Moi, c’est Théo, 21 ans, pas de vie sexuelle très active en ce moment. Enfin, depuis mon dépucelage à 19 ans, il ne s’est pas passé grand-chose non plus. Je passe plutôt mes nuits en tête à tête avec les sites X et mon imagination, pour me soulager lorsque j’ai besoin.
Mes fantasmes sont assez variés, ça dépend des périodes, mais j’ai quand même une récurrence dans mes pensées coquines, c’est ma copine Léa, une amie du lycée. On se connaît depuis nos 15 ans, mais il ne s’est jamais rien passé entre nous. Ce nest pas que je voulais être sont petit copain, c’est une fille mignonne, pas trop mal foutue, sans être le canon de beauté fatale, mais je la voyais plus comme une amie que comme une aventure amoureuse.
Cela dit, il m’arrivait régulièrement de fantasmer sur elle et de m’imaginer plein de choses pendant que je me caressais. Le nombre de scénarios que j’ai pu inventer dans ma petite tête de puceau à l’époque ! Et encore aujourd’hui, j’avoue encore penser à elle de temps en temps.
Enfin bref, voilà pour la présentation.
Léa emménage ce week-end. Elle quitte sa coloc pour un petit 2 pièces à elle toute seule. Le déménagement est relativement rapide, elle n’a pas beaucoup de meubles, mais elle a un stock énorme de vêtements et de sous- vêtements, je n’ai jamais vu ça de ma vie. Il doit y avoir une dizaine de cartons rien que pour ça. Et du coup, comme c’est petit chez elle, je l’aide à les vider et les trier pour faire de la place.
Jusqu’au moment où on tombe sur le carton des petites culottes. Ça m’a fait tout drôle de voir toute cette lingerie à portée de mes yeux et de mes mains. Il y en avait de toutes sortes, de la dentelle, des strings, des tangas, des bariolées et j’en passe, le tout en vrac dans le carton, un vrai bazar. Léa me dit d’ailleurs :
C’est un foutoir pas vrai ?
Ça y ressemble en tout cas.
Le pire c’est qu’elles sont mélangées, j’ai tout mis dans le carton dans la précipitation.
Ben, c’est pas grave ça, on va trier.
Oui, mais là c’est les propres et les sales qu’il faut trier, j’ai dû tout bazarder dans le carton en vitesse, sans prendre le temps de faire une lessive.
Léa prend une culotte et la met sous son nez :
Propre !
Puis en prend une 2e :
Propre aussi.
Moi, naturellement, je commence à faire pareil, j’attrape un de ses strings et le porte à mes narines, je le sens et rends à mon tour ma conclusion :
Propre également, je le pose là, c’est ça ?
Sous les yeux ébahis de Léa, j’en prends un autre dans le tas.
Mais ça va pas Théo, t’es pas bien ? fit-elle en rigolant.
Ben quoi, faut bien les trier non ? Celle-là aussi est clean.
Nan, mais tu vas pas trier mes culottes en te les collant sous le nez quand même ? C’est chelou.
Pourquoi pas, ça ne me dérange pas.
Ah Ah ! Comment tu vas faire si tu tombes sur une que j’ai déjà mise, je serais curieuse de voir ta tête, tiens !
Je ne me dégonfle pas, au contraire, cette expérience commence gentiment à m’exciter, et je pioche une culotte pour la porter à mon nez sous les yeux écarquillés de ma chère copine. Et ce qui devait arriver arriva, j’ai une sale entre les mains. Je fais semblant de ne pas m’en apercevoir et la respire plusieurs fois de suite.
Alors ? me fit Léa.
Je sais pas, j’ai un doute, lui fis-je en reprenant une respiration supplémentaire.
Donne-moi ça, idiot.
Léa n’a juste qu’à regarder l’entrejambe de la culotte pour découvrir la supercherie.
Mais c’est une utilisée ça ! Il t’a fallu tout ce temps pour le voir ?
Je sais pas, je t’ai dit que j’avais un doute.
J’en prends une autre que je devine usagée et respire à pleins poumons cette sublime odeur, devant Léa qui n’en croyait pas ses yeux.
Je crois qu’elle a été utilisée aussi celle-là.
Léa me chipe la culotte et donne son avis :
Mais oui, celle-là aussi. Tu sens mes petites culottes et toi, ça te dérange pas ?
Ben… non.
Ah bon ?!
Je t’assure, ça ne me pose aucun problème. Je continue ?
Bah… euh… je sais pas… oui, enfin c’est bizarre quand même.
Nous continuons alors notre petit tri à deux. Vu la quantité, ça va prendre un moment. En plus, je prends un malin plaisir à prendre mon temps pour apprécier ces effluves aphrodisiaques. Mais à un moment, je me suis fait capter par Léa.
Théo, t’es sûr que ça te fait rien de faire ça.
J’ai pas dit que ça ne me faisait rien, j’ai dit que ça ne me dérangeait pas.
Comment ça ? Me dis pas que ça t’excite ?!
Ben… un peu si, en fait.
Ca te plaît de sentir mes strings et mes petites culottes ?
Oui, ça me fait de l’effet.
De l’effet ??? C’est-à-dire ? me demanda-t-elle en redoutant la réponse.
Je vais pas te faire un dessin non plus, ça me donne une érection.
Ah ouais ? Mais naaan !!
Ben si.
Léa marqua un temps d’arrêt. Je la vis d’un coup toute pensive, en train de ronger son ongle. Puis d’un coup, son visage changeait d’expression, elle avait le regard un peu plus coquin avec une pointe de timidité. Finalement, elle me fit :
Vas-y montre.
Montre quoi ?
Ben, ce que ça te fait de respirer l’odeur de mes sous-vêtements.
Mais ça va pas.
Oh c’est bon, t’as toutes mes culottes sous les yeux, tu peux bien me montrer ton caleçon, non ? Allez, baisse un peu ton pantalon.
Elle marquait un point, c’est vrai que j’en ai bien profité depuis tout à l’heure
Bon d’accord, t’as pas tout à fais tort effectivement.
Je défis le bouton de mon jean et le baissai jusqu’à mi-cuisse. J’avais la queue tellement tendue qu’elle était limite de sortir de mon caleçon. Le fait de m’exhiber devant une fille qui me faisait fantasmer n’a pas calmé mon excitation, bien au contraire.
Ah ouais quand même, s’exclama Léa. Eh ben mon salaud. Je savais pas que de la lingerie pouvait faire un effet comme ça ! et tu fais ça souvent ?
Euh non pas spécialement.
C’est parce que c’est la mienne ou quoi ?
Un peu oui quand même.
Ça t’excite de savoir que je les ai portées quand tu les renifles, c’est ça ?
Pris au piège, je ne pouvais plus nier le fait.
Bah oui, j’aime bien ça, ça me fait bien bander, lui fis-je de manière un peu vexée.
Cest bizarre un peu, mais agréable à savoir. Tu m’en montres un peu plus ?
Hein ?
Allez, vas-y. Sois cool.
Sa requête ne fit qu’augmenter mon excitation, mais en même temps, je ne voulais pas subir et qu’elle me tienne à sa merci. Alors je lui proposais un deal :
OK je veux bien, mais avant, tu baisses aussi ton pantalon, j’ai envie de voir ce que tu portes.
Mouais… Bon d’accord.
Léa enleva son bouton, descendit sa braguette. Je regardais fixement son entrejambe que j’ai fantasmé de si nombreuses années. Elle descendit son pantalon en se tortillant, je n’en perdais pas une miette et découvrit au fur et à mesure la culotte qu’elle portait. C’était une culotte brésilienne noire en dentelle, un vrai régal.
Voilà ! dit-elle toute enjouée. Ça te plaît ?
C’est superbe, tu es magnifique.
Merci, allez à toi maintenant.
J’enlevais entièrement mon pantalon et me mis à genoux, je baissais mon boxer jusqu’aux cuisses et libérait mon gourdin tendu sous les yeux de Léa, qui ne ratait rien du spectacle. Elle brisa le silence de manière à détendre l’atmosphère.
Whaou ! Eh bien, félicitations, mon cher Théo, dit-elle sur un ton légèrement hautain, vous avez là un bel instrument.
Merci ma chère Léa, je suis ravi qu’il vous plaise.
Ha ha ha, nan, mais sans rire, j’en ai pas vu des tonnes, mais je suis un peu impressionnée. Et tout ça grâce mes strings ! J’y crois à peine.
Voilà l’effet que ça me fait.
Léa était toute contemplative. Elle donnait l’impression de ne pas en avoir vu beaucoup. Pourtant je ne suis pas mieux ou moins bien gaulé qu’un autre je pense, mais à ce moment-là, il faut reconnaître que j’étais en pleine excitation comme rarement.
Alors ? Elle te plaît, lui dis-je tout fier.
Elle est toute belle, bien tendue, très excitante en fait. Tu voudrais pas te toucher un peu pour moi s’il te plaît ?
Comment ça ?
Rhoo, fais pas l’innocent, c’est juste pour voir un peu.
Je veux bien, mais j’ai droit à quoi en échange ?
Malgré nos âges adultes, j’avais l’impression de me retrouver 6 ans en arrière. 2 ados qui ne savent pas comment s’y prendre avec le sexe opposé. Nous avions tous les deux eu nos 1eres expériences de notre côté, mais là, c’est comme si on avait de nouveau 15 ans. Léa me répondit :
Écoute, vu que t’aimes bien ça, si tu veux, tu peux venir sentir la culotte que je porte.
Directement sur toi ?
Oui, ça te convient ?
Je m’imagine déjà la tête entre ses cuisses.
Ça me va.
Je prends ma queue entre 2 doigts et commence à me caresser tout doucement. Léa a les yeux rivés sur ma verge, comme si elle voulait ne rien manquer. Moi, je continue à me toucher en pensant à tout ce que je pourrais faire pour elle. Au bout de quelques instants, je lui rappelle à sa promesse.
C’est ton tour maintenant.
Bien sûr Théo.
Léa s’assied sur le bord du canapé et écarte ses jambes.
Allez viens. Approche-toi.
J’approche mon visage de son entrejambe et commence à respirer ses doux effluves. Je n’ai pas beaucoup d’expérience, mais il me semble bien reconnaître l’odeur de la mouille.
Tu sens bon, Léa.
Merci Théo, ça te plaît alors ?
Oui beaucoup.
C’est mieux que mes culottes ?
Là, c’est différent, je sens une autre odeur.
C’est parce que voir ta queue m’a toute excitée, je commence à mouiller.
Sur ces paroles, elle commençait à se caresser à travers sa culotte, de mon côté j’avais le nez collé à elle et la main qui continuait à faire ses va-et-vient sur ma tige. Qu’est-ce que c’était bon ! Je ne voulais en aucun cas que ça s’arrête.
Et sinon t’as déjà fantasmé sur moi avant ? me demanda-t-elle.
Euh oui, quelquefois.
T’as déjà rêvé d’avoir ta tête entre mes cuisses ?
Mmm oui…
Ça t’excite encore ?
Carrément.
Tu me fais voir encore un peu ta queue ?
Bien sûr Léa, tout ce que tu veux.
Je m’écarte un peu du canapé et lui montre ce qu’elle désire. Elle est subjuguée par la dureté de l’engin.
C’est un peu de liquide que tu as au bout là ?
Oui effectivement.
J’ai jamais vu ça comme ça… je peux toucher ?
Bien sûr.
Léa pris un peu de liquide pré séminal sur le bout de l’index et le porta à sa bouche. J’étais stupéfait de la voir faire ça.
Continue de te caresser, j’adore ça, me fit-elle.
D’accord, mais tu enlèves ta culotte alors.
Mmmm d’accord, ça doit faire longtemps que t’attends ça non ?
Grave.
Tu t’es imaginé ma chatte combien de fois ?
Plein de fois.
Léa retira sa culotte et me laissa admirer ce bijou que j’avais imaginé des centaines de fois et je ne fus pas déçu de ce que je voyais. Une chatte bien épilée, les lèvres bien ouvertes.
Qu’est-ce qui te ferait plaisir Théo ?
Je sais pas, j’ai tellement de choses en tête à la fois.
Tu veux continuer de te caresser ?
Oui.
T’as déjà fantasmé sur le fait de te masturber sur moi ?
Oh oui, plusieurs fois.
Ça m’excite de te voir comme ça, approche-toi plus près avec ta queue.
Je m’avance vers le canapé, à genoux, le gland pointant vers le vagin de Léa
Tu vas continuer à te branler, si tu veux. Tu peux même de branler sur ma petite chatte.
Me branler sur ta chatte ?
Oui, ça te tente ?
Bien sûr.
Viens alors, j’ai envie de sentir ta queue se frotter contre mon minou.
J’avance mon bassin et approche mon gland de ses lèvres. Je le fais glisser au milieu et remonte titiller son clitoris.
Mmmm, oui c’est bon Théo, continue… Qu’est-ce que ça te fait d’avoir ta queue contre moi ? Ça t’excite ?
Ça m’excite grave. Ça fait des années que je me masturbe en pensant à toi, à ta petite chatte que j’imagine toute serrée.
Continue s’il te plaît j’adore, tu me fais vraiment mouiller, tu sais.
Toi aussi tu m’excites beaucoup, j’ai tellement imaginé ce moment-là.
Qu’est-ce qui te ferait plaisir de me faire, petit cochon ?
Oh Léa, j’ose à peine te le demander.
Vas-y, n’aie pas peur, dis-moi ce que t’aimerais me faire. Dis-moi ce que tu as pensé à me faire en te caressant.
J’ai envie de jouir sur toi !
Ah ouais ? Ça te plairait ? Eh ben tu sais quoi, moi j’ai envie de voir ton jus sur ma chatte.
Oh Léa, je vais plus tenir longtemps…
Mmmm… oui… c’est bon, tu peux éjaculer sur moi si tu veux. Mets tout ton sperme sur mon minou, lâche-toi. J’ai envie de te voir jouir entre mes cuisses.
J’étais au taquet, je faisais glisser ma queue et sentais mon gland à l’entrée de son vagin, et l’entendre parler comme ça me fit basculer.
MMM Léaa… haaann… mmm, je viens… je vais tout lâcher sur toi. Regarde mon jus… Haaaaaaaaaa !!
Mmm oui c’est bon ça !
J’explosais littéralement sur elle. Je déversais mon jus sur son clito, mon sperme dégoulinait le long de ses lèvres, j’étais repu et n’en croyais pas mes yeux de ce qui venait de se passer.
Je n’avais plus qu’à contempler mon uvre, je fis glisser mon gland une dernière fois entre ses lèvres et sur son bouton, comme pour profiter un maximum de la situation et assouvir à fond le fantasme.
Essoufflé, je m’asseyais à côté de Léa qui prit ma queue dans sa main pour lui donner un ultime massage.
Eh bien, je vois que t’en avais bien envie, me dit-elle.
J’ai pas pu résister longtemps, tu m’as tellement excité.
Contente de t’avoir fait plaisir, je vais aller me laver un peu maintenant, j’ai le minou tout collant avec tes bêtises.
Léa repartit vers la salle de bain non sans ajouter :
Rhabille-toi, on a encore des cartons à vider.
Ça marche.