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L'INCONNU DU CINEMA – Chapitre 7

L'INCONNU DU CINEMA - Chapitre 7



Le taxi roulait depuis un bon moment et nous avons traversé une partie de la ville sans que je puisse repérer exactement le parcours.

Ensuite, Il sait engouffré sur une départementale qui filait à travers la campagne, nous avons encore roulé un bon moment et je commençais à trouver le temps long.

Le chauffeur sest aperçu de mon impatience.

— Rassurez-vous madame, nous ne sommes plus très loin.

Après quelques minutes de plus, jai aperçu de grandes grilles en fer forgé ouvertes et qui donnaient sur lentrée dun parc boisé, le chauffeur a suivi cette allée qui pénétrait plus profondément dans une espèce de forêt.

La voiture avait nettement ralentie et roulait sur un chemin de graviers, lallée était sombre et fraîche tellement les arbres étaient touffus, un peut plus loin au bout je distinguais comme une clairière.

— Nous arrivons madame

Lallée sest effectivement ouverte sur une immense clairière au centre de laquelle trônait une imposante maison, le taxi sest rapproché et sest arrêté devant les escaliers qui menaient à la porte dentrée.

— Voilà madame, nous y sommes

Il ma ouvert la porte a déposé ma valise à mes pieds et est aussitôt repartis par le même chemin en me laissant seule devant la maison.

Je regardais autour de moi, il régnait un calme troublant avec juste quelques petits oiseaux sifflotant çà et là, le soleil chauffait déjà bien et il ne devait être pas très loin de midi car je commençais à ressentir une petite faim.

Nous avions du rouler plus de deux heures, jétais fatiguée et anxieuse dêtre là à attendre sans savoir à quelle sauce ils allaient me dévorer.

Jai soudain entendu un nouveau bruit de roulement venant de lallée et qui se rapprochait rapidement, jai reconnu la voiture de Marc avec ses vitres teintée, il est venu se garer juste à mes pieds.

— Bonjour Emilie, jespère que vous nattendez pas depuis trop longtemps ?

— Non, on vient juste de me déposer

Portant ma valise et me prenant par la taille il ma dirigé vers la grande porte.

— Venez entrons, vous serez ici comme chez vous

— Cette maison appartient à mon maître, cest sa maison de campagne

Le hall dentrée était très spacieux, donnant sur plusieurs couloirs de chaque cotés et avec un escalier en chêne pour accéder à létage, lambiance était rustique avec les boiseries apparentes, la vraie maison de campagne.

Marc ma fait monter à létage pour mattribuer ma chambre

La pièce était spacieuse, un grand lit en fer forgé, une commode, une immense armoire et deux fauteuils tournés vers le lit.

Marc posa ma valise près du lit et ouvrit une porte pour mindiquer la salle de bain.

La décoration était très campagnarde mais respirait la qualité et le confort, je me suis assise sur le bord du lit et jai pris mon air mijaurée pour demandé à Marc.

— Puis je vous poser une question ?

— Bien sur, toutes les questions que vous voulez

— Suis-je libre de partir ?

Me regardant très sérieusement il sest approché pour me dire :

— A tout moment, vous navez quun mot à dire et tout sarrête, votre liberté vous sera rendue et nous vous oublierons.

— Et si je ne dit rien ?

— Alors nous continuerons à faire de vous ce que bon nous semblera, poursuivant votre éducation jusqu’à en épuiser notre imagination.

Puis il poursuivit en riant :

— Mais je vous rassure, ce nest pas près darrivé, nous sommes inépuisables en la matière, cest nos soumises qui craquent et qui abandonnent leur apprentissage.

— Vos soumises ? Vous en avez dautres ?

— Oui Emilie, vous nêtes pas seule, nous ne tarderons pas à vous mettre en concurrence, mon maître adore ça.

— Bon trêve de discutions, je vous explique les règles, ici vous naurez pas le droit de mettre autre chose que la robe que voici et que vous connaissez déjà.

Effectivement, il sagissait de la même robe quil ma fait porter le jour ou il ma offerte à son maître dans la voiture, fendue jusquen haut des cuisses, dos nu descendant frôler la raie des fesses et un décolleté plus que provocateur.

Cette robe était une véritable tuerie et mallait comme un gant, épousant mes formes en les valorisant à lextrême, on aurait dit du sur mesure.

— Cest le seul vêtement qui vous sera autorisé dans cette demeure, aucun sous vêtement si minuscule quil soit.

Le maître veux que vous soyez toujours disponible, à nimporte quelle heure du jour ou de la nuit et pour qui que ce soit.

Marc ma relevé le visage de façon à plonger dans mon regard.

— Est ce bien compris ?

Sans baisser son regard il attendit ma réponse.

— Oui cest compris

— Jespère que nous naurons pas à vous le rappeler.

— A joubliais, mettez aussi ce loup en dentelles qui sécurisera votre identité.

— Maintenant, préparez vous et redescendez nous rejoindre.

Et dire que mon mari avait insisté pour que je mette dans ma valise tout ce que javais de plus court et sexy possible, le pauvre sil avait su que cela ne servirait pas.

Comme convenu je nai pas mis de culotte ni de soutien gorge, juste des escarpins noir à talon aiguille et le même loup transparent que lautre fois, il me permettait de voir au travers mais il empêchait que lon puisse me reconnaître.

Jétais totalement nue sous le tissu presque transparent et ce nétait pas pour me déplaire et rien que denfiler de nouveau cette robe mes souvenirs sont venus titiller la flamme du plaisir.

Cette robe devait avoir une valeur fétiche ou sentimentale pour le maître pour quil me souhaite ainsi vêtue à chaque rencontre.

Jai ouvert la porte de ma chambre pour redescendre et jai pu distinguer plusieurs personnes qui parlaient juste en bas de lescalier.

— Bonjour chers amis, merci de votre présence

Jai reconnu la voix du maître en me disant que je ne connaissais toujours pas son nom, mais de toute façon il me fallait les rejoindre.

Quitte à y aller, jallais leur sortir le grand jeu, jai gonflé ma poitrine pour darder mes tétons à travers le voile et je me suis approché des escaliers.

Maître à immédiatement repéré ma présence, il ma souri et ma dit :

— Venez ma chère, venez donc nous rejoindre

Plusieurs hommes étaient présents et tous ont regardé dans ma direction, dun seul coup jétais le centre du monde, au fur et à mesure que je descendais les marches je sentais leurs regards insistants qui parcouraient mon corps

Quatre, cinqsept, non huit, ils étaient huit sans compter le Maître, tous de costume vêtus, le plus jeune semblait avoir la trentaine et le plus âgé soixante voir soixante cinq ans, difficile dêtre précise dans ces circonstances.

Coté physique, seul un ou deux me plaisaient vraiment dont le plus jeune, trois, voir quatre autres étaient quelconques mais pas à jeter, bien excitée je ne leur dirais pas non mais les deux derniers eux étaient moins appétissants.

Au premier regard ils respiraient la méchanceté, un visage dur, cétaient de véritables colosses au regard froid et inexpressif, ces deux là me faisaient ressentir de la peur et jappréhendais dêtre leur proie.

— Mon ami, vous nous avez caché une véritable merveille

— Nullement, je viens juste de la découvrir et croyiez moi, il na pas été simple de lapprivoiser.

Arrivée à leur hauteur, il ma tendu la main pour me placer au centre du groupe et il ma fait tournicoter sur moi-même pour mexhiber.

— Elle est belle nest ce pas ? Maintenant messieurs cest à vous de la mériter.

Il mexhibait telle une marchandise, de luxe, mais une marchandise tout de même, sauf que là, ça ne me déplaisais pas, bien au contraire et ma parfaite soumission le rendait encore plus dominateur.

— Messieurs, dans notre monde, nous dirons que cette dame est une première main, mais elle a de réelles compétences que vous approfondirez tout à loisir.

— Venez, il est temps de passer à table.

Me tenant toujours par la main il ma fait entrée la première afin que tous puissent reluquer ma nudité que dévoilait le contre jour au passage de la porte, jai dailleurs entendue plusieurs commentaires salaces.

— Quel corps de déesse son cul semble accueillant des jambes humm magnifiquesetc. Je vous passe les meilleurs dentre eux.

Nous sommes donc entrés dans la salle à manger, une très longue table en chêne massif était en son centre et face à une très grande cheminée comme celle des châteaux.

La table était dressée pour dix couverts, avec le Maître et ses invités, les hommes étaient neuf et surement moi la seule femme cela faisait les dix convives.

Le Maître minstalla en bout de table, quatre invités de chaque coté et lui à lautre bout face à moi.

— Je pense que vous devez tous avoir faim

Aussitôt dit, deux jolies soubrettes nous ont apporté un premier plat et je fus servi la première par une brunette à la voix très douce.

— Chiffonnade de saumons sauvages et toasts beurrés au sel de Guérande.

Maître minvita à commencer et entama la discussion avec ses hôtes

— Mes amis, je vous disais donc que cette nouvelle recrue est une perle rare, surement la femme idéale dont nous rêvons tous.

— Elle est instruite, bien élevé, a beaucoup de charme et délégance malgré quelle ne soit plus une de ces petites nymphettes dont nous avons lhabitude.

— Concernant sa formation à lobéissance elle nest pas encore parfaitement formatée mais ce nest plus quune question de quelques jours et cest dailleurs à ce titre que jai demandé votre présence pour ce petit séjour.

Il parlait de moi comme dune vulgaire marchandise ou plutôt comme un petit animal domestique que lon doit dresser, surement une petite chienne.

Malgré ce fait, qui avec toute ma raison pourrait me révolter, là jécoutais religieusement ses paroles sans même oser regarder autour de moi alors que je sentais toujours tous les regards sur moi.

Je maitrisais mieux mes émotions et savais pertinemment que tout cela navait de rapport quavec le sexe, cétait comme une mise en scène dont jétais lactrice principale.

La petite brunette me servi un deuxième plat:

— Duo de st jacques et ses huîtres poilées.

Les plats était raffinés et délicieux ce qui ajoutait au plaisir de la chair celui de la table.

Maître, continuait à vanter mes qualités et soit disant compétences auprès de ses invités comme si, tel un collectionneur, il faisait monter la valeur dun objet dart.

Mais loin de moffusquer cela commençait à me plaire, mon égo y trouvait surement son compte et toujours sous les regards, je bombais fièrement la poitrine pour dévoiler la marchandise.

Nous avons fini le repas par un excellant dessert glacé, je me serais bien attendue à un petit café pour clôturer ce délicieux moment, mais Maître sest levé et a contourné la table pour venir me reprendre la main:

— Venez passons au salon pour le champagne

Je me sentais de plus en plus détendue, avec toute cette courtoisie et ce savoir vivre mes craintes sestompaient et bien que les intentions perverses des uns et des autres soient évidentes je savais quils me traiteraient correctement.

Je me suis donc retrouvé dans une grande pièce au fond de laquelle trônait une cheminée monumentale, trois grands canapés en cuir et quelques fauteuils ci et là.

Là aussi la décoration était campagnarde et respirait le bois massif, mais mon regard à été capté par une espèce de meuble bizarre qui était exposé au centre.

En nous rapprochant, cela ressemblait à une table gynécologique mais en plus confortable, toute en bois, ses surfaces étaient recouvertes de cuir matelassé et devant sortait deux supports servant à poser les jambes exactement comme chez ma gynéco sauf que là il y avait des lanières de cuir à chaque extrémité.

Juste en face de ce meuble, il y avait une espèce de potence en croix, tel un signe de multiplication, et là aussi des lanières de cuir aux quatre coins.

Juste à coté il y avait une table en chêne sur laquelle était exposé des sortes doutils, objets phalliques, lanières et même différents fouets, il ne fallu pas plus pour comprendre à quel jeu ils allaient me faire participer.

Le S.M. nétait surement pas ma tasse de thé, je connaissais au travers de livres et aussi quelques films érotiques, mais cela ne mattirait pas vraiment.

Le Maître la bien senti car en voyant ces objets javais marqué un temps darrêt et une certaine réticence à aller plus loin dans la pièce

— Ne faite pas la timide, nous allons vous faire découvrir des sensations fantastiques et inexplicables pour le commun des mortels.

Jai eu comme un nud au ventre et jai rapidement perdu de ma superbe assurance, çà je ne lavais pas prévu et dun coup je me suis prise de panique.

Les invités du Maître se sont dispersés confortablement sur les canapés qui nous entouraient et au même instant une jeune femme est entrée portant des coupes sur un plateau.

Jétais si perturbé que je navais même pas percuté quelle était entièrement nue, portant juste des escarpins à talon haut qui lui imposaient une silhouette de rêve.

Elle était très belle, grande avec des courbes magnifiques, un cul et des seins à rendre jalouse toutes les femmes, cétait un véritable canon.

Elle servit chaque invité sans osez les regarder dans les yeux ce qui me permis de penser quelle aussi était une soumise, chacun de ses gestes était sensuel et elle évoluait dans la pièce avec beaucoup de grâce.

Mais le plus surprenant était que lensemble des hommes présent ne semblaient pas lui prêter attention, malgré sa superbe beauté aucun ne semblait la désirer.

Non, cest bien sur moi que les regards étaient fixés, moi qui tremblais comme une feuille, appréhendant les supplices à venir sur ces curieux engins qui me semblaient destinés.

Avec toutes ces émotions, mon ventre se crispait avec la crainte et un certain plaisir naissant que je connaissais bien.

Je fouillais discrètement la pièce des yeux cherchant la présence de Marc qui seule pouvait me rassurer, je me sentais abandonnée et apeurée.

Ils nétaient peut être pas si courtois et galants que ça, cétait surement pour me mettre en confiance et ils mont peut être drogué comme lautre jour pour que je ne puisse pas réagir.

Certes je nétais plus une débutante et javais déjà fait lamour avec mes deux amants en même temps, mais là ils étaient neuf au total et tous me regardaient avec insistance parcourant de leur yeux la moindre parcelle de mon corps.

Les regards étaient si insistants que javais limpression de ressentir leurs caresses sur ma peau alors que personne ne me touchait.

Soudain jai reconnu une voix familière qui ma demandé de minstaller sur la table

— Emilie, venez vous installer

— Cétait Marc il était revenu, je me suis sentie immédiatement rassuré par sa présence, il était pour moi comme une bouée de sauvetage à laquelle jallais me raccrocher.

Il tapota de nouveau sur la table pour mindiquer ce que javais à faire

Tout était prévu, il y avait un petit tabouret sur le coté pour me permettre de grimper sur lautel des offrandes.

Je ne pouvais improviser ma position car elle était prédéterminé, couché sur le dos, les jambes bien écartées avec les pieds calés sur les étrillés, ma tête était posé sur une espèce de cousin épais qui mobligeait à regarder mon entre jambes.

Ce nétait pas inconfortable, mais sous le regard de tous ces hommes cétait très humiliant.

Tout en me parlant Marc prenait une à une les sangles en cuir pour mattacher fermement les pieds et les mains.

— Tout va bien se passer, faite confiance et laisser vous allez

Rien qua entendre ces mots javais de nouveau peur de ce qui allait marriver, je respirais de plus en plus fort érigeant mes seins à chaque bouffé dair ce qui me rendais encore plus impudique.

Pourquoi répétait il que cela allait bien se passer, sil en était si sur, il naurait pas besoin de le dire ni de réclamer ma confiance.

Allait-il mabandonner à cette meute de pervers près à bondir sur leur proie

Marc releva les pans de ma robe de façon à découvrir totalement mes jambes et toute mon intimité qui dans cette position divulguait parfaitement ma vulve avec la fente entre ouverte et juste en haut mon petit bouton rose qui pointait déjà.

Ensuite il à défait le nud retenant la robe autour de ma nuque pour exposer totalement mes seins aux yeux de tous, il ma délicatement titillé les tétons qui se sont fièrement et rapidement érigés.

Ses mains ont parcourus la moindre parcelle de ma peau exposée me faisant frissonner à chaque contact, je me suis détendue et mes yeux se sont fermés pour mieux apprécier linstant.

Ensuite Marc sest retourner vers la table où étaient posés les instruments que jappréhendais, il a pris ce quon appelle un Plug, doré à lor fin et dont le diamètre me faisait craindre de pire.

Il a dévissé un tube de lubrifiant et sans plus de ménagements il men a badigeonné le trou du cul jusquà en lubrifier lintérieur en me pénétrant de ses doigts.

Ce nétait pas la première fois que mon cul se faisait visiter mais là encore la présence de tous ces mâles décuplait toutes les sensations ressenties.

Quelques vas et vient avec ses doigts et jai senti lengin se poser contre ma corolle.

Appuyant fermement, il me dilatait lanus millimètre par millimètre jusqu’à en arriver au plus fort du diamètre qui narrivait pas à pénétrer.

La douleur prenait le dessus et involontairement je me contractais lanus empêchant la totale intrusion du Plug, mais Marc était expérimenté et savait bien quoi faire dans ces cas là.

Il fit semblant de le retirer dun ou deux centimètres afin de me détendre et soudain avec lélan il me la enfoncé dun seul coup.

Il est parfaitement entrée dans ma cavité tout en me soulageant de la douleur qui sest rapidement estompée pour laisser place au plaisir.

Ainsi positionné il ne pouvait plus bouger, ni dans un sens, ni dans lautre et faisait office dintrus permanent, Je conservais cette sensation dêtre dilaté et pénétré par un objet dur et lourd sans que cela soit inconfortable.

Mais sont rôle principal était tout autre, car en étant ainsi dilatée du cul et dans cette position de soumission je ne risquais pas doublier que je nétais quune soumise.

Croyiez moi, ma fente shumidifiait à toute vitesse et je sentais ma cyprine couler le long de ma raie lubrifiant la totalité du sexe au passage.

Marc la aussi constaté et est venu frôler mon clitoris de ses doigts, caresse légère mais qui dans mon état dexcitation ma complètement électrisé au point que mon corps à fait un brusque soubresaut sur lengin de torture.

Rien de mieux pour me rappeler que jétais fermement attachée et décupler mon sentiment dhumiliation.

Marc sest retournez vers le Maître et lui à dit :

— Elle est prête, Monsieur

— Merci mon ami, et bien messieurs nous allons commencer les enchères

Non, je navais pas rêvé, il allait me vendre aux enchères comme un vulgaire putain, mais il était ignoble et ça dépassait tout ce que javais subit dhumiliation jusqu’à là.

Mais Marc anticipa encore ma réaction, discrètement il me branlait le clito avec son pouce libérant des ondes de plaisir dans mon ventre, cela finissait par anéantir ma colère jusqu’à me déculpabiliser dêtre traité comme une prostituée.

Après tout, quon me baise gratuitement ou quon me baise en payant où était la différence sinon dans le niveau dhumiliation, cela pouvait même ajouter au plaisir de savoir que des hommes étaient prêts à payer pour me pénétrer.

Pour couronner le tout, Marc me chuchotait doucement à loreille :

— Vous mouillez, petite salope, vous devriez avoir honte

— Humm mais cesttrop bon

— Vous aimez ça être notre petite pute hein ?

— Humm non humm oui votre pute humm oui

— Messieurs, la saillie est à mille euros, des volontaires ?

Ils se sont tous levés brandissant des billets à la main pour venir approcher de la marchandise que certains on immédiatement commencé à tâter, les seins, les cuisses et les fesses, tout mon corps leur était livré sans retenu.

— Doucement messieurs, voyons que vas t-elle penser de vos manières primitives, restons civilisés, croyiez moi il y en aura pour tous, elle est insatiable.

Marc à récupéré largent que les huit ont payé et à déposé la totalité près de mon visage, je regardais ses hommes qui se déshabillaient rapidement autour de moi et largent qui faisait de moi une putain, leur putain.

Jétais comme dans du coton, tout ce mélangeai dans ma tête et je narrivais plus à raisonner convenablement, il ne me restait que le plaisir qui commençait à menvahir le corps tout entier.

Japercevais maintenant tous ces sexes, petits, gros et même énormes pour lun dentre eux, certains bandaient déjà alors que dautres avaient encore besoin dêtre astiqués.

Jétais au centre de cette multitude et je ne distinguais plus les visages seules les bites mimportais et étonnamment je les voulais toutes et vite.

— Allez messieurs, à qui lhonneur ?

Cest le plus âgé de tous qui sest placé entre mes jambes le premier.

Jai senti la table descendre de quelques centimètres, car ils avaient tout prévu, un vérin électrique réglait la hauteur en fonction de la taille de lhomme qui se présentait à la manuvre.

Mon état dexcitation était tel que je navais quune hâte, quon me baise et vite.

Le premier de groupe était correctement monté et malgré ma forte lubrification je lai bien senti se loger en moi car il la fait dun seul coup de reins.

Il sest agrippé a mes anches et a entamé un rapide vas et vient pendant que les autres me caressaient partout, javais le droit à une main sur chaque sein, le ventre, les cheveux, deux doigts dans ma bouche, des palpations sur lintérieur des cuisses et sur les fesses.

Il ne me restait surement plus aucun petit bout de peau qui ne soit pas caressé par tous ses mâles qui commençaient à se déchaîner.

— Messieurs, doucement vous allez labimer, ces petites choses là sont fragiles

Cétait la voix du Maître qui résonnait dans la pièce, je ne le distinguais même plus avec tous les hommes autour de moi.

— Hanhanhan

Pour lui aussi cela devait être trop excitant car il a joui très rapidement en se contractant brusquement bien ancré au fond de ma vulve.

Cette première passe ne fut pas désagréable mais elle ne ma pas fait jouir tellement jétais sollicité de toutes parts, je jouissais de partout sans réellement jouir.

Dans ma position, tête relevé je voyais parfaitement ma vulve pendant la pénétration et cest avec un certain soulagement que jai vu sortir le sexe ramolli emballé dun préservatif.

Ils étaient tous très pervers, mais heureusement ils nétaient pas fous et cela à en quelque sorte décuplé mon relâchement au point que je me suis entendu supplier :

— Ouihumm baisez moi baisez moi

Je navais pas fini mes mots que déjà un autre mâle avait forcé la place libre, son sexe était plus court mais bien plus gros en circonférence.

Je le regardais pénétrer ma moule dilatée avec une impression de ralenti, il ressortait presque complètement pour replonger aussitôt me titiller les ovaires.

Pendant quil me baisait, il a eu le malheur de me caresser le bouton ce qui à déclenché une déferlante de plaisir et jai joui en criant.

— Ho mon dieu haaaaacesttropbon

Mon corps sest convulsé plusieurs fois sous les regards vicieux

— Hé ben, celle là ellene fait pas semblant

— Quelle salope moi aussi je la veux

— Putain quelle est belle quand elle jouie

Les commentaires salaces ont fusé de toute parts pendant que le vicelard de service continuait à me limer en cadence.

Il me regardait avec la fierté davoir été le premier à me faire jouir,

Je mouillais tellement quon entendait les clapotis raisonner dans la pièce à chaque coup de bite, cétait délicieusement humiliant et me motivait à moffrir encore plus.

Malgré mes poignées solidement attachés jai réussi à me saisir des deux bites les plus proches pour le plus grand plaisir de leurs propriétaires.

— Putainelle en veut la salope

Je les branlais en suivant la même cadence que mon baiseur, décalottant les glands à chaque pénétration

— Mooouuuuaaaa saaaaloooopppppeeeee. Prend tout

Mon baiseur venait de se vider dun coup que déjà un autre le poussait pour me remplir à son tour.

Et flocet floc et floc

Je dégoulinais de partout et mon vagin était si bien dilaté que je ne ressentais plus grand-chose en moi, mais en regardant jai aperçu que cétait le tour de la plus petite bite du groupe.

Mais il avait néanmoins du savoir faire car il compensait sa petite taille en glissant en même temps dans ma chatte un de ses pouces, alors quil posait sa main sur mon clitoris auquel il faisait dagréables pressions cadencés.

Puis il rajouta lautre pouce en plaçant ses deux mains de chaque coté de ma vulve tout en laissant les deux majeurs me titiller le petit bouton, ainsi il augmentait considérablement la taille de son engin, resserrait mes muqueuses autour de sa bite et ne tarderait pas à me faire redécoller à force de me branler le clito.

Je navais pas fini de le penser, que ma jouissance à de nouveau explosé et que lui même na pu retenir la sienne.

— Haaaaa cest.trop.je jouiiiiiiiiieeeee.

— Putain..cette salope est.trop bonne

A peine remise de mes émotions que le suivant sait présenter devant ma chatte.

Cétait un des deux gaillards qui me faisaient peur, le regard toujours aussi dur il me fixait en frottant son membre le long de ma fente gluante.

Il était sur de lui et conscient davoir une très belle queue à me proposer, cétait surement la plus grosse que jai jamais pu voir de ma vie.

Même dans les films que mon mari mavait fait voir je nen avais pas vu daussi grosse et longue.

Lengin faisait au moins vingt cinq centimètres et ma main naurait surement pas pu en faire le tour au regard de la grosseur, je pense que celle là jallais la sentir passer.

Il posa le gland violacé au centre de la raie et commença à pousser pour écarter mes chairs, rien que le gland avait du mal à me pénétrer malgré limportante lubrification.

Mes chairs sécartelaient lentement, le salaud prenait son temps pour apprécier le moindre frisson visible dans mes yeux, centimètre par centimètre son membre tentait de me remplir.

Mon regard restait figé sur la colonne de chair qui mécartelait à la limite de la déchirure et je devais serrer les dents pour ne pas crier de douleur.

Plus je montrais que javais mal et plus ce salaud semblait prendre son pied, à chacune de mes grimasses se sentais son sexe frémir et prendre du volume dans ma chatte.

— Alors putain tu nen as jamais pris daussi grosses ?

Le salaud ne se gênait pas pour me tutoyez comme pour mhumilier encore plus et devant labsence de réponse il ma administré une magistrale claque sur la fesse qui ma fait sursauter ainsi que tous les autres pervers près de moi.

La douleur sur la fesse était très vive et ma fait presque oublier celle de ma chatte.

— Alors salle pute, tu en as déjà pris dés comme ça ?

— NonAieNon

En relevant sa main comme pour me fesser de nouveau il répéta :

— Non qui ?

— NonMonsieurAie

Mais la claque sest abattue de nouveau avec un bruit sourd

— Aiiieeenonnon

— Non quoi ?

— Non monsieur jamais uneaussi grosse

— Voilà, cest mieux je vais tapprendre moi.

Mais son sexe nentrait toujours pas à fond, maintenant javais mal a la fesse et à la vulve quil forçait de plus en plus.

Ensuite il a pris mes tétons tendu entre ses doigts et les a serré très fort jusque a me faire très mal là aussi.

— Haaaanonje vousenprie

— Petite pute, je vais tapprendre à aimer la douleur

En même temps quil parlait, il donnait des coups de reins en tentant de faire pénétrer son immense membre plus au fond.

— Tu crois que tu vas me résister jen ai éclaté des moins salopes que toi

A laide dune main il a ressorti son membre, le frottant de nouveau le long de la raie pour étaler mon jus et mieux lubrifier le conduit à forcer.

Avec le pouce et lindex de lautre main il ma pincé le clito tout en représentant de nouveau son énorme gland devant lentrée à défoncer.

Il lui avait été facile de remarquer que jétais une bonne clitoridienne, jouissant presque à chaque fois que lon me titillait le petit organe.

Il a donc décidé de lutiliser comme allier pour mouvrir totalement.

— Ma salopevu comment tu mouille ça devrait entrer tout seul

Son excitation commençait aussi à le submerger car il avait du mal à prononcer ses phrases lui aussi.

Le membre est de nouveau entré avec quelques centimètres supplémentaires mais il en restait encore un bon bout à lextérieur.

— Mais putaintu vas melaisser te lamettre jusque auxcouilles

Tout en finissant sa phrase il ma asséner une nouvelle et magistrale claque sur la fesse endolorie et ma pincé encore plus fort le clitoris libérant une vague de plaisir qui ma inondé de cyprine gluante.

Il sest aussitôt agrippé fermement à mes anches

— Maintenant tu va touvrir à fond ou je téclate le cul

Et au même instant il donna un puissant coup de reins libérateur tout en criant

— Haaaannnnnnnn.

Sous la poussée, ma chatte sest enfin ouverte et a laissé filé le reste du membre vers lintérieur de mon ventre, je me suis senti remplie comme jamais.

— Haputaintu vois quen tu veux

Il est resté quelques instants bien calé au fond du conduit pour que je puisse mhabituer à cette pénétration hors normes.

Malgré la douleur, je ne pouvais déjà plus empêcher mon vagin de convulser autour de sa bite et lui montrer ainsi linstallation de mon plaisir.

— Tu voisma putetu pourras plus te passer de ma grosse bite.

Tout doucement il reculât lengin faisant ressortir le gland à lair libre, le membre était luisant de mouille tellement je lubrifiais dans ma chatte.

Puis il replongeât de plus belle vers mes ovaires, poussant de toutes ses forces il écartait mes chairs au passage et malgré la difficulté ça rentrait déjà mieux

Un silence religieux régnait autour de nous, tous les voyeurs restaient stupéfaits de voir une telle scène, leurs yeux écartelés restaient figés sur lénorme bite qui mécartelait la moule.

— Cest bientu voistu vas ty habituer cest bon, non ?

— Hummouimaisçafait mal

— Cest pour ça que taime ça ma pute

Ses vas et vient étaient plus fréquents et plus rapides, mon conduit épousait parfaitement la taille de sa queue et labondance de ma lubrification facilitait les introductions répétés.

Je regardais fixement cette bite énorme sortir et me dilater la vulve à chaque nouvelle pénétration, a chaque fois je me demandais si elle allait pouvoir entrer de nouveau tellement elle était incroyablement grosse.

A chaque fois mes chairs se dilataient autour de lénorme gland qui cédait enfin pour ouvrir la totalité du passage, il pouvait ainsi me déchirer à fond en libérant à chaque fois des tsunamis de plaisir

Son regard parcourait mon corps à la recherche du moindre signe de plaisir pour satisfaire son ego, le moindre frisson, la moindre petite convulsion lui procurait un plaisir immense.

— Tu laime ma bite, hein allezdit le

— Humm oui.oui.je laime

— Tu aime quoi ?

— Humm ta biteje laime

Il ma aussitôt administré une autre claque sur les fesses

— Qui ta permis je répètetu aime quoi ?

— Hummvotre bitejaime votre biteelle est tropbonne

— Voilà, on y arrive vous avez vu les gars comment on dresse une putain

— Ouuuiiiii je suis votrehummputain.

Comprenant que jallais bientôt me lâcher il a accélérer la cadence, je mouillais tellement que maintenant sa bite entrait et sortait très facilement.

— Regardez les gars, maintenant elle sera trop large pour vos petites bites

Je me sentais partir, en transe, les yeux révulsés et la respiration haletante mon corps se crispait tout entier pour contenir la jouissance qui montait.

— Hanhanhantiens prend çarégale toi ma petite pute

Plus il me baisait et minsultait de pute devant tous les autres et plus mon excitation montait, lhumiliation et la soumission étaient pour moi de puissants aphrodisiaques.

— Ouuuiiiii jaime votre.hummgrosse bitehumm

Au bord de la jouissance, nos corps se livraient lun à lautre, sa queue ressortait complètement pour reprendre de lélan et pour replonger aussi vite cogner mes ovaires.

Je tremblais à chaque coup de bite qui mécartelait la moule et narrivais presque plus à respirer tellement je haletais de plaisir.

Soudain il sest contracté de tous ses muscles, se crispant de toutes ses forces et à planté ses doigts dans la chair de mes anches en lâchant un cri danimal.

— Haaaaaaaaaaaaaaaaasale putetu me vide les couilles

Tout en se vidant il continuait à me bourrer à grand coups de reins

— Je vais tengrosser salope prend tout mon jus

La déferlante de sperme chaud à déclenché lexplosion finale, je me tordais dans tous les sens malgré mes entraves, la bouche grand ouverte je jouissais tellement que je ne pouvais même plus crier.

Je suais de partout, mon corps perlait et sentait le sexe, tous nos voyeurs nen croyaient pas leurs yeux, peut être navaient ils jamais vu une femme jouir autant.

Mon baiseur à pris sa queue dans sa main pour la ressortir doucement de ma chatte, libérant un bruit caractéristique à la sortie du gland, ma chatte est resté béante laissant couler le liquide fécond en abondance sur mes fesses.

Il a ensuite frotté son gland le long des grandes lèvres pour essuyer son méat qui perlait quelques dernières gouttes, puis en reculant il dit tout fort.

— Voilà comment on baise une pute.

Pour ma part je reprenais doucement mes esprits, javais la chatte en feu, les fesses meurtries, mal aux bouts des seins et je nétais pas prête doublier cette superbe queue de géant qui mavait ravagé la moule.

Lattroupement des voyeurs regardait le sperme qui sécoulait et la quantité était plutôt impressionnante, à la mesure de la taille de lengin.

— Je lui aurais bien éclaté le cul, mais je préfère vous laisser un trou à votre taille les gars.

Non seulement il mhumiliait mais il humiliait aussi ses amis qui restaient tous impressionnés par sa prestation.

Je venais de me faire baiser par quatre mâles en rut en moins dune heure, passant dune petite bite néanmoins experte à un membre de colosse et jai joui plusieurs fois très intensément, ce qui ma complètement épuisée.

Mais il me restait encore quatre autres mâles à vider et ils ne comptaient pas abandonner leur tour comme ça, que déjà lun dentre menfilait sa queue dans la chatte encore toute gluante de foutre.

Il a fait ce quil a pu mais jétais exténuée et il métait impossible de jouir de nouveau aussi rapidement, à son tour il ma déversé tout son foutre pour laisser la place à un autre et puis à un autre et enfin au dernier dont la bite nageait carrément dans le mélange de cyprine et de sperme.

Ce nest qua ce moment là que jai percuté, le seul homme de la soirée qui ai mit un préservatif était le plus âgé, tous les autres mavaient baisé sans aucune protection en me remplissant de foutre.

Mais il était trop tard pour rouspéter et je ne crois pas quils auraient tenu compte de mon éventuelle réclamation.

Jétais tellement épuisée que je ne les ai pas entendus sortir de la pièce et cest les caresses tièdes de la toilette que me prodiguait la petite brunette qui nous avait servi le repas qui mont plus ou moins sortit de mon état de somnolence.

Jétais détaché de mes liens et on mavait libéré le visage, mais je restais là à savourer la tendresse avec laquelle la demoiselle me nettoyait les parties intimes qui avaient vraiment souffert.

A chaque passage elle rinçait le gant de toilette dans une cuvette deau tiède, nettoyant tout le sperme qui commençait à sécher sur ma peau irritée.

Toujours avec sa voix douce, elle me demanda très doucement :

— Cest douloureux ?

— Non, au contraire ça soulage, merci.

— Ils nont pas été trop violents avec vous ?

— Nonheu, si peut être un seul un peu plus dur que les autres.

— Nous lappelons (la brute), mais venez, il faut que je vous ramène à votre chambre pour finir votre toilette

Je me suis relevé pour descendre du meuble, ma tête tournait encore un peut et jai dû mappuyer sur lépaule de ma nouvelle amie.

Tout en nous dirigeant vers la chambre, jai tenté de lui soutirer quelques confidences mais elle ne voulait pas dévoiler ses secrets.

— Je mexcuse, mais je nai pas le droit de vous dire quoi que ce soit.

— Dite moi simplement ce qui mattend.

— Vous le saurez bien assez vite.

Une fois dans la chambre elle ma conduit dans la salle de bain.

— Venez, il me faut vous refaire une beauté

Elle ma fait prendre une douche en me frottant agréablement tout le corps avec du savon moussant, nettoyant les dernières traces de lorgie sur ma peau.

Cétait la première fois quune femme me caressait ainsi le corps et jai trouvé ça très sensuel, le contact de leau chaude sur la peau et les savantes caresses savonneuses de ma masseuse mont profondément détendus.

Après mavoir entièrement séché, elle ma alité toute nue sur les draps de satin, installé un oreiller moelleux sous ma nuque pour ensuite me nouer un voile opaque sur les yeux.

Alors que jallais lui demander pourquoi, elle ma posé tendrement une main sur les lèvres et déposé un doux baiser sur le front en me chuchotant :

— Chut ce sont les consignes du Maître, reposez vous.

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