Je me dépêchai de rentrer chez moi, afin de me doucher et de préparer le dîner. J’étais assez honteuse après ce que j’avais fait mais lorsque j’y pensais j’étais excitée. Nous étions en fin de semaine et lundi je devais devenir l’objet d’une femme dominante, qui m’était inconnue, pour 6 jours. Je ne pourrai pas décider de mes temps libres, ce sera à son bon vouloir. Je risquerai d’être fatiguée pour mon travail mais cette situation me convenait. Avant j’étais une coquine, qui était devenue garce, et maintenant j’étais une vraie salope. Je savais maintenant ce que je voulais être dans ma vie sexuelle, offerte à des hommes et des femmes qui disposeraient de moi comme ils le veulent.
Durant le week-end, je m’ennuyais assez, mon copain était la majeure partie des deux jours avec ses amies pour sa passion qui est le tunning. Le lundi matin, en allant sur ma boîte mail j’avais un nouveau message du club.
Aurore,
Voici l’adresse de Nadège : [adresse]. Vous serez à sa disposition chaque soir à partir de 15h30. Bonne continuation.
Lors de mes heures de travail j’étais tout simplement surexcitée. A 15h30, j’étais chez Nadège. Je tapais à la porte et la femme que j’avais vue m’ouvrit. En m’offrant un verre elle m’expliqua qu’elle vivait seule et qu’elle était lesbienne et aimait les femmes beaucoup plus jeune qu’elle. Puis elle m’ordonna de me déshabiller et de me mettre à genoux devant elle. C’était la situation où je me trouvais où j’étais soumise à femme et ma chatte commençait à dégouliner d’excitation. Elle écarta les jambes et je mis ma tête entre ses cuisses. J’avais depuis toute petite le fantasme de coucher avec une femme et il était en train de se concrétiser. Afin d’être une bonne esclave, je m’appliquais à lécher goulûment les grandes et petites lèvres de ma maîtresse et de récupérer toute sa mouille pour l’avaler. Nadège m’attrapa les cheveux et plaqua ma tête contre sa chatte. Ma langue frottait fort sa fente et son trou et j’avalais de plus en plus de son liquide délicieux. Son trou se dilatait progressivement et ma bouche se figea sur son clito que je me suis mise à téter. Gémissant de plus en plus elle jouit rapidement aspergeant ma tête de mouille. Mon maquillage dégoulinait et je posais une main sur ma chatte pour me caresser fortement. Une petite flaque de mouille avait coulé par terre à cause de mon excitation.
C’est alors qu’elle me dit ce qu’elle aimait vraiment :
« – J’aime que les esclaves me servent et me fassent jouir, mais ce que j’aime le plus, c’est de voir mes esclaves prendre leur pied avec ce que je leur fais subir. »
Cette phrase m’angoissait un peu, je m’attendais au pire. Bien évidemment je pouvais dire le mot à dire pour arrêter si elle allait trop loin. Nadège me fit allonger sur le dos et écarta mes jambes. Elle commença à me doigter et inséra rapidement trois de ses doigts qu’elle faisait glisser en moi de façon délectable. Ma mouille faisait office de lubrifiant et j’allais rapidement jouir lorsqu’elle s’arrêta et commença à insérer le quatrième doigt de sa main. Je sentais ma chatte se distendre et je commençais à avoir légèrement mal. Mon trou n’avait reçu dans ma vie que mes doigts et quelques queues, c’était tout. Malgré mes grimacements, Nadège forçait et me doigtait avec les quatre doigts de sa main. Ma chatte commença à s’habituer et prit la forme de sa main. Puis Nadège sortit sa main et l’englua entièrement de lubrifiant.
« – Je peux m’avancer sans me tromper que tu ne t’es jamais faites fister.
— Non. Mais je suis prête. »
J’avais déjà vu des vidéos de femmes qui jouissaient en se faisant fister, et même si l’idée d’avoir une main entière dans ma chatte me faisait peur, j’étais prête à subir pour parfaire mon éducation.
Nadège enfonça ses quatre doigts et mit sa main en forme de bec pour commencer à insérer le pouce. Ma chatte était resserrée par réflexe et les muscles de mon vagin refusaient de s’ouvrir d’avantage malgré ma bonne volonté. Ma maîtresse continua ses va-et-vient durant une dizaine de minutes pour enfoncer sa main jusqu’aux phalanges, le plus gros diamètre. Puis appuyant sur mon bas-ventre elle commença à donner des coups forts de main et força ma chatte pour enfoncer sa main. Je croyais que j’allais mourir. Je ressentais une brûlure immense et je me suis mise à sangloter. Nadège bougeait ses doigts à l’intérieur pour écarteler encore plus ma chatte.
Cela faisait presque un quart d’heure que ma chatte était maltraitée de cette façon, lorsque Nadège commença à frotter mon clitoris avec son pouce, doucement. Elle enduisit son poignet de lubrifiant et commença à s’enfoncer d’avantage. Avec les doigts de son autre main elle appuyait sur mon bas-ventre pour coincer ma peau entre ses deux mains.
« – Laisse toi aller, une bonne salope doit aimer se faire fister. Je vais t’initier à la dilatation, une esclave soumise doit être dilatée chaque jour pour que ses trous puissent êtres assez larges pour recevoir ce que leurs maîtres veulent. »
Mes larmes cessèrent et je sentais les muscles de ma chatte s’habituer à leur nouvelle dilatation et je commençais à apprécier d’être aussi remplie. Nadège butait son poing tout au fond de moi et massait mon clito de plus en plus fort. Je me mis à gémir et l’idée d’être une trainée qui allait jouir en se faisant fister par une vieille femme m’excita encore plus. Nadège continuait de bourrer ma chatte avec sa main et je jouis fortement en hurlant de plaisir. Durant l’orgasme ma maîtresse ressortit sèchement son point et ma chatte se retrouva béante. J’y glissais quelques doigts jusqu’à la fin. Puis Nadège prit congé de moi et je rentrais chez moi avec une douleur assez persistante mais agréable à l’entre jambe. J’étais assez contente d’avoir commencé la dilation de mes orifices, car avoir des trous accueillants avait toujours été un fantasme pour moi.
Le soir même, je quittais mon copain. J’avais plus joui en quelques jours qu’en deux ans avec lui. Nadège m’avait donné un gode rond gonflable, et je m’avais ordonné de dormir avec afin d’agrandir mon vagin. Le premier soir il me gênait assez, surtout que j’avais dû le gonfler plus que ce que ma chatte pouvait accepter. Malgré tout je me fis jouir en massant mon clito et je le gardais toute la nuit. Les jours de la semaine passaient assez vite et je constatais avec plaisir que ma chatte devenait de plus en plus élastique, avec les séances de fisting de Nadège et le gode la nuit. Le matin, en le retirant j’essayais même de me fister et je rentrais des doigts de mes deux mains afin d’agrandir plus ce trou.
Le samedi soir, alors que je me rendais chez elle, je vis Nadège avec un double gode de 45 cm sur les genoux. J’ai de suite pensé qu’elle voulait que l’on se gode toutes les deux, mais sa réponse fut plus bizarre.
« – Ta chatte se dilate chaque jour un peu plus, et j’en suis heureuse. Nous allons passer à ton autre trou, et nous allons essayer de rentrer dans ton ventre ces 45 cm. Je ne suis pas pressée, et nous continuerons même si nous devons y passer la nuit. »
Loin de m’effrayer, Nadège me montra quelques vidéos où je pouvais voir des jeunes filles s’enfoncer des godes de 40 ou 50 cm dans l’anus. Elle m’embrassa sur la bouche et me demanda de m’allonger par terre sur le côté. Elle se mit derrière moi et commença à me caresser et lécher l’anus. Celui-ci commençait à s’ouvrir et elle inséra le début du gode. Il rentra doucement tandis que Nadège massait doucement ma chatte avec sa main. J’appréciais vraiment ce moment. Puis elle me demanda de contracter mon ventre et de me tordre un peu. La progression bloquait et je sentais qu’il ne pouvait pas forcer mes intestins. Je dus me contorsionner un peu plus afin que la progression recommence. Puis Nadège stoppa et fit quelques va-et-vient durant une dizaine de minutes afin d’habituer mon ventre à ce corps étranger. Contrairement au fist, cette séance était délicieuse et agréable, même si parfois je sentais mon anus et mon ventre remplis. Alors qu’une vingtaine de minutes étaient passés et que la moitié du gode était rentré, c’est-à-dire environs 25cm, Nadège me fit lever et mettre en levrette. La séance commença à être douloureuse, car je sentais vraiment que mes boyaux se tordaient afin de se mettre dans la route du gode, et ce, centimètre par centimètre. Je massais frénétiquement ma chatte pour atténuer la douleur et au bout d’une demi-heure, une trentaine de centimètres était rentrée. Je n’arrivais pas à croire qu’il restait 15cm. J’étais vraiment cambrée au maximum et Nadège continuait à m’empaler avec ce gode tout en longueur, centimètre par centimètre. Je devais en même temps contracter mes abdos afin de rentre la paroi de mon ventre dure pour faciliter l’insertion dans les intestins. Au bout d’une heure, 40 cm étaient en moi. Je sentais le bout du godemiché sur l’arrière de mon thorax. Cette sensation était extrême pour moi et totalement nouvelle. Ma chatte dégoulinait et j’étais en pleine extase. Au bout d’une heure et quart, les 45 cm étaient rentrés entièrement, plus rien ne dépassait. Moi qui ne mesurais qu’un mètre soixante dix, je peux vous dire que j’étais remplie du cul jusqu’à la gorge.
« – C’est très bien. Ne fais pas de mouvements brusques. Apprécie cette sensation, ton ventre rempli d’un gode. Maintenant, tu vas le garder une bonne heure et rester ainsi. Tu vas te caresser et te faire jouir sans cesse. »
Et c’est ce que je fis. Je me fis jouir une heure ainsi. Puis Nadège me fit forcer et le gode sortit entièrement. Je m’appliquais à le lécher. Je rentrais chez moi dans la nuit, remplissant ma chatte du gode gonflable et m’endormant rapidement.
Le lendemain, dimanche, Nadège fista mon anus et m’offrit un plug afin d’élargir aussi mon anus. Le dimanche soir Nadège me dit adieu en me donnant l’ordre de dormir avec ses deux sextoys pour que mes muscles se distendent et que mes trous deviennent souples. Dans la nuit, je recevais un mail du club, me donnant l’adresse de mon maître pour la semaine.