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Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel – Chapitre 2

Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel - Chapitre 2



On approche du lundi, et j’appelle Anne-laure le week-end pour m’assurer que ça tient toujours. Elle attend ça avec impatience, et on planifie notre journée.

Je suis chez elle à 9h, comme il y a huit jours, et on se fait la même séance matinale: elle me fait une pipe, me pompe à fonds et avale. Je lui bouffe ensuite la chatte, le temps de rebander, puis on baise longuement et on se finit en 69 juteux et liquoreux. Un petit câlin, on déjeune, et nous voilà en début d’après midi.

On a complété chacun notre liste détaillée de tout ce que l’on peut se faire. On va maintenant comparer les réponses, les commenter éventuellement, mais en cas de différence en aucun cas l’un n’essaiera de persuader l’autre de changer d’avis: on respecte le choix négatif.

On a tout détaillé, ce qu’un homme peut faire à une femme, ce qu’une femme peut faire à un homme, avec pour les deux le recours à des sex-toys. Puis on rajouter des extras, dont certains assez hard:

— l’amour à trois, avec un gars ou une fille, hétéro, bi, gay, lesbienne.

— les partouzes avec un grand nombres de partenaires, de toutes les tendances.

— les mots vulgaires, les obscénités, les insultes, les injures.

— les plans pisse, la zoophilie, l’inceste, l’amour pendant les règles, le sm.

— Caresses, baisers, fellation, cunnilingus, pénétration vaginale, insultes et obscénités, on est d’accord sans surprise.

— Que je la sodomise, on est d’accord tous les deux, j’en suis ravi, mais m’étonne puisqu’elle a refusé mes premières tentatives. Elle m’explique qu’elle ne s’est jamais faite sodomisée, et que son petit trou ne connait que son gode depuis peu de temps, depuis notre correspondance virtuelle. Son gode est moins large que mon sexe, et elle souhaite commencer en douceur.

— Qu’elle me sodomise avec un jouet, j’ai mis oui et elle non. C’est à son tour de s’étonner, et je lui explique que j’aime me fouiller, me fourrer des manches de tournevis, et que si elle avait voulu j’aurais été d’accord. Du coup elle revient sur son choix et je la remercie. Par contre, contrairement à moi, elle ne se voit pas me bouffer le cul.

— L’amour à trois, et à plus forte raison les partouzes, on a mis non tous les deux, mais pas pour les mêmes raisons. Pour elle c’est juste que l’amour se pratique à deux, en intimité. Pour moi c’est juste la peur de tomber sur un(e) partenaire mieux que moi, et qu’elle me laisse tomber, me remplace.

— Un plan pisse: on a mis oui tous les deux, et on s’étonne, on rigole, de notre audace. On ne connait ce plaisir qu’en solitaire, moi depuis des années, elle tout récemment. Décidément nos échanges l’ont bien dévergondée.

— L’inceste: on a mis non tous les deux. Je lui parle d’une nièce qui a trente ans et que j’aimerais bien me faire, mais ça ne restera que du fantasme. Elle me dit que ça lui fait penser à quelque chose, mais ne veut pas m’en dire plus; peut-être un jour, il faut qu’elle y réfléchisse.

— L’amour pendant les règles: j’ai mis non et elle oui. Elle ne l’a jamais fait, mais avec nos histoires ça lui a donné envie d’essayer, surtout qu’elle se sent bien chaude dans cette période. Je la sens un peu déçue, et pour lui faire plaisir je change mon "non" en "oui". Elle me remercie, m’embrasse, et revient sur sa décision de ne pas me brouter le cul.

— Zoophilie, sm, on a mis non, sans commentaire.

Au final, en dehors d’une baise classique que l’on se fera tous les lundi matin, il nous reste pas mal de possibilités pour les après midi. On reprend notre liste dans l’ordre, et on va prendre le temps de tout exploiter, sans se précipiter, le meilleur étant l’attente.

On va commencer par la sodomie. On va déjà s’exhiber, montrer comment on se gode en solo. C’est elle qui commence. Elle a pris son gode, et on se retrouve à poil au salon. Elle est dans son fauteuil, cuisses relevées sur les accoudoirs, et commence ses pénétrations. La bouche d’abord, puis la chatte, la bouche, la chatte,………….et enfin le cul. Elle a oublié ma présence, a les yeux fermés, gémit, jouit. Son gode fin s’enfonce dans son fion, puis elle le retire, n’hésite pas à le sucer avant de le remettre en place. Elle se gode l’anus d’une main, et se masturbe la chatte de l’autre. Je suis émerveillé par le spectacle et m’assois par terre, entre ses jambes, pour mieux en profiter. Ma main saisit son gode, et elle l’abandonne. C’est à mon tour de le faire aller et venir dans son tube, et de le retirer pour le sucer, avant de lécher son illet. Elle a ouvert les yeux, me voit faire, et me traite de cochon, de vicieux, pour mon plus grand plaisir. Je m’amuse encore quelques instants avec son jouet, puis c’est à mon tour de m’exhiber.

Je n’ai pas mes tourne vis et elle me prête sa fausse bite. J’ai l’habitude de me fouiller devant une glace, et on va à la salle de bain. Je peux me voir jusqu’à mi cuisses, comme chez moi, c’est parfait. J’ai un pied au sol, et pose l’autre à côté du lavabo pour avoir les cuisses bien ouvertes. Je me fais un doigt d’honneur, le suce, puis me l’enfile direct dans le cul, sans hésiter. Elle s’est amusée en silence, à part ses gémissements; moi par contre je me parle: "Oui, vas-y Eric, vas-y mon salaud, fais toi du bien". Je retire mon doigt, le suce, puis m’en mets deux, les suces, puis trois. Je prends maintenant son gode pour me l’introduire profond. Je me parle encore: "Oh, c’est bon Eric, quelle salope tu es, tu aimes ça mon enculé……"

Anne-laure s’est accroupie pour mieux me voir, puis elle se saisit de son joujou. Elle me matraque d’une main, et me caresse les couilles, me branle le manche de l’autre. Je trique comme un âne, j’ai envie de sa bouche autant que sa bouche a envie de ma queue. Je lui propose de me pomper devant la glace, chose que j’adore et qu’elle n’a jamais fait. Elle est d’accord et je vais chercher une chaise. Je monte dessus, elle est debout devant moi, se met à la bonne hauteur, et on va pouvoir se regarder dans le miroir. Je lui dis d’imaginer qu’elle regarde un film X, un film que j’ai déjà vu et que je vais lui commenter: elle va s’adapter à mes paroles pour ne pas démentir mon scénario. Attention, c’est parti:

"Regarde comme c’est beau ce couple. J’ai longtemps cru que les jeunes qui pompaient des vieux le faisaient pour le fric, ces putes. Mais non, elles font ça juste pour le plaisir. Ce sont des salopes, des vicieuses, et celle la c’est la pire de toute, une vraie chienne. Regarde comme elle le pompe ce gros porc, je peux te dire qu’elle aime la queue celle la. Cette pipe! cette pipe qu’elle lui fait. J’aimerais être à sa place, me faire turluter par cette belle cochonne. Ouah, comme elle lui bouffe les couilles, elle a faim cette putain, et je suis sûr qu’elle a soif aussi……………………"

Je lui raconte la fin et on fait comme prévu. Elle me taille une pipe de rêve, me fait monter la sauce. Je vais jouir, et elle se recule légèrement, bouche ouverte, langue sortie. Elle se regarde dans la glace, alors que je fixe sa bouche pour ne pas rater l’ouverture. Je viens, j’éjacule, je décharge:

— Regarde toi salope, regarde comme je te remplis de mon foutre. Tu vas tout boire putain, comme une bonne vides couilles que tu es………………..

Elle avale tout, je descend, la serre dans mes bras et m’excuse pour mes mots, lui dis que ce n’est qu’un jeu. Elle ne m’en veut pas, c’est ainsi qu’elle le prend, et à l’occasion elle saura m’insulter grave elle aussi.

Notre journée est finie, mais avant de partir on va programmer le lundi prochain. On veut se faire sodomiser tous les deux, elle par moi et ma grosse queue, moi par elle et son futur gode ceinture. Elle a peur de mon calibre, pourtant pas énorme, et je ne sais ce qu’il me faut pour mon petit trou. Du coup on décide de faire un essai, avec des fruits ou légumes, pour se mettre en confiance et ne pas faire de dépense inutiles. Elle doit faire des courses et je l’accompagne. On ne va rien acheter de suite, je les prendrais au dernier moment, mais c’est juste pour se faire une idée. On regarde un peu tout, carottes, navets blancs, courgettes, bananes, et puis on a un coup de cur tous les deux: des poireaux. Des poireaux magnifiques, de tous les calibres, de son gode étroit jusqu’à faire pâlir ma queue de jalousie. On s’entend sur ce que je prendrais pour notre prochaine rencontre, et je la quitte avec une bise discrète.

A suivre…………………

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