Les yeux de ma mère
Où commencer mon histoire?
Celle-ci remonte à si loin et commença si doucement et innocemment que j’ai peine à me souvenir du début. Lorsque j’étais petit, je me souviens que j’aimais regarder ma mère brosser ses cheveux. Je trouvais ma mère tellement belle avec ses grands cheveux lui descendant au milieu du dos. Ma mère a toujours ressemblé à une princesse de conte d’enfant et je crois que c’est la raison première qui a fait que mon père l’a épousée.
Elle pouvait passer de longs moments, assise devant le miroir de sa coiffeuse, à brosser ses longs cheveux ou à étendre des huiles fines sur sa peau. Je pouvais passer des heures à la regarder faire, assis sur le coin de son lit tout près d’elle. De temps à autres, elle me regardait tendrement dans son miroir, souriante comme si elle savait. Ma mère était et est toujours la plus belle femme au monde et prenait un soin fou à le demeurer.
Mon père, quant à lui, est un grand travailleur, il travaille dans une grande firme. Il a toujours travaillé sur le quart de soir, si bien qu’il est toujours parti lorsque je reviens de l’école et revient bien après que je sois couché soit vers 1h00am. Il a toujours eu beaucoup de succès, cependant, il doit y mettre le temps et les efforts. Je dois dire que nous menons une vie plutôt aisée.
Ma mère, de son côté, reste à la maison pour prendre soin de sa famille, c’est ce qu’elle aime faire et mon père voulait qu’elle reste au foyer.
Il est du genre plutôt conservateur et le modèle familial traditionnel a toujours eu une grande valeur pour lui.
Je suis enfant unique, ma mère m’a eu lorsqu’elle avait seize ans, Jai rapidement compris qu’elle et mon père n’avaient pas utilisé de protection lors de leurs premières relations et que j’étais arrivé sans crier gare. Mon père, ayant une famille stricte, dut épouser ma mère, promptement, afin de protéger la réputation des deux familles.
Un peu plus tard dans mon enfance, j’ai commencé à aider ma mère à brosser ses cheveux lorsqu’elle se préparait pour dormir,
Elle m’expliquait, en détails, comment faire et comment les démêler, Elle penchait sa tête vers l’arrière, afin de m’aider et moi je les brossais doucement, en glissant tendrement ma main dans ses cheveux. Souvent elle étendait de l’huile hydratante sur ses bras, son cou et sur ses jambes, pendant que moi, je prenais soin de ses cheveux. J’aimais tellement regarder ses mains douces glisser doucement sur ses pieds et ses mollets, je rêvais que c’était mes mains sur sa peau, ça m’excitait beaucoup !
Nous faisions ça presqu’à tous les jours de la semaine, j’attendais impatiemment qu’elle sorte de la douche, vêtue de sa longue robe de nuit, puis je me précipitais dans sa chambre pour l’aider.
Sauf la fin de semaine, car ma mère m’avait fait comprendre que mon père n’apprécierait pas que je brosse ses cheveux et ce, encore moins tous les jours.
Au début de mon adolescence, j’étais passé maitre dans l’art du brossage de ses longs cheveux.
Un jour, elle me dit qu’elle était plutôt fatiguée et qu’elle apprécierait que je lui étende de l’huile dans le cou et sur les épaules et de masser ses épaules, afin que l’huile pénètre.
J’avais déjà eu des érections en prenant soin de ma mère, mais cette journée-là, elle fut particulièrement intense.
Après notre petite session, j’allais vite dans ma chambre et je me masturbai intensément.
Elle me le redemanda une autre fois, la semaine suivante, puis de plus en plus fréquemment.
Au bout de quelques semaines, je le faisais chaque soir, je devenais meilleur et plus confiant, si bien que je commençais à lui étendre sur les bras aussi.
Notre petite session de brossage de cheveux et huilage de cou, épaules, bras durait près de 1 heure par soirée,
Ensuite elle venait me border pour ma nuit. Mais je ne mendormais jamais avant de mêtre masturbé en pensant au corps de ma mère.
Jeune homme, j’étais aussi rendu bon dans l’art du massage du cou, épaules et bras, sous ses bons conseils, que je suivais religieusement.
Quelquefois, cependant, nos sessions faisaient relâche car mon père était à la maison en congé ou parce qu’il était malade,
Alors, ces journées, je faisais comme si de rien n’était, sachant fort bien qu’il retournerait à l’ouvrage le lendemain.
Outre de prendre soin de ma mère, j’étais un enfant tout à fait sans histoires.
Je réussissais relativement bien à l’école, j’avais peu d’amis étant d’un genre plutôt solitaire.
Physiquement jétais plus grand et plus costaud que la moyenne, ayant hérité de la carrure de mon père,
Jexcellais dans les sports, ce qui me valut une certaine reconnaissance et m’évita d’être isolé ou humilié.
À 18 ans, le rituel quotidien avec ma mère changea un peu, Je commençais à me sentir très à l’aise avec le contact de mes mains sur sa peau et elle aussi,
Je voyais bien qu’elle me faisait confiance parce qu’elle fermait souvent ses yeux durant mon massage.
Je commençais, doucement, à agrandir le mouvement de mes mains sur ses clavicules et sur le haut de sa poitrine.
J’étais quand même nerveux, car elle ne m’avait pas demandé de le faire et jusqu’à maintenant, je n’avais jamais pris d’initiative.
À ma grande surprise elle ne dit rien, alors je continuai cette petite initiative pendant quelques jours craignant qu’elle ne m’arrête.
La robe de nuit qu’elle portait chaque soir, lors de nos sessions, était de coton fin, blanc, avec de petites bretelles passant sur ses épaules, Exposant amplement ses épaules et ses bras. Elle était boutonnée finement dans le dos jusqu’au bas de sa taille.
Sur le devant, la robe était décolletée raisonnablement et décorée d’une bordure brodée à la hauteur de ses seins. Elle a de superbes seins fermes.
Mon objectif secret était de me rendre à cette bordure brodée, ce qui signifierait pour moi que mes doigts seraient sur ses seins car je devinais ses mamelons juste un peu plus bas à travers le fin tissu.
Ma mère étant assise et moi debout j’avais une position idéale, une vue plongeante et aussi le miroir droit devant moi, qui me donnait une image sans obstruction du devant de son corps.
Jour après jour, patiemment, j’agrandissais mon cercle de massage, toujours plus près de la bordure, calculant le risque de l’avancement pour éviter un refus.
D’autres jours, je conservais le même cercle, mais j’appliquais plus d’huile hydratante, ce qui était fort agréable.
J’étais rendu que je me masturbais plusieurs fois par jour en pensant à ma mère. Puis finalement, un jour, j’ai atteint mon objectif. Enfin, après tant de semaines de patience, de retenue et de stratégies, j’y arrivai enfin.
Ce jour-là, je me souviens, il pleuvait intensément à l’extérieur, c’était une soirée d’automne fraîche, une chaleur enveloppante régnait dans la maison. Après avoir brossé doucement ses cheveux, je me mis à étendre de l’huile sur ses épaules, de façon beaucoup plus généreuse que d’habitude. Puis, mes mains descendirent beaucoup plus rapidement vers ses seins.
Je rajoutai une autre bonne quantité d’huile dans mes mains, puis je les glissai dans un mouvement de va-et-vient.
Je touchai, pour la première fois, la bordure dentelée du décolleté de sa robe de nuit. De mes doigts, je pressai, doucement, sur la peau de ses seins pour en sentir la douceur et la fermeté.
Puis j’eus l’idée de faire glisser mes doigts au centre de sa poitrine et de revenir vers l’extérieur.
Cette stratégie subtile permettait au bout de mes doigts, d’avoir accès, par le centre, de ses seins, sous la bordure brodée sans avoir à forcer mes doigts sous celle-ci.
Ensuite, dans le même mouvement vers l’extérieur, je pouvais glisser le bout de mes doigts, non pas le long de la bordure, mais sous celle-ci. Puis je remontais, innocemment, vers ses épaules pour replonger au centre de ses seins.
Il n’y avait donc plus de limite pour que mes doigts rejoignent les mamelons de ma mère, qui étaient, pour moi, l’objectif ultime. Je répétais ce manège quelques fois, puis décidai d’étendre plus d’huile sur mes mains, afin de rendre le tout encore plus excitant.
À ma grande surprise, ma mère se repositionna sur son banc, en avançant son bassin sur le devant du banc, puis plaça ses mains sur le derrière du banc en prenant appuis sur ses bras.
Elle appuya, alors, le dos de sa tête, légèrement, sur ma poitrine. Dans cette position, relativement plus étendue et appuyée sur ses bras, derrière elle, sa poitrine ressortait, maintenant, clairement devant moi.
Je recommençai à lui masser la poitrine et le haut de ses seins, mais mes doigts retrouvèrent rapidement le chemin sous la bordure. Ne voulant rien brusquer, j’allais, comme innocemment, de plus en plus près de ses mamelons, puis je retournais plus haut, dans un mouvement de va et vient et je retournais un peu plus loin.
Décidé à atteindre mon objectif et vu que ma mère n’avait pas l’air de vouloir m’arrêter, je retirai mes mains et appliquai généreusement de l’huile, non pas dans mes mains cette fois, mais directement au haut de ses seins.
Jamais, je n’avais versé de l’huile directement sur elle. Sa tête, appuyée sur moi, ses yeux fermés, mes mains repartirent directement sur ses seins.
Je vis alors, pour la première fois, à travers le fin coton, les mamelons en érection de ma mère. Ils étaient clairement visibles et définis à travers le tissu qui remontait, je glissai mes doigts sous la bordure puis allai directement sur ses mamelons qui glissaient maintenant entre mes doigts.
Je sentais ma respiration accélérer, mais je sentais aussi celle de ma mère qui était très rapide.
Mes doigts glissaient doucement sur ses aréoles, puis touchaient ses mamelons très durcis.
Tout à coup, j’entendis le bruit de la porte principale de la maison et mon père appeler :
« Isabelle… ? »
Je n’attendis pas une seconde et passai par la salle de bain de la chambre de mes parents pour filer ensuite par l’autre porte dans le corridor jusqu’à ma chambre.
Ma mère appela mon père pour lui dire qu’elle était dans leur chambre.
Je sautai dans mon lit et saisis mon Ipod, puis mon père vint me dire bonsoir.
Nul besoin de vous dire que c’était moins une.
Je venais presque de me faire prendre par mon père à masser ma mère et encore pire, à lui caresser les seins.
Ma mère vint quelques instants plus tard me donner un petit baiser maternel et me souhaiter bonne nuit.
Il était rentré plus tôt du travail car il nallait pas vraiment bien.
Le lendemain, il resta au domicile. Le médecin passa voir mon père et lui fit une prise de sang, il avait la mononucléose.
Il resta cloué au lit pendant plus dun mois.
Ma mère retourna lentement à ses occupations normales et prenait bien soin de mon père.
Nos sessions furent complètement arrêtées par sa présence constante.
Il me sembla, cependant, qu’une petite chose changea, de façon presqu’imperceptible, depuis que j’avais massé ses mamelons, ma mère me regardait, parfois, avec de jolis yeux que je ne lui avais jamais remarqués.
Elle me faisait parfois de tendres sourires que je lui rendais. Quelques fois, elle caressait, de sa main douce, ma joue, sans raison apparente.
Bref, de tous petits détails, que j’étais capable de m’imaginer, tellement ils étaient subtils.
Une chose dont j’étais sûr et qui était, pour moi, irréfutable, c’était que ma mère augmentait ses contacts physiques avec moi. Elle posait ses mains sur moi beaucoup plus qu’elle ne l’avait jamais fait, elle me donnait de grands câlins, plusieurs fois par jour, ou me prenait dans ses bras dans mon dos.
Elle me donnait des petits becs innocents plus souvent.
Le jour de mes 19 ans, ma mère organisa un piquenique près de la rivière au bout de notre terrain. Mon père était incapable de sortir loin ou longtemps, c’était donc une bonne idée de ma mère d’organiser un diner au soleil sur le bord de l’eau.
Il faisait un temps magnifique
Nous avions étendu la classique nappe à carreau rouge et blanc sur la pelouse.
Après le dîner, mon père nous dit qu’il était fatigué et qu’il voulait aller dormir dans son lit.
Ma mère alla le reconduire pendant que je restai là, sur la grande nappe à attendre qu’elle revienne, afin de profiter de ce merveilleux temps.
J’en profitai pour retirer mon chandail, afin de profiter des chauds rayons du soleil.
Quand elle revint, elle s’installa près de moi et s’appuya sur mes jambes, puis, en me regardant dans les yeux, elle me dit tendrement : « merci ! ».
À ma grande surprise, ma mère me félicita de ma grande discrétion et me dit que celle-ci me porterait ses fruits, un jour.
Je ne comprenais pas vraiment le sens de ses paroles à ce moment, mais je comprenais qu’elle faisait référence au jour où j’étais dans sa chambre.
Nous n’en avions jamais reparlé jusqu’à maintenant.
Ma mère, face à moi, posa sa main douce sur mon visage en me regardant de ses yeux.
Le temps était comme arrêté, nous ne disions rien. Je passai délicatement ma main dans ses cheveux, puis je lui dis, doucement, en la regardant, combien il me manquait de caresser ses cheveux et elle de me répondre : « Et moi, d’avoir tes massages ! ».
Son visage, devant le mien, ses yeux si jolis et si intenses qui me fixaient, faisaient, de ce moment, un instant merveilleux.
J’avais l’impression de regarder à l’intérieur de ses yeux, de sentir l’essence même de ma mère et de partager la mienne.
Nous sommes restés plusieurs minutes, silencieux, à se pénétrer mutuellement du regard.
« Maman, je peux te dire quelque chose d’important ? »
Elle me regarda et me sourit en me fixant des yeux :
« Je sais exactement ce que tu ressens et veux me dire ! »
Puis, d’un geste tendre, elle caressa de nouveau mon visage de sa main.
« Comment sais-tu ce que j’ai à dire ? »
Elle me répondit, en parlant à voix basse :
« Daniel, mon amour, tu es si jeune et tu as maintes choses à apprendre sur l’Amour !
.. Quand deux personnes s’ouvrent intérieurement, comme nous venons de le faire, ce qui est, déjà assez rare dans la vie d’une personne, ils échangent beaucoup plus que tu ne peux le raisonner !
.. Que ressentais-tu de moi, lorsque tu me regardais, Daniel ?
Je ne saurais pas l’expliquer, c’était comme si le temps s’était arrêté et qu’il n’y avait plus rien d’autre que toi et moi à ce moment !
.. Je ressentais une espèce d’euphorie, comme si le sol se dérobait sous moi !
Tu vois, Daniel, toutes ces sensations et émotions sont nouvelles pour toi, elles se mêlent les unes aux autres, car tu ne sais les différencier, mais avec le temps tu apprendras à t’oublier, à t’abandonner dans ce regard et là, à ce moment précis, tu sauras exactement ce que l’autre personne ressent !
.. Un jour, tu vivras cela avec la femme de tes rêves et vous partagerez cette merveilleuse expérience ! »
Je souris à ma mère et à mon tour, je caressai son visage angélique :
« Et si je t’avouais que c’est toi la femme de mes rêves, Maman ?
Daniel, une mère ne devrait jamais partager ce moment avec son fils !
.. D’ailleurs, jamais, je n’aurais dû partager, ne fut-ce qu’un court instant, cette proximité intérieure !
.. Tu es la chair de ma chair, Daniel !
Maman, ce que j’ai ressenti, est la plus belle chose qu’il m’ait été donné de vivre jusqu’à présent et toi, tu me dis que nous ne devrions pas vivre cette expérience ?
.. Maman, nous nous sommes seulement regardés dans les yeux, en tout respect !
Daniel, sais-tu ce que représente de partager cet instant où tu mets ton âme à nu devant l’autre ?
.. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme et c’est vrai… !
.. Tu viens d’en faire l’expérience et c’est bien plus que du respect !
.. Alors, j’ai ressenti, aussi, que tu voulais partager ton être avec le mien !
.. N’ai-je pas raison, Daniel ?
.. Alors soit honnête et réponds à ma question :
.. As-tu bien ressenti ce que tu ressens pour moi et qui m’a habité quelques instants ?
.. Plutôt que de me répondre, regarde-moi dans les yeux !
.. Daniel, si je te regarde encore comme nous nous sommes regardés tantôt, nos vies pourraient être assurément complètement chamboulées, plus rien ne serait comme avant !
Maman, je suis prêt à accepter les conséquences, pourvu que ce soit avec toi ! »
Des larmes apparurent dans ses yeux.
« Qu’est-ce que tu as Maman ?
J’ai toujours su que ce moment arriverait, Daniel… !
.. Lorsque je te regardais, tout petit et que je te souriais tendrement tu te souviens… ?
.. Je ressentais déjà que nous allions vivre, ensemble, ce moment… !
.. Tu pensais vraiment ce que tu viens de me dire ?
Oui je le pense vraiment ! »
Ma mère prit mon visage entre ses mains et me dit :
« Et moi, j’ai peur… !
Peur de quoi, dis-moi ?
De moi, Daniel, de nous… !
Pourquoi ?
Je suis ta mère et je devrais me lever immédiatement et repartir à la maison !
.. Mais j’en suis incapable, car ce que j’ai vu dans tes yeux était si pur et si intense, il y a fort longtemps que je n’ai ressenti ça et ça me fait revivre intérieurement !
Et moi, je veux le sentir à nouveau avec toi, maintenant et pour toujours !
Daniel, je veux te le dire avant, que ta vie et ma vie ne seront jamais plus comme avant !
.. En fait, je ne sais même pas comment elles seront !
.. Alors, tu es vraiment sûr de ce que tu veux ? Il n’y a pas de marche arrière, pas de retour…, tu peux toujours dire non et tout continuera comme avant !
Maman… ! Je le veux plus que tout au monde, j’en suis convaincu !
Je t’aurai prévenu, Daniel, nous faisons probablement une grande erreur !
.. Ce que tu as vécu, tantôt, n’était que bref et vague, mais si nous allons au bout tu…, enfin, tu verras !
.. D’abord et avant tout, Daniel, tu dois me faire une confiance absolue, tu ne recevras que ce que tu es prêt à donner. Donc, plus ton abandon intérieur sera total, plus ce que tu ressentiras sera intense et clair, tu comprends ?
Je ne suis pas vraiment sûr de comprendre, mais j’ai confiance en toi, maman !
Étends tes jambes, je vais me placer par dessus, pour être plus près de toi !
.. Tu es toujours aussi sûr ?
Oui, je suis sûr, mais je tremble… ! »
J’étais toujours assis dans la pelouse, les mains derrière moi pour retenir mon corps. Ma mère m’enfourcha et vint placer son visage tout près du mien, elle portait une jolie robe d’été fleurie qui lui allait juste au dessus du genou.
Le soleil et le vent était agréable. Elle caressa de nouveau mon visage, mais des deux mains, maintenant et me dit à voix basse :
« Regarde-moi, Daniel, si tu t’ouvres et que tu as confiance en moi nous allons vivre un moment que nous n’oublierons jamais de toute notre vie !
.. Et moi aussi, je tremble, si tu veux savoir ! »
Je fixais tendrement les yeux de ma mère et je sentais très bien qu’elle me regardait. C’était comme si elle dénudait mon âme de son regard. Une vague de chaleur monta à mes joues, puis des mots sortirent de ma bouche, à peine audibles :
« J’ai confiance en toi, Maman ! »
Elle me dit à voix basse :
« J’aime quand tu m’appelles Maman !
.. Daniel, sens-tu comme je dénude aussi mon âme pour toi ?
Oui, je le sens… ! »
Puis, elle posa une main sur le bas de mon sternum et me dit tout doucement :
« Tu ressens une chaleur intense, ici, à l’intérieur ?
Ce n’est plus une chaleur intense que je ressens, on dirait plutôt que ma poitrine va prendre feu, c’est presque douloureux, mais quand même agréable !
Sous ma main, est le plexus solaire, mon amour ! C’est par là que nos esprits communiquent, c’est par là que nous ressentons la joie, la peine et toutes les autres émotions !
Tu ressens la même chose ?
Oui, une grande chaleur intense, presque douloureuse, mais agréable ! »
Plus ma mère m’expliquait et plus, je me sentais en confiance devant cette nouvelle sensation. Puis elle me demanda :
« Tu aimes… ?
OUI, beaucoup… ! »
Alors, ma mère qui m’enfourchait toujours, glissa ses deux mains sur mes bras, puis tira pour que je m’étende de tout mon long sur la pelouse. Ensuite, elle pencha son corps au-dessus du mien, puis mit ses mains dans les miennes, nos doigts entrecroisés.
Son visage, directement au-dessus du mien, son nez presque collé au mien, ses lèvres frôlant les miennes, elle me dit tout bas :
« Laisse-toi aller, Daniel et plonge profondément dans mon âme, je t’accueille dans mon être ! »
Je pensais, à ce moment, que la poitrine allait m’exploser, tellement la douleur au plexus était grande et intense et les paroles de ma mère provoquaient, en moi, une érection tout aussi intense.
Elle me dit en susurrant :
« Dis-moi ce que tu vois et ressens, Daniel ! »
Sa longue chevelure entourait nos visages.
« Dis-le-moi, Daniel, dis-moi tout !
Je t’aime, Maman !
Je t’aime aussi, mon fils ! »
En disant ces mots, une explosion se produisit en moi, mes joues devaient être écarlates.
« Ma mère, mon amour… !
Mon fils, mon amour… ! »
Nos doigts se serraient très fort…
Puis, se relevant légèrement, ma mère me dit encore, en me fixant dans les yeux :
« Daniel, mon amour, dis-le moi, je ressens la même chose pour toi ! »
Le souffle de ma mère avait accéléré, je sentais dans ses yeux qu’elle perdait peu à peu le contrôle de son corps. Le feu de son âme se répandait dans ses veines.
Je sentais les cuisses de ma mère s’entrouvrir, naturellement, comme guidées par une force qu’elle ne pouvait contrôler. Son bassin, au-dessus du mien et plus elle écartait ses cuisses et plus je sentais sa vulve contre mon pénis en érection.
Sa robe remontait sur ses cuisses, tant elles étaient entrouvertes.
Ma mère, en me regardant, bougea doucement son bassin et je sentis clairement, à travers mon short mince et sa petite culotte que mon pénis en érection était très bien positionné entre les grandes lèvres de sa vulve.
« C’est à toi, Daniel, à traverser la dernière barrière qui nous sépare, dis-le ! »
Le ton de ma mère, les derniers mots prononcés avec peine.
« Maman, je veux ne faire qu’un avec toi, je veux partager tout mon être et me perdre en toi ! Je veux t’appartenir !
Moi aussi, je veux faire un avec toi ! »
À ses mots, elle se releva et retira sa petite culotte sous sa robe, puis elle se mit à genoux et retira mon short.
Elle revint se positionner sur moi et appuya son bassin contre le mien.
Puis sa main se dirigea entre nos corps, jusqu’à ce que je la sente sur mon pénis.
Elle releva légèrement le bassin et je sentis qu’elle le redescendit sur mon pénis
Ma mère poussa un gémissement lorsque mon pénis glissa à l’intérieur de son vagin.
Sa respiration était vraiment intense et chaque mouvement de bassin provoquait un gémissement correspondant.
« AAhhh Daniel, dis-moi encore que tu veux être à moi !
Aahhh Maman… !
J’aime quand tu m’appelles maman ! »
Elle releva son corps, puis mit ses deux mains sur mon thorax. Dans cette position, mon pénis rentrait en elle encore plus profondément et plus intensément. Puis elle parla d’un ton presque bestial :
« Dis-moi que tu m’appartiens, que tu es à moi, Daniel !
Maman, je suis à toi, je t’appartiens !
AAaa !!!! Daniel, j’ai rêvé souvent à ça, au moment où tu t’offrirais à moi ! », me dit-elle, toute essoufflée.
Mes mains saisirent ses fesses et ses cuisses.
« Tu aimes mon corps, Daniel ?, tout en balançant son bassin.
Maman, tu es la plus belle femme du monde, pour moi, tu es parfaite !
Retire-moi ma robe, Daniel ! »
Elle ne me le demanda pas deux fois, je remontai sa robe par dessus sa tête.
Qu’elle était belle, ses seins pointant vers moi, nue, tous les deux dehors, mon corps entre ses cuisses, mon pénis glissant à l’intérieur dans un long mouvement de son bassin.
Je saisis ses seins de mes deux mains, ils étaient si doux, si chauds.
Ma mère ferma les yeux sous mes caresses, s’abandonnant aux plaisirs que je lui procurais.
Tout à coup, j’eus le pressentiment que quelqu’un nous regardait.
Mon père était à la fenêtre, immobile et nous regardait de la maison.
Ma mère réalisa rapidement ce qui ce produisait, en état de panique et me dit :
« Daniel, calme-toi, je savais qu’il nous verrait, tout est ok, relaxe ! »
Je n’arrivais pas à croire et encore moins à comprendre ce que ma mère me disait.
Son bassin continuait à pistonner furieusement mon pénis comme si elle était excitée par la situation. Elle se pencha alors vers moi et mit sa bouche sur la mienne, embrassant mes lèvres et les léchant de sa langue.
Décollant à peine ses lèvres des miennes elle me demanda :
« Tu aimes que je t’embrasse pendant que ton père nous regarde ?
.. Moi ça m’excite terriblement, j’ai toujours rêvé de t’embrasser, toi ! »
Des sentiments contradictoires mhabitaient, cependant les paroles de ma mère remontaient mon niveau d’excitation à un point tel que le fait que mon père nous regarde n’avait plus d’importance.
Je la saisis par la nuque et plaquai sa bouche contre la mienne.
À ma grande surprise, elle entra sa langue dans ma bouche, puis caressa ma langue.
Le plaisir et la situation était si intense que j’éjaculais instantanément.
Ma mère le sentit et accéléra son tempo. Son souffle augmenta, puis elle se redressa complètement et projeta son corps en arrière, prenant appui de ses mains sur mes jambes. Des gémissements, des cris sortaient de sa bouche, jamais je n’avais vu ma mère dans cet état de transe causé par son orgasme.
Après un long moment de silence durant lequel nous flottions tous les deux sur un nuage de plaisir partagé, elle remit ses mains dans les miennes et me dit :
« Ton père a toujours su que ce moment, entre toi et moi, arriverait… !
.. Nous en avons parlé à maintes reprises, ces dernières années, il voyait bien le lien intense et intime que toi et moi, développions ensemble !
.. Et bien que je ne t’en aie jamais parlé, il était au courant, depuis longtemps, pour nos longues sessions quotidiennes de massage !
.. Il y a fort longtemps qu’il n’y a plus rien entre lui et moi, cependant, pour ton père, l’image de la famille traditionnelle est très importante, c’est un homme avec des principes arrêtés, sauf évidemment, le fait que sa femme fasse l’amour à son fils !
.. De plus, il m’a avoué que l’idée l’excitait beaucoup, je me demande, d’ailleurs, s’il a apprécié le spectacle ?
.. Viens rentrons ! »
Ma mère se rhabilla, ramassa le pique nique pendant que j’enfilai mon short et mon chandail, puis avant de partir, elle se tint devant moi, debout et mit ses bras autour de mon cou. Je posai doucement mes mains sur sa taille, elle me regarda droit dans les yeux en souriant :
« Tu n’aurais pas quelque chose à me demander, par hasard ? »
Je lui souris et lui répondis :
« Maman, tu veux sortir avec moi ?
.. Je veux dire, devenir mon Amour ?
OUI, Daniel, je le veux ! »
Et elle m’embrassa tendrement.
Elle prit ensuite ma main dans la sienne et nous retournâmes lentement à la maison.
En chemin elle me demanda en souriant :
« Tu veux des enfants, Daniel ? »
En guise de réponse, je lui souris et me dis intérieurement : « ça c’est une autre histoire ! ». Nous sommes resté silencieux, le reste du chemin.
Yug99