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L'escalier de la luxure…ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! – Chapitre 4

L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! - Chapitre 4



Cécile reprit son souffle en une grande aspiration…elle était encore sidérée, et ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Ma mère la retourna vers elle, la tenant toujours par les cheveux .

Elle darda son regard peu amène dans les yeux de ma femme et l’apostropha :

Alors petite pute, ça fait du bien un peu d’apnée ? J’ai pu voir que tu avais un bon souffle et une bonne condition physique,  lorsque tu as baisé avec mon mari !

-Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, vous êtes folle !

-( Cécile prit une gifle ). Alors d’abord tu ne m’insultes pas, ensuite tu obéis à toutes mes demandes et ensuite tu m’appelles madame à chaque fois que tu t’adresses à moi…compris petite pute ?

-Vous m’avez fait mal. ça va pas non? Et puis quoi encore ?

-( Nouvelle gifle). Bon je crois que l’on ne se comprend pas ! Alors je vais te montrer une petite vidéo qui te fera revenir à de meilleurs sentiments

Et Josiane, démarrant la vidéo qu’elle avait prise de la porte de la cuisine, montra à ma femme la partie de jambes en l’air qu’elle avait entrepris avec mon père. Cécile devint livide et baissa la tête. Elle ne savait que dire, nier l’évidence eut été irrationnelpuis Josiane porta l’estocade.

Bon alors tu as deux choix, pas un de plus. Soit je vais montrer cela à ton mari et la suite est facile à imaginer. Tu aimes ton mari ?

-Oui, même si parfois je le méprise un peu pour sa veulerie, mais je tiens à lui.

-Mon fils te baise bien? Tu prends ton pied avec lui ? Je ne sais pas pourquoi mais je n’en ai pas l’impression

-Hé bien je dois avouer

-( Josiane lui prit le menton); "Madame" !! tu veux une autre gifle ?

-Non madame, excusez moi ! Et bien je n’arrive pas à me sentir bien dans ma sexualité avec lui. Il est très demandeur…mais je n’y arrive pas. Pourtant je sens que j’ai des choses en moi, mais je ne parviens pas à les faire sortir. Je crois qu’il n’est pas assez directif avec moi. J’ai besoin d’une personne qui me domine

-C est bien ce que je pensais. Et bien tu l’as trouvée ! Je vais te prendre sous ma coupe et t’éduquer. Tu vas voir tu vas adorer !

-M’éduquer ? Madame, je ne sais pas si

-Tu n’as pas à réfléchir, tu as seulement à obéir. Tu veux garder ton couple ? Alors tu n’as guère le choix ! Je vais faire de toi ma soumise, mon esclave sexuelle, tu seras là pour obéir à tous mes caprices.

-( Cécile était terrifiée) Mais madame, vous allez me demander quoi ?

-Ici c’est moi qui pose les questions…tu n’es pas en mesure de parlementer, néanmoins je veux bien te donner un échantillon de ce que tu auras à faire. Dorénavant tu t’appelleras Numéro 10… eh oui, il y en a eu 9 avant toi. Quand je t’envoie un sms avec "numéro 10", tu t’apprêtes immédiatement à suivre tous les ordres, sans discuter. En cas de tergiversation, tu seras punie. Tu seras notre jouet sexuel à moi et mon mari. Lorsque je t’interdis d’avoir des relations sexuelles avec mon fils, tu obéis. Lorsque je te dis de faire telle chose avec lui tu obéis aussi. Je te demanderai à chaque fois des preuves photos de l’exécution d mes ordres.

Nous t’emmènerons dans des endroits où tu seras à disposition d’autres personnes de notre choix. Tu seras exhibée dans la rue, ou tout autre endroit selon ma volonté. Tu seras partouzée aussi souvent que je le dirai. Je suis en relation avec des groupes d’hommes qui vont adorer te défoncer par tous les trous. J’ai même un groupe de cinq blacks très bien membrés, qui te prendront avec des engins de plus de 20 centimètres, et je serai là pour me régaler du spectacle. Si l’envie m’en prend tu seras livrée à des animaux.

-Mon dieu…mais je ne pourrais jamais faire tout cela !

-( Nouvelle gifle) "MADAME" ! Petite conne ! Non seulement tu le feras, mais en plus tu y prendras goût, tu peux me croire ! En cas de non respect de nos conditions, tu seras cravachée, fouettée, godée avec des engins énormes, voire brûlée avec de la cire chaude…as tu bien compris ?

-Oui madame .

-Bien , assieds toi sur la table et ouvre tes cuisses, en relevant ta chemise de nuit

-Cécile résignée obtempéra. Tout le dialogue de sa nouvelle maîtresse l’avait terriblement excité; elle ne put le cacher à ma mère, car celle-ci lui passant sa main sur le sexe ouvert et luisant de cyprine, la ressortit toute humide .

Alors tu vois petite pute que tu y prends déjà goût ! Je sais bien que tu n’as pas envie de passer pour la petite salope dépravée que tu es en réalité; mais moi je sais les reconnaitre les petites putes dans ton genre, qui n’assument pas leurs fantasmes. Alors avoue petite pute. Tu as peur ?

-Oui madame

-Tu aimes ça ?

-Oui madame

-( Regardant son mari ). Elle fera tout ce qu’on voudra !

-Oui madame vous avez raison je suis une petite salope dévergondée, et tout ce que vous m’avez expliqué m’a terriblement excité. Je ferai tout ce que vous voudrez

Ma femme était vaincue. Par peur de me perdre, honte de s’être faite prendre la main dans le sac avec mon père, devenant à la fois adultère envers son mari et sa belle mère, et surtout pour réaliser son envie insatiable de vivre sa sexualité qui était très originaledécidément je ne m’étais pas trompé. Elle avait fomenté ce passage à l’acte avec mon père, dans le but de se faire attraper par ma mère. Je me disais qu’elle n’allait pas être déçue.

Josiane alla chercher une feuille de papier sur laquelle elle définit un contrat de soumission de ma femme envers son couple. Les termes, que je devais apprendre plus tard, en étaient extrêmement simples. Ma femme se prêtait avec son consentement express à toutes les lubies sexuelles de ma mère. Elle déclarait y prendre beaucoup de plaisir et acceptait toutes le punitions imaginées par ma génitrice, en cas de manquement de sa part . Bref ma femme devenait leur jouet purement et simplement !

Une fois le contrat signé, numéro 10 eut son "baptême du feu" . Ma mère lui demanda de se déshabiller et de se placer nue, les seins écrasés sur la table, les bras en avant posés sur celle-ci, et les jambes toute grandes ouvertes, reposant sur le sol. Cécile s’exécuta; Josiane sa maitresse, vint alors la palper sous toutes les coutures. Je remarquais que ma mère avait vraiment des tendances lesbiennes, et qu’elle adorait le corps de ma femme…je ne pouvais lui en vouloir sur ce point.

En tout cas elle ne laissa aucune zone érogène au hasard. Tandis que Cécile nue, offerte les jambes écartées, l’abricot bien visible attendait les caresses Elle commença par caresser les chevilles, que ma femme avait bien dessinées, puis elle remonta lentement vers l’intérieur des cuisses, lui causant des frissons de plaisir. Puis une main caressant l’intérieur de chaque cuisse, elle arriva au sexe de ma femme. Elle caressa les grandes lèvres et suivit délicatement leur contour de sa main gauche, tandis que la droite venait exciter le clitoris du bout de l’index. Cécile commença à bouger son bassin, suivant les caresses si douces et expertes prodiguées à son sexe, tandis qu’elle gémissait doucement.

Ne bouge pas salope ! Pas sans mon ordre et interdit de jouir; tu pourras le faire uniquement à mon commandement !

-Bien madame !

Josiane frappa très durement la fesse gauche de Cécile, tandis que sa main droite abandonnait le clitoris et sans avertissement pénétra la fente dilatée de ma femme. Elle poussa un cri de surprise, suite à cette intromission inattendue et à la fessée que Josiane lui administrait en règle. Il était très difficile de savoir si ses cris étaient le reflet de sa jouissance d’avoir trois, puis quatre doigts dans son vagin, ou bien l’effet de sa douleur sous les tapes cuisantes que Josiane prodiguait à ses fesses ? En effet Josiane se régalait de fesser assez durement sa nouvelle soumise, tandis que de sa main elle pénétrait le sexe de Cécile et la limait sans délicatesse. Quand elle sentit que sa jeune soumise était au bord de la pâmoison, elle écourta sa masturbation, et tirant la tête de mon épouse par les cheveux, elle lui introduisit de force ses doigts gluants de cyprine dans la bouche ; Cécile comprit et se mit en devoir de lécher jusqu’à la dernière goutte ses sécrétions intimes.

Josiane revint au charmant petit cul de ma femme et lui caressa les fesses, déjà rougies tandis qu’un doigt inquisiteur tentait de forcer l’illet sombre.

Cécile eut un haut-le-corps sous cette tentative de sodomie, et en gémissant, mais cette fois de douleur dit :

S’il vous plaît madame, pas par là…on ne me l’a jamais fait, j’ai un peu mal !

-Comment? Mon fils, ni aucun autre homme ne t’a jamais enculée? On va rectifier ça. Et puisque tu n’aimes pas ça, tu vas être enculée généreusement ! D’abord par mon mari, et puis après par  moi avec mon gode ceinture. Tu me feras penser aussi à te confier à mes amis blacks qui auront le devoir de ne te prendre que par là ! Tu verras après tout ça, tu vas adorer la sodomie ! J’avoue que j’adorerais aussi voir mon fils te le faire…il faudra que j’y réfléchisse ! Et tu n’es pas en mesure de contester mes décisions ! Ne l’oublies jamais !

-Madame , je vous en supplie, tout ce que vous voudrez mais pas ça. Vous n’avez même pas de lubrifiant. Votre mari va me déchirer l’anus !

Regardant autour d’elle, Josiane, qui avait une imagination perverse et délirante, aperçut les deux objets qui allaient tirer des larmes de joie à sa nouvelle esclave dans les 10 minutes

Regarde petite pute avec ceci je vais te corriger et avec cela, mon mari va te défoncer les entrailles, tu vas adorer ma belle !

(Elle appela mon père qui s’était tenu coi pendant tout ce temps), Franck, amène ta queue tu vas enculer ta belle fille !

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