Salut c’est votre folle de lycra.
Dans le cadre de mes études, j’étais venue vivre chez ma meilleure amie Élodie et ses parents, dont la maman était la meilleure amie de ma mère. Avec Élodie nous étions complices au point d’avoir des relations sexuelles régulières et voilà que la maman rentrait dans notre cercle, tout comme le papa ce matin-là. J’étais donc réveillée par de douces caresses, et un baiser bien gourmand de la part du papa, alors que j’étais dans le lit d’Élodie et que nous venions de dormir ensemble. Pour la première fois, la veille j’avais donné du plaisir à Gilles, son papa, mais manifestement il en redemandait. De sa main droite, il était en train de me faire reluire le berlingot, je peux vous garantir que j’adorais ce genre de réveil. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes, qu’Elodie a fini par ouvrir un il, bien que je ne me sois pas cachée, je me sentais un peu mal à l’aise que son papa soit en train de me chatouiller le bijou, alors que j’étais à côté d’elle. J’ai été un peu écurée, quand j’ai constaté que Gilles était maintenant en train d’alterner ses caresses entre mon minou et celui de sa fille.
Au fond de moi, j’étais en train de me dire qu’il était en train de faire une mixture entre nos deux cyprines, ça par contre, cela m’excitait. Pendant que son père m’embrassait, Élodie s’était mise à me caresser le visage et aussi mes cheveux longs. Une symbiose parfaite était en train de naître, au niveau sexuel entre nous quatre. La façon dont il embrassait donnait envie de l’embrasser avec encore plus de passion et de gourmandise. Je me demandais ce qu’allait penser Caroline si elle nous surprenait à partager ce petit moment de sexe avec son mari. En même temps il y avait de fortes chances qu’elle soit au courant manifestement, ces deux parents ne se cachaient pas grand-chose. Maintenant Gilles était toujours en train de nous faire gonfler la mouflette, mais en plus il me donnait à sucer ses doigts inquisiteurs. Élodie me regardait lui nettoyer les doigts avec un sourire, mais aussi avec envie, sans doute de faire la même chose. Maintenant Élodie s’était redressée pour prendre la place de son père, afin de pouvoir m’embrasser, ce dernier s’était glissé sous les draps pour me toiletter l’abricot.
— Je vois que vous vous amusez bien sans moi.
— Et toi mon chéri, elle a l’air de beaucoup te plaire notre petite Sophie.
— Pour y avoir goûté, je reconnais que c’est vraiment un délice que de la picorer.
— Sophie tu as un corps qui appelle l’amour, je comprends parfaitement que mon mari ne puisse y résister.
J’étais la seule à être gênée par la présence de Caroline, car sa fille et son mari continuaient à m’embrasser et me câliner le joyau. Quand la maman est venue se mettre du côté de sa fille, pour glisser ses mains sous la couette et me caresser la poitrine qui ne demandait que ça, j’ai commencé à pousser des petits cris de plaisir. Ses mains étaient fraîches, mais je m’en suis très vite accommodée, et rapidement, elle s’est mise à jouer avec la pointe de mes tétons. Elle me les tirait, elle me les pinçait, elle me les écrasait et par-dessus ça elle me malaxait la poitrine. Un tel traitement a fait que, rapidement la jouissance était en train de poindre son nez. Je contractais mon ventre et je tortillais mon corps, Caroline a rapidement compris ce qui était en train de se passer.
— Alors ma chérie, tu as l’air d’apprécier ce que Gilles, Élodie et moi te faisons.
— Tu vas voir, tu vas en prendre l’habitude et surtout y prendre goût.
— Nous sommes une famille très libérée.
— Quelque part, tu en fais un peu partie.
— Car je pense que si ta maman était là, elle serait aussi à ton chevet.
C’est sur ces mots, que je me suis mise à jouir, d’une façon nouvelle par son intensité. Heureusement que ma copine d’enfance était là pour étouffer mes cris, quand j’ai senti sa langue qui se promenait dans ma bouche, je n’ai pu faire autre chose que me taire et échanger ce baiser avec elle. J’étais en train de penser à ma mère, qui devait être toute seule à la maison, je réalisais que le réveil que l’on était en train de m’offrir était vraiment formidable. Mon plaisir a tellement été intense, que finalement je me suis rendormie pour une heure dans les bras d’Elodie. C’est un SMS de ma maman qui m’a réveillé pour savoir comment se passait le week-end.
Ma mère savait que j’avais des rapports sexuels avec Élodie mais je ne lui avais pas avoué que même la maman me faisait du bien.
— J’espère que tu t’entends bien avec ma meilleure amie et son mari.
— J’espère aussi que tu ne fais pas trop de folies de ton corps avec Élodie.
Il n’y a pas à dire, cela n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, comme quoi je m’envoyais en l’air avec la fille de son amie d’enfance.
— Un jour il faudra que Caroline et moi vous avouions des choses que nous avons vécues dans notre jeunesse.
Cette phrase, pleine de mystère me posait nombre d’interrogations, que nous avaient-elles cachées depuis si longtemps à Élodie et moi. Je n’ai pas eu trop le temps de méditer sur cette phrase mystérieuse, car Élodie se réveillait et elle voulait que nous allions nous remplir le vide, avant de nous mettre à travailler. Même si Élodie avait changé d’orientation scolaire, toutes les deux étions quand même toujours très sérieuses en classe.
C’est donc vers l’heure de midi que nous avons pris un petit en-cas, il faisait office de petit-déjeuner et déjeuner.
De temps à autre ma copine d’enfance venait me voir dans ma chambre, elle ne m’embrassait pas, elle était debout derrière moi alors que j’étais assise sur ma chaise à étudier. Là elle posait ses mains sur mes épaules pour me les masser, ou plutôt caresser, puis naturellement, elle descendait vers ma poitrine, pour la encore me caresser et cela me faisait un effet monstre. Au début elle faisait ça par-dessus mes vêtements, mais ensuite ses mains rentraient à l’intérieur. Je sentais alors la chaleur de ses mains sur mon corps qui ne demandait que ça. À partir de ce moment-là, rester concentrée sur ce que j’étais en train de faire devenait totalement impossible. Dans ses caresses, elle n’ignorait aucun millimètre carré de mon corps, bref j’étais en train de me faire peloter dans les règles de l’art. Par moments, Élodie se penchait pour me déposer un baiser dans les cheveux il y avait une sensualité croissante dans tout ce qu’elle était en train de me faire. Bien évidemment, mes seins n’ont pas été bien longs à faire savoir qu’ils appréciaient ses caresses.
En même temps depuis que nous nous caressions mutuellement, nos corps n’avaient plus de secrets l’un pour l’autre. Je connaissais toutes ses zones érogènes, tout comme Élodie savait où il fallait insister pour me faire partir dans les nuages. Aujourd’hui j’aurais voulu qu’elle descende beaucoup plus bas, à la jonction de mes jambes, mais elle se limitait à ma poitrine. Toutes les deux étions en train de devenir de jeunes femmes, nos corps étaient en train de finir leur mutation. Aux yeux des jeunes de notre âge, nous étions depuis longtemps bien désirables. Je commençais maintenant à soupirer de plaisir, bien évidemment elle m’avait déconcentrée. À l’entendre respirer dans mes cheveux, j’ai l’impression qu’elle aussi était en train de s’exciter. Je sentais la chaleur de sa respiration quand elle expirait, j’avais la sensation d’un petit jet de vapeur dans mes cheveux. Elle venait aussi me caresser le cou, mais surtout y déposer des baisers et c’était formidable.
Son parfum qui venait se déposer sur mes joues, à chaque baiser, me montait à la tête. Maintenant, où que je sois, dès que je sentais ce parfum je pensais à elle et cela me faisait des frissons partout dans le ventre. N’en pouvant plus, j’ai fini par tourner la tête pour essayer de l’embrasser, par bonheur, Élodie est venue à la rencontre de mon baiser désiré. Nos bouches se sont soudées, nos langues se sont retrouvées et c’est un long baiser plein de passion que nous avons échangé. Je ne sais pas pour Élodie mais de mon côté mon entrejambe avait pris l’eau, la connaissant un peu, je pense qu’elle devait être dans le même état que moi. Au moment où j’étais sur le point de me lever et l’emmener sur mon lit pour que nous fassions des folies, Élodie m’a quitté en me disant qu’elle allait me laisser travailler. Je ne sais pas vraiment si c’était de la cruauté ou du sadisme, toujours est-il que je me suis remise à bosser, mais j’avais une forte envie de faire des choses. Je pense que toutes les deux avons travaillé dans notre coin au moins encore deux heures, avant que sa mère ne vienne me chercher pour que nous passions à table.
J’appréciais énormément que Caroline fasse tout pour que je me sente bien à l’aise chez eux, j’étais vraiment sa seconde fille. Nous avons mangé tranquillement tous les quatre puis toutes les trois parce que Gilles nous a quittés au milieu du repas pour se mettre à travailler. Après le repas nous sommes montées dans vos chambres, Caroline est venue me retrouver accompagnée de sa fille, pour me présenter un petit joujou. Sur le coup je n’avais pas fait attention mais sous sa robe il y avait quelque chose qui dépassait, elle nous a fait asseoir sur mon lit. En petites filles obéissantes que nous étions, nous nous sommes exécutées. La maman s’est approchée de moi elle a soulevé sa robe et m’a recouverte avec. Là je me suis retrouvée avec un gode de belle taille, qui était fermement attaché au corps de Caroline.
— Maintenant ma chérie, tu sais ce qui te reste à faire.
Il aurait fallu être stupide, pour ne pas comprendre qu’il fallait que j’ouvre la bouche et y introduise ce beau sexe de latex.
— Tu vas voir ma chérie, je suis sûre que tu vas y prendre goût.
Maintenant Caroline me tenait la tête, c’est elle qui donnait des coups de reins dans ma bouche, en gros elle était en train de me baiser. Cela a duré dix bonnes minutes, avant que la maman ne se retire de moi et invite sa fille à prendre ma place. Tout comme moi Élodie avait l’air de découvrir cet artifice masculin, et cela n’avait pas l’air de lui déplaire non plus.
— Vous êtes vraiment deux superbes suceuses.
Je ne sais pas pourquoi, mais pomper ce sexe factice avait tendance à m’exciter, tout comme pour Élodie.
— Maintenant que vous êtes bien chaudes, vous allez vous allonger sur le lit côte à côte, en écartant bien les jambes.
Nous nous sommes exécutées, tout en sachant que nous avions bien compris ce qui allait nous arriver. Élodie et moi nous tenions par la main, nous nous regardions avec un sourire malicieux, coquin et interrogatif. Nous allions vivre une première ensemble, main dans la main, avec une complicité qui ne faisait que croître.
Caroline est venue s’agenouiller entre mes jambes, elle a soulevé ma nuisette, puis a présenté le gode luisant de nos salives à l’entrée de mon vagin. Elle me regardait dans les yeux, et c’est sur un battement de paupière que je lui ai donné mon aval pour commencer à me pénétrer. Ce sexe de latex était légèrement plus gros que celui de Gilles, mais surtout plus long, Caroline a pris tout son temps pour arriver au fond de moi. Je peux vous garantir que mon vagin était ouvert au maximum. Par contre quand elle a commencé à aller et venir en moi, le plaisir est monté immédiatement.
— Alors Sophie, qu’est-ce que cela te fait de te faire prendre par la maman de ta copine ?
À vrai dire je n’avais pas trop la tête à répondre, j’étais plus concentrée à savourer le plaisir que la maman me donnait.
— Caroline, c’est un plaisir nouveau que vous me faites découvrir, et je crois que je vais rapidement y prendre goût.
J’avais une très faible marge de contraction au niveau de mon vagin, mais le peu que je réussissais à faire décuplait mon plaisir.
— Mon mari n’étant pas souvent là, il va falloir que vous preniez d’habitude que je m’occupe de vous.
— Ensuite, je vous fais confiance, vous arriverez à gérer ça comme des grandes toutes seules.
Caroline avait raison, c’est vrai que cela remplaçait parfaitement un homme, bien évidemment je n’ai pas été bien longue à sentir le plaisir venir et c’est à ce moment-là que Caroline est sortie de mon vagin. Je suis restée un peu sur ma faim, mais elle était partie s’occuper de sa fille. Elle a eu droit à exactement le même traitement, en sachant que, comme pour moi, elle s’est retirée juste avant quÉlodie ne se mette à jouir. Ce coup-ci, Caroline m’a pénétrée sans trop de ménagement, mais là, la jouissance n’a pas été longue à venir. Elle est restée encore de longues minutes en moi à aller et venir, avant que je ne la supplie de se retirer. Elle a ensuite offert le même traitement à sa fille, et c’est ainsi que toutes les deux, avons réussi à jouir sous les coups de boutoir de sa maman. Ce n’était pas un vrai sexe d’homme, mais au niveau de la prestation c’en était très proche.
Nous sommes restées allongées sur le lit un bon petit moment, histoire de nous remettre de nos émotions. Nous nous donnions par la main, et régulièrement nous nous regardions avec beaucoup de complicité, tout comme moi, Élodie avait l’air très heureuse de ce qu’elle venait de vivre. Caroline était partie avec son sexe factice, sans doute pour le nettoyer. Compte tenu du fait que le gode ceinture avait une partie mâle dans le vagin de Caroline, peut-être était-elle partie se finir toute seule dans sa chambre. Cela a été plus fort que nous, quand nous avons repris nos esprits, nous nous sommes un peu caressé le berlingot. Bien évidemment ce soir nous allions dormir ensemble, presque comme d’habitude maintenant. Nous n’avons pas été bien longues à nous endormir, mais sans doute à cause des odeurs de sexe sous les draps, dans la nuit nous nous sommes réveillées pour faire des folies de nos corps. Nous avons été très sages, nous nous sommes juste limitées à des caresses au niveau de la poitrine et des attouchements au niveau de la vulve, nous n’avons pas poussé jusqu’à la jouissance, c’est heureuses et comblées que nous nous sommes rendormies.
— Alors mes chéries, vous avez bien dormi.
— On dirait que vous avez bien aimé ce que je vous ai fait hier soir.
Je n’ai pas osé prendre la parole car je n’arrivais pas à être en confiance, quand j’étais dans le lit d’Élodie nue avec elle, sous les yeux de sa mère.
— Maman tu nous as fait un bien fou hier soir, tu nous as épuisées, mais de plaisir.
— C’est horrible, car avec un tel sex-toy, on peut parfaitement se passer d’un homme.
La réflexion d’Élodie n’était vraiment pas stupide, avec un gros morceau de latex, l’homme se révélait être remplaçable.
— Quand je vous ai quittées hier soir, je suis partie me finir car moi aussi cela m’avait fait beaucoup de bien.
— Je ne suis pas venue me confesser, je suis juste venue vous chercher pour que vous veniez prendre votre petit-déj.
Nous nous sommes levées pour quitter la chambre, nous avons enfilé une longue nuisette toute douce, c’est à ce moment-là que Caroline n’a pas pu se retenir de nous caresser les fesses en prenant vraiment son temps. Décidément la maman ne pouvait pas se retenir de caresser les deux petites jeunes que nous étions encore.
Durant notre petit-déjeuner, qui était plutôt un breakfast, car nous avons mangé du pâté et des ufs et même des légumes, les thèmes de nos conversations étaient plutôt axés sur nos scolarités. Caroline voulait savoir si je tenais le coup en classe, et je lui ai répondu par l’affirmative, par contre cela nécessitait un gros travail personnel de ma part. Elle voulait surtout savoir ce que je désirais faire plus tard par rapport au diplôme obtenu, personnellement je me voyais plus m’orienter vers la recherche. Pendant tout le repas nous avons été sages, ce n’est que vers la fin que Caroline a redressé le couvert au sujet du sex-toy. Elle nous a confié l’avoir lavé et comptait nous le passer pour que nous puissions nous amuser ensemble.
— Je suis sûre que vous allez beaucoup apprécier un tel joujou.
— Peut-être qu’un jour, si vous êtes sages, vous aurez même le droit de vous occuper de moi avec.
Au fond de moi j’étais pressée de pouvoir faire des folies avec Élodie, aidées de ce joujou de latex. J’ai eu la sensation d’être privilégiée par rapport à Élodie, car c’est à moi que Caroline a donné de gode à ceinture.
— Mes chéries, je vous imagine parfaitement toutes les deux en train de jouer avec ça.
Cela me faisait tout drôle de le tenir en main, il y avait deux sexes qui s’opposaient l’un à l’autre. C’est accompagnée d’Élodie, que je suis repartie dans ma chambre, pour aller le cacher sous les draps sous les yeux de mon amie. Rien que de l’avoir saisi quelques instants, cela m’avait fait mouiller de nouveau ma culotte. Il y a des fois je me disais qu’Élodie et moi étions en train de devenir de sacrées cochonnes, très portées sur le sexe, cela n’avait pas l’air de déranger sa maman et encore moins Gilles. Après le repas nous sommes parties, Élodie et moi, faire des achats, cela a été plus fort que nous, dès que nous nous sommes retrouvées dans une cabine d’essayage, il a fallu que nous embrassions nous caressions et nous donnions du plaisir. Ce qui nous excitait le plus dans ces moments-là, c’est la peur de nous faire surprendre. Je vais même vous avouer que nous avions trouvé quelques boutiques, où les vendeuses n’étaient pas contre un petit coup de langue de notre part. Il y a même des fois où nous avions pris grand plaisir à faire découvrir les désirs saphiques à des vendeuses et même une patronne de magasin.
Mais ça, nous en parlerons dans un prochain chapitre.
En espérant que ce troisième chapitre vous plaise autant que les deux premiers.
Bisous à vous.