Mon prénom est Jordy, j’ai 20 ans, je vis depuis toujours dans le sud de la France, du haut de mon petit 1,75 m j’ai une silhouette moyenne mais assez musclé (65kg) je suis brun, la couleur de mes yeux vire du gris au vert, j’ai le teint plutôt blanc.
Elle c’est Mélanie, ma cousine, quelques mois à peine de plus que moi, brune au teint mat, visage d’ange avec un corps de rêve, 1.60m pour 50 kg, une poitrine généreuse (95c) et un jolie petit cul bombé.
Mélanie et moi étions très proche, nous sommes resté deux bonne années quasiment inséparable.
A ses yeux les meilleurs amis qui soit, mais de mon coté, au plus profond de moi, j’étais carrément fou d’elle.
Ceci c’est révélé lorsque une jalousie est née envers mon meilleur ami, quand elle m’avait part qu’il se passait quelque chose entre eux.
Bizarrement, je me suis senti comme trahi, comme si on me la prenait, elle qui était si chère à mes yeux.
Mais j’ai gardé cette souffrance en moi et laissé faire le temps.
Bien sur l’histoire avec mon frérot (comme je l’appelais), à vite pris fin, Mélanie m’avait juste avoué qu’il lui avait pris sa virginité.
J’étais devenu carrément fou !
A partir de ce jour ci, Mélanie venait à me parler souvent de sexe et de ses nouvelles expériences. J’ai fini par lui avouer que de mon coté j’étais toujours puceau et que ses histoires me donnait vraiment envie de goûter à ces plaisirs.
A ma grande surprise, d’une façon assez inattendu, elle pris ma main et la glissa sous son pull.
On devait avoir une quinzaine d’année à ce moment, mais elle était déjà bien équipé la louloute.
Mon cur battait à 100 à l’heure ! je tenais le sein de ma cousine dans ma main ! de plus c’était la première foi pour moi.
Je perdis un peu mes moyens, Mélanie le remarqua de suite, et fini par me dire un peu gêné mais en riant :
" ah vous les mecs, vous ne savait pas contrôler vos émotions ! si tu veut pour te calmer je te branle, mais pas plus. Mais vu ton état tu éjaculera juste au moment où mes doigts attrapera ta bite". (elle ne devait pas avoir si tord que ça)
Et j’ai fait ce que j’ai regretté longtemps après, j’ai refusé! Oui ! Mais comment j’ai pu !? j’étais encore puceau, et je n’ai pas eu le courage d’aller plus loin…
j’ai retenté cette chance plusieurs fois mais en vain…
Les mois passait, et on ne se voyait presque plus.
Elle eu une relation sérieuse avec un jeune homme de son âge, et la même chose de mon coté.
200 km entre elle et moi, depuis mes 18 ans j’ai du la voir à peine 4 fois.
Puis un beau jour ! (20/12/12) en pleine journée de taf, une qui aurait été parmi tant d’autres, si ma belle cousine ne m’aurait pas envoyer un sms.
Elle me réclama des nouvelles puis savoir se que je faisais pour le réveillon de Noël.
J’y ai répondu ironiquement, " ça dépend de pourquoi tu me pose cette question ?" . Après m’avoir blagué sur ma réponse, elle m’appris qu’elle ne faisait rien ce jour là et qu’elle aimerait me voir.
J’ai donc annulé tout mes projets pour être entièrement libre se jour ci.
Le 24 au soir, en rentrant du boulot, je fit un détour chez mes parents, je savais que je l’a retrouverai là bas.
Ce qui était le cas, Mélanie était là, elle discutait avec ma mère, puis en me voyant elle c’est jeté dans mes bras. A mon plus grand plaisir.
Nous avons passé le début de soirée chez mes vieux, et j’admirais en secret ma belle devenue femme…
Arrivé chez moi, on bu un dernier verre et on à regardé la télévision.
Une fois l’émission fini, une heure à parler du bon vieux temps, de regretter de ne plus se voir, qu’on ne retrouverait jamais les deux ados qu’on était.
On fini bêtement à parler de sexe.
Le sommeil finit par la gagner, elle commençait à s’endormir dans mon salon, sur un matelas que j’y avais installé sur le sol.
Je rejoignait mon lit quelques mètres un peu plus loin, content de l’avoir retrouvé mais un peu déçu, car j’avoue que j’avais vraiment envie d’elle.
D’ailleurs mes envies, c’est elle qui les avait réveillées, elle m’avait chauffé un peu avant que je m’en aille en me disant d’un ton assez ironique, que pour elle les jeune mecs de 20 ans c’était fini que ça tenais pas la route.
J’ai rien trouver de mieux à dire que si elle n’était pas ma cousine je lui aurai fait avaler ses paroles..
C’est sortit tout seul, j’étais carrément dégoûté de ma réponse, car de la façon dont elle me l’as dit, c’était carrément une invitation.
Environ 10 minutes après mettre allongé, je lui ai envoyé " Câlin ?" par texto. Il m’était impossible de m’endormir avec un tel désir.
j’ai entendu son téléphone vibrer, l’entendre s’agiter… Une nouvelle déception commençait à m’envahir, ne la voyant pas répondre.
Elle finit par me dire à haute voix : "c’est toi qui vient alors".
Je l’ai rejoint au plus vite, l’ai pris dans mes bras,et rien de plus pendant 5 petites minutes.
Je fini par sentir sa jambe se frotter contre la mienne. Bête à dire, mais cela ma fait provoqué une érection.
J’ai pris mon courage à deux mains, et j’y ai simplement dit, " je me suis toujours demandé si tu embrasse bien ?".
Et c’est à partir de là que tout à commencer…
Il faisait noir, elle ne prit pas la peine de répondre à ma question, je senti ses lèvres approcher des miennes; mon cur s’emballait, et la nos deux langue rentra en contact. Ce fut un moment magique, pour nous deux.
Nos baisés on perdurais une bonne dizaine de minutes, tout mon corps commencer à s’agiter, mon pénis était plus raide que jamais, j’en avais quasiment mal.
J’ai glissé ma main sous le t-shirt que je lui avait prêté en guise de pyjama, qui lui aller dailleurs bien lâche.
Voyant quel ne refusa pas, je me suis mis à la peloter tout en l’embrassant de plus belle. Quel plaisir, c’est seins bouillonnaient entre mes mains, je ressentais ses tétons durcir.
Elle me serrer de plus en plus sauvagement, sa petite mains se glissa dans mon caleçon et saisi fermement mon sexe.
J’étais aux anges.
Je fit de même avec elles, je laissé glisser mes doigts sur le coté de son string, la fleur était plus que mouillée, j’y pénétra mon index, un paradis chaud et humide s’y trouvait, je fini par lui en enfiler 4 d’une manière assez facile.
Je fini par la dévêtir entièrement.
Après avoir parcouru avec ma langue toute la parti haute de son corps, je senti Mélanie écarter ses cuisses.
Je me rappelle encore la saveur de son jus, il est tellement bon !
Une fois dans l’action elle saisi ma tête afin que je ne puisse m’en allait de cet endroit, me suppliant de continuer.
Ma cousine commença à pousser des soupirs de plaisir de plus en plus fort, je lui dévorais ça chatte comme jamais, ça aurait pu durer des heures, mais elle fini par me lâcher.
Elle me pris la bouche une nouvelle foi, encore et encore des baisés.
Mélanie me plaqua sur le dos, et là me dévora à son tour le corps de sa langue, jusqu’à que celle ci finit par caresser le bout de mon gland.
Elle qui c’est toujours venté d’être "une reine de la pipe".
Holala ! elle disait vrai, personne ne m’as jamais fait de fellation aussi parfaite, un moment j’ai cru que j’allais plus tenir, j’étais au bord de tout envoyer, mais miraculeusement je repris le contrôle.
La fellation terminé, je n’ai pu m’empêcher de retourner manger son abricot, on finit donc par faire un bref 69, elle dessus moi, mon nez dans son cul que j’y dévorais de plus belle.
Elle se releva et se retourna sur moi, j’ai eu droit encore à un savoureux baisée…
Je senti qu’elle cherchait son trou avec mon pénis, jallai enfin baiser ma tendre cousine, après toutes ces années d’attentes !
Toujours dessus moi, ma queue dans elle, on commença à lui faire faire des mouvements de va et vient, j’ai cru que j’allais exploser.
Je lui fit ralentir la cadence, elle m’as même menaçai de m’étripai si je terminais maintenant, ça m’as excité encore plus, mais je ne pouvais pas la décevoir !
J’ai donc fait ce que j’ai pu pour la satisfaire, j’étais obliger de ralentir les mouvements assez régulièrement quand je sentais la sauce monter.
On a quand même pu faire quelques positions différentes.
Heureusement pour ma misérable fierté !
Enfin, elle se mis en levrette et me dit toute essoufflée :
"donne moi tout ce que t’as et fini en moi chéri".
Je l’ai donc attrapé tel une chienne, l’entendre crier n’as fait qu’abréger l’action, je fini par verser toute ma semence en elle, j’ai cru que s’en finirai jamais de jaillir…
(…)
Une foi tout les deux dans mon lit, elle me demanda si je regrettais ce qu’on venait de faire.
J’y ai fait comprendre que non avant de lui retourner la question.
Elle me dit juste, "tu verra bien si demain avant de se lever je te chevauche à nouveau, la nuit me fera réfléchir" (…)
On chercha le sommeil après un court baisée…