Il était 19h passée, je rentrais chez moi après une journée de galère au bureau.
Je me disais: "Aller, encore 40mn et tu sera tranquille"…
Je montais sur le quai et je m’adossais à la rambarde comme d’habitude. Quatre minutes à attendre.
Je regardais les gens passer.
Soudain, je vis une jeune fille d’une vingtaine d’années au plus, en petite robe légère et haut blanc. Elle avait un décolleté montrant une très belle paire de seins, bien hauts. Je regardai ses seins bouger en rythme avec sa démarche. Elle me regarda et passa pour aller un peu plus loin.
J’aime ces petits moments dont on peut profiter.
Au bout de quelques instants, mon inconnue repassa devant moi dans l’autre sens, plus doucement. Forcément, mon regard se posait sur ses seins que je ne pouvais quitter des yeux. Je la suivais du regard. Elle s’immobilisa un peu plus loin.
Je décidais de la regarder de temps en temps, histoire de profiter de son décolleté. Au bout d’un moment, elle revint vers moi, toujours en marchant lentement.
Le métro arrivait, elle s’arrêta juste à côté de moi. Une fois la rame arrêtée, je laissais les gens descendre et, mon inconnue en retrait, je rentrai en premier. A mon habitude, je m’installai au fond du wagon, il n’y avait personne.
Mon inconnue vint s’installer juste en face de moi. Je me disais que le voyage allait me sembler bien court aujourd’hui. Mon regard allait de ses seins à ses jambes puis à son visage. Elle me regardait et je sentais mon sexe gonfler dans mon jean.
Les portes allaient se fermer. Mon regard remontait le long de ses jambes et mon sexe gonflait encore. On pouvait deviner mon érection, ce qu’elle fit rapidement en me souriant.
Le métro commença à rouler. Elle écarta légèrement les jambes, je pus voir qu’elle portait des bas et mon sexe durcit encore un peu plus. Je dus déplacer légèrement ma queue pour être plus à l’aise et elle me regardait faire. Elle posa alors son sac à terre et se pencha pour chercher quelque chose. J’avais une vue imprenable sur ses gros seins. Je pus également voir un téton.
Elle se redressa ensuite et resta les jambes écartées, sa robe descendait entre ses jambes. Mon regard était hypnotisé. Elle posa alors ses mains sur ses cuisses et les remonta lentement, entrainant sa robe. Mes yeux suivaient la bordure de la robe, attendant impatiemment d’en découvrir plus. Ma bite me faisait mal.
La rame ralentissait car on entrait dans une nouvelle station. Elle regarda derrière elle et resta dans cette position. Personne n’était monté ni descendu de notre wagon. On repartit et elle aussi.
Je pus découvrir son string rouge. Mais ce qui me fit presque jouir sur place était que la ficelle de son string était entre ses lèvres. son sexe était bien épilé et trempé.
Elle me regardait fixement, ma main était posé sur ma queue. Tout en continuant à me fixer du regard, elle attrapa son string au niveau des hanches et l’enleva. Quel superbe spectacle. Je n’en pouvais plus. Elle écarta ensuite les jambes et commença à se caresser.
Le métro s’arrêtait encore. Une jeune fille monta à notre niveau et elle put remarquer la tenue de ma complice (qui avait quand même légèrement fermé ses jambes mais qui avait encore son string à côté d’elle) et la bosse de mon pantalon qui en disait long. Elle tourna la tête et alla s’installer un peu plus loin.
Les portes se refermaient et on repartit. C’était l’avant dernière station et il ne restait que quelques minutes.
Elle recommença à se masturber devant moi, elle s’enfonçait 2 doigts et les léchaient de temps en temps.
"Montre la moi" me dit-elle. Elle l’avait dit suffisamment fort pour que l’autre voyageuse l’ai entendu. Elle se retourna pour nous regarder et se retourna. L’atmosphère était complétement érotique. Je défis alors mes boutons et réussit, non sans peine à sortir ma queue. Elle était dure et c’était divin de la sortir ainsi devant une inconnue. Je me levais et la mit devant sa bouche. Elle l’ouvrit alors et engloba ma bite sur toute sa longueur. Je savais qu’il n’allait pas falloir que ça dure trop longtemps. Mes mains, libres, en profitait pour lui tripoter les nichons, je jouais avec ses tétons.
La rame s’arrêta subitement, ce qui me fit enfoncer ma queue à fond dans sa gorge. Elle poussa un petit cri ce qui fit se retourner l’autre voyageuse. Elle avait bien compris ce qu’il se passait dans son dos et resta à nous regarder. Pour une fois, j’étais content que le métro s’arrête dans le tunnel.
Mon gland n’en pouvait plus de ce traitement, et bientôt j’explosais dans sa bouche en longs jets. Elle se délecta et jouis à son tour, bruyamment. Ma queue était toujours devant elle pendant qu’elle jouissait et l’autre voyageuse pouvait également la contempler. A ses gestes, je devinais qu’elle se masturbait également.
Elle jouit également mais en silence.
Nous revenions à notre place et la rame repartir en même temps. Une fois arrivé à la station, on se regarda tous les 3, en espérant se revoir. Ma copine de voyage me glissa son string dans la poche et me caressa le sexe encore gonflé sous mon jean. Et nous nous quittons là.