Au petit matin, j’ai été réveillé par les rayons du soleil à travers les volets, et le bruit des camions-benne nettoyant la rue, après la nuit de fête que la France venait de connaître. Julie dormait encore contre moi, mais commençait à doucement se réveiller. Ma main flattait déjà son cul, comme par réflexe. Une fessée légère a fini de la réveiller.
Bonjour, lui ai-je dit.
Elle m’a souri, et sans rien répondre, s’est laissée glisser le long de mon corps. Le draps a volé, dévoilant nos deux corps nus, et sans plus attendre, elle a attrapé mon sexe et l’a léché pour le faire durcir. Voilà un bon réflexe qu’elle avait gardé. Elle savait que j’aimais être réveillé ainsi. Une fois ma queue bien dure, elle l’a prise en bouche, et sans que j’ai rien à lui dire, l’a enfoncée au fond de sa gorge. Je sentais sa main malaxer mes couilles, et l’entendais tousser, cracher, parfois avoir un haut-le-cur, mais jamais s’arrêter. J’ai posé ma main sur son crâne lorsque j’ai senti que j’allais jouir, et me suis vidé dans sa gorge. Alors elle a sorti mon sexe de sa bouche, puis m’a regardé avec son air de petite chienne, de la bave coulant aux coins de ses lèvres et les yeux humides.
Bonjour, m’a-t-elle enfin répondu.
Le sourire aux lèvres, j’ai caressé sa peau avant de me lever du lit et d’enfiler un léger short.
Je vais faire du café, je t’attendrai dehors, ai-je dis en quittant la pièce.
J’ai préparé deux cafés rapides dans la cuisine, puis je suis sorti sur le balcon. Le soleil chauffait déjà bien, il devait faire vingt-huit degrés si ce n’est plus. J’ai regardé les gens dans la rue en attendant Julie, puis les gens dans l’immeuble en face du mien. J’aimais jouer au voyeur. Julie est arrivée quelques minutes plus tard, entièrement nue. Elle est restée sur le pas de la porte-fenêtre, n’osant visiblement pas sortir dans cette tenue.
Viens là, lui ai-je dis, ton café est prêt.
Alors Julie s’est avancée, a regardé autour d’elle, dans la rue, mais personne n’avait l’air de remarquer sa nudité. Moi-même je n’y faisais qu’à peine attention. Pour moi, elle était dans sa tenue de tous les jours. Du moins c’est ce que je comptais lui inculquer. Elle s’est assise sur la chaise en face de moi et a pris son café. Du bout du pied, je lui ai fait écarter les cuisses. Je voulais petit-déjeuner avec une belle vue sur sa chatte lisse.
J’ai bu mon café en regardant cette fente entrouverte, et elle a bu le sien en pouvant voir mon short se déformer par mon érection. Et pendant une heure, on est restés dehors à parler, notamment de sa séparation avec son ex-copain. Elle m’a expliqué qu’après notre rencontre en décembre, elle avait commencé à voir les choses différemment, elle ne supportait plus ne plus être touchée. Elle est donc partie, deux mois plus tard, sans rien lui expliquer. A moi, elle m’avait seulement écrit pour me dire qu’elle préférait encore se masturber seule plutôt que d’être mal accompagnée et ne pas se faire baiser. C’était ses mots. A l’époque, j’avais amèrement regretté ne pas pouvoir aller la voir, et la féliciter de sa décision en la défonçant, comme elle le méritait.
Qu’est-ce qu’on fait aujourd’hui ? m’a-t-elle alors demandé.
Du tourisme. Tu n’as jamais été à Lyon ?
Non.
Alors il faut que je te fasse visiter. Viens, on va te choisir une tenue.
Dans la chambre, j’ai ouvert sa valise en grand, et ai sorti tous ses vêtements. J’ai jeté ses sous-vêtements derrière moi avec nonchalance dans un coin de la pièce, prétextant qu’elle n’en aurait pas l’utilité. Même si je me réservais le droit de lui faire porter ses jolies petites culottes pour quelques jeux pervers. J’ai opté à nouveau pour une robe, un peu plus fleurie que celle de la veille, mais taillée de la même manière. Courte en bas et très décolletée. Julie l’a enfilée, et je me suis amusé à voir ses tétons pointer au travers du tissu. Je pouvais les attraper et les pincer sans la déshabiller, et je ne me suis pas privé de le faire.
Où est ton plug ? ai-je demandé en continuant à fouiller sa valise.
Je ne sais pas, je crois que je l’ai perdu en déménageant.
Il va falloir t’en racheter un aujourd’hui.
D’accord.
Un sourire s’était affiché sur son visage. A mon tour, je me suis habillé, et nous sommes sortis de l’appartement.
Il était onze heures à peine, et nous avions une bonne journée devant nous. J’étais fier de pouvoir lui faire découvrir ma ville, mais je voulais qu’elle se souvienne de cette visite comme de la meilleure visite touristique de sa vie.
Sur les berges du Rhône, nous avons marché main dans la main, mais parfois la mienne se posait sur sa hanche et redescendait sur ses fesses. D’un geste rapide, je relevais légèrement sa robe, exhibant son cul à qui le voulait. Sur la Presqu’Ile, on a pris une boisson à emporter qu’on a bue sur un banc, place des Célestins, face au théâtre. Je lui ai fait écarter les cuisses et cette fois, c’est sa petite chatte que j’exhibais aux passants.
On s’est ensuite posés dans un restaurant du Vieux Lyon, un restaurant de touristes mais qu’importe. Assis en terrasse, je mangeais ma salade d’une main tandis que la deuxième était glissée sous sa robe, titillant ses lèvres du bout des doigts. Julie avait plutôt du mal à se concentrer sur son assiette, et c’était bien là mon idée. Je l’ai sentie se liquéfier jusqu’au dessert, après quoi nous sommes repartis en balade.
On est rapidement rentrés dans la basilique de Fourvière, principalement pour profiter de sa fraicheur. J’ai eu envie de baiser Julie dans l’un des recoins de l’église, mais malgré mon peu de conscience religieuse, j’avais encore un peu de respect pour les lieux saints. Et la basilique grouillait de touristes. Je me suis alors rattrapé lorsque l’on a admiré la vue depuis l’esplanade, à côté de la basilique, et que, collé contre son dos, j’ai glissé deux doigts dans sa chatte. Elle aurait sûrement voulu plus, moi aussi d’ailleurs, mais je comptais bien la maintenir dans un état d’excitation constant pour un petit moment encore. En redescendant vers le centre-ville par le Parc des Hauteurs, cependant, je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai poussé Julie dans un petit renfoncement et l’ai forcée à s’agenouiller dans des fourrés. Je lui ai dis de me montrer ses seins, et après avoir vaguement regardé si nous étions seuls, j’ai sorti mon sexe. Je bandais comme un fou. Julie a immédiatement ouvert sa bouche en grand et sorti sa langue, pour que je n’ai qu’à glisser mon membre au fond de sa gorge. J’étais tellement excité par la situation que je n’ai pas tenu longtemps, et me suis répandu dans sa bouche. Malgré son maquillage gâché, nous avons continué notre route et traversé à nouveau la Saône pour rejoindre la Presqu’Ile. Je me suis arrêté en face d’un sexshop, il était temps de faire quelques courses.
Je connaissais des sexshops un peu cleans, lumineux, mais j’ai préféré opter pour le sexshop glauque de base. Avec les néons roses et grésillants à l’entrée, les épais rideaux rouges, à gauche le comptoir et le vieux tenancier avec sa clope au bec, en train de lire une revue porno comme s’il lisait le Figaro. Nous lui avons adressé un sourire qu’il ne nous a pas rendu, et sommes allés errer dans les rayons miteux. On a vite trouvé le plug anal qu’il nous fallait. Julie, cependant, a remarqué un détail.
Il a l’air plus gros que celui que tu m’avais acheté la dernière fois…
Tu t’y habitueras. Faudra bien, en tous cas.
Je l’ai embrassée en empaumant ses fesses, effaçant la mine inquiète de son visage. L’homme au comptoir m’a encaissé sans presque me parler. J’avais envie de l’énerver, de le frustrer un peu plus encore. Alors très sérieusement, je lui ai demandé :
Serait-ce possible de l’utiliser dès maintenant ?
Euh, ben ouais, a-t-il répondu en lâchant immédiatement sa revue. Enfin, si j’peux regarder !
Evidemment. Julie, retourne toi.
Oui monsieur.
Julie s’est exécutée et a posé ses mains sur l’étagère en face de la caisse, où étaient posés les articles les plus softs. Cartes à jouer érotiques, ou menottes à fourrure. Alors j’ai attrapé sa robe, que j’ai remontée haut sur ses hanches, laissant apparaître la merveille qu’était son cul. Le tenancier était fou de joie, et s’était même levé de son siège pour mieux voir, marmonnant je ne sais quoi entre ses lèvres où était encore vissée sa cigarette.
Ecarte un peu tes fesses, ai-je ordonné à Julie en claquant celles-ci.
Les mains ont lâché l’étagère pour venir tenir ses fesses grandes ouvertes. La tête à présent posée sur les étals de gadgets érotiques, bien cambrée, elle nous offrait une jolie vue sur ses deux orifices. Le propriétaire devenait encore plus fou, presque debout sur son comptoir. Lentement, j’ai défait l’emballage du plug, et après l’avoir inspecté sous toutes ses coutures, l’ai poussé contre les lèvres de Julie.
Suce le un peu.
Je le faisais aller et venir doucement dans sa bouche, et elle le suçait comme un petit sexe. Une fois bien imbibé de salive, je l’ai mis à sa place, tout contre le petit trou qu’elle nous présentait depuis quelques minutes maintenant. Puis j’ai poussé, tout doucement. Julie a grogné un peu, les dents serrées, mais j’ai fini par faire rentrer l’objet étranger en elle. Seul un petit diamant rose en plastique dépassait de son anus, et sur lequel ses fesses sont venues s’écraser lorsqu’elle les a lâchées. Une claque sèche est venue les secouer.
En route, ai-je alors dis, la visite n’est pas finie.
Nous sommes partis sans demander notre reste ni dire au revoir au gérant du sexshop, et avons déambulé dans le quartier des Terreaux. Julie n’arrêtait pas de tordre du cul. Il était quand même très gros, selon elle.
Habitue toi rapidement, lui ai-je dis. J’ai prévu bien pire pour ton petit trou.
J’aimais lire ce mélange de peur et d’excitation sur le visage de Julie. Ça me donnait envie de tout lui faire, surtout ce qu’il y avait de plus pervers. J’étais persuadé qu’elle mouillerait quand même dans ces conditions. Une fois passée la Place des Terreaux, on a amorcé la montée vers la Croix-Rousse, en passant par le quartier des Pentes. Là se trouvaient un grand nombre de traboules, des passages plus ou moins secrets qui traversent les pâtés de maison, et qui permettent de joindre deux rues via les habitations. La plupart de ces traboules faisait figure de passage obligatoire pour grand nombre de touristes. Mais ayant grandi dans le coin, j’en connaissais certaines qui n’était plus ou très peu empruntées. Et c’est celles-ci que j’ai voulu faire découvrir à Julie.
Nous avons poussé une lourde porte et sommes entrés sur un palier, comme si nous habitions l’immeuble, avec à gauche des boîtes aux lettres, et à droite un escalier pour aller aux étages. Tout droit, au fond du hall, une petite cour intérieure permettait d’admirer l’architecture des lieux. Au fond de cette cour, nous avons emprunté un couloir, assez étroit, tournicotant à droite puis à gauche. Au milieu de ce couloir se trouvait une autre petite cour, pas plus grand qu’un puit de lumière. C’est là qu’étaient entreposées les containers à poubelle. C’est là aussi que j’ai décidé d’arrêter Julie.
Enlève ta robe, lui ai-je dis.
Entièrement ?
Elle a reçu une gifle pour toute réponse. Il n’y avait pas à discuter. Elle a regardé autour d’elle avant de s’exécuter et de faire passer son unique vêtement au-dessus de sa tête. Pendant un instant, je l’ai admirée, dans sa plus totale nudité, dans ce couloir crasseux et public, au milieu de poubelles. Evidemment, je me suis tout de suite mis à bander. Et du coup, j’ai défait ma ceinture et sorti mon sexe. Julie, petite chienne affamée, l’a regardé avec un sourire. Pour un peu elle s’en léchait les babines.
Tourne toi, s’il te plait.
La politesse était superflue, l’ordre par contre était froid et sans appel. Julie s’est retournée, comme demandé, et en poussant sur son dos, l’ai forcée à se cambrer, en s’appuyant contre la benne à ordures. Ainsi positionnée, son cul s’offrait à moi, et je m’amusais à voir ce plug sortir outrageusement d’entre ses fesses. D’un geste du pied, je lui ai fait écarter un peu plus les jambes. Ma main s’est alors immédiatement glissée entre ses cuisses, et deux doigts ont glissé en elle avec une facilité déconcertante, tant elle mouillait.
On dirait bien que tout ça t’excite, lui ai-je dis en agitant mes doigts en elle.
Oui… m’a-t-elle répondu dans un soupire.
Dis le moi.
Ça m’excite… tu me fais mouiller…
Dis moi que ça t’excite de te faire doigter contre une poubelle, dans un endroit où tout le monde pourrait te voir.
Oh oui ça m’excite ! Ça me rend dingue, tu me rends dingue. Baise moi ! S’il te plait, baise moi, baise moi où tu veux et quand tu veux.
Bonne chienne…
Et je répétais ces deux derniers mots, claquant son cul violemment de ma main libre, la doigtant de plus en plus vite de l’autre. Lorsque j’ai senti sa mouille couler sur mon poignet, je me suis décidé à passer à l’étape supérieure, et ai remplacé mes doigts par mon sexe. Je l’ai empalée d’un coup sec, lui arrachant un cri rauque. Mes mains, posées sur ses hanches, ne les lâchaient que pour la fesser. La peau de son cul devenait rouge, les marques de mes mains apparaissaient progressivement, et je trouvais ça follement excitant. Julie criait de plaisir maintenant, la tête plaquée contre la poubelle qu’elle tenait pour ne pas tomber. J’ai ralenti la cadence un instant, juste le temps de me pencher sur son dos, de venir écraser l’un de ses seins entre mes doigts, et de lui dire qu’elle pouvait jouir si elle en ressentait le besoin.
Bien sûr, elle n’a pas refusé l’invitation. Une main sur son cul et l’autre resté sur son sein, j’ai repris un rythme soutenu. Mes coups de reins la propulsait contre cette poubelle crasseuse, et Julie criait plus fort encore, ses cris résonnant dans l’étroite traboule. C’est alors que j’ai remarqué qu’elle avait levé l’une de ses jambes, et qu’ainsi elle frottait son clitoris contre le plastique rugueux de la poubelle.
Tu n’es vraiment qu’une petite chienne, lui ai-je dis en tirant ses cheveux en arrière.
Cette simple remarque a été le déclencheur de son orgasme.
Oh oui !! Oh putain oui !! a-t-elle crié.
L’orgasme la terrassait, elle était affalée sur la benne à ordure, et moi je continuais à la baiser violemment. Je crois qu’à peine le premier passé, un deuxième orgasme l’a secouée, et elle est restée inerte sur la poubelle lorsque ça a été mon tour d’éjaculer, au fond de son vagin.
Nous sommes restés un instant dans cette position, moi planté en elle, débandant lentement, et elle collée nue contre la poubelle. Nous avons soudain repris conscience de l’endroit où nous nous trouvions, mais après un rapide coup d’il à cent quatre-vingt degrés, nous avons estimé que nous étions bel et bien seuls. Je me suis alors retiré du sexe de Julie. Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mon sperme s’en écouler, et je n’ai pas pu non plus m’empêcher d’y mettre les doigts. Trois, précisément.
Julie mouillait tellement que l’intromission de mes doigts était chose facile. Aussi ai-je voulu y mettre le quatrième, qui est rentré sans problème. Quant au cinquième, il a fallu être un peu plus délicat. Julie s’est mise à grogner, entre plaisir et douleur, mais a lâché un « Oh oui ! » lorsqu’elle a senti ma main enfoncé en elle, quasiment jusqu’au poignet.
Tu me rends folle, a-t-elle soufflé entre deux gémissements.
Mais je ne voulais pas la rendre trop folle non plus. Alors j’ai retiré ma main de son vagin, y laissant un grand vide, et en la tirant par les cheveux, je l’ai forcée à se retourner. Je lui ai donné mes doigts à lécher, et Julie s’est empressée de le faire, les suçant comme s’il s’agissait de mon sexe, les prenant loin dans sa bouche et s’étouffant avec.
Puis au loin, nous avons entendu une porte claquer. Ça a été la panique, et j’ai dit à Julie de se rhabiller en vitesse. Tout aussi vite, nous sommes sortis dans la rue, Julie avait encore les cheveux en vrac, la robe à moitié remise, et surement tout mon sperme qui coulait d’entre ses cuisses.
Mais nous avons continué. De cette rue où nous avions pris énormément de plaisir, nous sommes remontés jusqu’au Plateau de la Croix-Rousse où nous nous sommes baladés un moment, et pris une pâtisserie dans une boulangerie du coin. Assis sur un banc, j’ai eu envie de glisser mes doigts sous la robe de Julie pour récupérer un peu plus de crème pour son goûter, mais la place était bondée. Nous avons alors redescendu les pentes de la Croix-Rousse, traversé le Rhône, emprunté à nouveau les Berges qui nous ont menés jusqu’au Parc de la Tête d’Or.
Le Parc de la Tête d’Or, c’était l’endroit où j’avais passé le plus de temps étant gamin. J’y allais tout le temps, et je le connaissais comme ma poche. Alors après lui avoir fait faire un tour rapide du zoo, nous nous sommes posés sur une des nombreuses pelouses du parc. Nous sommes restés très sages. En plein mois de juillet, les lieux étaient plein d’enfants qui jouaient au ballons, de parents qui faisaient des pique-niques, ou de jeunes adultes buvant secrètement quelques bières. Bien sûr, ma main est un peu remontée sur la cuisse de Julie, à l’orée de sa robe, mais je ne suis pas allé trop haut.
A la place, nous avons papoté, allongés dans l’herbe, ma main sur sa taille, la sienne dans mes cheveux. Je lui ai demandé jusqu’où elle était prête à aller pour moi.
N’importe où. Je ferai ce que tu me demandes de faire.
Même les choses les plus tordues et les plus humiliantes ? Tu sais que je suis un pervers
Tout, je te dis. Fais moi faire tout ce que tu veux, je le ferai.
Et ça t’excitera, j’en suis sûr
Je l’ai embrassée langoureusement, sa réponse m’avait rempli de joie. J’avais des tonnes d’idées en tête, des tonnes de fantasme à assouvir, et seule une fille comme Julie avait les épaules nécessaires pour les encaisser. Deux jours seulement s’étaient écoulés, il nous en restait un paquet. Bien assez pour franchir nos limites, casser nos barrières et nos tabous.
Nous sommes rentrés de notre visite lyonnaise alors que le soleil se couchait sur le parc. Mais avant ça, impossible de ne pas s’arrêter derrière un grand saule pleureur, cachés du monde, où Julie s’est agenouillée pour me faire jouir contre sa langue.