Un beau jour nous nous récrivons, je ne sais pas exactement pourquoi mais nous sommes là à discuter après plus d’un an de silence entre nous. Essayant de ne pas rendre cette conversation gênante, nous nous donnons mutuellement des nouvelles de l’un et de l’autre. J’avais, bien entendu, pensé à toi auparavant, pas forcément pour des raisons très saines (ou très catholiques). Tu étais régulièrement dans ma tête quand je repensais à nos moments intimes…
La conversation engagée, tu commets l’erreur fatale de faire un lapsus à connotation sexuelle. Et là, je n’arrive plus à réfléchir avec mon cerveau… On revient petit à petit sur des souvenirs de nous deux, de nos incroyables performances de l’époque. Je perds totalement mes moyens, comme si tout cela était une drogue pour moi. Nous parlons des fois où tu m’as fait une fellation dans la nature, la fois où on l’a fait sauvagement dans ma voiture, dans les bains ou encore cette fameuse levrette dans ce spa…
J’ai l’impression que je ne peux plus faire marche arrière… Je fais ainsi l’erreur immorale de te proposer une soirée à deux pour rattraper le jour où, rempli de regrets, je t’ai laissée partir sur ce quai de gare sans s’être dit au revoir « correctement ». Après ma proposition tu te tâtes, tu hésites, moi aussi pour le coup. J’ai peur que ça s’ébruite car les filles se racontent tout et tout se sait un jour ou l’autre. Cependant cette envie ne peut plus faire marche arrière. On accepte tous les deux une seule et dernière nuit.
Le jour J, personne chez moi, le stress monte des deux côtés. Est-ce que ce moment ne va pas être trop gênant ? Comment seront ces retrouvailles lorsque mes mains effleureront ta peau, quand mes lèvres et nos langues s’enlaceront ?
Finalement tu es devant ma porte, on savait tous deux pourquoi tu es venue ce soir-là. Pour éviter un moment de gêne, j’étais sous la douche me préparant. Toi tu connais le chemin par cur étant donné que tu as habité dans cette maison. Tu es alors montée directement dans ma chambre. Des bougies, une odeur douce, une table de massage dépliée et des linges recouvrant mon lit. Sur la table, se trouve un petit coffret cadeau avec un petit mot : « ouvre-moi et mets-le sur mon lit si tu acceptes, range-le si tu refuses ». Cela t’a intriguée et tu as ouvert ce coffret. Dedans se trouve un plug anal avec un joli diamant sur son sommet. J’imagine que tu t’es tâtée, mais ton esprit ouvert te poussa à accepter cette proposition surprenante.
Sous l’air excitant de ma playlist prévue à cet effet et sous l’ambiance tamisée tu t’es déshabillée et tu t’es allongée sur le ventre sur ma table de massage. Je pouvais enfin faire mon entrée, sortant de la douche, juste un linge à ma taille. Je suis rentré dans ma chambre, le stress fut palpable, l’excitation également.
J’ai sorti un des nombreux tubes d’huile lubrifiante qu’on allait utiliser ce soir. Je t’en ai mis alors sur tout le corps et ai commencé à te masser sensuellement partout. Mes mains glissaient sur ton corps jusqu’à tes parties intimes que je stimulais de plus en plus jusqu’à te sentir humide.
Avec tes mains tu fis tomber mon linge, tu tournas légèrement la tête pour m’inviter à rentrer dans ta bouche… Après de multiples va-et-vient en douceur, l’envie était tellement intense que tu t’es assise sur ma table à massage, à hauteur parfaite je te pris les jambes et te pénétrai délicatement, centimètre par centimètre, pour finir par s’embrasser langoureusement et tendrement. Au fur et à mesure, les mouvements s’accéléraient jusqu’à l’état « torride » que nous connaissons tous les deux parfaitement. Ma main agrippa ton cou, tes cheveux. Ton corps brillait sous les bougies avec le lubrifiant dont j’avais eu le soin de rajouter sur le devant de ton corps et sur tes seins.
Étant tellement excité je t’ai alors posée sur mon lit, à quatre pattes, moi debout au bord du lit, pour que tu me fasses une fellation tout en admirant tes fesses brillantes. Une idée t’est alors venue : pourquoi pas m’enduire de lubrifiant de la tête aux pieds. Deux minutes plus tard, c’était le cas. Je t’ai allongée sur le lit et je me suis tourné pour débuter nos magnifiques séries de 69. J’étais dessus, je t’ai enjambée et d’un seul coup ma tête fut entre tes jambes. J’ai alors commencé par quelques coups de langue bien placés, sentir ton excitation… J’ai passé tes deux jambes sous mes bras et ce fut le moment où j’utilisai toutes mes capacités linguistiques pour te rendre dingue. Un doigt, puis deux doigts qui faisaient des va-et-vient tout en te léchant. Soudain je t’ai retournée et tu as posé tes belles fesses sur mon visage pour que je continue sur ma lancée. Tu faisais des gémissements de plaisir tout en ayant la bouche comblée par mon sexe. Tu sentis mes mains descendre le long de ton corps, tu savais ce qui t’attendait, j’ai touché tes seins mais je n’étais pas là spécialement pour ça, mes mains continuèrent à glisser jusquà ce qu’elles soient posées sur ta nuque. Tu savais qu’à tout moment j’allais appuyer avec mes mains et que je serais alors au plus profond de ta gorge, tu savais que tu aurais le souffle coupé pour quelques secondes. J’avais abusé une dizaine de fois de tes fameuses gorges profondes et parfois, mon bassin bougeait tout seul en vitesse dans ta bouche…
Une idée me vient alors, j’ai pris le petit diamant que je t’avais offert et parcourus ton corps enduit d’huile jusqu’à arriver devant sa petite porte encore trop fermée. Je titillais l’entrée car je savais que ça allait rentrer tout seul vu comme tout glissait, ce soir-là…
Tu étais tellement excitée que tu es venu sur moi bouger ton bassin avec mon sexe au plus dur et au plus profond de toi. Je mordillais tes seins, je t’étranglais, je t’embrassais et je claquais tes petites fesses. Tu allais de plus en plus vite et d’un coup tes yeux se fermèrent et tu crias, un de tes meilleurs orgasmes sans doute. Tu me proposas alors de venir derrière toi.
J’étais tellement dur à ce moment-là, je t’ai alors prise par-derrière sauvagement ayant une vue imprenable sur tes fesses et sur ton petit diamant. Je t’envoyais des fessées, des rougeurs sur tes fesses apparurent. Je te tirais par les cheveux profitant de ton dos cambré. A un moment je t’ai poussée en avant, je t’ai relevé une jambe et je t’ai prise de côté sauvagement en t’agrippant par les cheveux et en écoutant le claquement de mon bassin sur tes fesses. J’étais loin den avoir fini avec toi…
Toujours sur le côté j’ai retiré ton plug pour venir prendre sa place délicatement. Comment avais-je pu négliger cette sensation pendant plus d’une année ? Ces sodomies m’avaient tellement manqué. Tu sentais bien chacun de mes centimètres au fond de toi. J’avais envie de te donner encore un orgasme alors je me suis allongé et tu es venue t’empaler sur moi, dos à moi en bougeant comme jamais…
Après cela je t’ai remise à quatre pattes pour venir t’enculer par-derrière torridement. On transpirait, on était huileux. Tu me répétais sans cesse « tringle-moi » « défonce-moi ». Je t’ai alors faite lever je t’ai plaquée contre ma porte, je t’ai retournée et j’ai continué à défoncer ton anus contre la porte de ma chambre debout.
Je voulais continuer à faire la même chose mais sous la douche parce quune petite idée m’était venue en tête… J’ai continué à te baiser dans ma douche debout, plaquée contre la vitre. J’en pouvais plus, on s’est arrêtés. On s’est savonnés mutuellement délicatement tout en s’embrassant. J’étais encore tellement dur, il fallait que je finisse. Après m’avoir bien nettoyé mon sexe, tu t’agenouillas devant moi et tu me suças tellement profondément que je tenais plus. Tu me regardais parfois dans les yeux, j’allais exploser. Tout s’est fait naturellement, plus rien ne se refusait après ce qu’on avait vécu cette soirée. Je me retirais de ta bouche, tu continuas de me branler, agenouillée devant moi. Je pouvais plus me retenir une seconde de plus, je me suis lâché sur ton doux visage, pour la première fois de ma vie. Ceci t’était réservé, rien que pour toi…
On avait enfin fini, on se lava, on passa la nuit dans mon lit à se raconter la vie…