Je me suis mariée avec Maria en juillet 2014, une cérémonie champêtre dans un champ du hameau familial. Une semaine avant mon mariage, j’ai eu le droit au fameux EVJF. C’est ma bande de copines d’enfance qui me l’a organisé.
Aline, Marion, Nina, Marine et Cassandra sont venues me cueillir au pied du lit, m’ont fait faire une multitude de gages grotesques en tutu rose. Nous sommes allées dîner dans un restaurant chic, et elle, c’est pendant le dessert qu’elles m’ont annoncé la suite de la soirée. C’était des sexuées traditionnelles, mais elles ont toujours accepté mes déviances et se régalaient de mes péripéties rocambolesques. Elles allaient m’amener dans le studio de Marine, attendre l’arrivée de 5 hommes de confiance qu’elles avaient triés sur le volet pour que m’adonne au gang bang. J’étais la reine du moment, je dirigeais les choses du début, et sonnais la fin du moment quand je le voulais.
Une fois chez mon amie, elles m’ont demandé défiler une robe de mariée bon marché, le voile et la jarretière, elles gloussaient comme des gamines à l’idée d’oser avoir organisé un moment pareil. Les 5 mecs sont arrivés, les filles leur ont ouvert et sont parties en jacassant comme des dindes. C’était 5 athlètes dans le début de la vingtaine, le plus sexy m’a annoncé que je ne connaîtrais pas leurs noms, ils étaient 1,2,3,4 et 5. J’ai dans un premier temps demandé à ce qu’ils embrassent mon corps malgré l’entrave de la robe. Un premier tira d’un coup sec sur mon décolleté pour en faire sortir mes nichons, la robe se déchira et facilita la sortie, un deuxième s’occupa du second néné libre. Deux autres embrassaient mes jambes à partir de la cheville et remontaient en passant la tête sous ma robe, jusqu’à mon entrejambe où leurs langues s’entrechoquaient dans une danse effrénée, tout en balayant mon fond de culotte pour accéder à ma source.
Le dernier à genoux au-dessus de ma tête m’a ouvert la bouche pour jouer dedans avec ses doigts en osant quelques crachats. Mon corps convulsait, mon épiderme était en érection, mes tétons bandaient et prenaient la forme plate et étirée de leurs succions. Ma chatte se contractait pour laisser tomber de gros mollards de mouille gluante et bouillante qui imbibaient le couvre-lit, et commençaient à dessiner une auréole. Je laissais échapper des petits bruits étouffés par la main qui pénétrait ma bouche. Mes yeux se révulsaient, je n’étais que sensation, mon cerveau sétait vidé de toute réflexion. Je ne voyais qu’une lumière blanche éblouissante et sifflement aigu et continu me coupait de tout son extérieur à mon corps.
J’ai réussi à stopper avant de jouir de la manière la plus intense que je n’ai jamais ressentie aussi rapidement, je trouve la force d’articuler un "Stop !". Ils se sont tous instantanément éloignés de moi, je leur ai demandé de m’entourer le visage avec leurs sexes raides. Je levais ma tête pour faire de grosses léchouilles à l’aveugle sur le tas de chibre devant moi. Pendant ce temps, ma main pinçait mon gros clito injecté de sang pour tenter par tous les moyens de lui faire assez mal pour qu’il redescende en excitation. Je me suis assise pour les sucer à tour de rôle, elles se bousculaient devant mon nez, certaines se plantaient dans mon visage, d’autres me fouettaient la gueule en se balançant de gauche à droite. Je me suis dégagée et j’ai sonné le final. Nous avons fait une pause câline, emmêlées les uns sur les autres sur le lit deux places, je me faisais caresser de toute part tout en blaguant.
Nous sommes restés ainsi un long moment, puis j’ai demandé de mallonger sur le dos pour m’empaler sur sa queue, pendant que deux debout derrière moi visitaient mon cul, que 3 et 4 se fassent branler par mes mains, et enfin que 5 pénètrent ma bouche.
Je ne pouvais plus bouger, 5 maintenaient mon visage et se balançaient d’avant en arrière dans mon gosier, 4 & 3 entouraient de leurs paluches, mais mains et secouaient leurs queues contre ma paume, 2 donnait des coups reins secs et rudes dans mon cul et 1 se dandinait sous moi. J’étais contenue, sans défense, transpercée de part en part, mes trous s’étiraient douloureusement. Ma respiration était difficile, forte et saccadée, entravée par le poireau de 5 et par mon essoufflement. Ma tête tournait, je me sentais partir dans les pommes sans que jamais cela ne se produise, encore une fois, tous mes sens me coupent du monde extérieur. Mon corps est un sexe géant, je suis une vaste zone érogène d’1m60. Mes seins se frottent aux poils de 1, ça les irrite et c’est une sensation qui devient agréable, tout comme le déchirement de mes trous, mes haut-le-cur, mes crampes dans les bras et la mâchoire.
La cerise sur le gâteau, les petits cris intérieurs de ma raison qui me voient dans ses conditions en me diffusant la photo du moment. Je me sentais honteusement déviante, je ne pouvais plus tenter de fuir au plus vite cette situation, je me sentais totalement garce, salope, déviante, nympho, malsaine. D’un coup, ma gorge fut bouchée par une sorte de pâte gluante, âpre et épaisse, 5 avait juté. Il s’est reculé pour reprendre ses esprits, je pouvais enfin reprendre de l’oxygène. Mon visage était rouge cramoisi. Sont jus puissant et imposant qui tartinait mon palais et ma gorge me donnaient les haut-le-cur. 1 se tenait immobile, il était en train de se faire masser par les mouvements de bite de son collègue seulement séparé par une paroi, il se faisait masturber dans un endroit chaud et douillet. 2, lui, me défonçait le cul comme un pivert, je n’aime pas forcément les pilloneurs en tant normal, mais là, j’ai pris plaisir à me faire détruire le cul.
Il finit par jouir d’épuisement au fond de moi, des grosses gouttes de sueur glissaient de son front pour s’écraser sur ma chute de reins, dans un effet domina, je me mets à hurler mon orgasme, ma chatte et ma rondelle contractaient douloureusement autour des deux pieux déjà plus tendres qui me transperçaient. Quelques secondes plus tard, les deux secoués à la main m’éclaboussent le visage de leurs jets de sperme.
Nous sommes restés un très long moment étendu, immobile dans un silence religieux. On tentait tous de se remettre de ces tsunamis d’émotions, comprendre ce qu’il venait de nous arriver, et si possible, de reprendre nos esprits. Étonnement, au bout d’un long moment, une idée m’est entrée dans le crâne. J’ai d’abord essayé de la repousser, mais plus j’essayais de la faire taire, plus elle se manifestait au travers de mon corps encore hypersensible. J’ai commencé à me dandiner, il fallait que j’aille au bout. J’ai posé mollement un de mes bras sur mes seins, fait traîner mes doigts jusqu’à mes tétines pour les attraper entre deux doigts et de la tirer. Mon autre main avait planté ses bouts de doigts en crochet dans ma chatte tout en plaquant bien ma paume pour pouvoir la frotter à ma cerise encore bien mûre. Je me suis masturbée au milieu des 5 hommes, qui ne bougeaient pas d’un poil. Ils ressentaient mon plaisir avec l’ouïe et le contact de mes mouvements.
Je tirais mes mamelles et frottais mes mamelles contre ma main, les yeux fermés, je repensais à ce moment. Mes fesses dansaient contre le matelas, je jappais comme un chiot, je faisais exprès de laisser des bruits canins sortir de ma bouche. Je prenais mon pied à grand coup de "Hahouuuuu !", puis j’ai laissé passé une longue plainte sonore, mon corps se contractait vers l’avant, mon buste et mes jambes se relevaient.