Elle ne saurait lui donner un nom, elle n’en avait jamais vu, ni même entendu parler. En le regardant, elle comprend son fonctionnement, et étrangement, cela ne lui fait même pas peur. Comment pourrait-elle vous le décrire ??? Elle sait que c’est là qu’il va commencer à l’initier, qu’il va la voir, la toucher pour la toute première fois. Peut-être même que c’est sur cet engin, qu’il baisera ses différents orifices. Une planche de bois, recouvert de tissu, un rondin de bois, en haut, et en bas. Un gros mécanisme qui permet de l’incliner à sa guise. Pour le moment, il est en position allongée. Lili-Rose a pour ordre de s’y allonger, de mettre un bandeau sur ses yeux, et un bâillon sur sa bouche. Ses jambes doivent être grandes ouvertes, le plus possible, et ses bras, au-dessus de sa tête, comme si elle était attachée. Et à présent, elle doit attendre qu’il rentre. L’attente est longue, ses bras lui font mal, le lit de bois n’est guère confortable. Elle ne sait pas combien de temps elle l’a attendu.
Les clés dans la serrure, il est là, il arrive. Dans quelques secondes, il sera à ses côtés. Son cur bat de nouveau très vite, elle sent l’excitation monter. Il ne vient pas. Elle entend l’eau de la douche, il est juste à côté, elle aimerait tant le rejoindre, mais elle n’en fait rien. L’eau ne coule plus, la porte de la chambre s’ouvre, il s’approche, lui tourne autour, il ne dit rien, ne la touche pas. Elle le sent tout près, sa chatte commence à mouiller, sa respiration s’accélère, elle s’impatiente. Il la regarde longuement, elle est sienne, elle a décidé de s’abandonner à lui. Il retire son bandeau, elle le découvre, il lui sourit. Il retire le bâillon, et sans attendre l’embrasse bien tendrement. Tout son corps est parcouru de frissons, elle a chaud. Elle sent sa langue pénétrer sa bouche, c’est plus brutal, c’est excitant. Il lui dit de descendre de là, de venir à genoux devant lui, et de le sucer. Elle en avait tellement envie, enfin.
Il la tient par les cheveux, elle s’applique. Un peu trop tendre, il lui dit d’ouvrir bien grand la bouche. Elle s’exécute, et c’est à grands coups de reins qu’il baise sa bouche de soumise. Il jouit vite, tellement excité lui aussi. Le sperme, son jus, son nectar lui coule sur la langue, il remplit sa bouche, jaillit au fond de sa gorge, elle le boit, pour la toute première fois, elle le lèche, nettoie sa queue, et, le remercie pour ce cadeau. Il ne l’a toujours pas touchée, elle aimerait tellement. Elle se frotte à lui, caresse sa chatte sur son membre. Il la repousse brutalement, la regardant d’un air très sévère, déçu. Elle réalise qu’elle a fait une erreur, et se sent honteuse. A ses pieds, elle lui demande pardon, et lui dit qu’elle ne recommencera pas. Il ne dit rien, lui plaque la poitrine sur la planche en bois, le dos cambré, les fesses bien dressées, les jambes écartées. Et sa main s’écrase violemment sur ses fesses, ça claque d’une force. Elle crie de surprise, il lui dit de se taire.
Les claques tombent les unes après les autres. Sa peau brûle, c’est sa toute première fessée, et quelle fessée. Elle a mal, retient ses larmes, ses cris. Son cul est écarlate, sa chatte est trempée, dégouline. Sa punition l’a excitée, elle a pris du plaisir. Il ne dit rien, mais il en tire une belle satisfaction. Il bande, ce cul devant lui le rend dingue, cette chatte qui coule pour lui, aussi. Il reprend les fessées, mais moins fortes, ses doigts cinglent son entrejambe, sa chatte, elle gémit de plaisir. Il sent sa cyprine sur ses doigts, il les suce. Sa queue est si raide, il lui écarte bien les fesses, et la sodomise d’un coup sec. Elle gueule un gros coup, il s’enfonce, la matraque. La douleur est vive, elle n’a jamais été prise comme ça. Son orifice est serré, sa queue passe à peine, il va, il vient, gémissant, elle se détend, elle aime ça, apprécie. Il va au plus profond d’elle, jouit de nouveau. Elle ressent de la chaleur en elle, du sperme s’échappe, coule sur son anus, le long de ses fesses.
Il ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits. Elle doit se rallonger sur la planche des sévices. Il remet le bâillon sur la bouche, le bandeau, et attache ses bras au-dessus de sa tête. Il lui attache également les jambes, bien ouvertes, elle ne peut plus bouger. A-t-elle peur ? Il ne s’en préoccupe pas, et lui fait goûter aux différents sévices qu’il affectionne. Pinces aux tétons, pince au clitoris, il joue avec elle, voit jusqu’où il peut aller, la pousse dans ses retranchements. Son visage est marqué pour la douleur, mais elle ne dit rien, elle se montre forte pour son maître, elle veut qu’il soit fier d’elle. Il tire très fort sur les petites chaînes, les pinces la tiraillent, elle a l’impression qu’elles vont la déchirer. Mais, de plus en plus elle aime ça, la douleur est vite oubliée, le plaisir l’emporte. Il est fier d’elle, très fier. Il s’arrête là pour cette première fois. Pour la récompenser, il l’honore de sa queue, il la pénètre, en douceur.
Son membre caresse l’intérieur de son sexe, il va et vient. Il est tendre, prend son temps. Il la voit au bout, elle a envie de jouir, il l’autorise à le faire. Il lui retire vite bandeau, et bâillon, il veut la voir, l’entendre. Elle se laisse aller en même temps que lui. Elle crie fort, se tortille, le regarde. C’est intense. Il gémit aussi. Elle se sent épuisée. Il la détache, la prend dans ses bras, il l’enlace si fort. Ils s’embrassent. Puis il la conduit dans la douche, ils se prélassent tous les deux, se touchent, se caressent, s’embrassent. Ils discutent et rient. Il prend une serviette, et la sèche, ses mains sur elle, elle brûle encore de désir. Elle voit son sexe en érection, elle a envie de lui, mais cette fois, elle ne dit rien, ne tente rien, elle le laisse faire à sa guise. Ils mangent un morceau, discutent encore un peu, puis il l’emmène au lit, et cette nuit-là, lui fait l’amour longuement. Elle s’endort paisiblement, heureuse, et sachant, qu’au réveil, son initiation continuerait.