Tous les matins, vers 7h, 7h30, je vais courir au stade près de chez moi. Inutile de dire qu’à cette heure, c’est désert. Sauf depuis 1 semaine. Une jeune femme qui doit avoir à peu près le même âge que moi (entre 35 et 40 ans), vient également courir. De taille moyenne, les yeux bleus, j’avoue qu’il est difficile de deviner ses formes tant son survêtement est ample. Mais c’est sa queue de cheval qui m’attire beaucoup (je ne suis pas un fétichiste des cheveux, mais j’aime qu’une femme les ai longs), puisqu’ils s’arrêtent à la naissance de ses fesses.
Le premier jour j’ai eu droit à un "bonjour" timide. Le second, pareil, puis au fil des jours la demoiselle me gratifie en plus d’un joli sourire. Hier, enfin, elle a enlevé son haut de jogging, j’ai donc pu voir la forme de ses seins sous son t-shirt: elle a l’air bien équipé. On arrête toujours de courir en même temps. Moi, je file chez moi me doucher (j’habite à 2 minutes), elle, prend son sac à dos qu’elle avait déposé au bord de la piste et se dirige vers les vestiaires se changer. Sa queue de cheval, ses seins, personne aux alentours, j’ai bien envie de tenter ma chance. Au pire je me prends une belle paire de claques et je dégage, au mieux c’est une bonne partie de baise incognito qui s’annonce. Je me dirige donc vers le vestiaire où elle est entrée.
J’ouvre la porte doucement. Elle est là et ne m’a pas entendu. J’entre sans faire de bruit. C’est un grand vestiaire commun pour les équipes de foot avec un banc qui fait tout le tour de la pièce, des portemanteaux au-dessus et une grande table au milieu. Les douches communes sont derrière un mur de séparation. La belle inconnue est déjà nue. Sa queue de cheval s’arrête bien à la naissance de sa raie. Je bande comme un fou dans mon short. Je suis tout prêt d’elle quand elle se retourne et me voit stupéfaite et apeurée.
"- Chut! N’ai pas peur." (Lui dis-je pour la rassurer)
Mes lèvres se posent sur les siennes. La belle se laisse faire et se laisse aller petit à petit, se détend. Mes mains parcourent son corps, ma bouche vient lécher ses tétons, une main vient caresser sa chevelure, direction ses fesses. Je l’invite à se coucher sur la table et lui écarte les cuisses. Je plonge mon visage vers son minou humide de sueur et commence à lécher son bouton. Elle a fermé les yeux et savoure en gloussant de plaisir. Je fais aller et venir ma langue tout le long de sa fente verticale, puis écarte ses lèvres de mes doigts pour mieux y introduire la langue. J’ôte mes vêtements. Ma bite est toute dure. Je me branle un peu pour la décalotter avant de caresser sa fente avec, puis je rentre en elle, tout doucement. J’entame alors un va et vient sous les gémissements de la fille qui s’abandonne à moi. Puis elle se relève et se penche en se tenant à la table s’offrant à moi pour une levrette. Je m’emboîte à nouveau en elle. Mes mains caressent sa poitrine, tire sur les tétons, j’embrasse son cou. Je lui dis:
"- Suce-moi."
La belle ne se fait pas prier, s’accroupit devant moi et commence à me pomper énergiquement. Elle fait courir sa langue sur mes bourses qu’elle me mordille également, gentiment. Enfin elle se relève et m’invite:
"- Encules-moi. Je veux que tu jouisses dans mon cul."
Je ne refuse jamais une telle proposition. Mon amante du jour se cambre bien face à la table m’offrant de nouveau son arrière train. J’approche ma bite de son anus et force légèrement, sans brusquer l’orifice de ma partenaire sous ses cris étouffés. Une fois dedans, je recommence un va et vient avec mon bassin.
"- Oui! C’est bon! Vas-y! Ha! Ha! Ha!"
J’attrape sa queue de cheval et l’entoure autour de mon poignet et tire doucement sa tête en arrière.
"-Tu es à moi! Répète!
— Je suis à toi! Je suis ta salope!
— C’est bien."
Je lâche ses cheveux et intensifie la sodomie. Ses cris sont de plus en plus forts et résonnent dans le vestiaire vide. Je sens la jouissance arriver.
"- Je viens chérie, je jouis!"
Je sens ma queue cracher son foutre dans le cul de la demoiselle.
"- Mmmmmmm, c’est bon c’est chaud." (Dit-elle)
Je me retire, elle se retourne et me suce, nettoyant mon gland du surplus de sperme qui sort encore un peu de ma verge. On s’embrasse à pleine bouche.
"- Après courir, il est toujours recommandé de s’étirer." (Plaisantai-je)
— Après une telle séance, je ne risque pas les crampes." (Répond-elle en souriant)
Je me rhabille. Avant de sortir je lui lance:
"- Bonne journée. (Auquel elle répond)
— Merci, à toi aussi. A demain." (Le tout avec son large sourire ravageur)
Elle disparaît derrière le mur des douches. L’eau commence à couler. Je sors du vestiaire, ravi de cette expérience.