Chapitre 3
Soumission et exhibition
Nos corps sont encore humides, après cette douche, quand nous sortons au soleil, en tenue d’Ève, et nous nous installons quelques instants sur des bains de soleil.
— Écarte tes cuisses, pour bien montrer ta petite chatte de salope. Dorénavant, il va falloir que tu t’habitues à t’exhiber.
Lise obéit sans discuter, pour mon plus grand plaisir. Mais j’avais déjà donné l’exemple… Même si ma terrasse profite d’une vraie intimité, je sais que, des fenêtres d’un autre appartement, on peut nous apercevoir. Je la surveille de temps en temps, mais pas de voisin en vue… La leçon d’exhib de Lise n’est que partie remise. Enfin, remise… Pas tant que ça!
Avant notre douche, Lise m’avait dit qu’elle avait envie de sushis pour le dîner. Nous commençons à ressentir la faim, et il est temps de passer notre commande. De la cuisine, je ramène un petit dépliant, avec la liste des sushis et des plats proposés par le restaurant japonais du coin, qui livre à domicile. Je tends le prospectus à Lise, qui fait son choix, et je téléphone au restaurant.
— Le livreur sera là dans un quart d’heure, dis-je en raccrochant.
— Tant mieux, j’ai faim. Il va peut-être falloir qu’on se rhabille, alors.
— Non.
— … Comment ça, non?
— C’est non. On reste à poil. Et c’est toi qui lui ouvriras.
— Mais… t’es dingue? C’est pas vrai, tu me fais marcher.
— J’ai l’air de plaisanter? Rappelle toi ton engagement.
— J’oserai pas…
— Mais si, Lise chérie. J’aime tant te voir t’exhiber. Tu ne veux pas me décevoir? dis-je en la prenant dans mes bras, et en approchant mes lèvres des siennes.
— Non, tu le sais bien… Ohlala, je te cède toujours.
— Et tu as déjà regretté?
— Non, au contraire.
— Et puis, dis toi que je serai là, nue aussi. Je me tiendrai à l’entrée de la terrasse. Ça te rassure?
— Un peu. Mais je me suis jamais montrée comme ça.
— Tu verras. C’est excitant. Et si tu prends des poses sexy devant le livreur, je te promets une surprise…
— Laquelle?
— Si je te le disais, ça ne serait plus une surprise!
Je prends Lise dans mes bras, et elle se blottit contre moi. Je ne me lasse pas du contact de son corps libre contre le mien, et si je m’écoutais, je lui ferais l’amour sans arrêt. Mais il faut que je sois sage, nos sushis vont bientôt arriver. Et au bout de quelques minutes de câlin, la sonnette retentit.
— Pas déjà! s’affole Lise.
— Si, c’est lui. A toi de jouer.
— Oh non! Je n’ose pas…
— Tu as accepté, et tu dois m’obéir, dis-je sur un ton sec.
Ma main s’abat sur les fesses de Lise. Une énorme claque, qui laisse les traces de mes doigts sur sa peau claire. Elle se retourne, et me fixe avec une expression de panique. Je dois l’encourager et la rassurer.
— Vas-y, ouvre. Tu es trop belle, c’est un péché de cacher un corps pareil. Je suis là, tout près. Dépêche toi, sinon il va repartir.
Lise, les joues écarlates, ouvre enfin la porte, d’une main tremblante. Elle se retrouve nez à nez avec un jeune, plutôt mignon. Sans doute un étudiant qui se fait un peu d’argent. Il a gardé son casque, et porte dans ses mains un carton orné du logo du restaurant.
Il est resté bouche bée, et son regard monte et descend, fixant alternativement les seins de Lise, et son petit ticket de métro.
— Mademoiselle Ambre G?, finit-il par demander.
— C’est ici, dis-je d’une voix forte… Fais le entrer, Lise.
— Euh… oui, entrez.
Lise s’écarte, et le livreur rentre dans le séjour… pour m’apercevoir maintenant, sur le seuil de la porte-fenêtre, aussi nue qu’elle. J’adresse un clin d’il complice à Lise, qui commence à se ressaisir.
— Vous pouvez les déposer sur la table, lui dit-elle.
— Merci. Attendez, je vais ouvrir la boîte, pour vous permettre de vérifier.
— C’est bien ça, dis-je en m’approchant à mon tour du jeune homme, qui ne sait quelle attitude adopter face à nos corps offerts à sa vue, sans la moindre pudeur. Ça a l’air très bon! Lise, tu vas chercher mon porte-monnaie dans ma chambre, sur la commode, et tu payes.
Et je lui glisse à l’oreille, quand elle passe à côté de moi:
— Plus sexy!!! N’oublie pas la surprise…
Le message est bien passé, et Lise se dirige vers la chambre, avec un déhanchement suggestif. Le jeune homme la suit des yeux, et ne quitte plus la porte du regard, attendant son retour. Une bosse révélatrice déforme son jean.
— Elle est mignonne, n’est ce pas?
— Euh… Oui, répond-il, gêné.
— Dommage pour vous, elle préfère les filles.
— Vous avez de la chance… Mais vous êtes très belle aussi…
Il s’est vraiment "rattrapé aux branches". Un peu plus, et je me vexais. Il commence à me détailler sans retenue, de la tête aux pieds – il doit être en train de se dire qu’il est tombé sur deux salopes, et que ses collègues auront du mal à le croire – mais le retour de Lise le fait revenir sur terre.
Il n’y a plus aucune trace de gêne chez elle. Ses yeux brillent en fixant l’entrejambe du livreur, et ses tétons pointent. Je suis sure qu’elle mouille!
— Ça fait combien? demande-t-elle.
— 38 euros 60, répond-il.
— Attendez… Je regarde si j’ai la somme exacte.
Elle vide une partie de mon porte-monnaie sur la table basse du salon, et se penche pour trier les pièces. Je lui fais un signe discret d’encouragement, et elle se cambre, faisant durer l’attente en tripotant les pièces de monnaie. Sa vulve gonflée se retrouve sous le nez du livreur, au bord de la crise cardiaque, et je m’aperçois que je ne me suis pas trompée: un peu de cyprine perle autour de sa fente…
— Je n’ai pas le compte, désolée, finit-elle par admettre en tendant deux billets de 20 euros.
— Vous pouvez garder la monnaie. Pour la course, dis-je au jeune homme.
— Oh, j’ai déjà eu mon pourboire, me répond-il, avec un coup d’il appuyé.
Aussitôt, il se rend compte qu’il n’aurait pas du être aussi familier. Il rougit violemment, et part, ou plutôt s’enfuit. Je regarde Lise, nous éclatons de rire toutes les deux, et elle revient m’enlacer.
— Au fait, j’ai été assez sexy avec le petit livreur? me demande-t-elle.
— Tu as été parfaite. Enfin, à la fin, parce que je t’ai trouvée un peu timide au début.
— Timide? Je lui ai ouvert à poil, alors que je n’ai jamais montré mon corps comme ça! Et elle ajoute, en minaudant: tu ne m’avais pas promis une surprise?
— Tu ne perds pas le nord! Oui, tu as raison, chose promise, chose due.
J’abandonne Lise un court instant pour aller dans ma chambre, et j’en reviens avec un écrin, qu’elle ouvre. A l’intérieur, un bijou anal. Un superbe Rosebud, orné d’une pierre couleur grenat. J’ai choisi un modèle d’une taille "raisonnable", pour ménager le petit trou de ma soumise néophyte…
— Il est magnifique, merci, me dit Lise en m’embrassant sur la bouche.
— Il te plaît?
— Bien sur. Je compte sur toi pour me le faire essayer, le moment venu.
— Mais… le moment présent me semble tout indiqué. Je veux te voir faire le service ce soir, avec ce bijou scintillant entre tes adorables fesses. Viens. Appuie toi sur le canapé, et penche toi en écartant tes jambes.
Lise s’exécute sans discuter, et m’offre son joli cul. Ma main caresse les deux globes fermes et doux, les écarte un peu pour mieux voir la rosette sombre et plissée. Je l’effleure d’un doigt, et Lise se cambre, pendant que je glisse ma main entre ses cuisses. Je trouve son abricot bien juteux (je vais finir par croire qu’elle mouille en permanence avec moi), et je me sers de sa cyprine comme d’un lubrifiant.
Mon doigt gluant pousse contre l’entrée de son petit illet, qui ne résiste guère. Elle me laisse la pénétrer, en poussant de petits soupirs, et bientôt deux phalanges de mon majeur coulissent lentement dans son fourreau. Mon Dieu, comme elle est étroite de ce côté! Il y a du travail en perspective!
Mon doigt bouge et tourne en elle, et son petit trou se dilate peu à peu. Je présente un deuxième doigt, et je crache dans la raie de ses fesses. Je vrille sa rondelle de mes doigts, que j’écarte pour distendre ses parois. Elle gémit, sa plainte monte dans les aigus, et un mince flot de mouille s’échappe de son minou. Je sens qu’elle est prête…
Le pointe du plug remplace mes doigts, et le cône brillant s’enfonce sans peine dans le petit trou de Lise. Puis, c’est comme si le bijou était aspiré, et la pierre vient se placer d’elle-même entre ses fesses cambrées.
Je guide Lise pour qu’elle se redresse, et je l’entraîne devant le grand miroir de ma penderie. Je la fais pivoter, pour contempler son adorable petit cul orné de mon cadeau, et sa poitrine que l’excitation fait se dresser. Dans la glace, elle me décoche un de ses sourires qui me font fondre.
— Tu es encore plus belle comme ça, lui dis-je.
— Toi aussi, Maîtresse. C’est peut-être parce que je t’excite? répond-elle en riant.
— Attends… Il te manque encore quelque chose. Ne bouge pas.
Je retourne dans ma chambre, et j’en reviens quelques secondes plus tard, en tenant dans ma main deux pinces à seins. Je me place derrière Lise, mes seins plaqués dans son dos, et je saisis la pointe d’un de ses nichons entre mes doigts. Elle darde déjà, et je n’ai aucun mal à faire saillir encore plus le téton, grenu comme une petite framboise.
Doucement, je le place entre les petites mâchoires de la pince, et je règle la pression en serrant une petite vis, jusqu’à ce qu’une grimace de Lise me fasse deviner sa douleur. Puis c’est au tour de son autre sein, sans qu’elle me demande d’arrêter. Au contraire, puisqu’elle glisse sa main entre mes cuisses, et masse tendrement ma chatte en feu…
Je me recule, pour contempler sa poitrine aux pointes dardées et pincées, reliées par une chaînette qui pend, et que je pourrai tirer pour la faire souffrir davantage.
— Tu aimes être ainsi, ma Lise?
— Oui… J’ai mal, mais c’est bon. Je n’imaginais pas ça, mais ça m’excite. C’est bon d’être à toi, d’être ta chose.
— Alors, on va s’installer sur la terrasse pour manger, et tu vas me servir, ma petite salope.
— Comme tu veux, Maîtresse, me répond Lise avec un sourire coquin.
Nous repartons vers la terrasse. Au passage, je débouche une bouteille de vin blanc, et je sors les verres et les couverts. Puis je m’installe sur une chaise, devant une petite table ronde, en attendant que Lise apporte nos sushis et le vin. En levant les yeux, j’aperçois mon voisin, qui remarque ma présence et qui commence à me mater. Faisant celle qui n’a rien vu, j’écarte mes jambes, et je pose un pied sur le muret qui supporte la balustrade de la terrasse. Il ne va pas être déçu, et je sens mes tétons qui se dressent déjà.
Quelques instants plus tard, Lise me rejoint, un plateau dans les mains.
— Eh bien, tu ne te gênes pas, me dit elle en riant. Vue imprenable sur ta petite chatte!
— Je sais. Et je crois que tu n’es pas toute seule à en profiter.
— Qu’est ce que tu veux dire?
Elle vient de comprendre, et s’apprête à lever les yeux vers les fenêtres du voisin, mais je l’arrête.
— Ne regarde pas. Il va être gêné, et il va rentrer.
— Tu veux qu’il nous mate?
— Bien sur! C’est excitant, et pense au plaisir qu’on lui procure.
— Mais… T’es folle!
— Allons, ne fais pas ta mijaurée. Tout à l’heure, devant le livreur de sushis… Ça t’a plu, non?
— Tu me fais vraiment faire n’importe quoi!
— Tu l’as déjà dit. Viens, assois toi.
Incapable de me dire non, Lise s’installe sur un fauteuil, et sur un petit signe de ma part, elle écarte aussi les jambes en rougissant , découvrant son adorable minou et le ticket de métro qui le prolonge.
— Bon, maintenant, sers moi, ma petite salope, lui dis-je sur un ton sévère.
— Oui, Maîtresse, répond elle, en installant quelques sushis sur une assiette, et en remplissant mon verre.
Nous mangeons et nous buvons tranquillement, en discutant. Lise est finalement à l’aise, nue, et ne semble plus prêter attention au voisin. Mais je pense qu’elle donne le change, comme moi, car je surprends à plusieurs reprises ses regards à la dérobée vers ses fenêtres. Je lui demande s’il est toujours là, en glissant mon pied nu entre ses cuisses, et en ouvrant ses petites lèvres du bout de mes orteils.
— Oui, répond-elle à mi-voix. Ooooh! Qu’est ce que tu fais?
— Tu n’aimes pas?
— Si… Et toi? ajoute-t-elle, en répondant à son tour à ma caresse?
— J’adore…
Nous sirotons notre vin blanc, le dos en arrière, bien calées sur nos sièges. Nos seins sont gonflés, et la chaînette qui relie les pinces brille au creux de la poitrine de Lise. Nous poursuivons pendant plusieurs minutes nos caresses, et nos doigts de pieds sont luisants de mouille.
— J’ai envie de toi, dis-je à Lise. On rentre?
— Oui, mon Ambre chérie. Moi aussi, je veux être à toi. Qu’est ce que tu vas me faire?
— Tu vas voir… Et surtout, tu vas jouir!
— Fais moi tout ce que tu veux, je veux t’appartenir, sans limite…
Lise a prononcé ces derniers mots d’une voix rauque, hachée par le désir. Je me lève, et je prends Lise par la main, pour la guider à l’intérieur, tout en nous embrassant à pleine bouche, et en nous caressant sans pudeur. Sans nous désunir, nous nous retrouvons dans ma chambre, et nous tombons sur le lit.
Je sors de nouveaux jouets du tiroir de ma commode, sous l’il gourmand de mon amante soumise.
— Tu sais ce que c’est?
— Non, répond-elle.
— Un uf vibrant, télécommandé. Je vais l’introduire dans ton minou, et je vais m’amuser avec la télécommande. Tu verras, c’est diabolique!
— Oh!… Tu t’arrêteras lorsque j’aurai joui, c’est ça?
— Non. Je continuerai, pour que tu jouisses encore. Jusqu’à ce que tu n’en puisses vraiment plus.
— Tu me fais peur…
— Mais de ton côté, tu pourras me donner du plaisir avec ça… dis-je en lui montrant un énorme gode vibrant, hyperréaliste, qu’on dirait moulé sur la bite d’un hardeur.
Je guide Lise pour qu’elle s’installe face à moi, cuisses écartées, et je masse sensuellement sa petite chatte. Je l’ai trouvé déjà mouillée, mais très vite, elle recommence à couler, en abondance, et son clito se dresse hors de son étui. Sa respiration s’accélère, et elle ferme à moitié les yeux, au moment où j’introduis l’uf entre ses petites lèvres. Il disparaît sans effort dans la fente ouverte de Lise, et seul le cordon rose qui sert d’antenne dépasse maintenant…
Je m’assois face à elle, et à mon tour, j’écarte d’une main en grand mes lèvres vaginales pour qu’elle puisse admirer mon petit coquillage rose. Puis je lance les vibrations de l’uf. Juste quelques secondes, pour que Lise découvre cette sensation que je connais bien.
Son bijou anal dilate toujours son petit trou, et appuie contre sa grotte stimulée par le gode, multipliant l’effet de chaque vibration. Lise pousse un cri aigu, avant de me supplier.
— Oh oui, encore! C’est trop bon!
— Il va falloir le mériter, ma petite chienne soumise.
— Tout ce que tu voudras!!
— Alors, dis moi tout haut que tu es ma salope, que je peux te faire faire tout ce que je veux…
— Oui, oui! Je suis ta salope, demande moi ce que tu veux… Mais recommence, je t’en prie!
Sans la faire attendre davantage, je relance l’uf vibrant. Je tourne le bouton, pour accélérer le rythme, et Lise se tord de plaisir. Des filets de cyprine commencent à sourdre de sa fente, et ses cris montent dans les aigus.
Je suis hypnotisée par le spectacle qu’elle m’offre, et je tords les pointes de mes seins entre mes doigts, jusqu’à laisser échapper une plainte. Je tire sur la chaînette qui relie les pinces écrasant ses tétons, et Lise crie à son tour, de douleur et de plaisir mêlés.
Je n’y tiens plus. J’ai besoin de sa bouche sur mon minou, de ses doigts et du gode en moi.
— Bouffe moi la chatte, salope, doigte moi!
Et je tire sa chevelure, pour amener son visage au creux de la fourche de mes cuisses. Elle embrasse ma chatte, suce mon petit bouton dardé. Sa langue fouille mon antre, et lèche ma mouille. J’empoigne mes mollets, pour dresser haut mes jambes écartées, en soulevant mes fesses, et ma sève coule, jusqu’à mon petit illet sombre.
Nous nous déchaînons toutes les deux. Lise me lèche et me doigte, pendant que je fais varier le rythme et les mouvements de l’uf vibrant. A cette cadence, Lise ne tient pas longtemps, et un orgasme la terrasse. Mais la vision de son plaisir décuple mon excitation.
Je lui tends le gode, en lui ordonnant de l’enfoncer d’un seul coup dans ma chatte affamée. Lise s’exécute, et malgré la douleur provoquée par la taille de l’engin, qui distend les parois de mon minou à les faire éclater, je ressens un bonheur incroyable, et il ne me faut que quelques va-et-vient du sextoy pour que je jouisse.
Nous sommes emportées toutes les deux par notre excitation, esclaves de nos désirs. Lise enclenche les vibrations du gode, qui soulèvent des vagues de plaisir au creux de mon ventre. Je bouge le bijou anal dans son petit trou, pour exacerber les sensations provoquées par l’uf. Nous ahanons, nous poussons des cris rauques de bêtes en chaleur. Je ne saurais dire combien de temps a duré cette orgie, et nous jouissons encore, ensemble.
Lise commence à fatiguer, mais je ne suis pas rassasiée. Je soulève davantage mon bassin, et je lui offre mes fesses, en criant mes ordres.
— Encule moi avec le gode!
— Tu es folle, il est trop gros!
— Je m’en fous, j’ai envie que tu me défonces. Fais ce que je te dis, salope!!
J’ai stoppé les vibrations de l’uf, pendant que Lise essaie de me sodomiser avec la spectaculaire bite de silicone. Je crains un moment d’avoir présumé de mes capacités, tant la dilatation de ma rosette plissée est douloureuse. Mais mon désir est trop fort. Petit à petit, je m’ouvre, et l’olibos s’enfonce, millimètre par millimètre.
— Ça va ?, me demande Lise, en marquant une pause.
— Oui… Attends un peu… Là… Continue… Oh ouiiiiiii!
Le gland est passé, et je sens la longue tige plonger lentement au tréfonds de mon anus. Je relance le sextoy toujours fiché dans la chatte de Lise, et elle commence à faire vibrer à son tour le gode bien calé entre mes fesses.
Alors… C’est l’apothéose! Nous ne sommes plus que deux bêtes en chaleur, monopolisées par la recherche de notre plaisir. Nous crions, nous nous encourageons mutuellement, des larmes coulent sur nos joues, des jets de mouille giclent de temps en temps de nos chattes. Lise suce mon clito, et je jouis encore. Elle me suit de près, mais nous ne stoppons pas cette chevauchée fantastique, qui dure de longues, longues minutes. Et enfin, un ultime orgasme nous terrasse, nous laissant haletantes, luisantes de sueur, au bord de l’évanouissement.
Quand, petit à petit, nous revenons à nous, j’aperçois mon lit ravagé, trempé, transformé en champ de bataille. Avec des gestes très doux, je retire le bijou anal et l’uf vibrant, toujours plantés dans les orifices de Lise, et elle fait de même avec mon gode, pendant que je détache les pinces torturant ses seins gonflés.
— Tu as aimé, Lise chérie?
— Oh oui, répond-elle.
— Tu voudras donc bien rester avec moi, petite salope?
— Oui… Je n’ai même plus honte, tu sais.
— Alors, je veux que tu restes dans mes bras cette nuit.
— Oh, ma Maîtresse adorée, je me sens si bien avec toi.
Nous ne prenons même pas le temps de nous laver, ni de refaire le lit. Quelques secondes plus tard, Lise s’endort, blottie contre moi, et je sombre à mon tour dans le sommeil.