1962, mes 16 ans !!! Départ pour les grandes vacances, chez mes grands-parents comme d’habitude !!
Pas de pilule, pas d’avortement, préservatifs non vendus aux jeunes…
A cela il faut ajouter une méconnaissance totale de la sexualité, sinon des racontars..
16 ans jamais vu une chatte, même en photo, ni une fille "à poil ".
Je suis impatient de retrouver Josette, la première fille que j’ai embrassée, au cinéma, le dernier jour des vacances de pâques (pas de chance !!).
Je vais retrouver aussi, Michel, mon meilleur copain, un an de plus que moi, et dont le père, vétérinaire, va se remarier le 1er juillet avec celle que dans le village on appelle " madame la comtesse "
Je ne sais si ce titre reflète la réalité, mais en tout cas elle possède un (petit) château dans un immense domaine boisé qui fait le bonheur des chasseurs.
Mariage civil à 16 h à la mairie puis raout au château, ce ne devrait pas être triste !!!
Mauvaise nouvelle, Josette n’est pas invitée, ma cavalière sera Marie-Antoinette (!!!) fille de la mariée.
Nous la connaissons mal, elle ne sort jamais avec les jeunes du pays, mais réputation de pimbêche, internat chez les surs, et pour les loisirs: country club avec maman, golf, tennis…
Belle robe turquoise, avec un grand décolleté masqué par un cache-cur blanc.
Gêne évidente de part et d’autre.
Elle n’est pas désagréable physiquement.
Lunch, champagne, danse, slow, elle se colle à moi, ce qui me provoque une érection qui ne semble pas la surprendre. Gêné je m’écarte mais elle revient frotter encore plus fort.
Tout à coup elle me demande si j’ai des cigarettes. Comme elle n’a pas le droit de fumer nous partons nous planquer derrière un des communs, non sans avoir au passage piqué une bouteille de champagne.
Nous fumons, buvant à la bouteille. Il fait chaud elle a enlevé le cache-cur et je plonge (du regard) dans son décolleté bien ouvert.
Elle s’en rend bien compte et ne fait rien pour l’éviter.
" Tu trouves que j’ai de beaux seins ? Tu veux les voir ? "
Je suis complètement abasourdi et le temps que je réagisse, les bretelles de la robe et du soutif ont glissées.
Mes premiers seins, des nichons ! bien ronds, bien fermes, avec des tétons bien dressés !
Baisers profonds sa langue envahit ma bouche, je caresse, je suce, je malaxe…
Quel bonheur, elle me laisse faire, semble même apprécier…
Je lui caresse les fesses sentant surtout sa culotte de coton, pas de string à l’époque !
Elle continue de se frotter fortement contre la proéminence de mon anatomie.
Je suis dans un état pas possible et essaie de glisser ma main sous sa robe.
Elle écarte ma main, mais je ne suis pas au bout de mes surprises.
Elle me demande si j’ai déjà fait l’amour.
Je lui avoue que ce sont mes premiers seins…elle a l’air contente !
A ma grande stupéfaction, elle m’annonce fièrement qu’elle est vierge mais qu’elle a déjà branlé deux garçons !!!! et joignant le geste à la parole elle masse ma queue par-dessus mon pantalon.
Je l’aide à sortir " l’engin "
Trois doigts entourent mon gland, à hauteur du bourrelet, petits mouvements de va-et-vient de la peau du gland (aujourd’hui, je sais, prépuce), puis petites caresses du bout du doigt sur le méat et enfin reprise à pleine main.
Jannonce que je vais exploser, mais me garde en main !!
Elle en a plein la main, ce qui ne semble pas la gêner et s’essuie dans l’herbe.
Calmé je me rajuste, elle aussi.
Nous nous embrassons encore à pleine bouche.
Elle me précise qu’il faut que nous retournions avec les autres, et que " nous nous tenions bien ", comme si de rien n’était, mais que si je veux on peut se retrouver le lendemain, au même endroit, derrière la grange à 21 heures.
Si je m’attendais à tout cela avec la réputation de pimbêche et le pensionnat chez les surs !!
a suivre