La soirée avait débuté sur les coups de 18h00 et promettait d’être fiévreuse. Hugues, notre hôte, avait décidé de fêter sa récente promotion en invitant quelques collègues dont je faisais partie. Nous étions donc tous les quatre chez lui, dans sa grande maison de campagne. Veuf, il vivait seul avec sa belle-fille de 19 ans, qui passant la majeure partie de son temps dans un collège hors de la ville, ne venait que pour les vacances. Ce soir-là, elle était de sortie avec des amis au cinéma et devait dormir chez une amie, aussi Hugues avait profité de l’occasion pour organiser une partie fine.
Louis, le patron de la boite avait été invité aussi, émoustillé à l’idée de passer une soirée arrosée loin de sa femme. A 56 ans, il était encore vert et il lui arrivait d’ailleurs de s’allouer les soins de certaines secrétaires de la compagnie après les heures de bureau. Personne ne pouvait rien prouver, mais certains employés disaient avoir entendu des soupirs étouffés venant de son bureau à plusieurs reprises, et on racontait que l’un des partenaires de la boite l’avait surpris quelque fois en train de promener sa main sur sa braguette gonflée durant les réunions d’entreprise. Sa grande manie était de regarder avec insistance le décolleté généreux des secrétaires qui se penchaient sur les tables pour saisir des documents ou servir des cafés.
Un jour, il y avait eu une panne d’ascenseur qui avait laisse plusieurs employés de la compagnie suspicieux. En effet, Louis en était sorti plus d’une demi-heure après, le regard vague et la bouche humide, s’épongeant le front avec langueur tandis qu’un jeune assistant les joues rouges et les yeux vicelards, se hâtait de dissimuler les traces d’un liquide blanchâtre et poisseux dont sa main et sa chemise étaient couvertes.
Réunis ce soir chez Hugues pour la soirée, il y avait aussi Clarisse, la dirigeante de l’une des branches de la compagnie dont les seins fermes sous le corsage et les fesses hautes moulées dans ses jupes cintrées troublaient les stagiaires, et moi, Maxime, nouvel associé de la compagnie et beau spécimen masculin aux dires de la gente féminine, 29 ans tout juste et le corps musclé par des séances répétées de sport au grand air.
Nous venions de terminer un excellent repas et je regardais autour de moi les autres convives, déjà un peu gris par les diverses rasades d’alcool. Je me souvenais du jour ou j’avais surpris Clarisse dans son bureau, à genoux et pelotant les fesses d’un jeune stagiaire tout en lui flattant l’anus d’une langue gourmande. Discret, j’avais refermé la porte tranquillement, écoutant à travers le mur les soupirs de plaisir du stagiaire, et dépité que Clarisse ne puisse me traiter de même. Très attisé, j’avais du me réfugier dans les toilettes pour soulager mon excitation. Je rêvais de la langue baveuse de Clarisse entre mes fesses, de la pointe de sa langue mouillée dans mon anus et de ses mains sur ma queue durcie. Hélas, ça ne s’était jamais réalisé, mais ce soir avec les vapeurs d’alcool, mon cul se ferait peut-être baiser par la bouche vicieuse de l’un des convives.
A la lueur des bougies et après avoir quitter la table, Hugues assis dans un profond sofa près de Clarisse s’était un peu relâché et caressait maintenant la cuisse de la jeune femme que sa jupe ample avait découverte. Celle-ci, soupirant un peu par à-coups, se laissait faire avec nonchalance, accentuant encore l’échancrure de sa jupe pour découvrir un peu plus la peau délicate. Louis, s’était absenté dans la salle de bains, après que le mélange de cognac, champagne et vin blanc lui soit un peu monter a la tête. Et le désir aussi. Je l’avais vu rapprocher ses mains de vieux cochon sur sa braguette et se déboutonner lentement en matant les seins de Clarisse pointant sous son corsage.
Je fumais tranquillement une cigarette assis sur un profond fauteuil de cuir, dans le coin le plus éloigné de l’immense salon, tout en regardant Clarisse et Hugues s’échauffer avec des caresses de plus en plus suggestives, Hugues avait remonté sa main sur le pubis de sa partenaire et caressait doucement la motte gonflée que je devinais humide a en juger la facilité avec laquelle ses doigts de pénétraient la chair offerte. Clarisse, le corsage maintenant ouvert, une main malaxant un de ses seins a travers son soutien-gorge pigeonnant et l’autre à l’intérieur du pantalon de Hugues soupirait, la tête en arrière, sa longue chevelure de jais coulant dans son dos.
« Hum. c’est bon ce que tu me fais. Oh oui, glisses encore un doigt en moi, vas y, oui. Comme ça.pénètres moi bien, enfonces bien jusqu’au fond.Oh ! oui, c’est bon ! Viens plonger ton autre main entre mes fesses, cochon que tu es, pénètres bien dans mon anus humide, vois comme il est mouillé et excité lui aussi. Oui, glisse bien ton doigt, petit pervers, bien au fond. Ca t’excite hein de me baiser avec tes doigts ? Hum, je sens ta queue devenir énorme dans ton pantalon.laisse moi téter ton gros dard, vicieux que tu es, donne moi ta queue a lécher » haleta t’elle avec des soupirs excités.
Je sentis mon sexe se gonfler, Clarisse offrait une image d’une sensualité débridée, je vis sa bouche gourmande s’approcher de la braguette de Hugues et les yeux de feu avec lesquels elle couvait son sexe en disaient long sur le désir qu’elle avait de lui. Le pantalon sur les chevilles, il se faisait maintenant sucer goulûment par Clarisse, laquelle tétait ce sexe avec hâte et gourmandise, comme pour en tirer tout le suc, jusqu’à la moindre goutte.
A cet instant, j’entendis un petit hoquet de surprise derrière moi, à l’entrée de la porte se tenait une jeune fille, les joues rouges et la bouche ouverte, comme choquée du spectacle décadent se déroulant devant elle. Déjà excité par les seins provocants de Clarisse et la bite rouge et gonflée de Hugues disparaissant dans sa bouche vicieuse, la vue de cette fille en fleurs, la jupe courte sur les longues jambes minces et la poitrine ferme et menue me donnèrent immédiatement envie de lécher sa peau et de baiser sa petite bouche.
Hugues, ne s’étant rendu compte de rien, faisait coulisser son sexe dur dans la bouche ouverte et dégoulinante de bave. Baisant lentement les lèvres chaudes et la langue vicieuse de Clarisse il ahanait de plaisir.
« Oui, lèches bien le gland, pas trop vite, cochonne, têtes moi bien.. hum.. tu aimes m’avoir sur ta langue hein.. ah.. ah.. c’est bon, oui… Fais bien reluire ma queue de salive, fais bien coulisser mon gros dard entre tes lèvres mouillées de petite chienne, laisses moi baiser ta bouche de vicieuse, hannnn . tu sens ma bite bien dure qui s’enfonce dans ta gorge, hum, oui, continues a bien sucer mes couilles, mouille bien partout cochonne..ah..ah.. »
Tétanisée de surprise et peut-être même de honte a l’idée d’apercevoir son beau-père se faisant langoureusement sucer au beau milieu du salon, car il s’agissait en fait de sa la belle-fille de Hugues, la jeune fille n’osait plus faire un geste, comme animal sur le qui-vive. Ses yeux pourtant ne quittaient pas le sexe dur de son beau-père et les fesses de Clarisse qui s’agitaient sous la jupe : a genoux devant la braguette de Hugues, la gourmande lapait maintenant a coups de langue le suc juteux qui s’écoulait en jets mousseux. La bouche entr’ouverte, témoin du plaisir vorace et cris de jouissance de Hugues dont la queue était maintenant enfouie dans les gros seins de Clarisse, la demoiselle semblait a la fois fascinée et écourée par le plaisir sauvage qui tordait le visage de son beau-père.
Ecrasant ma cigarette dans le cendrier, je m’approchais d’elle et lui pris la main :
« Venez donc vous asseoir près de moi et laissez moi vous offrir un verre pour vous remettre un peu avant de regagner votre chambre. »