Ludmilla me transperce de son regard depuis l’autre bout de la classe, avant de tourner sa tête d’un air désintéressé. Premier jour de cours et déjà une touche, me dis-je. Alors que le cours de philo touche à sa fin, je profite de ses quelques minutes restantes pour me présenter : je suis Paul, jeune homme tout juste majeur, cheveux bruns et mèche, teint hâlé, 1m86. Plutôt mignon mais souvent trop timide, je viens d’échanger un regard avec Ludmilla, donc, qui est nouvelle, comme moi, dans cette classe de terminale du lycée. Tout comme mes deux amis que je me suis fait durant les vacances, je suis arrivé dans ce nouvel environnement, ce nouveau lycée. Bien plus rustique et vieillot que mon précédent, ce lycée me révèlerait néanmoins de nombreuses surprises. Dès les premières minutes du premier cours de philo, moi et mes deux amis assis côte à côte l’avons remarqué. Assise à quelques rangées de nous, Ludmilla, était une jolie brune au regard absorbant et aux traits fins : complètement hors de portée de mon ami Jérémy (maladivement timide et plutôt enrobé), proie intéressante pour mon autre ami Simon (sportif, châtain et plutôt baraqué). Le premier cours touchait à sa fin. Après l’avoir observé pendant près de deux heures et avoir échangé quelques brefs coups d’il avec elle, je décidais de prendre mon courage à deux mains durant la pause. Installant ses affaires dans son casier, elle me tourne ainsi le dos, dévoilant le bas de ses fesses sous sa jupe courte et légèrement remontée, simplement cachées par un mince collant effilé. Obnubilé par ce spectacle, je sors de ma torpeur et me décide à l’aborder.
-Hey, salut !
-On se connaît ? Me répond-elle relativement sèchement, un sourire coquin sur les lèvres. mimique, vous le découvrirez plus tard, est dans ses habitudes.
-Oh je… On est dans la même classe cette année il me semble.
-Je vois. Et ?
-J’ai… Je suis nouveau ici et j’ai pensé qu’on pourrait apprendre à se connaître ?
-Je t’ai vu avec tes amis là-bas, ils ne te suffisent pas ?
-Oh, heu… Si bien sûr simplement, je ne sais pas, il m’a semblé que tu me regardais pendant le cours de philo et j’ai… Pensé que l’on pourrait apprendre à se connaître toi et moi ?
-C’est pas parce que je regarde les gens que j’ai forcément envie d’apprendre à les connaître.
-…. Je vois.
-On va faire quelque chose. Je vais te donner une lise de choses à faire, et le premier d’entre toi et tes deux amis aura le privilège d’apprendre à… mieux me connaître (elle répète son sourire si énigmatique et excitant).
Me tendant le papier, elle se détourne subitement et rejoint le couloir opposé, jetant au passage un regard à mes deux amis, et me laissant une fois de plus admirer son superbe cul rebondi.
Mes amis se rapprochent de moi et je m’empresse de leur expliquer la situation, avant de lire avec eux le contenu de la fiche : fumer, boire, déclencher un feu et baiser. Soit toutes les choses qui nous ont été formellement interdites le matin même par le directeur en personne, sous peine d’exclusion définitive.
-Bon courage à vous, s’exclame Simon, car je compte bien avoir fini d’ici la fin de la journée.
Il donne alors son téléphone à Jérémy et lui ordonne de filmer. Sortant une bouteille de vodka, il en boit quelques gorgées avant de la verser dans un casier alentours. Il craque une allumette et la jette sur l’alcool après avoir allumé un joint qu’il s’empresse de fumer avant que l’alarme incendie ne se déclenche. Le casier s’est embrasé.
Et nous revoilà en cours. La vidéo de Simon à été envoyé au numéro indiqué sur la fiche par Ludmilla. Cette dernière l’ayant bien reçu, elle demande à sortir de la salle cinq minutes avant car ne sentant pas bien. Elle est rejointe par Simon qui prétextant une excuse bidon va sans-doute la rejoindre à l’infirmerie.
Cela fait cinq minutes qu’ils sont partis et la cloche sonne la fin du supplice. Je me rend à mon tour à l’infirmerie, déçu mais curieux de voir si mon ami est passé à l’action. Poussant doucement la porte, je ne vois personne (l’infirmière est sûrement absente en ce lundi) mais j’entends des bruits dans le fond derrière un rideau. J’aperçois enfin Ludmilla embrassant fougueusement Simon qui l’a prise par la taille. Je me planque derrière un autre rideau à ma proximité. D’ici j’aperçois Ludmilla qui commence à dévêtir Simon rageusement, devant mes yeux ébahis. Je ne savais pas que c’est ce qu’elle entendait par mieux connaître. Si seulement j’avais su. A son tour, elle enlève un a un ses vêtements jusqu’à n’être plus qu’en sous-vêtements. Simon la retourne alors et la plaque contre le mur à seulement quelques centimètres de moi, sans qu’ils puissent pour autant me voir.
Malgré la tristesse de voir mon ami et la fille de mes rêves ainsi, agrippe mon sexe et commence à me masturber alors que Simon à à présent enlevé la culotte de Ludmilla qui offre son sexe trempé à ma vue. Simon s’introduit fougueusement en elle et la prend en levrette, agrippant ses jolis seins d’une taille tout à fait correcte (85 C environ) et pressant ses tétons du bout de ses doigts. Ludmilla gémit et je sens presque son souffle chaud à quelques centimètres de mon visage. Ils ne savent pas que je suis là mais je profite bien malgré tout du spectacle. Les va-et-vient de mon ami se font de plus en plus puissants et le sexe de Ludmilla ruisselle. Simon alterne caresses et fessées sur le cul de Ludmilla. Ses hanches claquent contre son cul. Ce spectacle ne me laisse pas indifférent et je suis au bord de la rupture. C’est alors que dans un râle puissant, Simon décharge son foutre dans la chatte de Ludmilla qui jouit en même temps dans un cri aigu et terriblement jouissif. Je me lâche à mon tour et gicle contre le rideau, sans lequel mon foutre aurait sans doute atterri sur Ludmilla également.
Se rhabillant en vitesse, Simon laisse Ludmilla seule qui remet sa fine culotte en place puis sa jupe et son haut. Alors qu’elle s’apprête à sortir de l’infirmerie, elle jette un coup d’oeil en arrière, directement dans mes yeux au travers du fin rideau échancré qui m’a permis d’assister à la scène. Elle fait alors un clin d’il dans cette direction, signifiant qu’elle était en fait au courant de ma présence, avant de sortir l’air de rien.
Cette salope savait donc depuis le début, et cela ne l’a pas dérangé, au contraire si l’on en croit son sourire. Je me jurais que, prochainement, je serais à la place de mon ami dans cette sublime créature et en profiterait tout autant si ce n’est plus que lui.
À suivre…