…Cela devait finir par arriver. Maman est enceinte. Il y a de forts doutes sur l’origine de la future paternité et la question se pose de savoir si elle doit, ou non, avorter. ça amuse plutôt mon père d’imaginer que je puisse avoir foutu ma mère en cloque et ça accroît ses pulsions les plus tordues. Il dit que cela rend ma mère encore plus désirable et elle oublie ses inquiétudes légitimes lorsqu’ils font l’amour comme aux premiers jours dans le salon, la chambre ou encore dans la baignoire de la salle de bains. Bien évidemment, les portes demeurent toujours grandes ouvertes pour que je sois informé de leurs ébats bruyants et démonstratifs ou sifflé pour leur procurer des extras sensationnels en plus du plaisir qu’ils se donnent mutuellement. Des mains baladeuses ou des sensations de bouche, en sus des coïts parentaux, ne sont jamais malvenues aux moments qu’ils souhaitent le plus intensément et que j’ai vite appris à connaître par cur avec leurs préférences et leurs habitudes.
Maman adore se faire sucer les seins pendant que son mari la prend en une vigoureuse levrette. Je viens me positionner sous son ventre, et je téte ses nichons pendant qu’elle gesticule et se contorsionne en poussant des gémissements de chienne en rut et haletante. Elle me roule des pelles gourmandes entre deux plaintes amoureuses et quelques grimaces impudiques qui en disent long sur la qualité indéniable de son excitation. Ma queue, prise dans l’étau de fer qu’il me faut garder, me fait atrocement souffrir et papa prend plaisir à me pincer les prothèses, à me tirer les testicules, histoire de me rappeler, dans ces moments précis, qui est le maître à la maison et qui est le véritable propriétaire et usager des charmes maternels si réels que toutes ces années de privation accentuent encore davantage. On m’autorise à lui branler le clito, par en dessous, pour hâter sa jouissance. Je peux sentir, avec mes doigts le gros sexe paternel s’enfoncer dans sa fente brûlante et très dilatée. Maman sue abondamment de la chatte. Je devine qu’elle va prendre un pied immense lorsqu’elle se met à m’insulter en m’intimant l’ordre de me concentrer manuellement sur son petit organe vulvaire:
_Aaah, putain, charogne, saleté!(…) Mieux que ça, le clito! (…) Branle-moi! Branle-moi!
J’ai l’impression que mon père accélère la cadence et ma mère est littéralement bourrée sans ménagements à un rythme soutenu et violent. Il tient maman par les hanches et, solidement accroché, je l’entends la traiter de tous les noms. Le mépris auquel mon père voue sa femme, lors des ces instants culminants, précipite la survenue explosive des spasmes qui secouent ma mère, de la tête aux pieds:
_Aaah!Oooaah! (…) Ouiii, chéri !!! (…) Que c’est booon! Aaah!
J’adore sentir vibrer aussi fortement le corps de ma mère et je me fais toujours une joie anticipée à la perspective de recevoir ensuite, sous les bordées d’injures habituelles, le foutre papale en bouche ou en pleine face selon désir:
_Ramène ta tronche de pute par ici, raclure de chiotte. Rends-toi utile, fissa ! je vais décharger copieux….
A suivre.