La valse des langues est agréable danse, Charlotte était une merveilleuse danseuse.
La main d’Antoine caressa le corps de Charlotte par-dessus sa chemise de nuit. Il n’avait qu’une envie, lui enlever ce tissu qui l’empêchait d’admirer son corps nu, mais il savait aussi qu’il ne fallait pas bruler les étapes.
Il venait déjà d’en passer une primordiale et il savait que la prochaine n’allait pas tarder à suivre. Il lui fallait simplement un peu de patience.
La caresse, même si elle était par-dessus le vêtement, lui confirma qu’elle n’avait pas de soutien-gorge, mais elle portait bien une culotte.
Après ce baiser déchaîné, Antoine s’écarta de Charlotte et la regarda.
– Que tu es belle
Lui dit-il en souriant. Elle le regarda sans rien dire, mais lui rendit son sourire.
Il se leva et s’éloigna d’elle.
– Ou vas-tu ?
– Je vais rentrer chez moi, je ne voudrais pas abuser de la situation et je pense que tu voudrais dormir encore un peu.
– Tu n’abuses de rien et j’aimerais bien que tu restes.
En souriant il se rapprocha d’elle.
Il était maintenant debout devant le canapé. Il lui tendit la main, elle offrit la sienne et d’un geste délicat l’attira vers lui en l’obligeant à se lever.
Elle était maintenant face à lui, il l’attira contre lui et l’embrassa à nouveau. Sa main se posa sur ses fesses et tout en les caressant les pressa contre lui.
Il s’écarta à nouveau.
– Tu te sens mieux ?
– Dans tes bras, oui, j’en ai oublié mon mal de tête.
– Mais ta mère va bientôt rentrer et je ne suis pas certain qu’elle serait de me trouver là avec toi et dans cette tenue.
Elle se regarda, elle avait oublié qu’elle était en chemise de nuit.
– Oh excuse-moi je vais aller prendre une douche et m’habiller. Pour ma mère, ne t’inquiète pas, elle ne rentre que ce soir.
Dit-elle naïvement
Antoine ne chercha pas à la contredire ni à l’arrêter quand elle prit la direction de l’escalier, mais à peine était-elle arrivé en haut qu’il prit le même chemin.
Elle était entrée dans sa chambre sans remarquer qu’il la suivait et avait refermé la porte.
Il frappa.
– Oui ?
Dit-elle un peu surprise que l’on frappe à sa porte.
Antoine ouvrit la porte. Charlotte avait déjà posé sur une chaise quelques-unes de ses affaires, elle le regarda étonné de la voir là.
– je ne voulais pas te déranger, mais
– Non, je préparais mes affaires puis j’allais prendre une douche.
– Oui, si tu veux que je redescende dis le moi, mais
– Non, tu ne m’embêtes pas.
Antoine s’était avancé vers Charlotte en parlant, il était maintenant face à elle et la regardait.
Elle aussi le regardait et ne chercha pas à le fuir quand il lui prit les mains et l’attira à nouveau vers lui.
Ils s’embrassèrent à nouveau.
Ses mains parcouraient son corps, quand sa bouche s’écartait de celle de Charlotte, c’était pour la complimenter.
– Que tu es belle
Ses mains pelotaient ses seins, malaxaient ses fesses
– Que tu es désirable
Il prit ensuite le long tee-shirt de Charlotte par les pans du bas et commença à le relever, elle hésita puis leva les bras.
Elle était maintenant vêtue que de sa seule petite culotte.
Il l’embrassa à nouveau tout en les dirigeants vers le lit.
Quand il fut assez près, il les fit perdre l’équilibre et ils basculèrent sur le matelas.
Ils s’embrassèrent à nouveau, il attendit un peu avant de laisser sa main se glisser sous sa culotte.
Elle posa sa main sur celle d’Antoine et la retira.
– Non
Dit-elle timidement entre deux baisers.
Antoine n’insista pas.
Ils restèrent ensuite allongés l’un à côté de l’autre un bon moment.
Charlotte frissonna et Antoine lui proposa de se glisser sous les couvertures, ce qu’elle fit.
Il l’imita, puis prétextant ne voulant pas avoir trop chaud, il défit son pantalon.
Elle le regarda un peu effrayée, mais il la rassura.
– Vient contre moi, c’est simplement pour que tu puisses dormir contre mon épaule, je ne ferais rien que tu ne veuilles pas faire.
Elle est venue se blottir contre lui, il avait enlevé aussi sa chemise et était simplement en caleçon.
La main d’Antoine caressait doucement le dos de Charlotte, elle soupirait de temps en temps d’aise comme pour lui signifier de continuer.
Puis doucement elle descendit vers son bas ventre, elle caressa l’étoffe de sa culotte, manière d’exciter les lèvres intimes de Charlotte.
Charlotte était bien et oubliait tout.
Sans vraiment s’en rendre compte, elle écarta légèrement les jambes.
Il continua sa caresse initiale, puis chercha à glisser sa main sous le tissu, elle hésita un peu, mais enleva finalement la main d’Antoine.
– Tu ne te caresses jamais à cet endroit
Souffla-il à son oreille.
– Si, cela m’arrive de temps en temps.
Lui répondit-elle timidement.
– Mais pas souvent.
Ajoutait-elle comme pour s’excuser de cette pratique.
– Tu sais, il n’y a rien de mal, tout le monde le fait.
Susurra Antoine à l’oreille de Charlotte tout en couvrant le lobe de multiples baisers.
Sa main se faufila à nouveau dans sa culotte et avant même qu’elle n’essaie de l’empêcher il ajouta :
– Ce plaisir j’aimerais te l’offrir.
La main de Charlotte s’était posée sur celle d’Antoine pour la retirer, mais après ces mots, elle la laissa continuer sa progression.
Antoine venait de gagner une nouvelle bataille, il caressa doucement le petit bouton magique de charlotte.
Il était gonflé et humide.
Pendant que sa main taquinait la framboise de Charlotte, les baisers d’Antoine descendaient de l’oreille vers les seins puis le nombril.
Il enleva ensuite sa main, posa des baisers sur sa culotte toute humide, puis doucement commença à vouloir l’enlever.
– Que fais-tu ?
– Chut, laisse-toi faire, je veux te faire un baiser d’amour.
– Un
– Chut
Il baissa lentement la culotte de Charlotte, elle hésita un peu, puis souleva légèrement les fesses, juste ce qu’il faut pour laisser sa culotte glisser le long de ses jambes.
Ensuite, il commença à lui faire un cunnilingus.
Elle avait déjà entendu parler de cette caresse, mais c’est la première fois qu’on lui faisait elle devait avouer que c’était fort agréable.
Antoine ne voulait pas qu’elle atteigne l’orgasme de cette manière, car il avait peur qu’ensuite elle ne veuille pas continuer et surtout ne lui offre pas ce qu’il était venu chercher.
Charlotte ne s’était pas rendu compte qu’en faisant cette caresse, il avait enlevé son caleçon, ils étaient maintenant tous les deux nus sous la couette.