Voici l’histoire d’une rencontre que j’ai eue avec une femme aux goûts très particuliers. C’est arrivé il y a trois mois, j’ai rencontré Sophie la première fois au cinéma où elle travaille comme hôtesse d’accueil. Je l’ai trouvée tout de suite sublime 25 ans, 1,70 m, brune, cheveux coupés très courts, des yeux gris/verts, une cambrure superbe qui met en valeur ses petites fesses rondes et sa poitrine merveilleuse que j’estime à 90 C. Bref, tout ce qu’il faut là où il faut pour qu’un homme soit tout de suite attiré vers elle.
Je passe donc à la caisse pour prendre mon billet d’entrée et me dirige vers elle pour qu’elle me conduise à une place encore libre. Il faut dire que la salle est presque comble et que Sophie dirige avec d’autres collègues les derniers spectateurs vers les places vacantes. Elle m’accueille avec un large sourire qui me fait tout de suite craquer. Quelle bouche charmante ! Sophie a des lèvres pulpeuses mais pas trop grosses, comme une promesse de paradis. Intérieurement, je me dis que ce doit être terriblement bon de se faire sucer par cette bouche si belle.
Elle doit se rendre compte de l’effet qu’elle a sur moi car son regard change un peu pour devenir plus coquin que l’accueil commercial de tout à l’heure. Elle me frôle pour me précéder et je sens que le contact électrique entre deux personnes attirées l’une vers l’autre se produit. Je la suis en ne quittant pas des yeux sa petite jupe noire qui bouge de façon excitante à chacun de ses pas. Arrivés au rang qu’elle me réserve, elle se retourne vivement et se rend compte de ce que je suis en train de regarder. Un nouveau sourire de feu me fait comprendre qu’elle n’est pas dupe de ce que je regarde. Elle me propose de m’asseoir au bord de la rangée, laissant ainsi une place de libre entre moi et la personne assise à côté.
Sur le moment je ne réalise pas que ceci est calculé. En effet, le noir se fait et le film commence. Peu de temps après, je sens une personne arriver à mon niveau et s’excuser pour venir s’installer à côté de moi. Ce n’est qu’au moment où elle passe devant moi que je l’identifie : c’est elle. Elle est venue me rejoindre, je suis terriblement heureux de cette action car je sais que c’est plus qu’une coïncidence et que ma soirée ne se terminera pas à la fin du film.
À peine est-elle installée qu’une de ses mains se pose sur ma cuisse et remonte jusqu’à mon sexe qui, bien entendu, est gonflé à bloc par l’excitation. Elle commence un massage appuyé de ma queue alors qu’à mon tour je dépose une main sur sa cuisse. Je remonte sous la jupe et ne rencontre aucun tissu. Elle a dû aller retirer sa culotte avant de me rejoindre ou bien elle n’en met jamais, mais toujours est-il que je ne rencontre que son sexe déjà humide. Je me mets alors à caresser son clitoris tout gonflé de désir. Une pression plus forte sur mon sexe m’indique qu’elle apprécie ma caresse. Je la sens onduler sous ma main mais de manière discrète afin de ne pas éveiller l’attention de nos voisins. Je lui enfonce le majeur dans sa chatte trempée, celle-ci se resserre autour de mon doigt et je sens les spasmes de plaisir traverser ma partenaire. Elle jouit, j’en suis certain, ses coups de reins saccadés, sa respiration légèrement irrégulière et surtout le liquide qui s’échappe avec abondance de sa chatte le prouvent. Elle retire ma main et approche son visage du mien pour me dire de l’attendre devant le ciné quand tout le monde sera sorti et que je ne le regretterai pas. Elle accentue le sens de cette phrase par une pression sur ma queue prête à exploser. Puis quitte sa place pour préparer la sortie des spectateurs.
La fin du film arrive, la lumière se fait et tout le monde quitte sa place en direction des sorties. Comme convenu, je l’attends devant le ciné et quinze minutes plus tard les lumières du ciné s’éteignent, la fermeture approche. Les employés sortent, Sophie est parmi eux. Elle me voit et quitte ses collègues pour venir me voir. Elle m’embrasse sur la bouche en enfonçant sa langue et me dit :
— Moi c’est Sophie. On va chez moi ?
Waou quel début, ça promet ! Je lui réponds que moi c’est Chris et que j’accepte d’aller chez elle. Nous nous dirigeons vers sa voiture et nous partons en direction de chez elle. Visiblement, nous sommes tous les deux très impatients d’arriver. Pendant le trajet, je profite du fait qu’elle soit occupée à conduire pour lui caresser les seins au travers de son chemisier blanc. Je sens bien sa poitrine lourde et très bien faite malgré son soutien-gorge. Ses mamelons sont dressés et fermes. Je les fait rouler entre mes doigts, ce qui la fait soupirer de plaisir. Heureusement, nous arrivons déjà.
À peine rentrés, Sophie se jette sur ma ceinture et commence à me défaire le pantalon. Aussi vite, il se retrouve à mes chevilles tout comme mon caleçon.
— J’ai une jouissance d’avance sur toi, dit-elle, on va arranger ça.
Elle m’aspire alors dans sa bouche qui me faisait tellement fantasmer tout à l’heure. Bon sang quelle suceuse, j’étais très loin de me douter de ça. J’y suis tout entier, mes 20 cm y passent tous puis ressortent et entrent de nouveau. Quel pied ! Avec sa langue, elle titille mon gland puis enfourne encore ma bite tout entière. Elle réalise un va-et-vient succulent en serrant les lèvres autour de mon sexe chargé de plaisir. Ses mains se joignent au jeu, me serrant la base de la queue pour l’une et me massant les couilles pour l’autre. Je suis près de craquer, Sophie doit le sentir à ma respiration qui s’accélère. Elle se met alors à me branler lentement sur toute la longueur de mon sexe tout en suivant sa main avec sa bouche, ce qui a pour effet de m’éviter de partir tout de suite tout en prolongeant mon plaisir. Mais s’en est trop, je décharge violemment dans sa bouche et au contact de mon sperme, Sophie se déchaîne, elle accélère le mouvement de la main et de la tête pour que je m’abandonne totalement dans sa bouche gourmande. Pas une goutte n’en réchappe, elle avale tout et continue à me sucer alors que j’ai donné ma dernière giclée il y a déjà quelques temps. Quelle affamée de sperme, je n’en crois pas mes yeux. Elle se redresse enfin pour m’embrasser d’une bouche gluante dont le goût est si agréable. Sophie me fouille la bouche de sa langue encore couverte de mon sperme. C’est un régal d’embrasser une femme de cette manière, très reconnaissant du plaisir qu’elle m’a donné.
Me tenant toujours la queue, elle me conduit vers sa chambre et me pousse sur son lit. Cette fois-ci, c’est moi qui prend la suite des opérations en main. Je la couche sur le dos et descends lentement pour aller me loger sous sa jupe. Moi aussi j’aime faire plaisir avec ma bouche et ma langue. Je commence alors un baiser très doux entre ses cuisses. Ma langue s’insinue entre ses grandes lèvres puis rencontre son clitoris. Ce contact la rend folle, elle ondule du bassin en direction de ma langue pour que j’appuie plus fort sur son petit bouton magique. Ça y est, elle mouille encore terriblement, j’en profite pour avaler une ou deux gorgées de ce nectar si particulier. Puis ma langue descend afin de rencontrer l’entrée de son vagin. Je la taquine un peu du bout de la langue et finalement je lui enfonce aussi loin que j’en suis capable. Sophie s’agrippe alors à mes cheveux pour m’imposer le rythme qu’elle préfère. Après quelques mouvements dans ce canal brûlant, je remonte un peu en direction de son clitoris. J’y suis accueilli par des soupirs grandissants. Je me décide encore à l’emplir avec mon majeur tout en la léchant. Je fait bouger ce doigt qu’elle apprécie tant en elle et me rends compte qu’elle est tellement mouillée que son petit trou du cul doit être tout lubrifié, prêt à être investi. Je ressors alors mon majeur ruisselant et le dirige vers cet orifice si excitant mais pour ne pas léser son vagin, je darde mon index vers ce dernier. D’une seule main, je la pénètre par ses deux orifices accueillants. Le mouvement de mes doigts en elle, aidé de ma langue sur son clitoris, provoque une nouvelle jouissance de ma partenaire. Elle jouit à n’en plus finir, tout son corps est traversé de spasmes, mes doigts sont emprisonnés en elle, elle crie son plaisir tout en s’acharnant sur mes doigts fichés en elle le plus loin possible. Puis finalement, elle se calme, la jouissance s’étant amenuisée.
Je la soulève alors et la retourne. Je la positionne en levrette mais Sophie n’est pas encore remise de son plaisir, ses bras ne la portent plus, elle repose donc sur ses épaules le cul en l’air. Quelle vision magnifique, sa chatte ruisselante et son petit trou offerts. Me revoici avec une érection monumentale, je m’approche alors pour lui remplir la chatte avec autre chose qu’un doigt peu épais. Elle me reçoit dans un soupir de contentement, je m’enfonce tout entier dans son ouverture et je commence à la baiser avec une régularité un peu vacillante du fait des contractions perturbantes de son vagin. Elle accompagne mes coups de reins de halètements qui me disent qu’elle apprécie le traitement que je lui fais subir. D’un pouce, je la sodomise. Un grognement de plaisir m’engage à continuer. Je dilate son anus trempé par ses sécrétions vaginales dans l’espoir de le visiter bientôt. Je n’ai pas longtemps à attendre qu’elle me propose de l’enculer. Je ne me fais pas prier deux fois et ressors de son vagin pour m’accaparer de cet orifice délicieux. Je présente mon gland et surprise, c’est elle qui se tend vers moi, essayant de s’empaler sur ma queue. Je la pénètre en douceur, d’abord le gland puis après quelques va-et-vient pour roder le passage, la queue toute entière. Sophie me demande alors de la bourrer à fond, ce que j’exécute avec le plus grand plaisir. Je l’encule avec une grande amplitude afin de lui faire déguster chaque centimètre que je lui enfonce dans le cul. Mon application n’est pas longue à obtenir des résultats, Sophie se met à nouveau à jouir. Elle se projette de plus en plus fort contre moi pour que je lui défonce le cul bien en profondeur. Le rythme qu’elle m’impose est trop rapide pour moi d’autant plus que son petit trou du cul me serre terriblement, je ne peux me retenir plus longtemps et me libère dans ses entrailles. Ce liquide chaud dans son cul la fait encore accélérer le mouvement et jouir de plus belle.
Et puis nous tombons enfin tous les deux, vaincus, par tout ce plaisir que nous nous sommes offert.