Les triplées monozygotes.
PATRICK
— J’ai encore envie de toi, Elise!
Et pendant l’heure qui a suivit, je l’ai prise encore 2 fois, elle constate en riant. Tu es vraiment un sacré phénomène!
Nous avons recommencé de plus en plus souvent, multipliant les risqueS d’être surpris et un jour Ève et Martine, ses 2 surs (se sont des triplées monozygotes) sont rentrées plus tôt que prévu et nous ont surpris en pleine copulation.
Horrifiées par le spectacle, elles lui crient dessus.
Je crois voir triple, 2 clones identiques d’Elise me font face.
— Elise, comment as-tu pu nous faire ça, nous tromper, et en plus avec un "mâle"!!! Hurle Martine. Eve surenchérit.
— Et ça dure depuis longtemps ton petit jeu?
Elise tente de s’expliquer.
— Laissez-moi vous expliquer. Oui, ça dure depuis un certain temps et je ne regrette rien. Vous ne savez pas ce que c’est que de faire l’amour avec un tel étalon !
-Nous nous sommes connus sur les bancs de la fac, nous avons sympathisé, notre amitié a évolué et un jour il m’a fait découvrir l’amour avec un vrai « Mâle ».
Je ne renie pas pour autant nos ébats entre surs mais rien n’interdit d’aimer le fromage et le dessert.
Avant de vous offusquer, il faudrait déjà que vous tentiez l’expérience au moins une fois!
Je surenchéris.
— Pour le moment, c’est Elise qui en profite mais si elle me demande de me mettre à votre service, je me dévouerai. C’est à vous d’écrire la suite de l’histoire mais quoi que vous décidiez, je me plierai à votre décision si vous êtes toutes d’accord. Je vais partir et Elise me dira ce que vous aurez décidé. Peut-être à bientôt!
Une semaine plus tard, à la fin des cours, Elise veut me parler. Je l’invite au bar du coin prendre un café et elle me fait part de leur décisions.
— Les conversations ont été chaudes et animées après ton départ. Finalement on a trouvé une solution, tu vas venir dimanche et mes surs vont nous regarder faire l’amou et déciderons de la suite à donner, tu acceptes le deal?
— OK pour moi, alors à dimanche!
Le jour venu, je me retrouve assis dans un fauteuil avec devant moi sur le divan trois copies conformes avec les mêmes habits, ce n’est que par son regard que je reconnais Elise.
La discussion dérive très vite sur le sujet qui m’amène, la conversation est franche et les avis fusent. Je prends la parole :
— Vous ne voulez pas vous l’avouer, mais vous brûler d’envie de tenter l’expérience! Je dois dire que moi aussi, le fantasme de triplées nues rien que pour moi, l’idée de faire vibrer vos corps l’un après l’autre. Vous regarder vous lécher, caresser, embrasser et vous empaler sur mon vit m’excite aussi beaucoup. Je peux me transformer pour vous en gode vivant !
— Pour débuter, vous pourriez me regarder prendre Elise, Eve lui écarterait les cuisses pour mieux voir et tenir ma verge pour la diriger en elle et même de la lécher en même temps. Vous pourriez vous mettre toutes les trois allongées avec les fesses offertes et je pourrais passer de l’une à l’autre à tour de rôle. Vous honorer Vous lécher l’une après l’autre. Vous pourriez faire mille et une choses, il suffit de laisser vagabonder votre imagination, je serais votre esclave uniquement pour le plaisir sans prise de tête.
Elles se regardent sans parler, dubitatives, Elise se dirige vers moi et pose sa main entre mes cuisses, caressant ma bite à travers mon pantalon puis l’extirpe d’une main experte, la caressant puis la montre à ses surs.
-Pas mal monté mon poney, même au repos… !
-Un sacré morceau ! Commente Martine effrayée en voyant mon sexe. Qu’en penses-tu Eve ?
-Oui c’est vrai, un sacré pal!…
Elise me retire mes vêtements et s’agenouille entre mes cuisses. Elle me regarde fièrement avec envie.
Je prends sa tête et approche sa bouche de ma pine. Elle ouvre la bouche et avale courageusement le serpent endormi. Les mains sur mes cuisses, elle me donne du plaisir uniquement avec sa bouche, sa tête monte et baisse le long de mon engin sentant grossir ma verge sous ses caresses buccales.
La bite en extension remplit complètement sa bouche éloignant petit à petit ses lèvres de mon pubis. Puis sa main droite vient masser mes bourses pleines de laitance.
Consciencieusement, elle attrape ma verge d’une main et commence à la branler lentement. La colonne de chair continue à prendre de l’ampleur et a enflée, la deuxième main d’Elise vient en renfort.
Je grogne de satisfaction en voyant qu’elle me pompe vaillamment. Pour jouir d’un meilleur point de vue, Martine et Ève se sont mises de chaque coté, ne pouvant détacher les yeux du spectacle.
— Alors Les filles, ça c’est de la grosse bite !
Soudain Martine part comme une folle et revient quelques instants plus tard avec un gode de taille XXL, compare les 2 phallus puis s’extasie.
— Je ne me suis pas trompée, regardez les filles, les veines, la forme, la taille, le diamètre, le gland, Ils sont identiques ! Nous avons devant les yeux l’original et sa copie, le modèle P. P. comme Patrick!!!
Elles se regardent et éclatent de rire. Je leur explique comment quelques années plus tôt, ma mère avait prit l’empreinte de ma verge et ma tante avait proposé le modèle à des magasins spécialisés.
(Lire les aventures sexuelles débridées de Patrick)
— Ah, je comprends maintenant pourquoi j’avais une impression de déjà vu la 1ère fois que j’ai découvert son formidable engin! S’exclame Elise.
Et nous repartons à nouveau dans un fou-rire contagieux.
Cet intermède a brisé la glace et désinhibé Martine et Eve qui partent en pays de connaissance.
Eve
Ce que je vois me fais mouiller beaucoup plus que je n’aurais cru, ce gode géant m’attire et je m’agenouille à coté de ma sur pour saisir l’obélisque qui ressort de la bouche d’Elise.
Elle me présente l’objet de ma convoitise, j’ouvre ma bouche et gobe le gland violacé. J’ai la bouche grande ouvert, il tire doucement ma tête pour enfoncer son gros calibre dans ma gorge.
Arrivée au 3/4 de sa queue, je résiste à sa pression car je ne peux plus rien avaler.
J’ai son gland qui touche mes amygdales et il reste encore quelques centimètres dehors.
Je commence à le sucer avec passion, c’est chaud et doux, la sensation est beaucoup plus agréable que je le croyais.
Il me défonce la mâchoire qui manque se disloquer sous ses assauts. Martine vient elle aussi de s’agenouiller, je lui tends la colonne de chair qu’elle saisit du bout de ses lèvres, indécise.
Patrick s’en rend compte et appuie d’une main sur sa tête faisant pénétrer sa verge le plus loin possible, elle ne la repousse pas, mais comme moi, elle ne peut en absorber la totalité.
Martine
La sensation de ce pieu qui glisse doucement dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge est extraordinaire, c’est dur et chaud, ça palpite, je n’ai jamais ressenti ça, c’est assez bizarre mais tellement délicieux.
Levant une main, j’empoigne ses couilles poilues. Quand mes doigts s’activent dessus, un profond soupir part de sa poitrine. Mes doigts remontent et viennent s’enrouler autour de sa hampe dure comme un bout de bois. Ma langue lèche cette tige magnifique tandis que mes doigts pétrissent ses couilles.
Patrick
L’effet est merveilleux, je vois les frangines s’affairer maintenant à 3 mains et 3 langues sur mon pénis, c’est un véritable supplice et je dois contenir mon plaisir.
Mon manche passe de bouche en bouche, des langues le lèchent sur toute sa longueur, il disparaît entre leurs lèvres au plus profond de leurs gorges. Ne laissant aucun répit à ma queue en feu.
Elles sont de plus en plus excitées à cause de la scène presque surréaliste à laquelle elles participent. Elise se relève, se déshabille en quelques secondes et vient se mettre à califourchon sur mes cuisses.
Elle prend mon gros gourdin dans une main et le dirige sur sa fente. Sa chatte dégouline de cyprine, mon sexe n’a aucune peine à pénétrer dans sa grotte d’amour, elle s’assied sur mes cuisses s’empalant complètement.
Elle prend appui sur mes épaules avec ses mains et commence une danse sur cet axe, elle tourne dessus, monte au sommet pour redescendre encore plus loin, elle défriche tous les coins sa chatte.
Elle y va de bon cur, telle une cavalière chevauchant un étalon, montrant l’exemple à ses surs que je vois en train de se mettre nues elles aussi.
Elles ne quittent pas des yeux mon phallus chaque fois qu’il réapparaît du vagin d’Elise qui continue de me chevaucher.
Je lui demande de se retirer pour que Martine ou Eve prenne sa place.
En voyant Elise se retirer de mon mandrin, Eve en profite pour me sucer, tandis que Martine succède à Elise et pour la première fois de sa vie va s’enfiler une verge dans la chatte.
Martine
— Tout d’abord tu me laisse faire. Ta bite est tellement grande et elle peut me faire mal en frappant le fond de ma grotte.
Je prends sa queue en main pour la guider vers mon sexe et abaisse mon corps lentement et prudemment jusqu’à ce que mes poils dorés viennent en contact de son épi. Je me tortille pour ajuster le bout de son gland entre mes lèvres.
Ma chatte follement excitée s’ouvre pour laisser glisser sa grosse queue. Il reste silencieux regardant sa bite s’enfoncer jusqu’à ce qu’il sente mon pubis toucher ses bourses et que son gland comprime le col de mon utérus.
— Huuuummmm, ouiiiiiiiiii, je peux prendre ta grosse bite ! Je prends la totalité de ton énorme queue même si elle me déchire et m’ouvre en deux!
— Oh putain! Oh, mon salaud, tu me baises et en plus t’es monté comme un âne !
Je me mets à monter et descendre sur son mandrin comme une mort de soif.
— La vache! Ta queue bute tout au fond de moi, ta belle queue déforme mon vagin et appuie sur mon clitoris. Ooooohhhhh, je sens que je ne vais pas tenir longtemps!
Patrick a prit a pleines mains mes fesses et a prestement attraper un téton dur avec sa bouche et tête avidement cette friandise, il donne de légers coups de reins pour explorer tous les recoins de mon vagin chaud et trempé.
— Je suis pleine de toi Patrick!,
— Oooohhhh, ta bite va me rendre folledoucement .Aaaaahhhhhh chaque fois que tu frappes mon clito je crois que je vais éclater! Ta bite est tellement grosse ! Tu me fais jouir, je ne peux plus me retenir !!! AaaaahhhhhhouiiiiiOooohhhh, tu combles toutes mes espérances!
Mon cul tremble dans ses mains et mon bassin saute frénétiquement sur sa bite.
Patrick reste accroché par sa bouche à un de mes tétons en le suçant goulument donnant des coups de langues sur mon sein droit et tentant d’en aspirer une bonne partie dans sa bouche.
Mais Ève s’impatiente, je lui cède à regret ma place. C’est moi qui prends le sexe de Patrick pour le placer devant la fente de ma sur . Un bon coup de langue baveuse sur sa vulve rosée et je dirige le boutefeu de Patrick dans son sexe.
A suivre…..