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Ma cliente – Chapitre 2

Ma cliente - Chapitre 2



J’avais tout donné, j’étais tellement excité que cette chevauché m’avait épuisé.

— Je suis crevé, il faut que je reprenne mon souffle. En attendant, toi tu vas au coin: debout face au mur, et je ne veux pas t’entendre.

Elle m’obéit sagement comme une écolière punie. Je la laisse comme ça quelques minutes, puis il me vient une idée:

— J’ai soif. Il y a un distributeur de boissons à l’accueil de l’hôtel. A cette heure ci il n’y a personne mais on peut ouvrir avec la clef de la chambre. Va donc me cherche quelque chose.

Sophie se retourne en silence et attrape ses vêtements au pied du lit.

-Qu’est-ce que tu fais là? Je ne t’ai pas dis de te rhabiller! Si tu as froid tu peux mettre tes chaussures.

-Mais…

Elle blêmie en me regardant, j’ai peur d’être allé trop loin par rapport à ce qu’elle peut accepter.

— Si tu préfères tu peux te rhabiller et aller directement à ta voiture, mais après ce que tu as déjà fait ce serait dommage de te faire virer demain matin.

Elle marque un temps d’arrêt, puis enfile ses chaussures et se retourne vers la porte.

— Attends, tu peux mettre ton chemisier. Je ne voudrai pas que tu prenne froid finalement.

Et c’est donc en chemisier, mais le cul nu, qu’elle sort de la chambre et se dirige vers l’accueil, le visage écarlate. Je la regarde par la fenêtre traverser le parking désert en courant avant de tourner au coin du bâtiment. Pendant que j’attends son retours j’entends un bruit venant de la chambre d’à côté: quelqu’un prends une douche. Et si j’entends aussi bien l’eau couler, notre petit manège n’a pas pu passer inaperçu de l’autre côté du mur! J’imagine bien un représentant de commerce quinquagénaire se branler en nous écoutant.

Sophie revient à bout de souffle, moitié çà cause du sprint qu’elle a fait, moitié à cause de la honte. Elle me tends une bouteille de soda en plastique que je bois en imaginant à quoi cette accessoire pourrait bien me servir dans un futur très proche. Mais en attendant j’ai une autre idée.

— On a un voisin. Je crois qu’il sort de la douche. Tu devrait aller t’excuser pour le bruit qu’on a fait, et le prévenir qu’on va recommencer, alors si ça le dérange il ferait mieux de changer de chambre. Allez!

— Dans cette tenue?

— Bien sûr! On a du le déranger, il faut bien qu’il ai une petite compensation.

Ses jambes tremblent tellement que j’ai l’impression qu’elle n’arrivera pas jusqu’à la chambre d’à côté. Je laisse la porte entrouverte pour surveiller la conversation. Sophie frappe à la porte, très délicatement d’abord, puis plus fort à ma demande. J’entends des pas au travers du mur, puis un bruit de verrou et la porte s’ouvre. Sophie se retrouve dans un rectangle de lumière, ses mains tirent sur son chemisier pour tenter de masquer son sexe fraîchement rasé. Elle fait soudain un pas en arrière, un masque de surprise sur son visage, elle se retourne vers moi. Je lui fais signe de parler, elle se tourne vers son interlocuteur et présente ses excuses pour le bruit. Je n’entends pas la réponse, mais la porte finit par se refermer, et Sophie revient rapidement dans la chambre. Éberluée elle me dit

— C’est une femme!

— Sans blagues? Et qu’est-ce qu’elle a dit?

— Que si je crie encore une fois aussi fort elle viendra elle même me mettre son pieds au cul.

— Ben voyons! Et sinon elle est mignonne? Elle est comment physiquement?

— Plutôt petite, grassouillette, brune avec des cheveux courts et de grosses lunettes.

— Bon, en attendant on n’est pas là pour faire la causette, je me suis assez reposé comme ça. Ouvre ton chemisier et met toi à quatre pattes sur le lit, on va commencer par une levrette.

Comme elle en a maintenant prit l’habitude Sophie se soumet totalement. Elle se tait, baisse le regard, déboutonne son chemisier et monte lentement sur le lit, passive, en attente. Pendant ce temps là j’enfile un préservatif, puis je m’installe à genoux derrière elle, je caresse un peu ses fesses, puis le passe mon gland le long de sa fente, quelques allers-retours avant de la pénétrer lentement. Je profite de chaque seconde, égoïstement concentré sur mes propres sensations. Une fois planté jusqu’à la garde je ressort complètement de son sexe avant de recommencer mon manège deux ou trois fois. Puis j’accélère le mouvement, je la pistonne vraiment. A chaque coup de boutoir sur ses fesses elle lâche un râle profond qui me fait comprendre qu’elle profite aussi de la situation. Le liquide abondant qui dégouline le long de ses cuisses me confirme cette impression. Juste avant de tout lâcher je me plante en elle et j’arrête tout, je ne veux pas jouir trop vite. Je reste dans cette position quelques secondes, et quand je suis sûr de ne pas cracher je recommence à bouger tout doucement. Pour faire durer le plaisir j’entame la conversation.

— Tu as eu beaucoup d’hommes dans ta vie ?

Un peu décontenancée elle ne répond pas tout de suite.

— Quoi ?

— Avec combien d’hommes tu as baisé ?

— Deux. avant vous.

— Oh, c’est bas beaucoup. Et avec des femmes ?

— Non, jamais.

— Tu n’as jamais été attirée par une femme ?

— Si, plusieurs fois, mais je n’ai jamais eu l’occasion.

Je continue à la prendre en levrette, et à chaque fois que je sens arriver la limite je repose une question. Sophie, toujours à quatre pattes, le souffle coupé, le visage écarlate, me raconte sa vie la plus intime.

— Raconte moi ta première fois. Tu avais quel age ?

Elle arque un temps d’arrêt.

— J’avais 22 ans.

— Pas bien précoce ça ! Raconte moi, c’était qui, c’était où ?

— Je ne le connaissais pas, c’était dans un gala étudiant, on avait beaucoup bu. Au milieu de la salle une fille complètement ivre a taillé une pipe à son mec devant tout le monde, on s’est tous mis à regarder, et certains ont crié pour que ça aille plus loin, et puis ça a fini en orgie. Ce gars que je ne connaissais pas du tout est arrivé derrière moi, il m’a soulevé la jupe et baissé la culotte, et puis il m’a pénétrée debout.

— Debout, tient, j’ai jamais essayé. Lève toi, on va reconstituer la scène.

On se lève et Sophie me tourne le dos, le cul bien cambré. Je me plaque derrière elle et je la pénètre d’un coup. Elle pousse un soupir.

— C’est pas mal cette position. En plus ça permet de bien profiter des seins.

En effet je lui malaxe ses seins, je pince ses tétons, ce qu’elle semble apprécier.

— Continue ton histoire. Tu as jouit ?

— Non, il était tellement ivre qu’il tenait à peine debout. Quant il a commencé à jouir il est tombé et a éjaculé par terre.

— Oh, le looser ! Mais ne t’inquiète pas, cette fois tu vas prendre ton pied.

Pendant que ma main gauche continue de malaxer sa poitrine ma main droite descend sur son sexe, je le flatte un peu, je titille son clitoris. Toujours collé dans son dos je lui embrasse même le cou, une petite marque d’affection dans cette soirée de domination. A force de lui branler le clito elle jouit en criant très fort. Ses jambes en tremblent tellement qu’on manque de tomber tous les deux. Je la place alors face au mur pour qu’elle y prenne appui des deux mains, j’agrippe ses hanches, et je commence à la tamponner de plus en plus fort, à grands coups de bassin. Elle crie à chaque coup, elle jouit plusieurs fois avant que je sente moi-même la sève monter. Je me retire brusquement, la force à s’agenouiller devant loi en la tenant par les cheveux, j’arrache mon préservatif et je plante ma bite dans sa bouche juste au moment de tout envoyer. Elle a un haut le cour lorsque le premier jet atterrit loin dans sa gorge, mais elle avale les saccades suivantes. Je maintiens sa tête contre mon ventre même après avoir fini d’éjaculer, jusqu’à ce que mon sexe soit au repos et bien propre. Je recule de deux pas pour m’asseoir sur le lit quand on reflet attire mon attention : notre voisine était collée à la fenêtre en train de se rincer l’oil ! Prise la main dans la culotte elle part en courrant se réfugier dans sa chambre.

Sophie est toujours à genoux, un peu de sperme a coulé sur son menton. Elle ne semble pas avoir remarqué la voyeuse. Je lui ordonne de rester par terre comme une chienne pendant que je vais parler à notre voisine. Je me rhabille et vais frapper à sa porte. Elle fait semblant de ne pas avoir entendu, mais j’insiste, et elle finit par ouvrir.

— Faut pas vous gêner, ça vous a plu au moins ?

— C’est vous qui faites du bruit ! Vous m’empêchez de dormir avec ce boucan !

Elle plante son regard dans le mien et fait semblant d’être outrée.

— Ben voyons ! Vous ne pouviez pas frapper au mur comme tout le monde ? Je crois surtout que vous vouliez mater, tout simplement. Mais au lieu de vous geler dehors, vous n’aviez qu’à entrer, c’est plus confortable, et puis plus on est de fous.

— Son regard change d’un coup. Je remarque que son pantalon est toujours ouvert, et sa culotte semble trempée.

— Ça vous intéresse de participer ? C’est mieux que de se branler derrière la vitre, en plein vent.

Elle semble réfléchir un instant puis sourit.

— Avec vous non, mais la fille me plait bien.

— Ah OK ! Bon, je veux bien mais si c’est comme ça ça vous coûtera 200? pour une heure.

— 200? !

— Oui, mais elle les vaut bien ! Et je vous offre le peep show dont vous avez déjà profité.

— D’accord.

— Je vous l’envoie. Vous pouvez en faire ce que vous voulez, du moment que c’est sans violence.

— OK

Elle sort deux billets de 100? de son portefeuille et me les tends. Tout bénef pour moi, je gagne encore un peu d’argent et je vais avoir une pause pour me remettre en forme. Je retourne dans notre chambre.

— Sophie, puisque tu es une chienne en chaleur et que tu n’as pas assez d’argent pour me payer, tu va faire un peu la pute pour moi. Ta première cliente t’attend dans la chambre à côté.

Je m’attendais à une réaction de refus de sa part, mais étonnement il n’y en eu aucune. Résiliée ou soumise elle se contentait maintenant de suivre scrupuleusement mes directives, comme une marionnette. Elle se lève lentement et sort de la chambre, complètement à poil. Avant qu’elle ne referme la porte je lui dis

— Tu reviens dans une heure, qu’elle ai terminé ou pas.

Je me rends compte à ce moment là que l’isolation phonique est effectivement déplorable. J’entends très bien la porte de la chambre d’à côté s’ouvrir et se refermer, et notre voisine ordonner à Sophie de se mettre à genoux pour la lécher. Puis ce ne sont plus que des murmures, entrecoupés de temps en temps d’un cri de jouissance.

Je m’allonge sur le lit et m’endors profondément. Une heure plus tard je suis réveillé par la sonnerie de mon téléphone que j’avais programmé. Sophie n’est pas rentrée, et j’entends des soupirs à travers le mur. Par curiosité je sors discrètement de la chambre pour aller jeter un oil par la fenêtre d’à côté. Les deux femmes sont sur le lit, en 69, sur le côté. Je prends quelques photos sympas, puis je rentre d’un coup dans la chambre.

— OK, on arrête là, ça fait une heure.

La voisine lève la tête en criant

— Non, pas maintenant ! Encore un peu !

— Alors ça fera encore un peu d’argent !

— Mais je n’ai plus rien sur moi ! Allez, s’il vous plait !

— Ben voyons ! On s’était mis d’accord pour 200? pour une heure, pas pour la nuit complète ! Je n’ai pas amené ma chienne ici pour qu’une autre en profite gratuitement ! J’avais besoin d’un peu de repos, maintenant je suis en pleine forme, donc c’est fini pour toi. A moins que tu ai quelque chose d’autre à me proposer en paiement.

Cette idée m’est venue en regardant le cul grassouillet de cette petite femme en train de manger la chatte de Sophie. Je n’ai jamais eu de plan à trois jusque là, et l’occasion fait le larron.

— Ah, non ! Je suis lesbienne, j’aime pas les hommes.

— Alors au revoir.

La voisine panique.

— Attendez ! Si vous restez à côté, pour regarder, ça va ?

— Non ! Je ne suis pas un voyeur comme toi ! Et puis tu penses vraiment qu’un homme digne de ce nom peut rester sans bouger pendant que deux femmes baisent devant lui ?

Pendant tout ce temps Sophie continue de lui bouffer la chatte, et à en juger par ses réactions elle semble apprécier vraiment.

— C’est soit avec moi, soit sans toi. A toi de choisir, mais décide toi vite.

Les coups de langue de Sophie lui arrachent un cri. Puis, les yeux fermés, elle replonge la tête entre les cuisses de ma chienne en basculant sur le dos. Qui ne dit mot consent ! Je sort mon sexe déjà bien bandé de mon pantalon, contourne le lit enjambe les deux femmes. La croupe de Sophie s’offre à moi, je pénètre son sexe pendant que l’autre femme lui lèche le clitoris. De temps en temps je sens sa langue glisser sur ma bite, comme par erreur, mais de plus en plus souvent. J’ai les mains agrippées aux hanches de Sophie, je la travaille lentement mais en profondeur. Soudain je quitte son sexe et ma tige glisse le long de ses lèvres, entre son sexe et la langue de la voisine. C’est alors que celle-ci me gobe littéralement. Pour quelqu’un qui n’aime pas les hommes, elle apprend vite. Mon sexe doit avoir le même goût que celui de Sophie. Pour faire durer ce plaisir je « trempe » régulièrement mon sexe dans celui de Sophie avant de revenir dans la bouche en dessous. Je profite que la voisine ait la bouche pleine pour demander à Sophie de lui doigter l’anus, ce qu’elle fait immédiatement. Notre voisine qui cherchait juste un hôtel tranquille et pas cher pour passer la nuit se retrouve ainsi avec une langue dans la chatte, un doigt dans le cul et une bite dans la bouche. Elle jouit tellement fort que si il y a d’autres clients ils doivent être tous au courrant, même dans le bâtiment d’en face. Ne voulant pas jouir tout de suite moi aussi je me retire un instant, et pendant que les filles passent l’une par-dessus l’autre je les contournes pour me retrouver devant un cul énorme et appétissant. Tandis que Sophie continue à affairer sa langue dans sa chatte, je m’occupe de sa rondelle. J’y plante d’abord un doigt, lentement. Elle tortille du bassin, visiblement elle apprécie. A l’autre bout du lit ma chienne reçoit elle aussi plusieurs doigts dans son anus. Je plante un second doigt dans cet anus si étroit, pendant que Sophie mordille son clitoris, ce qui lui procure un orgasme immédiat.

Quand j’estime qu’elle est prête j’enfile un préservatif et présente ma bite devant son cul. Au moment où Sophie lui mord le clitoris je pousse d’un coup de bassin et mon gland passe le sphincter dans un hurlement. Je m’enfonce progressivement dans son cul, jusqu’à la garde, et Sophie me lèche les couilles. Puis tout tourne à l’euphorie collective : je ramone de plus en plus vitre ce cul généreux pendant que Sophie lui fouille la chatte avec sa main, tout en aillant de l’autre côté plusieurs doigts dans le cul. Je crois qu’on a jouit tous les trois ensembles, très fort, très bruyamment, avant de rouler sur le lit, complètement à bout.

Quand je me suis réveillé il faisait jour, notre voisine anonyme avait disparu, et Sophie dormait en boule au pied du lit. J’ai récupéré mes affaires discrètement sans la réveiller, et je suis parti en emportant sa culotte en souvenir.

Trois jours plus tard elle m’appelle au téléphone :

— Espèce de salop, je sais que je ne vous ai pas envoyé ce mail, je viens de m’en rendre compte ! Vous allez me rendre mon argent et je vais vous le faire regretter, je vais porter plainte !

Calmement je réponds

— Je sais que je n’ai pas reçu ce fameux mail, mais je ne pouvais pas laisser passer l’occasion. D’un autre côté, maintenant j’ai plusieurs films et de très jolies photos de toi avec une brosse a chiottes dans le cul, ou encore en 69 avec une camionneuse. La résolution n’est pas terrible mais on te reconnaît bien. Et comme j’ai aussi les mails et les téléphones de tous tes patrons, on se retrouve dans la même situation que l’autre jour : ou tu obéis, ou tu te fais virer.

Elle marque un long temps d’arrêt, puis j’entends dans un souffle

— J’arrive.

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