Voici une histoire que j’ai traduite et adaptée à la langue française il y a quelque temps. Pour linstant j’ai 8 chapitres à votre disposition.
Lilly joue avec son Père
Traduction et adaptation d’un texte Anglais de Whinston que j’ai apprécié il y à quelques années.
L’histoire se passe en 1970.
Chapitre 1 : Lilly se découvre des points communs avec son père
Jacques est assit sur son canapé, une lettre à la main qui vient du directeur du collège de sa fille et il attend qu’elle rentre.
Depuis que sa femme a prit ce travail d’assistante commerciale d’un grand groupe de distribution c’est à lui de gérer la plupart des problèmes que sa fille peut lui causer. Le directeur l’informe qu’il a reçu des plaintes de membres du personnel sur la tenue vestimentaire de sa fille. Il se souvient de l’époque où elle était petite et ce genre dhistoires ne le préoccupait pas. Il se rend compte qu’il n’a jamais vraiment prêté attention à la façon dont sa fille s’habille pour aller au collège et c’est la première fois quil est confronté à ce genre de problème.
Il se redresse quand il entend la porte d’entrée s’ouvrir. Quand Lilly vient vers lui il remarque immédiatement la longueur de sa jupe, c’est une mini jupe qui couvre à peine la courbe de son cul bien arrondi, exhibant ses jambes longues et minces. Sont regard monte vers le haut et ses seins serrés par son étroit chemisier lui paraissent beaucoup plus gros qu’il se les rappelait jusqu’a cet instant. Mais ou est passée ma petite fillec’est une belle jeune femme qui est devant lui et ses yeux redescendant sur ses cuisses. Il ne regarde plus sa fille mais la femme qu’elle est devenue. Et en homme qui admire les courbes d’une femme sexy il commence à ressentir une agitation dans son pantalon.
"Oh mon Dieu, je ne devrais pas penser à çà !"
— Chérie il faut que je te parle !
— Oui, papa, je t’écoute
Lilly en regardant son papa se demande si c’est une bonne ou une mauvaise chose. Il est en polo et short et semble détendu, alors elle espère que ce n’est pas quelque chose de trop mal. Elle se trouve belle et à toujours été attirée par des hommes plus âgés et plus mature que les garçons du collège. Avec la mode des mini-jupes elle remarque souvent des pantalons se déformer quand elle prend le bus et quelle s’installe devant un homme mûr. Et en regardant son père, elle n’est pas vraiment sûre mais elle pourrait jurer qu’elle a vu une légère vibration dans l’entrejambes de son papa.
— J’ai là une lettre de ton directeur qui est mécontent.
— Ohil n’est jamais content, papa.
Répond Lilly avec une expression innocente sur son visage en mordant sa lèvre inférieure.
Jacques de nouveau sens une pression sur son short.
"Pourquoi est-elle si mignonne et sexy» pense-t-il.
Lilly a un petit sourire car maintenant elle est sûre d’avoir vu bouger le tissu de son short. Elle regarde son père dans les yeux et elle voit ce regard qu’ont les profs de sexe masculin quand elle monte au tableau de la classe. Elle aime ces moments là ou elle peut s’amuser à taquinerHum à exciter ces hommes pour mesurer l’effet qu’elle a sur eux. Elle se demande dans quelle mesure elle pourrait "taquiner" son papa.
— Lilly, il s’agit de ta tenue !
Elle pensait bien ce serait le sujet de la lettre du Directeur et c’est une excellente façon de commencer son jeu.
— Ma tenue ? Papa Elle n’est pas jolie ma tenue ?
Dit-elle d’une voix angélique, en faisant une petite moue de lolita.
— Heu, oui mais certaines personne du personnel du collège pense que tut’habille mal
Il bouge un peu car il sent une chaleur dans son entrecuisse qui signale une érection imminente. Il ne le veut pas mais il n’est pas en mesure de l’arrêter si sa fille continue de se dandiner, comme elle le fait, devant lui.
— Quoi ! Toutes mes copines s’habillent comme moi ! Peut-être un peu plus long pour la jupe mais on n’a pas fait Mai 68 pour rien ! Ce n’est pas parce qu’on porte une mini jupe que l’on est une petite salope !
L’utilisation du mot " petite salope" fait battre son cur un peu plus vite. Lilly ne peut pas savoir qu’avant qu’elle naisse, son épouse et lui avaient une activité sexuelle débridée et un de leur jeu de rôle favori était que sa mère joue les jeunes filles salopes et innocentes à la fois. Dans ce jeu il devenait un male pervers et son plaisir était accru. Maintenant, c’est sa fille, sans le vouloir, qui joue ce rôle et c’est encore plus difficile de maîtriser ses pulsions.
— Bébé tu n’es pas une mauvaise fille, mais…
— Oh, papa, apparemment ils me prennent pour une dévergondée et une petite salope s’ils t’envoient une lettre pour çà !
Répond Lilly avec un air contrarié et voyant son père mal à l’aise elle comprend que ses mots font mouche et que son petit jeu fonctionne.
Elle tire ses bras derrière son dos, poussant sa poitrine en avant pour tendre encore plus son chemisier, appliquant sa technique préférée devant ses professeurs mâle du collège.
Jacques commence à transpirer un peu en voyant les seins de sa fille distendre le tissu au point qu’il pense que les boutons de son chemisier vont éclater. Par l’ouverture entre chaque bouton, il peut clairement voir la fente entre les seins de sa petite fille.
— Regarde Papa, ma tenue te met mal à l’aise Regarde moi bien tu veux ?
— Heuuu, ouivoyons
" Mais qu’est ce que je viens de dire ! Je viens d’accepter de laisser ma fille s’exhiber devant moi dans sa tenue hyper sexy et . Oh mon Dieu, elle a l’air bonne à…"
Lilly commence à pousser son jeu un peu plus loin.
— Bon c’est peut-être un peu trop serré. Regarde, si je tire un peu trop mes bras dans mon dos, ma chemise risque de péter et même debout normalement je peux le sentir le tissu qui comprime mes seins.
Elle lève ses yeux et ;
— Cà te gène pas que je te parle de mes seins, papa ?
— Nnon bébébé. Il faut savoir ce qui peut gêner ton Directeur et voir ce que l’on peut améliorer.
— OK, papa
Lilly sourit. D’un petit clin d’il à son entrecuisse elle voit qu’une belle bosse est entrain de se former dans son short et un frisson d’excitation parcoure son jeune corps.
— Bon je pense que pour mon chemisier çà devrait aller. C’est peut-être ma jupe qu’est trop courte et qui cache à peine mes fesses
Et elle tournicote en passant ses mains sur la courbe de son mignon petit cul tout rond. Puis, tournant le dos à son père et le regardant par-dessus son épaule ;
— Ce n’est pas trop serré Vois-tu le contour de mon slip ? Regarde bien Papa
C’en est trop, elle lui demande maintenant de se focaliser sur son mignon petit cul.
Jacques croise ses jambes pour cacher son érection. Des pulsions sexuelles commencent à dominer les pensées raisonnables dans son esprit et il voudrait saisir ce cul qui est juste en face de lui. Il peut voir clairement la marque de son slip sur ses fesses et les lignes qui disparaissent entre elles.
Puis, Lilly fait quelque chose qui n’arrange rien.
— Regarde papa, si je me penche comme pour chercher quelque chose est-ce que l’on voit plus haut
— Muuummm
— Parce que les profs me demandent souvent de prendre ou de ramasser quelque chose en cours
Jacques reste sans voix. Un peu plus haut ? Pense-t-il, on peut voir !
Comme dans une vidéo au ralenti, Lilly se penche et sa mini jupe serrée glisse sur ses cuisses et il est mis à rude épreuve quand le slip apparaît, entre ses belles cuisses, couvrant à peine sa jeune chatte.
Sa bite tressaute dans son short.
— Ils te demandent çà souvent ?
— Tout le temps.
Elle ment. Elle le fait souvent pour les exciter et chaque fois qu’elle se redresse elle peut voir la forme de leur queue qui déforme leur pantalon. Elle a même récemment frôlé, « accidentellement », cette bosse de ses mains, en se relevant et en feignant de perdre l’équilibre.
Se relevant et se retournant vers son père, Lilly, encore une fois, voit de la frustration dans son regard. Elle voit aussi le piquet de tente dans son short et regrette amèrement de ne pas pouvoir le toucher.
C’est la première fois, qu’elle a vraiment envie de lui toucher sa bite. Peut-être parce qu’elle lui paraît plus grande que les autres ou parce qu’elle aime énormément son papa et que çà la rend particulièrement coquine et Lilly continue
— C’est peut-être quand il fait froid ou qu’il pleut
Comment çà ma chérie que veux-tu dire ?
— Ben
Lilly ne sait pas jusqu’ou aller avec son père qui la dévore des yeux, non pas qu’elle à peur de se faire disputer, mais plutôt parce qu’elle commence à ressentir certaines sensations familières qui la rende toute chaude sexuellement.
— Et bien quand il fait froid et humide on peut bien voir mes seins qui pointent sous mon chemisier qui est plaqué sur ma poitrine.
— Tu veux dire qu’on voit ton soutien-gorge ?
Dit Jacques en haletant presque.
— Oui… euh… Eh bien, quand j’en porte un papa. Sinon on voit très bien mes mamelons et mes tétons qui pointent un peu trop.
— Tutune mets pas toujours un soutien-gorge quand tu vas en cours ?
— J’ai grandi un peu vite et mes seins avec, et maman n’a pas eu le temps d’en racheter à ma taille. D’ailleurs, regarde papa, celui que j’ai est un peu petit.
Et avant qu’il ne puisse dire un mot elle fait sauter ses boutons et ouvre son chemisier devant son papa.
Jacques reprend sa respiration un moment interrompue et ce n’est plus sa petite fille qui est devant lui. En face de lui se sont les plus beaux seins qu’il n’a jamais vus. Le soutien-gorge noir a du mal à contenir les larges aréoles. Les deux seins compressés dessinent une ligne sensuelle formant entonnoir ou il serait bon de glisser entre ces deux merveilles son sexe qui lui fait mal,
Lilly n’a jamais été aussi loin dans la provocation d’un homme avant ce jour. Il ne fait pas froid dans la salle de séjour, mais elle sent ses tétons qui se dressent et une chaleur agréable monte entre ses cuisses.
Son papa se penche un peu en avant et ses jambes s’écartent. Elle voit nettement la forme de la bite de son papa se dessiner et elle ne peut retenir un soupir d’envie. Elle est énorme ! Aucun de ses profs n’en a une aussi grande !
— Tu crois que c’est lorsque je ne mets pas de soutien gorge que je fais un peu petite salope ?
— Oui et tu es une sacrée coquine !
— Je suis désolé papa, mais regarde je peux vraiment me passer de soutien.
Lilly n’est pas vraiment sûre de ce qu’elle va faire mais elle ne peut plus reculer maintenant et elle a un nouvel objectif ; elle ne veut plus juste exciter son papa. Elle veut aller plus loin
Lilly laisse tomber son chemisier et d’un doigt dégrafe son soutien gorge qu’elle laisse choir à coté de son chemisier.
Puis, une nouvelle fois, ses bras derrière son dos elle pousse sa poitrine en avant.
Jacques reste bouche bée et sans voix et sa langue humidifie ses lèvres sèches.
Les gros seins de son bébé défient les lois de la gravité. Ils sont parfaitement ronds et plein, et ses petits tétons roses sont tous durs et dressés comme des petites bites de nouveau nés avant de faire pipis. Ils ne demandent qu’à être sucer et c’est ce qu’il aimerait faire mais il s’accroche au canapé.
Lilly est consciente que son papa a envie de toucher ses seins et elle doit admettre, qu’elle voudrait qu’il le fasse pour sentir ses mains sur sa peau. Elle décide donc de passer à l’étape suivante.
— Cà te gène que je te montre mes seins Papa.
— Que quoi
— Ben Si je vois qu’un de mes prof à une bosse comme la tienne dans son pantalon c’est là que je risque d’avoir des ennuis. Tu ne crois pas papa ?
Jacques baisse ses yeux et effectivement c’est impossible de cacher son érection maintenant.
— Jeçà dépendsTu fais quelque chose pour eux comme les toucher ?
— Oh papa, je ne suis pas une petite salope ! Mais je je
Et Lilly d’un air très convaincant, de petite fille prise en faute, fait semblant d’être sur le point de pleurer.
— Ne pleure pas mon bébé dit tout à ton papa qui t’aime.
— Quand je vois je vois leur grosse bossejeje
— Aller, bébé, n’est pas de honte
— J’ai envie de toucher un peu. Mais je ne peux pas le faire !
— C’est très vilain mon petit bébé, mais à ton âge on a des pulsions sexuelles. C’est normal il faut juste résister et attendre le bon moment heuuu, plus tard.
Pendant qu’il prononce ces mots Lilly c’est mis par terre sur ses genoux, entre les jambes de son papa, et doucement laisse courir sa main sur le gros renflement dans son short.
Il pousse un faible gémissement et ferme les yeux.
-Oooh mon bébé, t’es une petite coquine mais tu ne dois pas faire çà. Je suis ton père
Mais sa voix s’affaiblit progressivement.
— Désolé papa, je ne veux pas être une vilaine fille
Mais elle continue à caresser la bite de son papa à travers son short avant dajouter ;
— Mais tu n’aime pas que je fasse çàmon papa d’amour ?
— Ce n’est pas que je n’aime pas çà, jeune fille, mais c’est juste…que
— Eh bien, si tu aimes alors quel est le problème papa ? Je peux te dire un secret papa ?
Il regarde sa fille et qui a un sourire peu sournois sur son visage. Assise sur ses genoux entre ses jambes, ses gros seins lourds bougeant à chacune de ses respirations. Quelques mèches de ses cheveux auburn échappées de sa queue de cheval encadrent son charmant visage mignon.
– Oui, dis-moi bébé.
– J’aime jouer les coquines
Et glissant vers le haut en mettant ses mains sur les genoux de son père,
— et je pense que tu es comme moi
Puis à quelque cm de son oreille elle chuchote,
— Tu veux jouer les coquins avec moi ?
Il sent maintenant ses gros seins et ses tétons durs sur sa poitrine, et son slip est contre sa bite parcourue de constantes vibrations. Il a terriblement chaud aussi bien dans sa tête qu’entre ses cuisses. Il ne sait plus ce qu’il fait mais ses mains se portent sur le dos de sa fille et la caresse doucement de haut en bas.
Lilly laisse échapper un petit gémissement. Elle voulait seulement exciter son papa, mais maintenant elle en veut plus. Elle sent sa bite de plus en plus dure et grosse qui presse contre sa chatte à travers son slip. Sa chatte qui est brûlante de désir. Elle a déjà vu quelques bites avant, mais aucun rapport avec la taille de celle de son papa. Les caresses dans son dos par les grandes mains de son papa la font frissonner partout dans son corps.
Leurs lèvres n’ont jamais été si proches. Lilly a lentement glissé sa langue entre ses propre lèvres et elle a presque lécher son papa avec.
Lentement, elle se lève et remet son chemisier avec juste un bouton au-dessous de la courbe de ses seins.
— Je suis désolé papa je ne voulais pas être si coquine
— Pas la peine de t’excuser ma chérie tu as raison, j’aime aussi jouer à çà…
Il sait bien qu’il n’aurait pas dû dire çà mais, voir sa jeune fille devant lui, ses seins sortis de son chemisier, sa jupe serrée roulée au dessus de ses cuisses révélant une partie de sa douce jeune chatte couverte par son slip noir, font que ses mains commencent inconsciemment à caresser son renflement sous son short.
— Alors si tu aimes jouer au vilain petit papa avec ta fille
Et Lilly se mettant à genoux entre les jambes de son papa à nouveau,
— Alors laisse ta coquine et canaille de fille faire ça.
Elle éloigne les mains de son père de son entrejambes et le caresse à sa place.
— C’est bon, papa ? Tu aime que ta petite fille chérie caresse ta grosse bite si dure ?
— Oh oui jeune fille, j’aime beaucoup çà !
— Je sentais bien que mon papa aimait les vilaines fillesles petites salopes…
Et elle accroche ses doigts sous la ceinture de son short et arrache en même temps le short et son slip.
— Oooh, t’es vraiment une petite salope ! Regarde ce que tu as fait à ton papa.
Dit-il en gémissant quand sa grosse bite palpitante bondit en l’air.
— Oh je suis désolé papa, laisse-moi faire, je vais arranger ça.
Elle saisit la base de sa queue dans une main et elle la caresse lentement de haut en bas avec l’autre. Elle adore les gémissements de plaisir de son papa et elle aime la sensation de sa bite dans ses petites mains. Sa bouche commence à baver mais ce n’est pas la seule partie d’elle, elle sent aussi sa chatte se mouiller. Elle branle son papa un peu plus vite et commence à serrer et masser ses lourdes couilles. Elle les tire doucement. Son père gémit plus fort.
— Mon petit papa aime ce que je lui fais ?
— Oh ouiii bébéouiii T’es plus qu’une coquine ! T’es une belle salope ! Que dirait ta mère si elle nous surprenait comme çà,
— Je n’aimerais pas çà mais si tu veux j’arrête au cas où.
Et Lilly lâche la bite de son papa qui commence à avoir une belle fuite de pré-sperme
— Surtout pas mon bébé ! Je peux gérer ta mère ! S’il te plait continue.
Et doucement, Lilly reprend sa queue une fois de plus. Elle la branle en serrant plus fort, puis, plus rapidement qu’avant, et son papa recommence à gémir très fort.
— Oh mon Dieu bébé, ton papa va… je vais
Ne réalisant pas tout de suite Lilly continue sa branlette.
— Je vais jouir ! grogne-t-il.
Il regarde sa fille et voit toute sa concentration sur son visage pour branler le mieux possible la bite de son papa pendant que ses gros seins se balance au gré de ses mouvements. Et ses couilles éclatent sauvagement libérant son sperme comme sil l’avait entreposé pendant des siècles. Lilly est surprise par la violence des jets et la quantité qui sort par le bout de son gland. La première giclée vole dans les airs et atterrie sur sa joue. Les trois prochaines frappent son menton, son chemisier et ses seins dans son décolleté.
Lilly se penche un peu en arrière pendant que son papa finit de se vider les couilles sur sa main en gémissant et après ce qui semble être la dernière goutte de sperme, Lilly desserre ses mains de la bite de son papa qui commence à rétrécir.
Lilly se lève et essuie ses mains sur sa jupe pendant que son papa la regarde avec son sperme qui dégouline sur son visage et son menton.
— Tu es une sacrée coquine ma fille ! Non, t’es une sacrée salope ! Et je t’aime ma fille chérie.
— C’est toi qui m’as conçue papa. Tel père telle fille ! Et ce n’est que le début Papa !
Si ce début vous mets en bouche je mettrais la suite.
Phantome