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L'histoire de Muriel – Chapitre 22

L'histoire de Muriel - Chapitre 22



— Ça alors !

— Qu’y-a-t-il ? Me demande Lima

— Regarde ce livre, c’est le bouquin d’Anaïs Nin dont nous avions parlé avec ma Tante. Si je m’attendais à ce que ma mère lise ce genre de littérature !

— Peut-être ne la connaissais-tu pas bien !

— Peut-être ! Dire qu’hier en rentrant, j’ai cherché ce livre.

— Tu sais ce qui me ferait plaisir ?

— Dis toujours.

— Nous allons nous coucher et tu me feras la lecture d’un passage.

— D’accord, mais ne compte pas sur cette lecture pour t’endormir. Et n’oublie pas que j’ai mes examens dans six semaines. J’ai cours demain toute la journée.

— Promis, à 11 heures, on éteint les feux.

Nous préparons la table pour le petit-déjeuner puis passons faire un brin de toilette.

— Je suis désolé, ici c’est petit. Il n’ y a qu’une salle de bain pour une personne et un cabinet, également pour une personne. Pas comme à Bures !

— Cela ne me dérange pas. Je vais aller aux cabinets la première, d’accord ?

— D’accord, je me laverai les dents en attendant.

Je vais donc à la salle de bain et je retrouve mon corps nu reflété dans le miroir.

Quand même ! Quel changement entre la petite fille sage, mais qui lisait en cachette des nouvelles érotiques et cette jeune femme qui désormais ne semble avoir plus honte de son corps.

Mes tétons se dressent devant la vision érotique de mon reflet. Pour un peu je recommencerais à me caresser.

Je prends finalement la résolution de penser à autre chose et j’essaye de me concentrer sur ma brosse à dent. Pas très excitante, cette brosse à dent. Quoique ? Décidément, toutes mes idées me ramènent aux plaisirs charnels !

Après m’être rincé la bouche, je décide d’expérimenter les poils de la brosse sur mes jolis tétons. Hum ! Pas mal du tout. Et si…

— Oh là, tu as fini, ma puce ? Me lance Lima en ouvrant la porte.

Je reste interdite devant cette intrusion. Lima éclate de rire.

— Ah, je vois ! Tu recherche ton plaisir dans les objets du quotidien maintenant !

— J’avoue, je suis prise en flagrant délit ! Tu veux essayer sut tes tétons ?

— Je croyais que tu avais cours demain ?

— C’est vrai ! Je te laisse la salle de bain et cours aux toilettes.

— C’est çà ! Et limite toi aux besoins naturels !

— Le plaisir n’en est pas un ?

— Ce serait un bon sujet de philosophie pour tes examens !

— N’est-ce pas ?

Aux toilettes, après mon petit besoin, je ne peux m’empêcher de titiller un peu mon bouton de rose. Mais quelques secondes seulement ! Je deviens raisonnable.

Lorsque je rentre dans la chambre, le lit est déjà ouvert et Lima est assise sur le bord.

— Quel côté préfères-tu ?

— Reste où tu es, cela ma va bien.

— Alors viens et raconte moi une histoire.

Je m’allonge, prends le livre et l’ouvre à la nouvelle qui me plaît le plus, « Le Basque et Bijou ». Je cherche le passage où Bijou va voir son sexe être rasé par le Basque devant les amis de ce dernier. Je commence à lire.

Lima pendant quelques minutes reste couchée sur le dos et ferme bientôt les yeux. Moi qui croyait l’exciter avec cette nouvelle ! Mais je continue la lecture.

Mais déjà la main droite de Lima s’est portée à la hauteur de son mont de Vénus. Sa respiration est désormais plus ample mais elle garde les yeux fermés.

Libérant ma main gauche du livre, je commence à la glisser vers mon sexe et plus particulièrement mon bouton de rose qui était resté sur sa faim. J’essaye de garder un rythme de lecture normal alors que je commence à ressentir les frissons annonciateurs du plaisir.

J’en suis arrivé au passage ou Bijou, écartelée nue devant tous ses hommes, voit son sexe, caressé par le blaireau à barbe, s’ouvrir comme une fleur et commencer à briller de cyprine.

Les mouvements de Lima sur son sexe deviennent frénétiques. Elle se cambre soudain avant de hurler son plaisir. Mince, les voisins ! Je me rappelle heureusement qu’ils sont absents pour quinze jours.

En tout cas, cette pensée a refroidi mon plaisir.

— Oh Muriel ! Merci de ta lecture. C’était vraiment beau et excitant. Tu fais très bien la lecture.

Elle se précipite sur ma bouche pour y enfoncer sa langue.

— Et toi, t’es-tu caressée, me demande-t-elle ?

— Oui, mais ton cri de plaisir m’a fait penser aux voisins qui auraient pu l’entendre. Et mon excitation est retombée comme un souflé.

— Auraient pu ?

— Oui, ils ne sont pas là.

— Alors tant mieux. Je vais pouvoir te faire hurler de plaisir à mon tour. Mais je ne lis pas bien. Alors en te caressant, je vais te raconter une histoire de mon pays.

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