garçon ligoté sur la table.

Il s’appelle donc Markus. Oh, il n’a que dix-huit ans, répondit la fille en lisant la fiche descriptive qui accompagnait le jeune homme. Il a passé une visite médicale garantissant que son cur est solide, ce qui limite les risques. Mais, Maman chérie, tu as dû te ruiner !

Peu importe la dépense ! Profite bien de ta nouvelle poupée ! L’essentiel est que tu sois contente.

Merci, ma Maman damour ! Je sens que je vais bien m’amuser avec lui !

Les deux femmes s’embrassèrent d’un baiser à la française et s’adonnèrent à quelques rapides blandices c’est du moins ce qu’il sembla au garçon attaché qui ne pouvait rien voir, mais entendait la succion des bouches accolées tendrement, puis le bruit des vêtements que l’on retire.

Markus sentit le contact de pieds sur sa poitrine, et tout le poids d’un corps de femme monté sur lui, ce qui le gênait pour respirer. Entre ses lèvres, des orteils se glissèrent qu’il fut contraint de lécher et dont il apprécia l’odeur forte de transpiration avec beaucoup de joie.

Garde ta bouche ouverte, esclave ! Tu as soif, peut-être ?

Elle descendit de son torse, puis surgit un flux urinaire qu’il fut contraint d’avaler. Il ne chercha pas à se dérober ni à cracher le liquide dont il trouvait pourtant le goût infect.

Ensuite, elle se mit à genoux afin de positionner sa vulve au niveau de la bouche du garçon, qui rencontra une pilosité abondante et longue, ce qui nétait pas pour lui déplaire quand bien même les poils entraient entres lèvres.

Suce, esclave, ordonna-t-elle sans aménité. Applique-toi. Vois-tu, jai un problème : je suis sadique, littéralement. Cela veut dire que je ne peux jouir quen faisant souffrir mon partenaire. Aussi, plus jaurai de plaisir, plus les décharges électriques que je tenverrai seront fortes. A toi de maccompagner : mon orgasme sera celui de ta douleur. Et pourtant, je veux que ce soit toi qui me lèches. Si tu nadhères pas à ma folie, si cela ne texcite pas, tu peux partir, tant pis. Tu es daccord ?

Oui, je suis daccord. Faites-moi subir tout ce que vous voulez.

Le bout de sa langue se mit à agacer le clitoris avec zèle et détermination. Dès que la femme ressentit les premières ondes de volupté la traverser, elle tourna légèrement le bouton, ce qui fit sursauter le garçon qui éprouva un fort picotement dans ses pieds et ses testicules. Cela restait supportable, mais elle était seulement en phase de plateau, et il se demandait ce quil allait subir lorsque lorgasme allait, inévitablement, déferler. Il avait un envie furieuse daller jusquau bout de ce jeu pervers, c’est à dire jusqu’à des douleurs extrêmes.

Ces sensations, il ne tarda pas à les connaître. Quand sa partenaire atteint la jouissance d’un clitoris longuement stimulé par une langue agile, la tension des décharges électriques finit par atteindre un niveau littéralement insupportable. Il avait l’impression que mille petites aiguilles s’enfonçaient dans ses testicules, et que les os de ses pieds étaient broyées un à un jusqu’à les réduire en miettes. La souffrance le fit hurler à fendre l’âme. En retour, la fille éclata de rire, puis lui cracha à la figure.

Tu suces bien, mais tu es bien peu courageux, petite mauviette méprisable. Nous n’en étions qu’au commencement.

Elle infligea encore plusieurs longues minutes de ce supplice au pauvre garçon qui se tortillait désespérément et s’égosillait à force de crier, traversé par d’abominables ondes d’une douleur indescriptible. Simultanément, elle se masturba et s’offrit un nouvel orgasme inspiré par les tourments abominables de Markus. Puis elle coupa l’alimentation électrique, car elle savait que poursuivre trop longtemps pouvait savérer dangereux. Elle le libéra de ses liens, mais il garda son bandeau sur les yeux. .

Si tu veux que je te laisse tranquille, il faudra me convaincre. A genoux, misérable imbécile. Tu ne mérites pas de lever tes yeux, même bandés, vers moi.

J’aimerais vous réciter un poème que j’ai écrit pour vous hier soir, quand j’ai su que je vous serais vendu à votre maman.

Tiens donc ! Dis toujours, poète de mes fesses…

Je ne suis pas un homme, à peine un excrément

Un étron déféqué un matin aux toilettes

Qu’on chie et qu’on oublie d’une façon complète

En allant à la selle, un puant élément.

S’il vous en vient l’envie, voici le sucement

De vos petons jolis, vos plantes gentillettes,

Vos orteils à l’odeur de sueur d’une athlète

Dont je vous nettoierai la buée prestement.

Cependant s’il vous plaît d’infliger la souffrance,

De causer ma douleur avec force et outrance,

Je me tiens volontiers disponible et soumis.

Soyez, dame, cruelle avec moi, votre esclave.

Torturez-moi beaucoup : cela vous est permis

Donnez-vous du plaisir, ô maîtresse suave !

Pas terrible, comme sonnet ! Certaines rimes sont téléphonées : il te reste du travail pour t’améliorer. Le « puant élément », cest nul, comme fin de quatrain. De plus, on ne fait pas rimer un pluriel avec un singulier, comme « toilettes » avec « complète » et « gentillettes » avec « athlète ». Pour chacune de ces regrettables erreurs, je vais tenvoyer cinquante volts dans les parties intimes. A coup sûr, la prochaine fois, tu écriras des vers qui tiennent la route. Allonge-toi de nouveau : puisque tu les proposes si aimablement, et que je vois que cela t’excite, puisque tu bandes comme un jeune taureau en rut, je vais te torturer encore en ajoutant d’autres électrodes en différents endroits de ton corps.

Afin déviter quil voie son visage en étant de nouveau couché sur le dos, elle lui remit son bandeau sur les yeux, lattacha de nouveau et positionna des électrodes, non seulement sur les pieds et les testicules, mais aussi le pénis, les tétons et les oreilles. Ensuite, elle programma son équipement pour envoyer des décharges régulières sur un rythme automatique et vint rejoindre sa mère sur la balancelle, après avoir appuyé sur le bouton « start ».

La mère et la fille, lesbiennes incestueuses, saimèrent dune manière torride, allongées tête bêche dans la position du soixante-neuf. Tandis quelles se broutaient mutuellement le minou, leur plaisir était sadiquement démultiplié par les abominations que subissait Markus, qui tressautait sous leffet des chocs électriques. Lorsqu’elles eurent enfin leur content de cruelle volupté, elles détachèrent leur victime épuisée. Le garçon nen pouvait plus et pouvait à peine tenir sur ses jambes, de sorte quil fallait le soutenir pour quil retourne à linstitution religieuse raconter ses mésaventures à ses compagnons médusés.

À suivre.

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