J’allais chercher de nouvelles cordes pour attacher cette petite conne, j’allais lui apprendre le respect : elle avait essayé de me voler des renseignements que je conservais, fort heureusement, dans un coffre très sophistiqué, avec système de reconnaissance de l’iris – j’avais trouvé de la kétamine sur elle, elle avait voulu me défoncer je pense, j’avais vraiment envie de rire à cette idée ridicule, mais elle était encore jeune – elle avait au moins essayé d’accomplir sa mission. J’avais comme vous pouvez l’imaginer beaucoup d’idées pour la faire gémir de plaisir, mais je voulais cette fois à la fois la frustrer et la faire dégouliner de désir, j’avais de toute façon envie de me reposer également et je n’allais pas la baiser ce soir je pense. Bien que je réalisais ma chance d’avoir capturé une jeune femme aussi belle, on m’envoyait souvent des agents plus musclés et agressifs ; vraiment c’était presque risible, comme si elle avait été piégée, et je ne pouvais m’empêcher à une vengeance de mon ancienne amie et partenaire occasionnelle, la chef de l’agence Alexandrina Volkova.
Il y avait déjà vingt ans elle m’avait trahie, révélant mes activités illégales aux yeux de tous lors d’une importante réunion – j’étais alors le chef de leur agence, mais mon nom avait dû être soigneusement effacé des dossiers afin de me faire passer pour un criminel endurci, idée qu’au fond j’appréciais – et m’avait depuis contraint à la clandestinité et à des activités réellement violentes. Je songeais souvent au fait que ce devait être mon putain de destin après tout, puis je pouvais me payer toute la drogue dont j’avais envie, ainsi que les filles que je voulais – et c’était même valorisé dans mon milieu, alors à quoi bon m’empêcher de m’amuser ? De plus, cette situation d’ascendant sur les filles que je fréquentais me permettait de m’adonner à certaines pratiques sexuelles que d’autres femmes auraient refusées si j’avais été moins riche. J’aimais les prendre, comme ma nouvelle compagne de jeu, attachées, complètement offertes à moi et mes envies, j’aime les voir impuissantes et sanglées dans des parures de cuir, mais les cordes qui rougeoient la peau nue m’excitent aussi tout particulièrement.
J’aime aussi dresser une femme à être mon seul objet de plaisir, la voir s’abandonner à mes ordres – c’est une relation qui demande énormément de confiance malgré ce qu’on pourrait penser – et savoir que je vais la faire hurler, mais la plupart du temps de plaisir. Et comme je l’ai dit toute à l’heure, j’aime beaucoup dépuceler quelqu’un par l’anus, c’est un endroit tellement intime et beaucoup de femmes le refusent même à leurs époux qu’elles disent pourtant aimer, je veux tout leur prendre et les voir jouir de n’être qu’un instrument, mais aux mains de l’expert que je suis devenu au fil des années.
D’ailleurs, je ne crois pas avoir mentionné le fait que je m’appelle Franco, ma mère est née en Argentine – je sais c’est un prénom étrange mais il a toujours plu aux filles, je ne m’en plaignais pas. Je repensais à combien j’avais fait confiance à cette pute d’Alexandra, qui m’envoyait sa petite chienne pour me voler comme un vulgaire dealer – j’allais lui faire payer, en commençant par me défouler sur ma prisonnière. J’allais l’attendre dans la chambre bleue, chargé des accessoires que j’avais envie d’utiliser – j’en avais énormément, vous vous en doutez, et de plus, j’étais assez remonté d’avoir repensé à ce passé, qui malgré toute la coke notamment que je m’enfilais, me frappait régulièrement en plein visage. J’allais au moins contrôler quelque chose aujourd’hui, me dis-je en bandant déjà – cette jeune espionne était excitante et je savais que je devais continuer à la surveiller car elle ne semblait pas comprendre qu’il serait vain d’essayer de s’échapper. J’espère qu’elle s’est bien épilée, puis en souriant je me dis que ça me fera une nouvelle excuse pour éventuellement la punir.
Je la vois entrer dans la chambre, les pieds encore humides, nue et je le vois d’ici, sans poils sur le bas du corps. Je lui dis de s’approcher de moi en souriant, je ne peux pas m’en empêcher car elle est vraiment très appétissante, les cheveux encore mouillés rejetés en arrière, quelques gouttes d’eau qui perlent sur ses bras et ses seins, qu’elle n’essaie même pas de cacher. Ils pointent déjà, je ne sais pas si c’est le froid ou si elle commence, ce que je soupçonnais déjà hier, à réellement apprécier la situation. Je commence à caresser ses lèvres vaginales toutes douces, je rentre rapidement deux doigts dans son vagin et oui, comme je l’imaginais c’est trempé : elle essaie de se dégager – ça m’impressionne qu’elle résiste encore un peu, mais j’aime bien cette attitude rebelle – mais je tiens fermement son bras droit pour la maintenir face à moi. Je lui ordonne de me regarder dans les yeux, elle baisse exprès les siens – j’ai envie d’éclater de rire devant tant d’insolence mais je dois la recadrer.
Je lui attrape violemment l’arrière des cheveux avec la main qui triturait son vagin, elle gémit assez fortement, mais je serre en même temps très fort, elle me regarde enfin, attendant sa sentence. Je lui fais lécher mes doigts plein de mouille, tout en lui imprimant toujours un mouvement puissant sur son bras en serrant toujours : je vois qu’elle souffre mais bébé, ça ne fait que commencer, me dis-je excité en la regardant dans les yeux. J’ai envie de l’attacher et de la laisser là toute la nuit, mais en profitant un peu de son corps avant.
— Ce soir, nous allons t’apprendre à obéir et à te tenir comme une bonne soumise : quand j’entre dans une pièce, tu devras baisser les yeux, mains jointes derrière le dos mais dès que je te parle, tu lèves la tête et me regarde dans les yeux. Je vais te mettre une laisse pour les prochains jours, tu me suivras à quatre pattes cela te musclera les jambes
Bien qu’elle avait déjà une corpulence très mince et ferme que j’appréciais, mais je voulais lui faire peur et lui montrer qu’elle n’allait pas se reposer durant son séjour ici, dont je n’avais d’ailleurs toujours pas décidé s’il serait court ou long…
— Nous verrons selon son potentiel, me dis-je.
— Mets-toi à quatre pattes, dis-je d’un ton froid et dur, sur le lit, mais assez près du bord.
Elle s’exécute, elle est à quatre pattes sur le bord inférieur du grand lit de la chambre dite bleue, puisque les murs sont d’un bleu foncé que j’affectionne beaucoup et c’est une des chambres de ma demeure que j’aime à utiliser pour mes petites fantaisies sexuelles et certains apprentissages – de plus, je l’ai fait depuis longtemps insonoriser. Sa tête et ses fesses me sont accessibles puisque je lui ai demandé de se mettre dans le sens de la largeur du lit : je commence avec chacune de mes mains à caresser ses cheveux et sa croupe, sur laquelle j’exerce une pression pour qu’elle se cambre de plus en plus. Je délaisse ses cheveux pour attraper sa gorge et relever sa tête, lui enfonçant mon pouce dans la bouche, pendant que je commence à titiller son anus encore humide, je vais remplir ses orifices de mes doigts et c’est tout ce qu’elle aura ce soir mais ma belle esclave ne le sait pas, cela me réjouit d’avance de la frustrer. Je caresse délicatement sa raie glabre, c’est très doux et je passe de haut en bas délicatement en accentuant la pression sur son bouton, redevenu étroit pendant la douche malgré le traitement reçu ses derniers temps.
Je sens mon doigt rentrer mais elle oppose encore une résistance, bien que j’ai senti son souffle s’accélérer et je suis sûr qu’elle mouille beaucoup plus que toute à l’heure lorsque j’ai vérifié, je force donc le passage et enfonce mon majeur aux trois quarts, elle se cambre encore sous l’effet de surprise et je peux rentrer tout mon doigt, suivi rapidement d’un autre – autant en profiter non ? – auxquels je fais faire de lents va-et-vient à l’intérieur de son fondement, mon pouce droit toujours enfoncé dans sa bouche, qui dégouline de salive maintenant et l’empêche un peu de respirer. Mais je sais que son souffle court et dû au plaisir qu’elle prend à cette situation, j’ai formé plusieurs jeunes femmes aux vices de la soumission sexuelle et je sais en reconnaître une prometteuse. J’arrête mes massages intérieurs et retire mon pouce de sa bouche, je lui dis de rester tranquille et de bien se cambrer pendant que je vais chercher quelque chose – elle me regarde dans les yeux comme je lui ai ordonné et à ses mots de "quelque chose" je vois un voile de terreur passer devant ses yeux, elle commence à comprendre ce dont je suis capable.
Je vais donc chercher un fouet en cuir assez épais, aux longues lanières munies de petits clous piquants à chaque extrémité – c’était très élaboré et ça pouvait faire assez mal -, une laisse avec un collier de cuir encore – j’adorais imaginer et sentir son frottement sur la peau nue de mes captives – et un plug anal. La table de nuit contenait toujours quelques accessoires complémentaires, comme du lubrifiant, et aujourd’hui un oeuf vibrant ainsi que des cordes : j’avais dû laisser des vestiges de ma dernière petite mise en scène sexuelle, qui d’ailleurs devait remonter à quelque temps, c’est pour cela que j’avais plein d’idées pour torturer cette jeune femme. En plus, le pervers en moi sentait qu’elle était peu expérimentée et voulait la faire jouir comme personne avant lui.
— Mets-toi à genoux au milieu du lit et mets les mains derrière le dos, dis-je en posant tous mes jouets sur le lit à côté d’elle.
Elle y jeta un coup d’il rapide et je vis son expression résignée, elle était encore plus désirable en acceptant son sort et en m’obéissant enfin. Je lui attachais les mains dans le dos d’abord à l’aide des cordes, elle dut relever sa poitrine et je pus lui mettre la laisse, en attachant soigneusement le collier en cuir autour de son cou fin, en serrant assez mais pas trop et en évitant de lui prendre les cheveux dedans. J’attachais ses derniers en queue de cheval haute, en tirant dessus plus fort que nécessaire pour la faire souffrir un peu avant de la laisser pour la nuit. Je décidais d’être clément et mis du lubrifiant sur le plug anal, puis le fit tourner à l’entrée du cul de ma prisonnière, lentement et en le faisant entrer de plus en plus doucement en elle, elle gémissait et j’étais assez excité mais j’allais me contenter d’appeler une de mes vieilles amies pour ce soir. Le plug s’enfonça finalement complètement dans son anus, je voyais seulement le bout dépasser et je le tournais encore un peu pour la sentir se dilater et j’espérais secrètement lui faire un peu mal.
Je disposais de son corps, elle pouvait le sentir et elle réagissait assez bien à ce traitement : je voyais ses lèvres intimes se couvrir de cyprine, j’avais envie d’y enfoncer mes doigts mais je devais me retenir et attendre au moins demain pour la prendre. Je décidais d’ajouter l’oeuf vibrant pour la remplir et faire monter son désir toute la nuit et la voir supplier d’être prise demain matin : cela ne ratait jamais avec les soumises que j’avais formées au fil des années et là le traitement infligé était particulièrement féroce, d’habitude je me contentais d’un des orifices mais elle avait été d’une insolence rare à venir m’attaquer dans ma propre demeure. J’enfonçais aisément l’oeuf dans son vagin et le poussait loin, il vint se cogner au plug à travers la fine paroi qui les séparait : quand j’allais l’allumer, tout son corps allait être en feu. J’attachais le bout de la laisse à la tête de lit en bois massif, l’obligeant à se tenir penchée en avant, je lui mis tout de même un coussin pour appuyer sa tête plus confortablement mais je ne lui mis pas de bâillon :
— Tu pourras crier, et je pense que tu le feras quand l’oeuf sera à pleine puissance.
Dis-je en lui caressant la tête. J’actionnais l’oeuf, d’abord doucement, puis j’augmentais progressivement la puissance, observant ma belle esclave convulser et tenter de garder un visage impassible devant la puissance de son désir. Je la laissais ainsi, j’avais mis l’oeuf à une vitesse changeante pour varier les plaisirs et ses gémissements commençaient à retentir dans la pièce. Dans une heure, je reviendrais éteindre l’oeuf et la laisser brûlante de désir et attachée dans ce lit, pendant qu’elle m’entendra baiser sauvagement avec une autre femme et j’espère qu’elle regrettera de ne pas être à sa place. Puis je pense réactiver l’oeuf pendant une heure et aller dormir, après cela demain elle sera à moi, ou au moins son corps me réclamera si fort qu’elle ne pourra résister.