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Ma belle mère Lucette – Chapitre 1

Ma belle mère Lucette - Chapitre 1



Je m’appelle Yvan et cette histoire est arrivée il y a bien longtemps maintenant. J’étais marié et très heureux. Mes beaux-parents étaient sympas et j’avais de bonnes relations avec eux. Ma belle-mère que j’appellerai ici Lucette était une femme assez grande et un peu corpulente. Elle n’était pas le genre de femmes que j’aimais mais elle avait un visage plein de douceur et des yeux que je trouvais rieurs et coquins.

Nous habitions à la campagne dans un petit village. Lucette n’était pas spécialement attirante, ni par son physique ni par sa manière de s’habiller mais elle générait un trouble en moi que je ne m’expliquais pas. Il est vrai qu’à cette époque, je fantasmais souvent sur les femmes qu’on appelle mûres et je regardais souvent des pornos car ma femme n’était pas très porté sur le sexe.

Nous allions chez ma belle-mère environ un dimanche sur deux pour le repas de midi et nous passions quelques heures à bavarder.

Tout a changé un dimanche d’été où je me suis rendu chez ma belle-mère pour changer la bouteille de gaz car mon beau-père était parti pour la journée. Elle avait appelé à la maison tôt ce matin-là en demandant si je pouvais venir assez vite car elle était en panne de gaz. Ma femme était également partie la journée avec son équipe de volley-ball.

Je me suis donc rapidement douché et habillé avec un short et un t-shirt. Il était environ 9h00 lorsque je sonnais à la porte.

— Ha, te voilà, il faut que je tombe en panne le jour où je suis seul.

— Bonjour Lucette, comment allez-vous ?

— Bien je te remercie Yvan.

Elle me fait la bise, une bise dans le coin de mes lèvres, enfin c’est ce que j’ai ressenti. Elle était encore en nuisette sur laquelle elle avait passé un peignoir. Même si rien ne dépassait, elle me faisait de l’effet et je commençais à fantasmer comme à mon habitude.

— La bouteille de gaz pleine est à la cave.

— OK, je vais la chercher et je la change, je n’en ai pas pour longtemps.

Je descends à la cave, je prends la bouteille de gaz et je remonte. Je m’installe devant le placard sous l’évier. C’est souvent là qu’on mettait les bouteilles de gaz pour alimenter les cuisinières. Je sors tout ce qui gêne et commence à dévisser le détendeur. Plus facile à dire qu’à faire car il semble qu’il soit coincé. Au bout de longues minutes Lucette vient voir où j’en suis.

— Alors Yvan, ça avance comme tu veux.

Elle est juste devant moi, elle est en nuisette, une nuisette qui lui arrive juste au-dessus du genou. Elle est devant moi, enfin façon de parler car je suis assis par terre et elle debout, à contre jour, ce qui me permet de voir ses jambes et ce qu’il me semble être une culotte.

— Je crois bien que j’ai parlé trop vite car le détendeur est coincé et je n’arrive pas à le dévisser. Peut-être qu’avec la clef à molette je vais y arriver.

— J’ai confiance, tu es costaud.

J’essaie avec la clef mais rien n’y fait, le beau-père a du monter ça de travers, il n’a jamais été le meilleur bricoleur du monde.

— Alors, verdict ?

— Toujours pas, mais je vais y arriver.

Lucette se baisse pour voir sous l’évier le détendeur récalcitrant. Elle s’accroupit à juste à mes côtés et regarde le tuyau de gaz. D’où je suis, j’ai une vue plongeante dans le décolleté de sa nuisette et j’aperçois une bonne partie de sa généreuse poitrine. Elle s’avance comme pour mieux voir sous l’évier. La vision de ses seins me fait bander immédiatement, ce qui provoque une bosse voyante sur mon short. Accroupie, je peux aussi admirer son entrejambe. A croire qu’elle l’a fait exprès… J’essaie de reprendre mes esprits en me disant que je me faisait de idées.

Soudain, alors que nous sommes encore par terre, elle me regarde, baisse sa nuisette et sort ses deux magnifiques seins.

— Yvan, je sais qu’ils te plaisent. Touche les s’il te plaît j’en ai envie.

— Mais…

— Touche les. Tu me regardes depuis que tu es arrivé.

Je pose mes mains sur ses seins gonflés. Elle ferme les yeux. Je les caresse, les malaxe et ses pointes se dressent aussitôt. Elle gémit. Elle se laisse faire et elle aime ça.

— Haaaa il y a bien longtemps qu’on ne m’avait pas touché les seins.

— Et Robert ?

— Il ne me touche plus depuis plusieurs années.

Puis elle se recule, se rajuste.

— Je suis désolée, je n’aurais pas du.

— Si au contraire, c’est vrai que vos seins me plaisent et que je rêvais de les voir.

— Oui mais il ne faut pas. Je vais te laisser continuer.

Au moment où elle allait se redresser, je lui ai pris la main pour la garder près de moi.

— Yvan…

— Chutttt

J’ai passé ma main dans sa nuisette pour lui toucher les seins pendant que mon autre main passait remontait sur une de ses cuisses puisqu’elle était toujours accroupie à mes côtés. Mes doigts arrivèrent rapidement vers sa chatte. C’est là que je me suis aperçue qu’elle n’avait pas de culotte. Ses lèvres étaient déjà gonflées de désir et elle mouillait abondamment. Lucette se laissait faire en gémissant.

— Viens, allons dans la chambre.

Elle m’a entraîné, m’a déshabillé, je l’ai déshabillée, elle m’a pris la bouche pour m’embrasser. Je me sentais bien dans ses bras charnus. Nous nous sommes allongés et j’ai repris mes caresses. Lucette était couchée sur le dos, jambes écartées. Elle semblait en manque car son corps ondulait sous mes mains. Je lui enfoncé deux doigts dans la chatte, lui arrachant un petit cri. Je lui léchais les seins, lui mordillait les bouts, les aspirais. Je bandais dur. Après quelques minutes elle eut un orgasme, fort, violent.

Je pensais qu’elle allait se laisser tomber sur le lit quelques instants pour reprendre ses esprits mais elle me renversa sur le dos et pris mon sexe directement dans sa bouche.

Lucette me fît une fellation comme jamais je n’en avais eu. Pendant qu’elle me suçait, je lui triturais les seins, et surtout je caressais son cul, qui bine qu’un peu gros était splendide. Je lui passais la main entre les fesses, je lui enfonçait mes doigts dans sa chatte. Elle suçait de plus belle.

— Je vais jouir.

Je pensais qu’elle allait sortir mon sexe pour finir par une branlette, mais elle aspirait encore plus fort et ne pouvant plus me retenir, j’ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé. Après un court instant elle se lève.

— Je ne sais pas ce qui nous a pris, nous n’aurions pas du.

— Vous avez raison, mais c’est trop tard et c’était trop bon.

— Yvan, tu dois oublier ça, je regrette et je te fais mes excuses.

— Moi je ne m’excuse pas parce que j’ai aimé et j’en avais envie.

— je vais prendre une douche, j’espère que lorsque je sortirais tu auras changé la bouteille de gaz et tu seras parti.

— je vais faire le nécessaire.

Je la vis disparaître dans la salle de bain où l’eau à coulé de longues minutes. A force de persévérance j’ai réussi à changer la bouteille et je suis rentré chez moi. Je suis aussi passé sous la douche et je me suis branlé en repensant à Lucette.

Si vous êtes intéressé je vous raconterais la suite.

Yvan

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