Quelques semaines après l’instauration de la nudité obligatoire, je pouvais faire un premier bilan, et je constatais que celle-ci m’avait beaucoup aidé. Sans nul doute, j’avais pu arriver à mes fins plus rapidement qu’avant. Ainsi j’avais pu culbuter Nadia dans l’ascenseur, et forniquer avec Daniela dans son bureau !
Et je pourrais encore poursuivre l’énumération…
A mon tableau de chasse, il en manque très peu. Mais il manque Zoé, c’est mon gros regret mais il n’est pas trop tard. C’est juste que nos chemins ne se sont pas encore croisés…
Il y a peu, j’ai appris que Zoé m’en voulait ! Elle ne comprend pas pourquoi elle est la seule que je n’ai pas encore approchée et elle veut se venger, mais je n’ai aucune idée de ce qu’elle manigance.
Et puis ce matin, Zoé s’approche de mon bureau :
— Alors tu ne t’intéresses pas à moi ? Tu as pourtant baisé à peu près toutes les filles du bureau. Pourquoi pas moi ?
— Je n’ai rien contre toi, c’est juste le hasard.
— Je ne te crois pas. Tu vas subir ma vengeance !
Sans prévenir, Zoé m’agrippe les roubignoles.
— Si tu ne m’obéis pas, j’en fais de la bouillie !
Avec véhémence, Zoé m’entraîne vers un bureau inoccupé, au centre de l’open-space. Nous sommes debout devant le bureau, bien en vue de tous nos collègues.
Très remontée, Zoé commence une harangue :
— Cet odieux personnage a sauté tout le monde sauf moi ! Regardez ce que je vais lui faire !
Zoé attrape mon sexe et elle commence à me caresser tout doucement. Elle croit peut-être qu’elle va arriver à me faire jouir. Je comprends qu’elle cherche à m’humilier devant tous les collègues !
Mais j’ai la parade : j’introduis mon index entre ses cuisses !
— Qu’est-ce que tu fais ? glapit-elle.
— Je vais te faire jouir moi aussi !
— Ça m’étonnerait ! Tu n’as jamais fait jouir personne.
Ça c’est petit ! Bien sûr quand j’ai coincé Nadia dans l’ascenseur, c’était trop court pour la faire jouir. Mais Zoé ne sait pas tout. Avec Daniela par exemple, ou avec Andréa, nous avions du temps et nous en avons bien profité…
Sans réfléchir, je lui réponds du tac au tac :
— Je parie que je te fais jouir trois fois en dix minutes.
— Pari tenu.
Sans perdre de temps, je l’emmène dans une salle de réunion vide et je lui demande de s’allonger sur la table.
Zoé est très attirante : j’aime ses longs cheveux blonds, ses yeux bleus, son sourire aguicheur. Je m’approche d’elle tout doucement, elle me laisse faire. Alors je pose mes lèvres sur les siennes pour un chaste baiser.
En même temps, j’entame des caresses bien ciblées sur ses seins tout ronds, son ventre plat, je descends jusqu’aux cuisses.
Au bas de son ventre, la peau est douce, il n’y a pas la moindre toison. Mon index va explorer son intimité, en soulevant le capuchon pour atteindre son petit bouton de rose et le masser doucement.
Zoé n’a aucune réaction, elle donne l’impression d’être insensible à toutes les caresses. Elle est complètement contractée !
Mais j’ai les moyens de la dérider. Je rentre un doigt à l’intérieur de sa fente intime, sans obtenir de réaction. Je ne me décourage pas, je continue à masser en appuyant. Puis je mets plusieurs doigts, de plus en plus profondément.
Elle ne devrait pas tarder à jeter l’éponge, si j’en crois mon expérience. Petit à petit, je sens qu’elle se réveille, comme si elle ressentait de légers picotements.
Zoé tente de résister mais c’est peine perdue. Son visage trahit ses sensations : ce sont les prémices de l’orgasme.
Je sens qu’elle capitule, qu’elle abandonne la bataille pour pleinement profiter.
Et soudain c’est l’explosion tant attendue. Telle un pantin, elle se convulse, elle pousse des hurlements stridents !
C’est gagné ! Je marque un premier point !
Je la laisse se reposer avant de repartir pour la deuxième manche. Je suis prêt à mettre l’épée dans le fourreau mais Zoé résiste tant qu’elle peut.
Heureusement, après quelques secondes, elle comprend qu’elle ne pourra pas tenir longtemps. Elle se laisse faire, elle s’ouvre comme une fleur, elle me laisse m’introduire, j’y vais très doucement, sans brusquer.
Zoé est complètement différente maintenant, elle est détendue, elle coopère avec moi et je prends du plaisir avec elle !
Alors je prends mon temps, il faut que ça dure le plus longtemps possible, nous sommes en harmonie, c’est du bonheur pur !
Enfin je me décide à donner plus d’entrain. Zoé répond du tac au tac, elle se donne elle aussi, tout à son plaisir et au mien. Nous sommes désormais à l’unisson, comme si nos corps ne faisaient qu’un. Nous approchons tout doucement du plaisir absolu !
Soudain, je sens qu’elle ne maîtrise plus son corps, elle est prise de tremblements, de hurlements, d’épanchements. C’est un deuxième orgasme, plus fort encore que le précédent, et donc un deuxième point pour moi.
Après une courte pause, je me prépare pour la troisième manche. Je change de stratégie : après le côté face, je vais m’attaquer au côté pile. Je voudrais passer par l’entrée des artistes mais je sens que Zoé se contracte.
Je tente de la rassurer en lui expliquant que je vais être très doux, que je ne vais pas la brusquer, et qu’elle ne sera pas déçue du voyage.
Alors je sens qu’elle se détend à nouveau, elle me laisse entrer par le canal étroit qui s’ouvre petit à petit. J’agis avec douceur et lenteur. Je lui laisse le temps de s’habituer à la situation. Je progresse encore, puis je marque une pause.
Quand j’attaque à nouveau, Zoé réplique immédiatement. Elle est en communion avec moi, nous partageons un moment spécial. Je ne suis pas pressé, je prends mon temps.
Et soudain, sans que je change quoi que ce soit, Zoé semble possédée, elle se trémousse en tous sens, elle hurle de plaisir. Elle vit un orgasme intense, plus encore que le précédent. Je savoure ma victoire, c’est le troisième point que je marque !
Alors j’attends ma récompense car c’est sûr, j’ai droit à mon petit cadeau. C’est une surprise mais j’ai déjà une idée.
Zoé se remet de ses émotions et elle s’approche de moi à nouveau. Elle saisit mon sexe entre ses doigts et je la laisse faire. Sa langue vient me lécher le gland ; c’est déjà une sensation incroyable !
Que dire alors quand ses lèvres purpurines se referment sur ma tige puis remontent très doucement ! Elle me suce comme une experte : elle accélère quand il le faut, et parfois elle s’arrête complètement, attentive à mes réactions.
Plus elle met de l’intensité, et plus elle fait monter mon plaisir jusqu’à l’explosion finale. C’est un orgasme intense et phénoménal ! Je le savoure immobile pendant quelques minutes.
Nous sortons de la salle de réunion et nous sommes assaillis par des collègues qui veulent savoir comment cela s’est passé et si le défi est relevé. Mais c’est peine perdue, par pudeur nous n’en dirons pas un mot.
Pourtant à coup sûr ce moment restera longtemps gravé dans nos mémoires !