Linitiatrice,
Je viens à peine de sonner à la porte qu’une jolie brune m’ouvre en souriant.
— Je t’attendais, rentre vite, me dit-t-elle.
Elle est habillée d’une guêpière bleue, d’un adorable slip assorti et de bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles.
Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent très féminine, je devine sous sa lingerie arachnéenne un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses.
J’ai devant moi la créature de rêve.
Une très jolie femme dotée d’une queue qui va pouvoir assouvir mes fantasmes.
Troublé par cette ambivalence, je la laisse m’entraîner dans sa chambre.
Après quelques banalités échangées, elle s’assoit près de moi en me posant des questions plus directes.
— Pourquoi m’as-tu choisie?
— Parce que tu es très belle et que tu sauras mieux que tout autre femme me donner du plaisir.
— Avant que je réalise tes souhaits, il faudra me laisser t’initier à certains jeux, me dit-t-elle en me décochant un regard brûlant.
Puis, Natacha commence à me déshabiller.
Je suis entièrement nu lorsque ses mains remontent lentement à l’intérieur de mes cuisses en se refermant sur mes bourses.
A ce contact, ma queue se dresse d’un coup en se plaquant contre mon ventre.
D’une longueur normale, elle se distingue surtout par sa grosseur et son gland volumineux
— J’aime les sexes épais comme le tien car je les sens mieux en moi, m’assure-t-elle en le fixant avec intérêt.
Puis, elle ouvre son armoire en me dévoilant sa collection de jupons, corsets, guêpières, porte-jarretelles…
Sous son regard amusé, je passe de longues minutes à choisir mes dessous.
J’essaye plusieurs jupons qui entretiennent mon érection par le frottement du nylon sur mon gland.
Avec fébrilité, je pose sur le lit la guêpière et le corset qui m’ont fait craquer.
Devant l’impatience de Natacha, je finis par choisir le corset.
— Je vais enfin pouvoir te coiffer, te maquiller et t’habiller, me dit-t-elle en soupirant.
Devant son boudoir, elle me pose des faux cils et souligne mes yeux au «eye-liner»
Puis, elle peint mes lèvres d’un rouge vif et achève ma métamorphose en me coiffant d’une perruque mi courte très glamour.
— Il est maintenant temps d’enfiler cette ravissante lingerie ma chérie.
Je suis heureuse de l’entendre s’adresser à moi au féminin.
Natacha m’aide à lacer mon corset ivoire en dentelle marron en m’enfonçant sans ménagement son genou dans les reins pour me serrer la taille.
Elle place ensuite de généreuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105 D.
— Tu n’as rien à m’envier ma belle, car ils sont aussi beaux et lourds que les miens, m’assure-t-elle en me palpant les seins.
A mon tour, je contemple cette fille superbe qui fait monter mon désir.
Sa longue chevelure auburn retombe en cascade sur ses épaules en encadrant son visage sensuel.
Sa poitrine généreuse menace à tous moments de faire exploser les fines dentelles de sa guêpière.
Contrastant avec son éclatante féminité, je vois sa queue gonflée de désir se dessiner sous son string brésilien.
Se rendant compte de mon trouble, elle me dit en souriant:
— Encore un peu de patience, j’ai bientôt fini.
Comme envoûtée, je la laisse remonter sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui entoure mon sexe d’un écrin satiné en dévoilant mon illet.
— Tu es très bandante avec cette lingerie qui me laisse l’accès à tes fesses, s’exclame-t-elle.
Poursuivant sa tâche, elle accroche mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Me voyant peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une ravissante robe de nuit fendue qui découvre ma cuisse gaînée de nylon.
Émerveillée par ma nouvelle féminité, je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir.
J’admire mes formes généreuses en prenant des poses suggestives qui me mettent en valeur.
J’aime me voir sangler dans mon corset qui comprime mes seins et fait ressortir ma croupe.
J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi en me disant:
— A partir de maintenant, je t’appellerai Sandra.
Arborant un sourire coquin, sa main glisse furtivement dans mes dessous pour libérer ma queue.
Puis, d’un geste précis, elle décalotte mon gland en me masturbant lentement.
J’ai très vite une érection spectaculaire qui m’enflamme les sens.
— Laisse moi te faire l’amour Natacha, lui dis-je en l’implorant du regard.
— Sois patiente, me glisse-t-elle à l’oreille.
Elle m’allonge sur une table médicale face à une glace murale.
Avec une lueur d’excitation dans les yeux, elle place mes talons aiguilles dans les étriers.
— Écarte les cuisses, me dit-t-elle d’une voix douce en attachant mes poignets et mes jambes.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir immobiliser de la sorte.
Contemplant mon sexe qui pointe sous ma lingerie, elle s’exclame:
— Maintenant, je vais pouvoir commencer la séance.
Elle se penche sur moi en m’embrassant avec fougue pendant que sa main caresse mes cuisses à la lisière de mes bas.
Elle la remonte lentement vers mes fesses en effleurant mon illet.
L’effet est prodigieux et ma verge jaillit de son écrin de dentelle en soulevant mon déshabillé d’une manière indécente.
Elle est tellement raide qu’elle en devient douloureuse.
Malgré cela, je souhaite que ce moment s’éternise.
Puis, Natacha me masturbe tout en pressant la racine de mon sexe pour m’empêcher de jouir.
Quelques instants plus tard, elle m’enfonce son majeur dans l’anus.
Avec perversité, elle le recourbe vers le haut pour masser mon point G avec la pulpe de son doigt.
Un orgasme fulgurant me traverse les reins.
Une épaisse coulée blanchâtre recouvre mon gland et ruisselle sur ma hampe.
Natacha me pompe avidement la queue en la pressant pour extraire mes dernières gouttes de sève.
Je reste toute étourdie, les yeux mi-clos et en extase pendant qu’elle achève de me vider.
Mettant à profit mon relâchement, elle poursuit la séance.
Armée d’un rasoir, elle empoigne ma queue en me lançant un regard ambigu.
— N’aie pas peur et laisse moi faire.
Je frémis lorsque la lame glacée glisse lentement le long de ma verge.
Puis, Natacha, égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait.
Elle poursuit sa tâche en me rasant minutieusement lillet.
Satisfaite du résultat, elle suspend une poche en plastique remplie d’eau à une patère placée au dessus de ma tête.
Prenant en main la sonde transparente reliée au récipient, elle me l’enfonce dans l’anus.
Pendant que mes intestins se remplissent d’ eau, elle me caresse la queue en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.
Ayant mon visage au niveau de ses hanches, j’admire son sexe dressé qui jaillit de son string.
Plaqué contre son ventre, il dépasse la hauteur de son nombril.
Au moindre geste de ma maîtresse, il se balance sous mes yeux avec la régularité d’un métronome.
Après un bref échange complice du regard, elle le plonge dans ma bouche.
Je pompe alors Natacha sans m’arrêter jusqu’à ce qu’un flot de sperme fuse dans ma gorge en m’éclaboussant les lèvres.
Reconnaissante, elle m’embrasse à pleine bouche.
Un moment plus tard, elle se met à califourchon sur moi e presse mon ventre pour me faire évacuer l’eau dans un bassin en inox.
Sa tâche achevée, nous nous mettons tête bêche.
Je ne résiste pas à l’envie de titiller sa rosette qui s’ouvre sous la pression de ma langue.
Natacha, gémit de plaisir.
Dans un réflexe incontrôlé, elle serre ma tête entre ses cuisses en m’étouffant à moitié.
Elle se fait aussitôt pardonner en me pompant divinement la queue.
Ayant mon visage enfoui dans ses dessous, je m’enivre des senteurs de jasmin et de patchouli qui se mélangent à l’odeur de sa peau.
Elle s’arrête de me sucer quand elle me voit au bord de l’orgasme.
Sans me quitter des yeux, elle enfile une paire de gants en latex qu’elle lubrifie soigneusement.
Bien campée sur ses talons aiguilles, elle se plante entre mes jambes en contemplant mon cul offert et sans défense.
— Je vais maintenant te préparer pour la suite, me dit-t-elle d’une voix sibylline.
Elle glisse son majeur dans ma grotte.
— Tu es déjà bien ouverte, remarque-t-elle avec étonnement.
C’est avec surprise qu’elle effleure d’un doigt les renflements de mon anneau qui sont la conséquence de mes nombreuses dilatations anales.
— Eh bien ma belle, je constate que tu t’es faite défoncer par de gros calibres !
Gênée, je baisse la tête en évitant de répondre.
— J’espère que cela te comblera, s’exclame-t-elle en agitant sous mes yeux un imposant gode noir muni d’un manche.
Le tenant à deux mains, elle le pose contre ma rosette.
Face à la glace, je la vois forcer mon passage.
Agacée par plusieurs tentatives infructueuses, elle me dit d’une voix autoritaire:
— Pousse fort ma chérie.
Mon anneau blanchit sous la forte pression qu’elle exerce.
Soudain, il cède d’un coup en laissant l’énorme mandrin me transpercer les reins.
Je laisse échapper un cri qui surprend Natacha et l’arrête net dans son élan.
Très vite, elle se reprend en m’enfonçant le gode jusqu’au manche.
Déterminée, elle me pilonne sans trêve pendant plusieurs minutes.
La pression de mon sperme est telle qu’il finit par gicler en jets puissants sur mon visage.
Pendant ce temps, elle maintient le gode enfoncé dans mes reins en le sentant tressauter dans sa main à chacune de mes contractions anales.
Galvanisée par ce spectacle, elle le sort d’un coup de ma grotte en brandissant un autre phallus tout aussi impressionnant.
Il est constitué d’anneaux s’élargissant progressivement jusqu’à sa base.
— C’est mon préféré, m’assure-t-elle.
Elle me le montre cyniquement sous tous les angles et le pose sur mon ventre pour que je me rende mieux compte de son poids et de sa taille.
Quand elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les cuisses étant toujours écartelée et offerte à ses caprices.
Avec rouerie, elle le fait glisser longuement dans le sillon de mes fesses.
— Je vais te rentrer ce gode de neuf cent grammes dans la chatte, me souffle-t-elle à l’oreille.
L’inquiétude me gagne quand elle l’appuie avec force sur mon illet.
La douleur irradie mon ventre en s’amplifiant au fur et à mesure que mes sphincters absorbent les anneaux de plus en plus gros.
Mes gémissements ne font que redoubler l’ardeur de ma maîtresse qui rentre le dernier avec un plaisir non dissimulé.
Avec sadisme, elle pousse le gode avec son genou en me prenant la bouche pour étouffer mes plaintes.
Natacha me sodomise longuement avant de se retirer de mes reins.
Le gode retenu par mes chairs sort de mes fesses dans un bruit succion caractéristique.
— Nous arrivons à la dernière étape, me dit-t-elle en me lubrifiant avec un gel au silicone.
Après m’avoir enfoncé sa culotte en satin dans la bouche et bâillonnée avec l’un de ses bas, elle
glisse ses doigts dans ma grotte.
Prise d’un pressentiment, je tire en vain sur mes liens pour me détacher.
Agitée et déstabilisée, le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche lorsqu’elle plonge sa main dans mon ventre.
Natacha en profite pour me soulever avec son bras en bloquant son coude à la verticale contre la table d’examen.
Avec un plaisir non dissimulé, elle me voit m’empaler lentement par le poids de mon corps.
Poursuivant son fist, elle me masturbe avec son autre main en me léchant le frein.
— Je sens ton pouls battre contre mon bras, s’exclame-t-elle.
— Tu me fais mouiller ma chérie ! rajoute-t-elle d’une voix rauque.
Lorsqu’elle presse mon point G avec ses doigts, un orgasme intense me submerge.
Natacha sent mes sphincters se contracter avec force sur son poignet lorsque je me vide en jets puissants dans sa gorge.
Ma sulfureuse Maîtresse attend quelques minutes que mes muscles internes se relâchent avant de retirer lentement sa main.
Me libérant de mes liens, elle m’invite à prendre un cocktail pour me remettre de mes émotions.
Quelques instants plus tard, assise sur son tabouret de bar, Natacha me fixe d’un regard torride.
Elle croise et décroise ses jambes avec une lenteur calculée pour me montrer ses jarretelles.
Puis, elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre pour que j’’entende le crissement de ses bas.
Enfin, soulevant sa nuisette, elle me dévoile son string.
Il est extensible et transparent comme un bas en moulant à la perfection sa queue en érection et ses bourses bien pleines.
Brûlante de désir, Natacha m’entraîne vers son lit.
Elle se met sur le dos pour introduire dans sa grotte deux boules de geisha vibrantes reliées entre elles par un fil de nylon qui sort de ses fesses.
Ensuite, elle me couche sur elle en me masturbant entre ses cuisses.
Très vite, ma verge se dresse brûlante de désir en laissant échapper quelques gouttes blanchâtres qui s’accrochent à ses bas.
Ne pouvant plus attendre, je la retourne sur le ventre.
Natacha écarte ses fesses à deux mains en me disant:
— Viens maintenant ma chérie.
Je contemple un instant sa rosette frémissante de désir.
Puis, je la pénètre doucement avant de m’enfoncer jusqu’à la racine de mon sexe.
Natacha ferme les yeux en savourant son plaisir.
Puis, elle tire sur le fil qui pend entre ses cuisses pour plaquer les boules de geisha contre ma queue. Dans le même temps, elle active la télécommande avec son autre main.
Je ressens d’intenses vibrations sur les terminaisons nerveuses de mon gland.
Collée contre ses fesses, je la pilonne sans trêve en sentant mes bourses cogner contre les siennes à chaque va et vient.
De son côté, elle se trémousse en me serrant puissamment la verge avec ses muscles intimes.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur en amplifiant les vibrations sur mon frein.
Quand elle jouit, je me vide à mon tour en sentant les contraction de son anus sur ma queue.
Nous nous accordons un moment de repos avant de poursuivre nos ébats.
Natacha reprend l’initiative en sortant un nouveau jouet de son tiroir.
— J’espère que tu as récupéré, car j’ai toujours envie de toi, me dit-t-elle.
Elle me culbute sur son lit en m’enfonçant l’une après l’autre cinq boules anales dans les fesses.
Puis, elle me masturbe en me glissant un anneau pénien pour que je garde mon érection.
Ravie du résultat, elle s’empale d’un coup sur ma verge.
— Je te sens mieux comme cela, me dit-t-elle satisfaite.
Adoptant la position«en petites cuillères» elle se trémousse en se mordant les lèvres pour retenir ses gémissements.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille:
— Laisse-moi faire.
Se mettant à califourchon sur mon ventre, elle se balance lentement d’avant en arrière en mobilisant ses muscles intimes qui deviennent un véritable pompe à sperme.
Je résiste un bon moment à cette Messaline avant de lui dire d’une voix étranglée:
— Je vais jouir!
A ce moment, elle tire d’un coup les boules anales de ma grotte
Je râle de plaisir lorsque ma semence se déverse en jets puissants dans son ventre.
— Maintenant, c’est à mon tour de te baiser, me dit-t-elle.
Elle me fait admirer sa longue queue qu’elle va me planter dans les fesses.
Puis, elle m’allonge sur sa couche en plaçant un coussin sous mon ventre pour me pénétrer plus à fond.
Avant de poursuivre, elle contemple le spectacle qui s’offre à sa vue.
Son regard s’attarde sur mes longues jambes mises en valeur par mes escarpins et mes cuisses gaînées de nylon avant de se poser sur mes fesses.
— Tu as encore lillet bien ouvert, me dit-t-elle.
Elle se glisse entre mes jambes en se masturbant un long moment dans le sillon de mes fesses.
Lorsqu’elle pose sa queue contre ma rosette, je tortille des fesses pour tenter par jeu d’échapper à son dard.
Allongée sur moi, Natacha finit par me transpercer d’un violent coup de rein.
Elle me baise alors sous tous les angles dans un rythme effréné.
Parfois, elle sort de mes fesses et attend patiemment que mon anneau se referme.
Puis, elle se laisse à nouveau retomber sur moi en m’empalant jusqu’à la garde.
Je ne pense plus qu’à cette colonne de chair qui me pénètre et me possède sans fin.
Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements de sa queue dans ma chatte pendant que ses bourses me fouettent les cuisses à chaque va et vient.
Quand, Natacha s’arrête de me pilonner, je perçois les tressautements de son sexe dans ma grotte.
Je me décide à l’achever en contractant mes muscles internes.
Dans le même temps, je plonge ma main entre ses cuisses en la refermant sur ses bourses.
Puis, je les tire en arrière pour décalotter son gland et provoquer une forte tension sur son frein.
Pour l’achever, je colle mes fesses contre elle en me trémoussant sur sa queue.
Elle ne résiste pas longtemps à mon massage fessier et décharge en jets puissants son sperme dans mon ventre.
Le soir venu, épuisées par nos jeux nous décidons de nous coucher
Au cours de la nuit, Natacha allume sa lampe de chevet.
Me croyant endormie, elle m’ouvre les cuisses en me faisant prendre des positions qui l’excite.
Ses mains s’attardent sur ma guêpière et mes bas en me prodiguant de troublantes et insistantes caresses.
J’ai beaucoup de mal à rester immobile lorsqu’elle me titille lillet.
Peu après, elle s’allonge sur le côté en se plaçant dans mon dos.
Elle se masturbe un moment sur le nylon de mes bas.
Puis, cédant à ses pulsions, elle me pénètre doucement.
Bercée par ses va et vient, je retiens difficilement mes gémissements de plaisir lorsque sa sève fuse à nouveau dans mon ventre.
Elle me viole ainsi plusieurs fois jusqu’à l’aube.
Au petit matin, Natacha s’étire en cambrant sa magnifique poitrine.
— Cette nuit, j’ai pu réaliser mon fantasme en te prenant pendant ton sommeil.
— J’ai tellement déchargée dans ta chatte que j’ai du t’enfoncer un plug pour arrêter le flot de sperme qui s’en échappait.
Après avoir tant jouit dans mes fesses, elle a les yeux cernés et je la prends tendrement dans mes bras en lui proposant d’autres scénarii pour notre prochaine rencontre.