La clarté de la lune et léclat des lampadaires illuminent notre chemin vers notre lieu de plaisir. Nos ombres nous suivent, nous dépassent et disparaissent pour revenir derrière nous, nous deux enlacés, nous murmurant des mots dans le creux de loreille.
Et cest ainsi que nous arrivons devant chez elle. Une grande porte en fer forgé bleu nuit aux arabesques complexes se dressent devant nous. Elle nous ouvre le chemin vers le plaisir. Passé cette imposante porte, nous arrivons dans une petite cour, bordée de pilier de granit. Elle me guide jusquau premier étage, la où elle habite. Jai tout le loisir dadmirer ses courbes régaliennes, ô combien voluptueuse. Elle se retourne, me sourit, de ce même sourire que sur le quai. Elle en rajoute, se déhanchant et cambrant ses hanches dans ma direction. Je ne peux mempêcher de caresser ces fesses qui me sont offertes. Ma main glisse sous la jupe, atteint directement son sexe qui palpite à mon contact. Je me fais plus pressant, insérant deux doigts dans son vagin mouillé.
Nous sommes là, tous les deux, au milieu dun escalier sombre. Je maccroupis devant elle, je sens son ventre respirer plus fort. Je fais lentement glisser sa fine culotte le long de ses cuisses magnifiques. Elle frissonne, me murmure : « non, il ne faut pas, quelquun pourrait nous surprendre ! ». Mais ses cuisses souvrent delles-mêmes. Je pose alors ma bouche dans le creux son genou pour venir embrasser tendrement sa peau douce comme une pêche. Je remonte lentement. Derrière sa cuisse, au bas de ses fesses, dans la rondeur de son cul pour atteindre son petit illet sombre. « Tarrêtes pas sil te plaît » me soupire-t-elle.
Ma langue se promène sur ses fesses pour venir caresser le pourtour de son joli petit anus. Elle frémit, palpite, soupire plus fort. Ma langue se durcit, tel un petit sexe conquérant. Et sintroduit lentement. Je caresse son cul de ma langue, la fait tournoyer à lintérieur. « Oh !! ouii ! Cest bon ». Ma main ne reste pas inactive et vient caresser son pubis, pour descendre lentement sur son petit bouton que je viens pincer doucement alors que ma langue ressort doucement de ses fesses. Elle se cambre, se tend comme un arc, me sourit : « tu nas pas le droit de me prendre comme ça par surprise ».
Ses yeux pétillent, elle mouille, elle est en transe. Elle est bien.
Je me lève, je me place derrière son dos, et japproche ma bouche de son oreille, pour venir la mordiller. Elle pose sa tête sur mon épaule et soffre ainsi à moi.
« Tu as raison, je vais te prendre tout court ma belle »
Je baisse mon pantalon et je sors mon sexe tendu par le désir. Je le prends en main et je caresse sa vulve. De gauche à droite, je peux sentir ses lèvres humides contre mon sexe chaud. Puis de lavant vers larrière, je viens caresser son clitoris gonflé puis vers larrière, frôle son anus, le caresse doucement. Elle se cambre, en signe dacceptation. « Oui, jen ai envie. Viens ! »
Jai envie de jouer. De jouer avec elle et ses désirs. Jai envie quelle me supplie. Mes yeux sourient, ma bouche se pose sur sa nuque et la mordille. Elle frissonne encore. Mmm que cest bon de jouer ainsi avec cette magnifique jeune femme tombé de nulle part.
Et je prends son vagin, dune longue poussée impérieuse, conquérant un terrain inconnu. Je la sens soupirer autour de moi, venir masser mon sexe avec ses muqueuses.
Et je me retire. Me rhabille. « Non, que fais tu ? Reviens. Reviens sil te plait. Jen ai trop envie maintenant !!! »
— Non ma belle, tu as raison, souriais-je. Quelquun pourrait nous voir ! Viens, montre moi ton chez toi, ton univers.
— Salaud ! me dit-elle, mais ses yeux sourient.
Elle réajuste sa tenue en deux temps trois mouvements, et me guide jusqu’à sa demeure. Son appartement est décoré avec goût. Une grande peinture de Kavinsky se dresse dans son salon aux couleurs chaudes au côté dun piano Steinway blanc, tout à son image. Magnifique, classe, raffiné, élégant. Parfait.
Elle me propose un verre que jaccepte. Nous dégustons ainsi un verre de Vendanges Tardives en se dévorant des yeux.
Et elle se jette sur moi, me poussant contre le piano. Je lembrasse à mon tour avec fougue, comme deux jeunes amoureux qui ne se sont pas vu depuis longtemps. Elle arrache ma chemise, « heureusement que cest une chemise avec des boutons à pression, pensais-je, sinon elle était bonne pour le chiffon !) Me prend par la taille, descend le long de mon torse en y déposant de doux baisers volages. Je sens mon désir gonfler dans mon pantalon devenu bien étroit ; elle retire mon pantalon et fait lentement glisser le dernier rempart à son désir. Elle lève les yeux vers moi et je peux y lire désir, excitation et félicité.
Elle ouvre la bouche et lapproche lentement de ma verge dressée. Sa langue sort et vient chatouiller mon gland, le déguste.
Un frisson parcoure tout mon corps en partant de mon sexe. Oh que cest bon ! Et elle continue à jouer avec. Sa langue agile se promène sur mon sexe, de la base à la pointe, tourne autour, et lembouche. Je sens la chaleur de sa gorge, la moiteur de sa langue et son souffle contre mon pubis. Elle me regarde à nouveau, mon sexe bien en elle. Et je sens sa langue venir caresser mon frein.
« Quelle est belle ! Ses yeux magnifiques qui me fixe, sa langue qui mexcite »
Et elle commence à faire de longs va-et-vient sur mon sexe humide qui entre et sort encore et encore de sa gorge. Je nen peux, il faut quelle arrête, nous avons encore tellement de choses à faire.
Je la stoppe, lembrasse. Je peux sentir le gout de mon sexe sur sa langue. Mes lèvres glissent sur son cou, lembrasse, le lèche, le mordille. Elle frissonne. Sa main caresse mon sexe doucement, dans un mouvement lent et ample.
Puis brusquement, je la retourne, la baisse sur son piano. Ses seins sécrasent sur la caisse de résonnance. Je relève sa jupe, écarte sa culotte et la prend, encore une fois dune longue poussée. Je la vois se tendre, surprise par cette soudaine intrusion dans son corps. Puis très vite, elle bouge ses hanches, venant enfoncer ma verge plus profond en elle. Elle se trémousse, soupire, gémit.
Mes mains se posent sur le creux de ses reins, caressent ses hanches et les empoignent, fermement. Je me mets à aller et venir en elle, en puissante poussées de toute la longueur de mon sexe. Mon sexe entre et sort de son vagin trempé, ma main droite remonte sur son sein quelle empoigne, sans douceur. Je lui pétris son sein pendant que je malmène sa chatte. Je lattire contre moi, ma main gauche quitte sa hanche pour enserrer son cou délicat. Cela lexcite, je sens son sexe mouiller encore plus.
Et je continue de la prendre. Violemment, ma main droite glisse ensuite sur son ventre plat à a peau si douce. Descend sur son Mont de Vénus, jouer avec sa fine toison et venir soudainement pincer son clitoris. Je sens ses muqueuses trempées étreindre ma verge. Et elle jouit, dun long râle venu du plus profond de son utérus.
Je veux quelle jouisse encore plus fort. Et je reprends mon pilonnage, lécrasant contre le piano froid. Elle crie, elle se cambre encore plus, moffre sa chatte à ma bestialité. Et elle jouit encore. Tout son corps se tend, sa chatte enserre ma queue, létrangle. Elle coule, et tout se détend.
« Merci, cétait tellement bon. Tu ma fais lamour divinement. »
— Cest parce que tu es divine, ma sensuelle amante.
— Mmm jai encore envie de toi, de ton sexe. Jai envie que tu me prennes. Et que tu mencules. Que tu enfonces ta bite dans mon cul, sentir mes fesses souvrir à ton passage »
— Oh ma belle ! quest ce que tu mexcite. Viens, montre moi ta chambre !
Elle prit ma queue en main, glissa ces longs doigts sur toute sa longueur. Et me tira, me guida jusquà sa chambre. Une image de Confucius, un Code Civil, un grand dressing avec un miroir, un string en dentelle rouge sang qui traîne, une paire de mocassins et une paire de menottes.
Cela me donne immédiatement des idées je la prends dans mes bras, nus tous les deux, nos deux corps brûlant se pressant lun contre lautre, nos sexes se frotte lun à lautre, je sens la pointe de ses seins frotter mon torse. Elle menroule de ses bras et presse son corps magnifique contre le mien et ne bouge plus. Je prends mesure de lattachement qui nous unie à ce moment là.
Jattrape les menottes, je la renverse sur le lit, lui attrape les poignets, lui les lient au dessus de la tête, elle se cambre, dressant fièrement sa poitrine vers ma bouche. Je lui happe un sein, je fais tourner ma langue autour de son téton qui durcit vite. Je joue avec, le mordille, laspire tandis que la main libre attrape son autre sein. Je lui presse son sein en aspirant plus fort le second. Elle gémit, elle soupire ! Je la vois écarter ses jambes, moffrant ainsi son intimité à mon regard gourmand. Et je lui lie ses mains avec les menottes, que jattache au lit.
Ca y est, elle est à moi. Je prends tout mon temps pour détailler son corps de rêve, de déesse de lérotisme. Je sors de la chambre.
« Quoi ? Mais que fait-il ? Il va vraiment me laisser comme ça, nue sur le lit, offerte et brûlante de désir ? » Pensais-je inquiète mais toute excitée.
Le temps me paraît suspendu, je me tortille sur le lit, je suis chaude, prête à être prise. De la façon quil voudra, je suis toute à lui. Jai envie quil me prenne, quil me prenne et quil jouisse, que je sente son sperme dans chacun de mes orifices. Oh jen peux plus ! que fait-il ?
Oh ! Je lentends revenir. Je sens ses pas, il monte sur le lit, son souffle sapproche de moi. Ses lèvres se posent sur les miennes. Je lui rends son baiser avec passion, nos langues se caressent, sentrelace, nos lèvres se cherchent. Oh mon dieu ! Deux doigts envahissent mon intimité, dune seule poussée qui dilate mon vagin. Je le sens écarter mon vagin de ses doigts, il entre, il sort. Mon plaisir monte, je me sens couler. Son autre main me soulève la tête. Il a envie de ma bouche.
Viens, bel inconnu. Non ce nest plus vraiment un inconnu. Il ma caressé dans un train, mis un doigt dans mon cul, jai jouis sous ses doigts, je lai sucé, jai aimé sentir son sperme au fond de ma gorge. Et jai encore envie de lavoir en bouche. Que ma langue caresse sa queue, avoir son goût sur ma langue.
Il sort un bandeau, me le mets sur les yeux. Je suis aveugle, je ne vois plus rien mais mon vagin shumidifie encore plus. Ma bouche sentrouvre sous létonnement et il en profite, le salaud. Sa queue senfonce dans ma bouche. Je sens sa raideur, comme il est dur ! Je sens senfoncer un peu plus. Et soudain, un courant électrique me parcourt. Il a pris mon bouton entre deux doigts et le fait rouler. Oh que cest bon, je brûle de lintérieur. Jen peux plus. Je le veux.
Jentends de la musique, comme un murmure. Et soudain bien plus fort. Je comprends quil ma mit son casque. La musique un peu lounge menvahit. Jai appris plus tard que le nom de lalbum correspondait bien : Sexuality de Sébastien Tellier.
Je ne vois plus, je nentends plus. Je suis privée de tous mes sens. Je ne peux que sentir. Avec mon nez ou mon corps, ma peau devenu sensible après tant dattente, tant dexcitation.
Je ne peux quimaginer la scène ; moi, nue, attachée sur mon lit, les yeux bandés, un casque sur les oreilles, un homme nu sur moi pendant que je lui prodigue une fellation, « non, que je lui offre ma bouche à sa queue délicieuse », son autre main entre mes cuisses écartées jouant avec mon sexe qui ne demande qua être pénétré.
Il se lève, sa queue quitte le doux fourreau de ma bouche, un filet de bave accompagne son gland turgescent.
Il glisse le long de mon corps, le caressant au passage, je sens ses doigts se promener de ma bouche quil pénètre légèrement, ressort, descend sur mon cou, mes épaules, mes seins quil masse fermement. Mmm que cest bon ! Puis descend sur mon ventre, tourne autour du nombril, glissent sur mon pubis, et tourne autour de mon bouton. Inconsciemment, jai écarté mes jambes au maximum, je me cambre vers lavant, faisant ressortir mes seins qui pointent. Je veux sentir ses doigts me prendre encore, quil enfonce ses doigts dans mon sexe, dans mon cul, quil joue avec, quil presse ses doigts contre la fine membrane qui sépare mes deux orifices intimes. Je veux quil joue avec mon corps. Je brule dun feu ardent qui embrase tout mon être.
Il relève mes jambes contre ma poitrine. Je me sens si vulnérable ainsi. Je limagine détaillant mes trous. Je suis exposée à son regard, je mouille encore, une vague de désir monte en moi, impuissante, immobilisée, dans lattente de ses doigts, sa langue ou de son sexe en moi. Où il veut, partout, pourvu quil me prenne. Vite !
Ca y est ! Je sens sa colonne de chair glisser sur mes lèvres, il entame un lent mouvement de va et vient contre mon sexe. A chaque aller, son gland vient toucher mon clito érigé et le plaisir monte doucement, par vagues. Oh mon dieu. Je sens son sexe se poser contre mon petit anus. Il pousse un peu et son gland rentre. Il dilate mes sphincters avec facilité tellement je suis trempée. Oh que cest bon, je sens sa queue me pénétrer lentement, forçant le passage de mes intestins. Non ! Il se retire. Jen peux plus. Je le veux, quil mencule enfin. Quil me prenne ! Oh ! Il sest enfoncé brutalement au fond de mon vagin, dune seule poussée rapide et violente. Oh mon dieu, je jouis sous la surprise. Que cest bon ! « Vas y prends moi, prends moi fort ! Je suis toute à toi ! »
Je subis ainsi ses coups de butoir avec délice. Il est violent, doux, passionné, brutal. Jaime ça, me sentir objet de désir, offerte à sa queue qui me baise, qui pilonne ma chatte en profondeur. Oh oui ! Prends-moi, défonce-moi, plus fort ! Ça vient, je vais jouir !
Oh mon dieu, je sens sa bite frotter contre lintérieur de mon vagin, de plus en plus loin venant buter contre mon utérus, déclenchant à chaque fois une montée de plaisir de plus en plus intense. Il me prend, ses deux mains qui bloquent mes chevilles en lair, les écarte pour mieux voir sa queue senfoncer profondément en moi, luisante de ma mouille. Jai lair dune salope, qui aime le sexe. Mais cest tellement bon !
« Oh putain, cest bon. Je sens sa chatte qui se contracte autour de mon pénis. Cest chaud, humide, tellement excitant. Tout en la besognant sauvagement, je ne peux mempêcher dadmirer son corps parfait, elle est si belle. Le clapotis obscène de sa mouille quand je viens cogner contre ses lèvres mexcite terriblement.
Je me penche sur elle, ses jambes glissent le long de mon torse pour venir enserrer mes fesses, me serrant contre elle. Mon sexe pénètre plus profondément encore en elle. Et elle jouit. Son vagin explose, se contracte, étrangle ma bite. Tout son corps se tend, sa tête se révulse, elle crie son bonheur, sa libération bien méritée.
Je la laisse reprendre doucement son souffle, jen profite pour effleurer du bout des doigts ce corps aux courbes lascives nacrées de sueurs. Sa peau est moite, colle. Son odeur de femme en chaleur menivre, mexcite. Jhume son parfum naturel. Il menvoûte. Je lembrasse doucement, joue avec ses lèvres, les mordille. Je lui retire son bandeau. Elle a les yeux brillant, épanouie.
« Mmm que cétait bon. Jai jouis tellement fort. Merci bel homme. Mais tu nas pas encore jouis toi. Viens, je te veux encore. Je veux que tu me prennes par derrière. Jai envie que tu jouisses dans mon cul »
A ces mots, mon érection reprend de plus belle. Je guide mon sexe et le pose contre sa rondelle suintante de mouille. Et je menfonce doucement, par à-coups. Entrant et sortant progressivement. De quelques centimètres, puis je ressors et je pousse à nouveau conquérant à chaque fois quelques centimètres de plus. Elle souffle fort. Je suis la progression de mon sexe dans son regard qui souvre sous la pénétration de ma verge.
« Oh mon dieu ! » je sens sa queue pénétrer lentement mon cul. Il dilate mes sphincters avec sa colonne de chair qui ma donné tant de plaisir ! Elle menvahit, je ne sens plus que sa verge dans mon anus serré. Il progresse lentement, je le sens senfoncer en moi, au plus intime de moi, jusqu’à buter au fond, tout au fond, aussi loin quil le peut, ses couilles viennent buter contre mes fesses, me procurant une pointe de douleur vite étouffée par des ondes de plaisirs chaudes dans tout mon corps, transpirant de désir. Il va et vient doucement dans mon cul. Que cest bon ! Je sens sa peau si douce sur sa verge si dure venir frotter lintérieur de mon anus. Le plaisir monte en moi. Je me vois ainsi, sur le dos, les jambes largement écarté en train de se faire sodomiser. Cest si pervers. Et si bon. Si excitant.
Il me détache. Enfin ! Je lenlace de mes bras et mes jambes, enfonçant jusquà la garde son pénis dans mes intestins qui ne demandent plus quà être ramoner. Sa bite palpite au fond de mon cul. Je peux sentir son pouls sur sa queue dans mon orifice le plus intime. Il se retire, laissant une sensation de vide. Je veux quil me remplisse encore. Encore et encore.
Il me retourne. Docile, je me mets à quatre pattes, sa main caresse mon dos, appuie sur mes épaules. Jenfonce ma tête dans loreiller, cambre mon cul, lui offre mon postérieur à tous ses désirs. Il revient en moi, il me sodomise. Fermement, profondément. De toute la longueur de son sexe. Il me prend, de plus en plus fort, de plus en plus violemment. Je ne suis plus quune chienne en chaleur qui ne demande quà être défoncée. Ses mains accrochent mes hanches et me tire à lui, enfonçant son sexe dans mon trou. Je sens sa bite dilater mon trou sensible. Il ne bouge plus. Cest moi qui vais à lui, sous les directives de ses mains qui mempoigne. Il mencule ainsi longtemps, divinement. Sa part animale a prit le dessus. Il mencule, souffle, gémis. Je cris, je me crispe, je me dilate, je mouille, je tends mon cul ouvert. Ses couilles viennent cogner contre mon sexe, mon clitoris, augmentant ainsi mon plaisir. Et je jouis. Je jouis de cette sodomie brutale et animale. Mais il nen a pas finit avec moi.
Il attrape mes épaules, me relève, la verge toujours enfoncé en moi, la rondeur de mes fesses venant caresser son pubis, ses bourses venant caresser mes lèvres devenus torrent incandescent. Sa bouche embrasse mon cou, ses mains empoignent mes seins, les pétrit, les malaxe, tire sur les bouts. Je cris, jhurle ma jouissance venu me prendre encore fois. Mon cul se contracte, étrangle sa queue dure comme du roc. Oh mon dieu ! Son sperme jaillit, venant tapisser mes parois anales, inondant mes intestins de sa semence chaude. Oh que cest bon. Mon orgasme se prolonge. Il nen finit plus de jouir. Mon cul est trempé. Trempé de nos sécrétions, de son sperme qui sécoule lentement en moi. Il se retire doucement, caressant tout mon corps lascif, abandonné au plaisir. Ses yeux me dévorent, sa bouche caresse mes courbes. Il sallonge à mes côtés, me chuchotant des « merci, tu es tellement magnifique, si douce, si sensuelle, si excitante » Ses mots font frissonner mon âme. Il se colle à moi, glisse une main sur mon ventre. On est si bien ainsi. Il fait pénétrer doucement son sexe dans mon cul lubrifié par sa semence. Et nous nous assoupissons ainsi, unis lun à lautre.
Je le réveillerai dans la nuit pour sentir sa queue encore en moi, venant posséder chacun de mes orifices jusquà lextase. Il me prendra, encore et encore au creux de cette nuit douce qui nous appartient. Et je lui offrirai tout mon être, mon âme. Et je jouirai dêtre sienne, de sentir sa verge fouiller ma gorge, mon sexe et mon cul. Il jouira de nombreuses fois, arrosant mon corps de son jus brulant.
Il partira le lendemain, les yeux hagards, cernés par cette nuit voluptueuse.