Après ma contre-performance un mois plus tôt, de l’eau avait coulé sous les ponts. Simon avait enchaîné les conquêtes comme à son habitude, et la rumeur courait dans le groupe qu’il aurait défloré la si innocente Jeanne. Je n’avais pas réussis à me rattraper de mon côté avec Ludmilla, mais m’étais tout de même rapproché d’Alex, la belle métisse populaire aux yeux bleus, qui avait récemment quitté son copain et semblait de plus en plus attirée par moi. Malgré cela, les pulsions sexuelles que je retenais en moi chaque fois que Ludmilla était près de moi s’étaient peu à peu transformées en amour, et voir Simon et Ludmilla toujours plus proche me dévastait. Sans leur en avoir parlé clairement, Jérémy et Simon m’avait percé à jour et ce dernier ne se privait pas de me taquiner quant à ses prouesses et son rapprochement avec Ludmilla.
J’enrageais. Simon et Ludmilla, assis côte à côte, flirtant comme à leur habitude et moi, un rang derrière aux côtés de mon ami Jérémy. Telle était l’image qui me revenait sans cesse en ce samedi soir ou ma main droite était mon seul compagnon. Me rendant compte du pathétique de ma situation, je me levais et prenait la décision d’aller immédiatement parler à cur ouvert à Ludmilla, pour lui dévoiler enfin mes sentiments et peut-être recommencer à zéro (histoire qu’elle oublie ainsi mon manque de retenu lors de mon séjour dans sa bouche).
Je courais sous la pluie battante, confiant, m’imaginant déjà le sourire de Ludmilla après lui avoir tout déballé et enfin ses douces lèvres contre les miennes. Arrivant enfin face à la maison, je vis Ludmilla me regardant depuis la fenêtre de sa chambre au premier étage. Je lui fis signe, signe auquel elle ne répondit pas. C’est alors qu’apparu juste derrière elle Simon, collé contre son bassin, qui ne m’avait pas vu. Malgré ma tristesse immense, je restais fixé devant le spectacle offert à toute la rue. Simon pilonnant la fille de mes rêves en levrette. Alternant caresses et fessées sur son cul, que j’entendais depuis le dehors de par leur force, il la culbutait véritablement. Le visage de Ludmilla était à présent écrasé contre la vitre, ses superbes seins également, alors que Simon continuait ses va-et-vient. Le spectacle dura de longues minutes qui me semblèrent durer des heures, bien que je n’arrivais à m’en détacher. Ludmilla me regardait toujours quand je vis son visage se crisper en même temps que Simon s’arrêta : Simon venait de jouir en Ludmilla, provoquant ainsi son orgasme. Simon retira ensuite sa queue de Ludmilla, qui remit sa culotte en place, dos à moi mais me fixant toujours par dessus son épaule, me laissant une fois de plus admirer son inaccessible fessier écrasé contre la vitre, si proche et pourtant si loin…
Simon sortit de la maison tandis que je me cachais dans la pénombre quelques mètres plus loin pour ne pas être découvert. Une fois celui-ci disparu au loin, je rentrais au bord des larmes chez moi, tentant d’oublier la scène à laquelle je venais d’assister. Arrivant devant ma maison, je décidais de faire un tour dans ma cabane avant de retrouver ma chambre, lieu où moi et mes amis nous retrouvions régulièrement pour décompresser. Une nouvelle surprise m’attendait néanmoins devant l’abri. Cette surprise, c’était Alex.
Qu’est-ce que tu fous là ? lui dis-je sans cacher mon énervement dû aux évènements survenus quelques minutes plus tôt.
Je t’attendais, me répondit-elle tout en me fixant de ses yeux bleus et profond.
Elle se jeta alors à mon cou et entrepris de me mordre le lob de l’oreille. Elle m’embrassa ensuite le cou avant de m’envoyer à l’intérieur de la cabane, m’éjectant sur le canapé le plus proche.
M’embrassant à nouveau, elle descendit peu à peu ses lèvres vers mon torse déjà dévêtu, puis m’ôta fougueusement mon pantalon et mon boxer. Bandant déjà comme un dingue, mon sexe enfin libéré sauta au visage d’Alex, qui, tout en le dévorant du regard, commença à le branler doucement. Elle accéléra le rythme et, une fois ma taille maximum atteinte, le pris en bouche. Ses lèvres pulpeuses et délicates enchaînaient les allers et retours autour de ma queue, me procurant un immense plaisir. Ayant plus d’expérience que le mois précédent, je me jurais de me retenir pour profiter au maximum de la situation. Me sentant au bord de l’explosion, je repris les choses en main et repoussa la bouche de suceuse d’Alex avant de la retourner contre le canapé. J’entrepris à mon tour de lui enlever un à un ses habits, terminant par son string orangé et déjà trempé. Une fois celui-ci balancé à l’autre bout de la pièce, j’introduis un doigt en elle, puis deux avant d’y plonger ma langue également. Son clitoris ne fut pas compliqué à trouver et ses gémissements ne tardèrent pas à se faire de plus en plus bruyants. Bien que je craignais qu’elle ne réveille ma sur et mon père qui dormaient à quelques mètres de là, je ne pouvais la laisser dans cette situation et décidait de finir le travail. Secouée de spasmes violents, elle inonda de sa mouille mon visage et ses cuisse mâtes. Après quelques secondes durant lesquelles elle reprit son souffle, elle récupéra son string et l’ajusta contre son sexe encore trempé, me laissant apercevoir son joli cul bombé depuis le fond de la pièce. Elle revint à mes côtés et repris finalement le travail qu’elle avait débuté quelques minutes auparavant. Après quelques secondes à peine, j’éjaculais sur ses seins comme elle me l’avait demandé, les recouvrant presque entièrement malgré leur taille imposante, ses tétons bruns disparaissant sous mon foutre.
Elle se rhabilla entièrement après s’être essuyée et m’embrassa à nouveau.
C’était sympa ce soir. Me susurra-t-elle.
Pas désagréable en effet, lui répondis-je dans un sourire complice.
Ca te dirait la prochaine fois qu’on aille… un peu plus loin ? Parce que les prélis c’est sympa deux minutes mais… J’aimerais bien savoir ce que ça fait de te sentir en moi.
Quand tu veux, lançais-je sans hésiter.
Elle repartit sur ses belles paroles, tandis que je rentrais dans ma maison, l’admirant rouler du cul au loin. Je remontais jusqu’à ma chambre et m’écroulais dans mon lit, la tête encore pleine des images de la soirée. Si Ludmilla, fille de mes rêves, me paraissait plus inaccessible que jamais, je pouvais toujours profiter de ce qui était à ma portée en la personne d’Alex. Malgré tout, mes sentiments pour Ludmilla persistaient, sentiments que je ne ressentais pas pour Alex, bien qu’elle ne soit pas moins bandante, au contraire. En réfléchissant bien, je me dis alors que la situation ne pouvait m’être que favorable, pouvant rendre jalouse Ludmilla tout en profitant de la bombe Alex. Les couilles bien vidées mais le cur rempli d’espoir, je tombais comme une souche dans un sommeil profond.
A suivre…