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Ma belle-mère à ma merci – Chapitre 2

Ma belle-mère à ma merci - Chapitre 2



Puisque ma belle-mère gobe toutes les bondieuseries de mortification et de martyre, pourquoi ne pas en profiter? Au bistrot, je nai évidemment pas pu mempêcher den parler à mon pote Jacky et dautres oisifs de notre groupes. Ils se sont donc mis en tête de venir passer une soirée belote chez moi. Le moment venu, ils sont arrivés à lheure (pour une fois) et on a un peu forcé sur lapéro. Ma belle mère était en grande tenue de veuve, comme dhabitude, mais je lui avais fait mettre des hauts talons (avec lesquelles elle se déplace assez gauchement) et je lui avais imposé de se maquiller.

Mes copains rigolaient derrière son dos, et me charriaient chaque fois quelle allait en cuisine. Des remarques du style « alors, tu fais la sortie des hospices, maintenant? » ou « tas pas peur quelle perde un os pendant que tu la baises? », ou encore « elle retire son dentier quand elle te suce? ». Cependant, le repas terminé, on avait continué à picoler ferme, et tout en jouant aux cartes, je voyais que ces pervers observaient les allées et venues de ma vieille servante avec de moins en moins de retenue.

Finalement, un dentre eux se risqua à me dire « ten ferais bien profiter les copains, espèce délément antisocial ». Tout le monde rigolait bien, mais tous avaient lair dapprouver. Je les laissais mariner un peu, puis je dis « ok, 50 euros chacun, et vous lemmenez au septième ciel ». Ils protestèrent vigoureusement, me traitèrent de maquereau et de capitaliste, mais deux chopines plus tard, Bibi allait quand même à son portefeuille et mettait son billet sur les table, suivit après une hésitation de quelques seconde par les deux autres.

Jappelais donc « holà, belle maman, venez donc un peu ici ». Elle arriva avec dautres bières, pensant que cétait cela que je réclamais. « Mes amis veulent voir vos fesses, tournez vous donc et montrez les ». Elle pâlit, et se mit à balbutier « mais on ne peut pas, cest mal » (je vous passe laccent italien à couper au couteau) « je suis veuve, ce nest pas bien ». Je lui répondis dun ton qui nadmettait pas de réplique « il faut que vous expiez vos péchés, vous le savez bien, allez vieille salope, relevez votre robe ». Elle se tourna et remonta lentement sa robe au dessus de la ceinture. Naturellement, elle était en porte jarretelles et en bas noirs. Je lui dis de sagenouiller devant Bibi et celui ci sortit un gros sexe flasque de son pantalon. « tu vas arranger cela, vieille pute » dis-je, et elle commença à sexécuter. Elle avait acquis une certaine pratique avec moi, et même un gros porc comme Bibi ne pouvait sempêcher de bander en sentant la langue de la vieille sappliquer sur son sexe. Jacky ne pouvait attendre son tour, et il se mit donc à genoux derrière elle, sortit son sexe de son froc, et le lui enfourna dans la chatte. De grosses larmes couraient sur les joues de leur victime pendant que ces deux salauds la prenaient. Bibi éjacula et retira lui sa bite de la bouche pour barbouiller son visage de sperme. Jacky lâcha peu après et il sessuya sur la robe de la vieille. Ce fut ensuite au tour de Fred, qui la retourna sur le dos, et senfourna dans sa chatte. Elle était pantelante, sa robe de deuil relevée bien haut, les cuisses écartées, avec un type trente ans plus jeune quelle qui la besognait. Ses larmes lui donnait tout de la sainte vivant son martyre, mais ne faisaient évidemment quexciter mon copain davantage. Fred se retira finalement en sessuyant également sur le chemisier noir.

Nous nous remîmes à jouer et à boire. Elle continuait à nous servir à boire et à manger, son maquillage ruisselant sur les pommettes, sa robe tachée de sperme en plusieurs endroits. Je tenais à terminer par une note humoristique. Je la fis mettre à quatre pattes, et lui enfonçai dans le cul un des cierges quelles plaçait toujours devant le portrait de son mari. Je me fis sucer à mon tour. Mon dard senfonçait avec délice dans la gorge sans défense de ma belle mère. Je pris mon temps. Les autres me mataient et se remettaient à bander. Elle allait avoir droit à un deuxième service. Je giclais au fond de sa glotte et essuyais mon sperme dans ses cheveux. Dans notre saôulographie, nous lamenâmes à sa chambre, et pendant le reste de la nuit, nous la prîmes par tous les orifices.

Le lendemain, vers 10h, je me réveillais dans le divan. Bibi et Fred étaient au lit avec elle. Ses bas étaient filés, et son soutien abaissé, laissait voir ses seins fatigués. Au mur, la photo du cher disparu contemplait la scène avec, me sembla-t-il, un rien dexcitation dans les yeux

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