— Oui d’accord, ben elle vient quand elle veut… on va partager la couette, pas le choix, je vais pas la faire dormir par terre ta copine… OK on fait comme ça, bisous mon amour, à demain.
Moi c’est David et c’était ma copine Sandy au téléphone, en déplacement professionnel cette semaine. Ophélie, sa meilleure amie s’est fait planter aujourd’hui et elle na nulle part où aller dormir ce soir, alors elle lui a gentiment proposé que je l’héberge, dans mon studio. C’est pas que ça me dérange mais ce nest pas très grand chez moi, je vais devoir partager mon lit.
Mais bon, Ophélie est quand même le genre de fille que beaucoup de mecs aimeraient avoir dans son lit. Très jolie, brune, le teint méditerranéen, bien foutue, bref très excitante. A tel point qu’elle fait même envie aux filles. Je le sais car avec Sandy, elles ont été ensemble quelques mois. Sans être lesbiennes à 100%, elles se sont fait plaisir pendant un bout de temps. Parfois Sandy, pendant l’amour, utilise son histoire vécue avec Ophélie pour pimenter un peu nos ébats et m’exciter d’une manière un peu originale.
Elle a toujours été plus délurée que moi, sexuellement parlant. Je me lâche un peu de temps en temps, mais je reste encore relativement sage.
Je passe ma soirée tout seul tranquille, ce n’est que vers 22h qu’Ophélie pointe le bout de son nez.
— Salut David, comment ça va ?
— Bien, et toi ? Qu’est-ce qu’il test arrivé alors ?
— Je devais aller chez une amie et cet après-midi, elle m’a rappelé comme quoi je pouvais plus squatter ce soir, pour je ne sais quelle raison. Ca m’a gonflé, c’est pour ça que j’ai appelé Sandy, voir si y avait moyen de me dépanner.
— Oui t’as eu raison, pas de problème. T’as mangé déjà ? Tu veux quelque chose ?
— Non ça ira merci, je vais juste prendre une douche, je suis fatiguée
— Moi aussi je suis un peu naze, on ira se coucher tôt alors
— Ca me va bien. Encore merci David pour ce soir.
— T’inquiète pas, va.
— Je peux prendre ta salle de bain ?
— Oui vas-y prends ton temps, je déplie le lit pendant ce temps-là.
Je profite d’être un peu seul pour me mettre en T-shirt caleçon, déplier le lit et m’y glisser dedans. 15 minutes plus tard, Ophélie sort de la salle de bain, toute pimpante, bas de pyjama, débardeur soutenant un 90D bien appétissant, quelques effluves de gel douche et de crème de nuit qui ajoute une pointe de douceur à ce spectacle, ma foi, fort plaisant. 90D magnifique que j’ai d’ailleurs pu admirer l’été dernier à la plage en mode topless, un vrai bonheur. J’avoue y repenser parfois, non sans arrière-pensée évidemment.
Ophélie me rejoint sous la couette
— La place est chauffée ? Me dit-elle en rigolant.
— Ah ah, non pas tout à fait désolé.
— Et sinon, ça se passe toujours bien avec Sandy ?
— Oui oui, tout va bien.
— Je vois ça, elle est rayonnante depuis qu’elle est avec toi. Ca devenait vraiment compliqué avec son ex, elle avait dû mal à s’en sortir, heureusement qu’elle t’a rencontré et que tu l’as aidé à s’éloigner de ses emmerdes.
— J’ai fait comme j’ai pu, c’est sûr que c’était compliqué au début mais depuis qu’elle s’est installée dans mon palace de 25m2, ça va mieux.
— C’est clair, je sais pas comment je pourrais te remercier de lui avoir redonné la pêche comme ça.
— T’as pas à me remercier tu sais, c’est naturel
— T’es trop gentil mais bon, il y a quand même quelque chose qu’il faut que je t’avoue. Je peux pas être malhonnête avec toi, et si je garde ça pour moi ça va me mettre mal à l’aise.
— Ben qu’est-ce qu’il y a ?
— Tu sais déjà qu’avec Sandy, on a eu une aventure ensemble il y a quelque temps avant qu’elle te rencontre.
— Oui je suis au courant
— Toutes les deux on parle régulièrement de tout et n’importe quoi et donc forcément de choses intimes.
— Oui j’imagine bien, vous êtes les meilleures amies du monde.
— L’autre week-end, on était toutes les deux, on discutait de sexualité et Sandy m’a avoué que parfois, quand vous faisiez l’amour, elle t’excitait en parlant de moi, de mon corps, de ce qu’on faisait ensemble pendant notre relation…
Je commençais à rougir, et en même temps écouter Ophélie parler de la sorte commençait à me titiller les sens, j’étais quand même légèrement pétrifié.
— Euh… oui, je sais pas trop quoi te dire du coup, lui fis-je tout gêné.
— Plus on parlait de ça et plus ça me donnait envie.
— Envie de quoi ?
— Ben, on avait un peu picolé, on parlait de sexe et du coup je commençais à être un peu chaude quoi. Savoir que j’étais le fruit d’un fantasme, ça m’a fait tout drôle. Alors à un moment, je me suis rapproché de Sandy et je l’ai embrassée, comme à l’époque.
J’étais un peu abasourdi de ce qu’elle me racontait mais je n’étais pas plus choqué que ça. Je ne me sentais pas non plus trahi, c’est pas comme si elle m’avait trompé avec un ex-mec. Je sais pas pourquoi mais avec Ophélie, ça passait.
— Ben écoute, c’est pas trop grave, si tu l’as juste embrassé, je t’en veux pas.
— En fait, le problème c’est que je ne l’ai pas juste embrassé.
— Ah bon, qu’est-ce que vous avez fait ?
— Je l’ai caressé, et puis je l’ai déshabillé, je me suis mise toute nue aussi et ensuite on a fait comme quand on était ensemble.
— Ah carrément ?!
Je ne savais plus quoi dire. J’essayais de réfléchir aux conséquences de cet acte, et en même temps je m’imaginais la scène, follement excitante.
— Sandy et moi on savait pas comment te le dire. J’espère que tu nous en veux pas trop ?
— Ben, j’en sais rien, c’est bizarre quand même
— Je ferais ce que tu veux pour me faire pardonner. Je me sens tellement mal à l’aise vis-à-vis de toi, de tout ce que t’as fait pour Sandy, me dit-elle embarrassée.
J’essayais de relativiser la situation et de dédramatiser la chose, Ophélie était complètement décontenancée et culpabilisait. Elle se sentait responsable de ce qui s’était passé.
— Ecoute, je sais pas quoi dire. Honnêtement je me suis jamais retrouvé dans une telle situation. C’est pas la mort non plus, y a rien de grave. C’est très honnête de ta part de me l’avoir avoué
— T’es pas trop fâché ?
— Non, t’inquiète pas, je vais m’en remettre c’est pas si grave que ça, je t’assure.
— T’es le meilleur, me dit-elle en me donnant un bisou bien appuyé sur la joue.
Puis sur un ton plus gai et plus léger elle enchaîna en relevant légèrement son débardeur:
— Eh ! Si tu veux, pour la peine, je te montre mes seins, Dom Juan !
— Hein !?
— Ah ah la tête que tu fais, elle te plaît pas ma proposition ?
Ophélie continuait de remonter son débardeur tout doucement laissant apparaître le bas de sa poitrine. Je n’en ratais pas une seule miette.
— T’oseras pas, lui lançais-je.
— Ah ouais, tu crois, ça.
Elle remonta son haut jusqu’à l’enlever complètement, me montrant l’intégralité de ses deux magnifiques globes.
— Et hop ! Tu croyais pas que j’oserais.
— Avec toi, on sait jamais
— Alors, ils te plaisent ? Tu me pardonnes avec ça ?
Je tentais le coup de la provoquer un peu, histoire de voir où cette situation pourrait bien nous mener.
— Oh tu sais, c’est pas un scoop non plus, je les ai déjà vus à la plage, tu te souviens pas ?
— Si, et je te voyais bien en train de mater discretos, t’inquiète va, moi aussi j’ai l’il
— Oui mais à la plage ça compte pas.
— Mouais, OK, faut que je trouve autre chose pour me faire pardonner alors.
— Bah oui faudra trouver un peu mieux, lui fis-je avec un léger rictus provocateur.
— Qu’est qu’il te ferait plaisir alors ?
— Sandy, pendant qu’on fait l’amour, me parle beaucoup d’une autre partie de ton corps. Et ça, j’aimerais bien la découvrir.
— Ah ouais ? Et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
— Apparemment tu as un très joli minou, tout doux et très agréable.
— Ah oui, elle a dit ça ?
— Tout à fait.
— Elle a totalement raison, j’ai la plus belle chatte du monde, me répondit-elle en rigolant
Son rire permit d’évacuer un peu de la tension sexuelle qui régnait. Ophélie maîtrise beaucoup mieux ce genre de situation que moi, je ne suis qu’un débutant en la matière et elle a bien cerné mon petit jeu. Elle aurait pu me provoquer aussi mais finalement m’a laissé faire, pour ne pas, je pense, me mettre plus mal à l’aise que je ne l’étais.
— Et si je te la montre, ça réglera notre léger contentieux ?
— Disons que ça sera un bon début de négociations.
— Bon ben, Monsieur ne me laisse pas trop le choix alors, je vais devoir m’exécuter
Sur ces paroles, Ophélie se mit sur le côté dos à moi, et descendit son pyjama me laissant découvrir ses fesses mises en valeur par un string rose de toute beauté.
— Tiens ça, c’est cadeau me dit-elle en rapprochant son postérieur vers moi, si elles te tentent tu as le droit de les toucher
Je ne me fis pas prier et posai ma main sur sa fesse gauche.
— Mmm pas mal, lui avouais-je, très agréable, très joli.
— Monsieur est trop bon.
Le pyjama par terre, elle se remit sur le dos et ramena ses genoux vers elle pour retirer sa culotte, puis rabattit ses jambes sur le lit. Je pus enfin admirer son pubis tant imaginé par le passé. Ce sexe fantasmé se découvrait donc à moi. Ophélie, toujours en toute décontraction :
— Tadaaa ! Et voilà, rien que pour toi. Admire le chef-duvre, ahah !
Je bandais comme pas possible devant ce bijou, elle avait la chatte toute lisse, épilée de près, deux grandes lèvres qui laissent apercevoir juste le capuchon du clitoris.
— Alors, elle te plaît ?
— Elle est magnifique, mais comme ça je peux pas bien la voir, tu voudrais pas écarter les cuisses un petit peu ?
— Monsieur est coquin.
Ophélie s’exécuta. Je me redressais pour pouvoir observer cette fente jusqu’à son périnée et profiter au maximum de son entrejambe. Combien de fois je me suis imaginé en train de pénétrer cet écrin tout en m’insérant dans celui de Sandy ?
— Ah ben je vois qu’elle te plaît, t’est tout raide en bas.
— Effectivement, on ne peut rien te cacher
— Le spectacle te convient alors, tu es satisfait.
— Comme je te l’ai dit tout à l’heure, c’est une bonne base de négociations
— Ah… Et qu’est-ce qu’il te faudrait de plus alors ?
— Sandy ne m’a fait que des compliments tu sais, et j’aimerais bien vérifier ses dires
— Je vois ça, et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
— Qu’elle est très douce par exemple.
— C’est juste, allez, c’est bon, donne-moi ta main.
Ophélie prit ma main et la posa délicatement sur son mont de Vénus. Je commence à la caresser doucement, puis elle fit descendre mes doigts au niveau de son clitoris encore bien caché. Je fais glisser un doigt entre ses lèvres tout le long de la fente jusqu’à l’entrée de son vagin puis le remonte lentement profitant un maximum des sensations.
Sandy ne m’avait pas menti, c’est un bonheur de caresser une chatte aussi douce que ça.
— Ca va, tu profites bien ?
— Elle est ravissante, c’est un vrai plaisir.
— Continue alors !
Le ton humoristique de sa voix disparaît petit à petit. Je continue mes caresses et commence à sentir sa vulve s’ouvrir subtilement. Ophélie commence à prendre du plaisir également, sa fente s’humidifie et ses jambes s’écartent toutes seules.
De mon côté, je n’ai jamais autant été excité de toute ma vie.
— Et sinon qu’est-ce qu’elle ta dit d’autre Sandy sur ma petite chatte ?
— Mmm plein de choses, il paraît qu’elle sent bon.
— Ah oui ? On va vérifier ça alors.
Ophélie passe sa main à l’entrée de son trou pour y récolter un peu de son jus. Elle passe ensuite ses doigts sous ses narines pour me les tendre après :
— Mmmm, c’est vrai qu’elle sent bon, tiens qu’est-ce que t’en penses ?
— Sublime
J’essaie de manière maladroite de frotter mon nez contre ses doigts pour profiter un maximum de ce parfum, ce qui fit rire Ophélie.
— Ah ah attends, je t’en redonne si tu veux, gourmand
Elle repassa ses doigts le long de sa fente et les colla sous mon nez. Quel arôme envoûtant !
— Sandy ne t’a pas dit que j’avais bon goût aussi ?
— Si, j’allais te proposer de vérifier.
— Viens goûter alors, je crois qu’il y a ce qu’il faut
Ophélie me regarda droit dans les yeux en ouvrant grand ses jambes, je me plaçais au milieu et pus contempler sa belle chatte. Je ne loupais pas une miette de la vue. Les lèvres ouvertes et son clitoris sorti de sa cachette, je continuais un petit massage avec mon pouce. J’écartais ses petites lèvres afin d’admirer l’entrée de son trou, tout mouillé, je mis mon majeur à l’entrée et commençais à l’introduire délicatement tout en fixant Ophélie droit dans les yeux. Elle lâchait un petit gémissement.
Je m’allongeais alors sur le ventre et approchai mon visage de son entrejambe. Quelques baisers à l’intérieur de ses cuisses, pour continuer vers le haut du pubis et descendre le long de sa raie avec de petits coups de langue. Je passais ma langue le long de ses lèvres et à l’entrée de son vagin pour y recueillir le jus de son intimité. Son goût valait largement son odeur, d’une douceur exquise. J’en profitais un peu avant de remonter ma langue jusqu’à son clitoris pour entamer un cunni, qui j’espère la fera jouir.
Ophélie à déjà les yeux fermés quand je lèche son clito, elle prend du plaisir autant que moi.
Je prends mon temps pour passer ma langue autour de son petit bouton, pour le sucer et l’aspirer entre mes lèvres. Ophélie continue de gémir doucement. Sans m’arrêter, je lui introduis deux doigts bien profondément pour aller chercher son point G, j’effectue des va-et-vient dans son vagin tout en la léchant.
— Mmm David, han… c’est bon ce que tu fais, continue…
A un moment, Ophélie écarta ses lèvres avec ses doigts pour faire sortir son clitoris
— Vas-y, lèche-moi bien, fais-moi jouir avec ta bouche, surtout t’arrête pas.
Sans broncher, je continuais mon office, au bout de quelques minutes de coups de langue bien placés, je sentais Ophélie arriver au bord de l’orgasme. Elle ondulait le bassin et mit sa main derrière ma tête pour être sûr que je ne stopperais pas avant de terminer.
— Mmmmm, oui…… Haaaan, hannn, ça vient, continue… Haaaaaaaaan !!!
Ophélie explosait littéralement de jouissance, j’avais la tête enfoncée dans son entrejambe, ses cuisses me serraient le visage, collé à sa merveilleuse chatte toute trempée de plaisir, je n’avais jamais fait ça à quiconque auparavant, pas même à ma copine.
— Oh David, c’était trop bon
— Ca t’a plus alors ?
— Grave, je sais pas comment t’as fait mais c’était au top ! Du coup je crois que c’est moi qui ai pris le plus de plaisir.
— C’était également un plaisir pour moi, tu as vraiment la plus belle chatte du monde
— Ah ah merci, mais je vais avoir des scrupules si je te laisse dans cet état-là. T’as la queue qui dépasse du caleçon tellement tu bandes.
— Qu’est-ce que tu proposes alors ?
— Approche, tu vas voir.
Je me plaçais une nouvelle fois entre ses cuisses, et Ophélie descendit mon caleçon
— Mmm, Monsieur est plutôt pas mal à ce niveau.
— Merci ma chère, ravi que ça te plaise.
J’enlevais entièrement mon caleçon, et Ophélie commença à me caresser la verge et après quelques instants de masturbation :
— Viens par là, j’ai envie que tu me la mettes bien au fond de ma chatte
Elle n’allait pas devoir me le répéter, je m’allongeais sur elle et commençais à titiller son clito avec le bout de mon gland et le baladais délicatement entre ses lèvres toutes mouillées et ouvertes de plaisir. Je rapprochais enfin ma queue de l’entrée de son trou.
— Je suis sûr que tu rêves de ce moment à chaque fois que tu baises Sandy. Ca te fait quoi d’avoir ta queue à l’entrée de ma chatte ?
— Ca m’excite encore plus, je vais enfin pouvoir te pénétrer en vrai
— Mmm… Allez, arrête de parler et viens en moi.
Un petit coup de bassin vers l’avant et je sentais ma bite s’enfoncer dans son fourreau chaud et humide, ça glisse tout seul, on y est bien dedans. Sa chatte est aussi douce dedans que dehors. Quelles sensations !!
J’entame alors une série d’allers-retours qui me procurent un plaisir d’enfer, tantôt rapides, tantôt plus lent en essayant de m’enfoncer le plus loin possible dans son corps de rêve.
Je retournais par la suite ma partenaire sur le ventre afin d’admirer son cul pendant que je la baise, j’écarte d’une main une de ses fesses pour admirer son petit trou tout lisse et balade mon pouce dessus, pour tenter pourquoi pas de le rentrer dedans.
— La vue te plaît apparemment, me fit-elle.
— Je ne savais pas que tu avais un cul aussi beau, dis-moi.
— Tu sais qu’il est comme ma chatte.
— Ah bon, c’est-à-dire
— On y est bien dedans, tu veux essayer ?
— Carrément
— Je m’en doutais un peu, coquin. Je vais te préparer l’entrée alors.
Comment refuser une telle proposition. Je sortais ma queue de son vagin, Ophélie recueillit un peu de mouille pour l’appliquer sur son anus.
— Allez, approche ta queue.
Je m’avance et pose mon gland contre sa rondelle, Ophélie pose sa main contre mes fesses pour m’inciter à pousser, je force un peu, le gland commence à rentrer.
— Mmm, ouiiiiii, c’est trop bon, rentre bien à l’intérieur de mon cul
J’appuie un peu plus, lentement je m’introduis et arrive petit à petit jusqu’à la garde. Je n’en crois pas mes yeux, j’ai mon sexe à l’intérieur du cul de la meilleure amie de ma copine. Une fille qui me fait fantasmer depuis des mois et qui m’excite à chaque fois que j’y pense.
— Alors Dom Juan, on rêve ? Fais-moi jouir une deuxième fois.
C’est la première sodomie que je fais, je vais essayer de m’appliquer. A chaque aller-retour, Ophélie gémit et prend son pied comme jamais. Après quelques minutes de ramonage, je sens ma partenaire gémir de plus en plus fort, elle est en train de se caresser pendant que je m’occupe de ses fesses, jusquà ce que je la sente se crisper une nouvelle fois, elle remonte son bassin pour littéralement s’empaler sur moi.
— Haaaaan. Hannnnn. Haaaaaaaaaaaaaannn, ouiiiiiii
Quel orgasme, je nen crois pas mes yeux ! Ophélie s’écroule sur le ventre, complètement essoufflée, je suis toujours à l’intérieur et elle n’a pas l’air de s’en soucier.
— Tu m’as fait jouir deux fois de suite. Putain c’était trop bon ! A ton tour maintenant, sauf si tu veux rester dans mes fesses.
— Euh non, je sais pas en fait
— Allez sors de là, je vais m’occuper de toi.
Je me retire de son cul tout doucement, ma queue est toujours raide, bien évidemment.
— Mets-toi à genoux m’ordonna-t-elle, je vais te soulager avec mes mains et ma bouche, ça te dit ?
— Et comment, ça me dit !
Elle commença à me masturber lentement au début et rapprocha ensuite sa bouche de ma queue qui ne demandait qu’à cracher son jus depuis un moment maintenant. Elle continua ses caresses avec sa langue, jusqu’à enfoncer toute ma queue dans sa bouche.
— Aaaahhhh, c’est trop bon Ophélie
— Mmm tant mieux si ça te plaît.
Elle suçait divinement bien, trop bien même, je savais que j’allais craquer rapidement. J’essaie de me concentrer pour prolonger le plaisir au max mais ce qu’elle me faisait était trop parfait.
— Je sens que je vais jouir Ophélie. C’est excellent ce que t’arrives à faire avec ta bouche
— Merci. T’avais envie de jouir sur moi ?
— J’adorerais, rien que d’y penser, ça me donne envie de tout lâcher d’un coup
— Et tu as envie de te lâcher où ?
— Je sais pas, n’importe où.
— Tu veux le faire sur ma poitrine ? Tu pourras voir ton jus dégouliner sur mes seins, et je pourrais les lécher pour pouvoir goûter ton sperme. Sinon sur ma petite chatte ? Ca te dirait de la souiller en éjaculant dessus ? Ou alors mieux, sur mon visage, comme ça tu pourras gicler directement dans ma bouche.
— Oh Ophélie, j’en peux plus, je vais craquer ! Je veux que tu me branles sur ton visage et que tu me fasses jouir dessus.
— Mmm d’accord.
Elle s’allongea sur le dos et colla ma queue sur ses lèvres entrouvertes, je nai pas résisté très longtemps. Elle m’a branlé sur son joli minois jusqu’à hurler de plaisir sur elle.
— Haan haaaaaan, Aaahhhhhh !
J’ai déversé deux giclées au milieu de son visage, Ophélie prit mon sexe en bouche pour pouvoir recueillir les suivantes et goûter ainsi à ma semence. Ce fut extra !
Je me posais sur les genoux pour contempler mon jus couler au milieu du visage d’Ophélie, tout sourire. Elle prit ma queue et la porta à ses lèvres pour extraire les dernières gouttes de sperme.
— Mmm, voilà je crois qu’il n’y en a plus maintenant, me dit-elle. Tu as vraiment bon goût tu sais, Cindy a beaucoup de chances
— Ah oui t’as bien apprécié ?
— C’est trop bon, rajouta-t-elle toujours ma queue toujours raide dans sa main. Je vois que tu as la forme, tu bandes encore.
— Grave, malgré ce que l’on vient de faire, tu m’excites encore plus.
— Mmmm, tu sais ce qui m’exciterait ?
— Non, dis-moi.
— Ca serait de goûter à ton jus mélangé au mien. Tu crois qu’il t’en reste un peu ?
Je n’arrivais pas à en croire mes oreilles, l’écouter parler de la sorte m’excitait au plus haut point, je ne pouvais décemment pas refuser une telle proposition.
— Allez Dom Juan, tu veux bien revenir entre mes cuisses ? Enfonce-toi bien en moi, j’ai envie de te sentir tout au fond de ma chatte.
Ophélie écarta ses jambes et j’approchais d’abord mon visage de sa vulve, afin de profiter une nouvelle fois de cette odeur sublime, je ne tardai pas à promener ma langue entre ses lèvres pour récolter la liqueur de son intimité. Je fouillais ses moindres recoins de cet antre offert à mes envies jusqu’à insérer ma langue dans son vagin ouvert et trempé. Je m’amusais à lui soulever les cuisses afin d’atteindre son petit trou afin que celui-ci profite également de mes faveurs buccales. Après quelques instants de dégustation, je me décidais à pénétrer son sexe humide et chaud. Pas de tergiversation, je m’introduis d’un seul coup tout au fond ce qui lui fit sortir un gémissement violent et impromptu.
— Haaaaaaaaaaaann ! Oui David… Comme ça… mmm… continue… Bien fort, je veux te sentir tout au fond de moi
— Oh Ophélie ! J’ai tellement envie de te jouir encore une fois dessus.
— Mmm, oui, tu vas tout mettre sur ma chatte. Continue comme ça
Je continuais à la pilonner littéralement, elle en redemandait. Et moi, jamais je n’ai baisé quelqu’un comme ça. Il ne m’a fallu que peu de temps pour sentir une deuxième fois le jus monter.
— Mmm, je vais pas tarder à jouir Ophélie
— Continue encore un peu, je vais venir bientôt aussi ! Caresse-moi le clito.
Je ralentissais mes mouvements afin de lui masturber son petit bouton qui était entièrement sorti. Après quelques secondes je la sentais se raidir. Ma queue encore dedans, je sentais son orgasme de l’intérieur. Son vagin s’est contracté autour de mon sexe enfoncé jusqu’à la garde. Il ne m’en fallait pas plus pour me terminer. Sentant la jouissance monter rapidement, je me retirais et posais mon gland contre sa chatte.
— Oui David, met tout ton jus sur moi, je veux voir ton sperme couler sur ma chatte
Je lâchais tout ce qui restait au fond de mes bourses pour le déverser sur la chatte d’Ophélie. Quel pied ! Mon sperme dégoulinait le long de ses lèvres. Ophélie le ramassait avec ses doigts et l’étalait partout avant de porter ce mélange de fluides à sa bouche.
Elle se délectait de sa mixture.
Moi, totalement repu de cette expérience, je me contentais de regarder la scène d’un il contemplatif.
— Mmm David, je crois que j’ai jamais goûté à quelque chose d’aussi bon, je connais quelqu’un qui aimerait autant que moi je pense
— Je te charge de lui faire la proposition, moi j’aimerais bien aussi tester le mélange de vos mouilles à toutes les deux
— Mais ça serait une bonne idée, petit coquin !