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L'inconnue du bus – Chapitre 2

L'inconnue du bus - Chapitre 2



J’ai eu vraiment beaucoup de mal à m’endormir, cent fois j’ai revécu nos caresses, la douceur de sa langue, sa voix, l’humidité de son minou

Au matin, je dois avoir une mine de papier mâché, ma mère me demande comment ça va, elle est fine mouche et se doute de quelque chose, seule explication à ses allusions aux garçons et aux précautions à prendre.  

Je la rassure, pas besoin de me forcer, de ce côté là je ne risque rien et manque même de le lui avouer, petite saute d’orgueil. Ce serait trop tôt, mais ça me met de bonne humeur et je rêve, je rêve, si bien qu’une fois de plus je pars en retard.

 

Le bus est presque vide, le receveur un petit brun avec une petite moustache, gentil, mais j’aurais préféré que ce soit ma copine receveuse. Luce doit être déjà au boulot. 

Il me faut tenir jusqu’à 5 heures pour voir ma chérie. Etonnant comme le temps est élastique et les minutes si longues parfois.

 

Enfin, l’heure sonne, je laisse tomber les copines et file la rejoindre directement chez Elle. Le coeur battant je sonne et j’ai un afflux d’adrénaline lorsque la porte me la révèle entièrement nue, juste sortie de la douche.

 – Entre vite, pas envie que les voisins me voient comme ça!

Elle a autant envie que moi, une pieuvre m’ envahit, j’ai des mains partout, sa langue possède ma bouche a en suffoquer et je me retrouve vite à poil  debout, avec juste la sangle de mon sac en bandoulière, ce qui nous fait bien rire.

 

 – Attends, ne bouge pas , je vais te prendre en photo comme ça!

Si c’est en couleur on verra que je suis rouge pivoine! Elle me fait prendre des poses de plus en plus osées, j’aime lui plaire mais de moi-même je n’ose pas, alors je suis bien docile.

La pellicule terminée je lui demande comment elle va récupérer les photos.

 

Elle les développera elle même, elle est équipée.

 – Heureusement sinon les gars du labo auraient une sacrée trique!

 – A propos de

 – Trique? Ben, de temps en temps, je ne déteste pas, mais ne t’inquiètes pas, pour le moment c’est toi, toi, encore toi et juste toi qui me fait mouiller. Toi, ce n’est pas la peine de demander, j’ai bien vu que tu n’as jamais vu le loup! Et elle s’esclaffe de bon cur.

J’adore quand elle me parle comme ça. La vulgarité m’excite et l’excite aussi.

A peine sur le lit elle me dévore de petits baisers qui me font la chair de poule. Je suis totalement désarmée dans ses bras et me laisse douillettement aller. Mais cette fois je ne ferme pas les yeux, je veux voir, tout voir, la voir me butiner et la voir Elle, comment elle est faite.

 

Pour l’instant elle est à quatre pattes, très affairée autour de mes seins.

 – J’adore les ufs au plat, dit elle en les mordillant, ce qui fait saillir mes tétons.

Je fais semblant de protester, mais son ardeur me prouve qu’elle dit vrai et apprécie le peu que j’ai à offrir. Moi aussi d’ailleurs, même surtout –  quand elle est limite et qu’elle y laisse la trace de ses dents.

A ma portée il y a les siens qui sont bien plus volumineux et je patouille dedans, découvre leur chaleur, leur poids, la douceur de la peau, fais bander ses tétons, la traie et la pince quand elle me mord.

Ce petit jeu nous énerve bien, j’ai les reins en feu. Je m’enhardis à lui pousser gentiment la tête.

 

 – Tu sais compter? demande-t-elle.

 –  ben

 

Et la voilà qui se met en 69 sur moi. Ses cuisses soyeuses enserrent ma tête, elle ouvre grand sa jolie fente et la pose sur ma bouche en ondulant doucement.

Ma salive et sa mouille mêlées sont un régal.

 

Je contemple son sillon luisant mais elle me rappelle à l’ordre en me mordillant les lèvres et en collant sa chatte sur ma bouche.

Nous nous bouffons réciproquement un bon moment et soudain je ne peux plus résister, je jouis sur sa langue au moment ou elle me caresse l’anus de sa langue.

 

Elle me laisse revenir sur terre et me fait comprendre qu’elle n’a rien contre la réciproque en agitant sa croupe généreuse et pour ne pas laisser de doute prend carrément ma main.

La petite rondelle est d’une douceur et d’une souplesse elle y guide deux doigts qu’elle a mouillés à sa chatte et pendant que je glottine son bouton elle se trémousse dessus et s’encule gaiement. J’aime cette sensation inattendue, la pénétrer et la sentir à ma merci grâce à cette caresse osée. Preuve de son plaisir et de son excitation, elle me crème la langue, je m’en régale, la fouille partout, ce qui l’aide à jouir, toujours dans cet impressionnant grognement digne de la Femme des Cavernes.

 – Tu as les yeux bordés de reconnaissance ma douce, tes parents vont se douter de quelque chose!

Je lui raconte les soupçons de ma mère ce matin, ça l’amuse!

 

 – Tu sais, tu m’as fait jouir très fort avec tes doigts, tu apprends vite. Ca ne te choque pas?

 – Non, mais je n’aurais jamais osé te le faire.

 – Eh bien c’est ma façon préférée. Mais dis donc, tu as bien aimé aussi quand j’ai léché ton petit boudeur, c’est doux comme un pétale, ou du velours très fin. Je suis sure que tu aimeras aussi, je ne te ferai pas mal. Moi, je ne peux plus m’en passer.

 

Je rougis à l’idée, mais j’ai trop envie d’être sa chose, lui plaire, il faudra que j’essaye toute seule, mais son plaisir était si évident, j’en ai envie et le redoute à la fois. Je sais que le moment venu elle saura faire tomber mes réticences.

Elle me caresse distraitement du bout des doigts, je joue avec ses poils de pubis. On est si bien!

 

 – Arrêtes sinon tu vas te faire enguirlander. Parce que si tu commence tu devras aller au bout et c’est toujours plus long quand je remets le couvert!

J’en meurs d’envie mais là, ça ne serait franchement pas raisonnable, je profite de beaucoup de liberté, inutile de tout gâcher.

Alors, un dernier bisou et direction salle de bain où je tente de réparer les dégâts.

Je rentre à pied en suçotant mon doigt, celui qu’elle a plongé dans sa chatte avant que je la quitte et arrive juste à temps pour le repas, sous l’il circonspect mais complice de ma mère. Elle n’a rien dit à mon père, il est chaleureux, comme d’habitude.

 

 – Alors, cette journée? Bien passée?

Oh que oui et je compte bien qu’il y en ait beaucoup d’autres comme ça!

                                                                                                                                         (à suivre à pas de Louloute…)

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