Lou (fabrissa)
Je suis un peu en retard au restaurant où ma invitée un copain, Lou. Je sais quil a envie de moi. Il ne me déplaît pas du tout : il est mignon, poli. Il me semble, ça reste à vérifier, quil est bien monté. Je verrai ensuite si je me donne à lui ou si je reste avec mon type actuel. Ce nest pas quil ne me plaise pas, il me fait bien lamour comme jaime.
Lou se lève quand jarrive, tire la chaise pour que je prenne place. Le maître dhôtel donne les menus : le mien est vierge de prix. La classe quoi.
Jai droit à une cour intensive, presque trop. Je suis belle, intelligente, agréable à regarder, bien habillée, bref toutes les fadaises dont je me fous. Il prend mes mains, les caresse gentiment. Il est mignon de me faire ces mamours. Il faut que je passe à laction quitte à passer pour une garce :
— Jaime bien les sexes masculins, cest bon de les avoir dans le corps. Quest-ce que tu en penses ?
— Heu, rien, tu dois avoir raison.
— Comment est ta bite ?
— Ben, je nen sais rien ?
— Tu nen sais rien, tu ne te branles jamais ?
— Euh, oui, des fois, enfin
Je lui cloue le bec. Cest moi qui aborde abruptement le problème de la baise. Je lai totalement déstabilisé. Lou en a lâché mes mains. Je les lui reprends en pensant que je deviens une drôle de fille. Au fond de moi, jai envie de le prendre dans mes bras pour le consoler.
Jai envie dattendre pour voir ce quil va faire : me laisser tomber ou continuer dans son idée cachée : me faire lamour. La fin du repas arrive quand il émerge.
— Si je te dis que jai envie de te baiser, tu men veux ?
— Non, bien sûr, cest flatteur de dire ça à une fille chaude comme moi. Ne me dis pas que cest pour la vie. Sache que je suis dévoyée totalement.
Le voilà prévenu. Il sen fiche totalement quand, en sortant, il me prend par un bras. Je le remercie à ma façon : je lembrasse sur la joue.
Tant pis pour mon mec, il attendra cette nuit, ce ne sera pas la première fois. Je vais chez Lou en taxi, quil paie. Il ne manquerait plus quil me demande de payer à sa place. Il veut me baiser, à lui de cracher.
Son petit appart est pas mal. Bien sûr, cest celui dun homme. Je me laisse faire : enfin il ose membrasser sur la bouche. Cest agréable. Sa salive est bonne, comme sa langue qui bouge dans ma bouche. Quand il me colle à lui, il sait bien que je ne refuserai pas quil me baise. Reste à savoir comment il va sy prendre.
Il sy prend bien en membrassant sans le cou. Il ne sait pas que ça me donne des frissons dans tout le corps. Ce nest pas seulement lui qui me fait cet effet, tous ceux qui membrassent dans le cou me donnent des frissonnements.
Ses mains se promènent sur moi. Il fait les choses classiquement en me caressant, pas mal dailleurs, la poitrine. Il me fait presque bander les tétons. Je passe mes mains sur ses épaules en attendant que lui aille bien plus loin. Je sens quil bande contre mon ventre. Tant mieux, je naurai pas à men occuper moi-même.
Je suis là pour mon plaisir, pas tellement pour le sien. Lou est pour moi un gode perfectionné.
Enfin, il se dégèle en commençant à essayer de me déshabiller. Je le laisse faire : il arrive après quelques efforts à me laisser en string et soutien-gorge. Je suis bien obligée de déboutonner sa chemise et le premier bouton du pantalon. Je le sors de sa chemise, jarrive à ouvrir la fermeture Éclair de la braguette. Sa queue fait bien gonfler le slip que je fais tomber avec le reste. Il est pas mal du côté bite.
Là, il me tente, je me baisse pour le prendre dans la bouche. Il a un bon goût de bite bandée. Bien sûr, comme pour tous ceux que jai sucés, il a un arrière goût de pisse. Je préfère ça à une queue bien propre passée sous le savon et le robinet, donc sans saveur de queue.
Mes lèvres lentourent dabord pour faire connaissance avant de la faire sortir pour la prendre avec une main à la base, en le branlant un peu, à peine pour que ma langue puisse lécher le plus possible son mat. Je tiens ses couilles dans une main. Je les fais ballotter un peu. Je mattarde sur son méat, presque comme si jattendais son sperme. Quand je le prends dans la bouche, ma langue la serre contre ma joue. Il peut me baiser un peu la bouche, jaime bien ça.
Jarrête malgré son désir de jouir dans ma bouche. Nous ne nous connaissons pas assez pour que je permette cette familiarité.
Quand je me relève, il pense enfin à ma chatte. Il me branle un peu, bien dailleurs, je laurais bien laissé aller à me faire jouir. Il sarrête en route. Cest bien un homme qui ignore comment finir ce quil a commencé dans un con. Je nai pas trop à me plaindre quand il me couche sur son lit. Il vient mettre sa tête entre mes jambes. Ouf, il va enfin me lécher. Il réussit plutôt bien quand il prend un gros orteil dans la bouche pour le lécher. Jaime bien, jen mouille un peu plus. Très lentement, presque trop, il lèche ma jambe en montant jusquau genou. Il sy arrête un moment pour embrasser sous le genou, avant de reprendre sa progression vers ma chatte. Il me tarde quil me suce.
Je suis plus tranquille quand il arrive à prendre mes deux seins ; cest quil peut arriver sur mon con. Cette fois il est parfait. Sa langue me fouille tout mon secret. Pourtant, il commence à lenvers. Mon cul a la première visite. Il le lèche doucement au point de menvoyer vers le pays réservé aux orgasmes. Il peut se rendre compte que je suis sensuelle. Je crois que je préfère sa langue à sa bite, quil ne ma pas encore mise.
Il insiste sur ma fente. Mes lèvres lattirent, mon clitoris na pas lair de lui plaire tellement. Peut-être parce que je ne lai pas trop développé. Ce nest pas pour ça que je naime pas jouir avec ce petit, tout petit bout de chair.
Il continue sa montée pour quenfin je sois à sa portée. Je guide sa queue dans mon vagin. Il sy engouffre trop vite pour aller attendre je ne sais quoi au fond. Je me sens obligée de commencer moi-même les va-et-vient. Je suis surexcitée au point de jouir trop vite pour lui.
Je me dégage pour me tourner en levrette. Avant quil réagisse, je mets de la cyprine sur le cul. Sa bite est presque sur lanus. Il ne refuse pas de me sodomiser, au contraire, il me semble que sa queue en grossit. Il entre assez facilement dans mon cul. Jaime sentir passer un gland juste avant le reste de la pine. Il me fait bien jouir. Je ne pensais pas quil soit aussi performant.
Juste avant de jouir, je peux resserrer mes muscles pour réduire louverture de mon conduit rectal. Pour moi, cest le paradis, pour lui, cest la jouissance.
Nous finissons la nuit ensemble. Il me baise encore deux fois. Jai bien ma dose de sperme à déguster. Je ne le trouve pas terrible. Jen préfère dautres. Je le lui dis. Il ne semble pas satisfait de ma franchise.
Je me masturbe en prenant ma douche chez lui. Bien sûr, il me regarde en bandant. Je linvite à me rejoindre pour me faire pardonner ma franchise. Je le branle alors quil aurait préféré que je lui fasse une fellation. Jaurais craché son sperme.
En partant, je lui dis adieu.
— Pourquoi adieu ?
— Je préfère baiser avec mon mec.
— Je ne tai pas bien baisée ?
— Si, mais bof, jai connu bien mieux. Tu sais, je ne peux même plus compter ceux qui me sont passés dessus. Alors, toi
Il me semble déçu. Je naurais pas dû le lui dire si brutalement quil ne me plaît pas comme amant.
Mais quand on est une garce comme moi, qui ne pense quà son propre plaisir, il ny a pas dinterdit.