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Ludmilla, salope énigmatique du lycée – Chapitre 5

Ludmilla, salope énigmatique du lycée - Chapitre 5



Le message de Ludmilla était quelque peu surprenant. Elle voulait que l’on se voit alors qu’il était déjà près de minuit. Je la rejoignais donc plein d’appréhension. Elle m’attendais dans une rue sombre, à l’image de son visage, à quelques mètres de notre lycée. Elle me regarda m’avancer et je découvris que son mascara avait sans doute coulé suite à ses pleurs quelques heures ou minutes auparavant.

L Il… Mon frère va s’en sortir. Dit-elle, esquissant un léger sourire.

Je lui souriais à mon tour, soulagé, lorsqu’elle sauta à mon cou, pour la deuxième fois de la journée. M’embrassant fougueusement, je ne pouvais m’empêcher de me sentir coupable vis à vis d’Alex, dont j’étais dans le lit à peine deux heures auparavant. Néanmoins, je profitais de cet instant, et sentir Ludmilla tout contre moi réchauffait aussi bien mon corps que mon cur, malgré le froid nocturne.

P Ca devient une habitude !

L Prétend pas que ça te déplait.

Nous restions encore quelques minutes dans la rue. Je la raccompagnais ensuite jusque chez elle, lui proposant néanmoins de passer la nuit à mes côtés. Proposition qu’elle refusa, elle n’avait pas la tête à cela. Je posais une dernière fois mes lèvres légèrement gercées contre les siennes, avant de la laisser rejoindre sa famille.

Sur le chemin du retour, je me faisais la remarque que je n’avais probablement jamais eu un tel choix. Alex et Ludmilla était deux superbes filles, chacune dans un style différent, mais je n’étais pas du genre à accumuler les relations. Je me devais de décider, et vite, car dans notre groupe, les nouvelles s’apprenaient rapidement. Je ne pouvais me permettre de perdre les deux à la fois. En fermant les yeux le soir même dans mon lit, ce ne fut néanmoins pas le visage d’Alex qui m’apparu, mais bien celui de Ludmilla. Elle m’obsédait toujours, et bien que je n’eus pas (encore) eu la possibilité d’aller aussi loin avec elle qu’avec Alex, cela ne me la rendait que plus attirante.

Durant la nuit, c’est également d’elle que je rêvai, me chevauchant comme Alex l’avait le jour même. Elle me fixait de ses grands yeux verts tout en agitant son bassin contre mon sexe. Le réveil n’en fut que plus  brutal, tout comme mon érection matinale. En arrivant dans ma cuisine, ma sur se fit d’ailleurs un plaisir de me le faire remarquer. Gêné, je tentais de dissimuler mon sexe dressé sous mon jogging, ce qui la fit ricaner de plus belle. Ma sur prenait un malin plaisir à me rabaisser constamment depuis la mort de notre mère. Sans doute un moyen de se sentir exister. Ma sur, Alice, n’avait que deux années de plus que moi, mais était une vraie traînée. Bien qu’elle ne soit pas au courant, je savais bien entendu qu’elle s’était tapé Simon, mon meilleur ami, mais avait préféré le garder pour moi, contenant ma colère en moi. Sa poitrine relativement généreuse, son joli visage d’ange (qui ne reflétait en aucun cas son caractère) et son teint hâlé lui valaient une grande popularité auprès des garçons, que je pouvais entendre défiler depuis ma chambre, juxtaposée à celle de ma sur. Ses gémissements me réveillaient parfois en pleine nuit. Cela me dérangeait la plupart du temps, excepté une fois ou j’avais pu entendre d’autres gémissements féminins s’accordant à ceux de ma sur. Je m’étais levé et avait pu assister au spectacle depuis l’entrebâillement de la porte de sa chambre. C’était une autre fille du lycée à ses côtés. Je n’étais qu’au collège à l’époque, mais la vue d’Alice, le cul tendu vers moi et le nez plongé dans le sexe de son intime amie m’avait tout émoustillé. Je m’étais certes senti mal de bander ainsi devant le spectacle de ma sur totalement nue, mais il fallait avouer qu’elle était douée dans ce qu’elle faisait, et les couinements de son amie qui lui offrait sa chatte n’était pas non plus étrangers au multiples jets qui avait trempé mon pyjama ce soir là.

Trêve de bavardage. Après ce petit-déjeuner, je regagnais ma chambre, ma queue encore dure. J’enlevais alors mon jogging et pris mon téléphone afin de vérifier mes messages. Après un rapide coup d’il, je vis que j’avais reçu deux messages. L’un d’Alex, et l’autre de Ludmilla. Comme par hasard. M’apprêtant à enfiler mon boxer avant de lire ces deux messages, je me rendis compte que, nu à ma fenêtre, j’apercevais ma voisine de l’autre côté de la rue, également dans le plus simple appareil. Et celle-ci me regardait en souriant, ou plutôt regardait mon pénis.

Ma voisine était une vraie cougar, une femme d’une quarantaine d’années que j’avais eu l’occasion d’observer à quelques reprises depuis qu’elle avait aménagé là-bas quelques années auparavant. Jusqu’ici, je n’avais eu l’occasion d’admirer ses formes qu’en sous-vêtements, de loin, et celles ci ne semblaient encore jamais avoir remarqué ma présence. Mais ce jour là, elle se trouvait là, nue depuis sa fenêtre, ses deux tétons roses pointés dans ma direction ornant ses gros seins qui me semblaient encore bien fermes malgré leur âge avancé. Son sexe était totalement épilé, ce qui me parut étonnant pour une femme de cet âge, sexe qu’elle commença à caresser, dévorant toujours du regard mes quelques abdos visibles et ma verge désormais plus dure que jamais. A mon tour, je pris mon sexe de ma main gauche et me masturbait, bouche bée devant ma salope de voisine qui se touchait quelques mètres plus loin. Après quelques secondes, ma voisine semblait mouillé de plus en plus, à en juger par la coulée de mouille qui était apparue contre sa vitre. Cette salope appréciait le spectacle. Une forme sombre apparue tout à coup derrière elle, avant de se faire plus distincte. Un homme d’une cinquantaine d’années apparue derrière elle, nu également,. Sans doute son mari. Il se plaça derrière elle, sans m’apercevoir et sans se douter de ce que sa femme faisait initialement. Insérant son pénis dans sa vulve trempée, il lui arracha un cri que j’entendis depuis l’autre bout de la rue. C’était déjà la deuxième fois en quelques mois qu’un tel spectacle m’était offert, après avoir vu Ludmilla se faire prendre par Simon à sa fenêtre. Je ne me lassais néanmoins pas de tout cela, et les seins énormes écrasés contre la vitre de ma voisine me firent bander de plus belle. Après quelques minutes à pilonner sa femme, le mari quitta la chambre, alors que mon foutre était déjà allé s’écraser contre ma fenêtre. Ma voisine me tourna le dos, sans me quitter des yeux, un sourire coquin sur les lèvres, avant de tirer un rideau qui la fît disparaître.

Décidément, ma vie sexuelle était de plus en plus étonnante, et pas toujours glorieuse. Dépassé par les évènements, j’en avais oublié de répondre aux messages que j’avais reçu quelques minutes auparavant, et me jetais sur mon téléphone après m’être quelque peu essuyé. Les deux messages provenaient donc de Ludmilla et Alex, qui me proposaient toutes deux de se retrouver dans l’après-midi en ce jour de congé.

Je devais donc choisir, cesser de mentir à l’une comme à l’autre et faire face à mes sentiments.

Et, à vrai dire, mon choix était déjà fait…

A suivre…

    

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