Dans sa chambre, il y avait une ambiance de confiance qui régnait, des bougies, j’adore les bougies. Mais pas le temps pour le romantisme, j’avais juste envie de baiser avec elle et de profiter de son corps nu, de sa chaleur torride et de sa mouille intense.
Je l’allonge délicatement sur le lit et je m’allonge à côté d’elle. On commence à s’embrasser tout en enlevant de manière très sauvage et sensuelle nos derniers vêtements, elle enlève son leggings, et j’ai pu apercevoir son minou directement, elle ne portait pas de culotte cette salope. Très excitant et sa chatte semblait très mouillée aussi, j’enlève mon tee-shirt, elle dégrafe mon soutif, enlève ma culotte nous sommes à présent toutes les deux nues. Elle est encore plus belle comme ça. J’ai envie d’explorer le moindre endroit de désir disponible sur son corps.
Je me laisse emporter par cette excitation et je prends son sein dans ma main droite pour le diriger sur ma langue directement ensuite. Je le lèche du bout de la langue et elle a l’air d’adorer ça, moi aussi, c’est doux, elle a des seins encore plus parfaits que les miens. Je la sens respirer de plus en plus fort, elle a chaud, ça se voit. Attends que je lui lèche la chatte, on verra si ça ne la rend pas encore plus chaude. Je commence à sucer son mamelon tout dur d’excitation, ça semble être une zone érogène, elle ne tient pas en place.
— "Laisse-moi te faire la même chose maintenant, je veux te voir te dandiner de plaisir petite pute"
Elle me plaque contre le lit, m’écarte les jambes, elle peut bien admirer son uvre sur mon corps maintenant, une lichée de mouille avait coulé le long d’ailleurs, j’ai honte mais je trouve ça à la fois tellement jouissif. Je ne suis pas innocente. Elle s’approche de mon trou, l’admire et commence à passer un coup de langue sur mon clitoris, je gémis, ce coup de langue était tellement intense, j’ai pas pu résister. J’ai fermé les yeux. Elle y retourne, je l’ai senti, elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qui pouvait faire beaucoup de bien à une femme. Cette pute me léchait la chatte correctement et j’adorais ça, j’en voulais encore plus. J’ai senti quelque chose rentrer à l’intérieur de mon vagin, même en étant complètement ouvert à cause d’elle, j’ai senti qu’elle y avait mis un doigt, ou deux, ou trois je ne sais plus mais les deux en même temps me procuraient un plaisir indescriptible, je me tordais dans tous les sens, je n’étais plus rationnelle, je n’étais plus qu’une boule d’émotions qui ne résistait plus à rien, je dépendais d’elle, elle me faisait trop de bien. Elle continuait à me doigter fort tout en me léchant le bout du clitoris… Ouow, je crois que… Je crois que j’ai envie de jouir ?!
— "Non, tu ne jouiras pas, pas maintenant. Je t’ai senti te contracter, va falloir souffrir un peu avant de te libérer"
Putain cette salope est douée pour savoir quand s’arrêter. J’étais à deux doigts de jouir, sans mauvais jeu de mots, elle a tout cassé, je suis encore plus excitée qu’avant maintenant. Je prends les devants, c’est à mon tour de lui faire un cunni, en la doigtant en même temps. Je suis meilleure pour sucer des bites, c’est vrai, mais j’adore sentir toute sa mouille sur ma langue et la voir se tortiller dans tous les sens. Je voulais la voir jouir elle aussi, mais j’étais partagée entre cette idée ou lui faire comme elle m’a fait, la laisser en plan au dernier moment. Elle mouillait dans ma bouche cette conne, c’était salé et en même temps agréable. Je léchais bien comme il fallait son petit clitoris tout lisse tout mignon, qui aurait pu croire qu’une nana qui se dit innocente est en réalité une grosse salope qui aime les cunnis ? Je l’ai embrassé juste après avoir bien pris toute sa mouille dans ma bouche, elle semblait adorer le goût de son propre liquide, et c’est tant mieux car elle mouillait bien comme il fallait cette cochonne.
Elle m’a stoppé net, allait-elle jouir ? Je me laisse faire, elle m’allonge, grimpe sur moi et commence à se frotter sur ma jambe telle une chienne en chaleur de manière très très excitante, ça la stimulait comme il fallait, on s’embrasse en même temps, toutes les deux avec le goût de nos cyprines, dieu que j’adorais ça. On se frotte d’une manière tellement sensuelle, dans mes souvenirs j’ai déjà joui comme ça. Il faisait 1000 degrés dans la pièce, deux filles en chaleur, on transpirait, on en pouvait plus, on était en extase, elle m’a demandé de la finir, comment refuser cette demande ?!
Je l’ai touché, je l’ai touché comme moi je me touchais en pensant à elle, je l’embrasse en même temps, je la sens se contracter de plus en plus, je crois qu’elle va jouir, je la vois, elle en peut plus, elle monte en pression, sa respiration s’accélère, je l’entends gémir de plus en plus jusqu’à l’explosion, elle jouit putain, elle crie fort cette salope, elle en met partout sur mes doigts en plus, y en a partout, j’adore ça bordel !!!…
Putain j’ai fait jouir une fille, je suis trop heureuse et à la fois épuisée, elle est venue rapidement, c’est vraiment intense de voir une fille jouir, c’est fou !
— "T’es une putain de salope, j’adore ça, c’est à mon tour de te faire jouir maintenant."
Oui vas-y, fais-moi jouir, fais-le, je t’en supplie. Je veux que tu me touches et que tu m’emmènes loin. Elle décide de me mettre à quatre pattes et de me toucher dans cette position, elle sort un gode de son tiroir et me l’enfonce profondément dans la chatte. C’est rentré plutôt facilement avec tous les litres de cyprine que je lui ai sortie.
— "Vas-y, bouge-toi comme il faut, t’aimes ça t’façon les gros trucs qui rentrent dans ton trou"
J’adore tellement que je me sens venir, ces mots sont une source d’excitation pour moi, j’en peux plus, je lâche tout, au bout de plusieurs minutes de mouvements intensifs je crie fort, je suis en train de jouir, je jouis putain, c’est de sa faute, elle m’a excité cette salope. J’ai joui. Je jouiiiiiisss ! Je me sens tellement soulagée bordel. Toute cette tension que j’ai évacuée, y en avait tellement. C’est une déesse, une putain de déesse du sexe, c’est pas possible autrement. Je m’effondre sur son lit de fatigue. J’en peux plus, elle non plus. On s’est endormi après cette séance plutôt chaude et intense.
Le lendemain matin, après une bonne nuit pleine de rêves coquins, je suis repartie à mon travail, elle aussi, on a repris notre routine quotidienne, j’avais bien compris que je ne pouvais pas être en couple avec elle, j’ai compris que ça ne pouvait pas marcher, je voulais au moins l’avoir en tant que sexfriend. Je voulais me faire du bien avec elle de temps en temps, c’est si intense, j’ai adoré ce moment et je voulais re-continuer. J’allais récidiver, il le fallait. Elle baise trop bien c’te salope, je vais la re-baiser encore, je le sais.