Je mappelle Léo. Août 2003, la canicule, vous vous rappelez? Moi, je ne suis pas prêt de loublier. Je venais davoir dix sept ans. Au vu de mes résultats scolaires, mon relevé de notes venait darriver, jallais être obligé de redoubler ma première. Il est vrai que je nétais pas un bourreau de travail en classe, surtout en Anglais, où ma moyenne de 1,5/20 ne relevait pas un niveau déjà peu brillant dans les autres matières.
Pour me punir, au lieu daccompagner mes parents sur la côte dazur, mon père avait décidé que les mois de juillet et daoût seraient studieux et que je séjournerais chez tante Mary à Falmouth sur la côte sud est du pays. Tante Mary est la sur jumelle de ma mère. Depuis une douzaine dannées, elle a épousé en seconde noce, John, un fonctionnaire des impôts. De son premier mariage, avec un bon à rien qui la battait, elle a eu Rose, ma cousine dun an plus jeune que moi. Elle a donc suivi son second mari en Grande Bretagne et ne revient que pratiquement jamais en France. Jai comme souvenir delle et de son mari, la ressemblance étonnante quelle a avec ma mère et la silhouette filiforme de John. Quant à Rose, jai en mémoire, une fillette blonde, aux yeux bleus et au sale caractère. Rose et sa mère sont, elles parfaitement bilingues et ma cousine, bien plus en avance que moi sur le plan des études, doit entrer à juste ses seize ans en première année de faculté de médecine. Je ne mattendais donc pas à un accueil délirant de la part de cette famille éloignée que je navais pas vue depuis au moins cinq ans. Le samedi 5 juillet 2003, le train venant de Londres me déposa donc à Falmouth. Un rapide trajet en voiture nous mena à une petite maison que ma tante occupait pour les vacances. Bizarre cette maison. Construite toute en hauteur, elle comportait au rez-de-chaussée une salle de séjour, une petite cuisine et la chambre des époux. Au premier, à gauche sur le palier, la chambre de « mademoiselle Rose » et la salle de bain au fond du palier. Moi, jétais relégué au second, sous les combles dans un coin du grenier sommairement aménagé en chambre. Jy accédais par un escalier en colimaçon, en bois grinçant qui débutait à la droite de la salle de bain, juste après la chambre de Rose. Laccueil fut ce que javais prévu, froid de la part de John, à peine gentil venant de ma tante. Quant à Rose, cest tout juste si elle daigna prononcer un « nice to meet you again », ne faisant aucun effort pour utiliser le français.
Le mois de juillet sécoula comme ça, monotone et sans entrain. Javais droit, tous les jours à des répétitions linguistiques de ma tante et si je voulais me promener, il fallait que je demande au fonctionnaire lautorisation de sortir. Une seule fois, Rose maccompagna jusquau bord de la falaise en bas de laquelle une mer grisâtre moutonnait sous les nuages. Arriva août et les grosses chaleurs.
Tous les soirs, je suffoquais dans ma soupente. Une nuit, au cours de laquelle le mercure restait obstinément bloqué au dessus de 25 degrés, je nen pouvais plus. Je décidais de descendre dans la salle de bain pour me passer de leau sur le visage et boire en coup au robinet. Sans bruit, je savais où poser les pieds pour ne pas faire craquer les marches, jatteignis le palier. Cest alors que je me rendis compte que je navais pas pris la peine denfiler un caleçon. Tant pis, nu comme un ver, javançais doucement vers la salle de bain. En passant devant la chambre de Rose, machinalement, je jetais un coup dil. La porte était grande ouverte, sans doute pour avoir un peu de fraîcheur. Les rideaux nétaient pas tirés et la pleine lune éclairait la pièce. Je marrêtai. Rose était allongée au dessus du lit, nue elle aussi. Je pouvais distinguer nettement ses seins qui se soulevaient au rythme de sa respiration, son ventre plat, ses jambes fines et au milieu son sexe que je découvrais avec surprise entièrement glabre.
Je restais là un moment sans respirer à regarder ma cousine et à mimprégner de chaque détail de son corps quand je me rendis compte quil allait se passer quelque chose. Le rythme de la respiration de la dormeuse sétait modifié.le souffle sétait accéléré. La main de Rose descendit le long de son corps, plana un moment au dessus de son tabernacle et se posa sur son sexe.Lentement, la main glissa sur la motte lisse de ses lèvres. Une deuxième main vint rejoindre la première. Cette deuxième main écarta les lèvres du sexe et la première sinsinua dans la fente ainsi découverte. Les cuisses sécartèrent. Je voyais nettement le pouce et lindex gauche faire rouler le clitoris tandis le majeur pénétrait et ressortit en cadence de la chatte. Un léger bruit de succion, chaque fois que le majeur ressortait attestait que la jouissance montait au fur et à mesure que les sécrétions vaginales se faisaient plus abondantes. Entre mes jambes, quelque chose se passait. Mon sexe sétait durci et de la position au repos, il était tout dabord passé à lhorizontale avant de se dresser verticalement. Une érection incontrôlable accompagnait les gestes de ma cousine qui, là en face de moi, se donnait du plaisir.
Un soupir final mannonça lextase. Jallais me retirer le plus discrètement possible quand, soudain dans la nuit, résonna ces paroles.
Alors, cousin, tu mates? Tu sais je ne dormais pas. Je tai entendu descendre.
Estomaqué, je ne savais quoi répondre. Cétait la première fois que Rose employait le français et pour dire quoi!!!
Elle enchaîna
Bon, cest pas tout ça. Maintenant que tu es là et que tu mas vue, entre. Si tu ne veux pas que jameute la maison, entre, répéta t-elle !!
Comme dompté, jobéis. Cest encore Rose qui continua.
Moi aussi, je veux voir. Allez, à toi. Je vois que tu es dans de bonnes dispositions, vas-y à toi. Moi aussi, je veux te voir entrain de te masturber. Fais-le sinon je crie au viol.
Il ne me restait plus quà obtempérer. Jempoignais mon sexe et sans regarder Rose, je mastiquais le gland. Bien vite, jarrivais au résultat final et de grosses coulées de sperme exposèrent. Rose fit alors quelque chose dinattendu. Elle ramassa son slip qui traînait à terre au pied du lit et essuya les gerbes de foutre qui maculaient mon sexe et le couvre-lit. Elle termina alors.
Tu vois, mon string, je le garde. Maintenant, si tu ne veux pas que je taccuse de mavoir sauté dessus, il va falloir faire ce que je te dirai. Tu nen as pas fini avec moi. Tu vas voir. Allez, file. Demain, tu verras il y aura des surprises.
Le jour suivant était un samedi. Au petit déjeuner, Mary annonça quelle devait partir avant midi pour Londres. La mère de John venait de se casser le bras et ils allaient devoir rester avec elle, elle était veuve, jusquau moins le lundi matin, le temps de trouver une aide.
Jespère que tu vas être aimable avec ton cousin. Pourquoi niriez vous pas à la plage. Prenez donc nos vélos et baladez vous.
Ok mum ! Je ferai comme ça.
Vers onze heures John et Mary partirent en voiture. Rose et moi avalions rapidement les sandwiches que Mary nous avez préparés et Rose dit :
Bien, tu te souviens de la nuit dernière ? Alors voici ce que nous allons faire. Je monte me changer, toi aussi. Tu mettras un short et une chemisette. Sous le short, je ne veux pas que tu portes de slip de bain. Cest compris ? Pour ce qui est du reste de la journée, de la soirée et de la nuit, je verrai plus tard.
Dun signe de tête, je marquais mon accord et nous montâmes dans nos chambres. Je redescendis le premier et quelques minutes plus tard Rose me rejoignit, toute de blanc vêtue. Sur son buste, elle portait une chemisette sans manches, boutonnée sur le devant. Les pointes de ses seins qui étaient visibles au travers du tissu léger, laissaient deviner quelle navait pas mis de soutien-gorge. Je me demandais ce que cachait sa jupe en corolle, façon portefeuille, qui sarrêtait quinze bons centimètres au dessus des genoux. Je savais que je nallais pas tarder à être fixé. En vélo, elle allait devoir soulever sa jupe par-dessus la selle, pour ne pas être gênée en pédalant. Dans un petit sac, elle avait roulé deux serviettes de plage. Avant de partir, elle sortit son portable et prononça quelques phrases à toute vitesse. Bien quayant fait quelques progrès en anglais, je narrivais à saisir que deux prénoms, Paul et Paula. Effectivement, je découvris très vite que sous la corolle de sa jupe, il ny avait aucun slip. Comme elle roulait en tête et assez vite, le vent soulevait larrière de son cotillon et la raie nue des fesses attestait sa nudité. Au bord de la falaise, nous déposâmes nos vélos. Un sentier escarpé descendait jusquà une barrière rocheuse. Un passage périlleux entres les rocs ouvrait laccès à une petite crique de sable. Arrivée au ras de leau, le corsage et la jupe tombèrent vite.
Allez, comme moi, à poil !
Je ne pus quobtempérer et bientôt je la rejoignis sur la serviette quelle avait posée à côté de la sienne.
On attend. Jai téléphoné à deux copains. Ils vont arriver dans une dizaine de minutes, me dit-elle sans tourner le tête vers moi.
Sans plus soccuper de ma présence, comme lautre soir, ses mains vagabondèrent sur son corps. Dabord les seins. Elle pinçait les bouts entre ses doigts et très vite, les pointes dardèrent. Puis, les mains descendirent et sattaquèrent à la chatte.
Mets-toi en face de moi. Là, oui là, à plat ventre. Approche-toi, regarde ce que je me fais.
Mes yeux étaient à moins de vingt centimètres de son sexe. Je voyais la fente mince qui devait laisser le passage vers lintérieur de ses lèvres. De deux doigts, elle écarta les bords de sa fente et le petit bouton rose de son clitoris vit le jour. Elle se mouilla lindex et lentement dabord, puis de plus en plus vite, elle se titilla le clito qui enfla et devint plus rouge sous lafflux de sang qui le rendait turgescent. De petits râles séchappaient de sa bouche. Elle allait jouir, quand une voix dit :
Alors, tu prends de lavance. Décidément tu es une vraie salope !
Je levais la tête et je vis un couple debout à côté de nous. Ils avaient lair plus âgés que nous, sans doute pas loin de la trentaine.
Cest Paul et sa sur jumelle Paula, me dit Rose. Comme tu las peut-être entendu tout à lheure, je leur ai demandé de nous rejoindre. Ce sont deux voisins belges venus en Angleterre quelque temps pour affaire.
Sans aucune gêne apparente, les deux nouveaux venus se débarrassèrent rapidement de leurs vêtements. Les T- shirts volèrent par-dessus tête et les shorts glissèrent sur les hanches. Je pus à loisir détailler leurs anatomies. Cétait un « couple étrange ». Paul, taille moyenne, dallure sportive avait le type méditerranéen prononcé, les cheveux noirs et les yeux surlignés dépais sourcils. Il était musclé et entre ses cuisses velues il arborait un sexe qui, encore au repos, était plus gros que le mien quoique plus court. Paula, elle, était châtain clair. Les attaches fines, les jambes minces contrastaient avec une poitrine volumineuse, au moins du 95C, aux aréoles larges et brunes. Le ventre légèrement rebondi et le fessier appétissant complétaient le décor. Quant à son sexe, au contraire de Rose, il nétait pas entièrement rasé. Au dessus de ses lèvres charnues, fleurissait une toison soigneusement entretenue mais très brune, taillée en triangle, à la mode des « maillots brésiliens ». Ce qui surprenait le plus, était que même en labsence apparente dexcitation, le bouton de son clitoris émergeait dentre ses lèvres.
Bon, on y va, déclara Paula ?
Dun bond, Rose fut sur ses pieds. A sa gauche un rocher plat de soixante-dix centimètres de haut lui servit de support. Elle y posa son pied à plat, lautre jambe reposant sur le sable. Dans cette position, elle sinclina en avant et appuya ses deux mains de chaque côté du pied levé, dégageant ainsi son postérieur et sa chatte. Paula se coula, dos contre le rocher entre les jambes de Rose et entreprit une succion clitoridienne, tandis que son indes et son majeur droit partaient à lexploration de lanus, dans lequel après avoir un peu forcé, ils sengouffrèrent. Rose accompagnait les mouvements de sa fellatrice par des mouvements de bassin davant et darrière ainsi que haut en bas pour profiter au maximum de la langue qui lui lapait le clito et des doigts qui lui perforaient le cul. Pendant ce temps, Paul nétait pas resté inactif. Ayant craché dans sa main, il commença à se masturber. Sa bite prit rapidement une taille imposante. Voyant que je restais là, à observer et à ne rien faire, il sapprocha de moi et avec son autre main il menserra le sexe. Cétait la première fois quune main étrangère touchait ma bite et, bien que cette main fût celle dun homme, je commençais moi aussi à bander.
Eh, Paula, retire tes doigts, je vais lenculer cette salope !
Il me lâcha, sapprocha du couple lesbien et le passage du cul de Rose ayant été bien ouvert grâce aux doigts de Paula, il enfourna dun coup sec sa bite jusquau ras des ses couilles dans le cul béant. Il fit rapidement plusieurs aller et retour, ralentissant quand il sentit sa sève monter et accélérant quand il se sentait ramollir. Il ne put cependant durer bien longtemps et sécria.
Vite, les filles, je vais éjaculer.
Le trio se désorganisa rapidement et, les deux filles à genoux devant la bite dressée reçurent sur leurs visages les giclées puissantes que son orgasme expulsait avec violence. Je vis le sperme dégouliner le long des lèvres et des joues de Rose tandis que Paula, avide du sperme fraternel, léchait goulûment les coulées de foutre qui maculait le visage de Rose.
Cest pas tout ça compléta Paula et me regardant. Ce « petiot », on ne va pas le laisser tout seul avec sa bite en lair. Hein !
Restant à genoux, elles sapprochèrent de moi. Ce furent les lèvres de Rose qui, les premières prirent possession de mon engin. Elle sappliquait, enserrant mon gland entre ses lèvres et progressant davant en arrière jusquà ce que mon gland lui touche le fond de la gorge.
Eh, laisse men un peu, réclama Paula en repoussant Rose.
Elle prit sa place et reprit de plus belle sa succion. Je nageais en plein brouillard. Pas habitué à ces pratiques, je ne pus résister longtemps. Un spasme, puis un autre et je me déversais dans la bouche de Paula. Rose sétait rendu compte que je venais déjaculer. Elle demanda :
Navale pas, garde le en bouche, viens et roule moi une pelle que je partage avec toi le sperme de ce puceau. Je suis curieuse de voir quel goût il a.
Paula fit comme on lui demandait. Les deux filles sembrassèrent furieusement, mêlant leur salive et les éclaboussures de sperme qui passaient dune bouche à lautre.
Ce premier intermède terminé, chacun reprit ses esprits. Rose annonça pourtant.
Ça ne fait que commencer. Tu me connais un peu plus maintenant. Eh bien, tu nes pas au bout de tes surprises. Attends-toi à du pas banal !
La chaleur, mon éjaculation, le stress, tout ceci fit que je mendormis sur la plage. Je ne sais pas si vous le savez, mais quand un homme se met à rêver, il se passe quelque chose. Automatiquement, il est en érection. Bien entendu, cela marriva. Jallais manifester que jétais réveillé, lorsquune voix me fit rester sans bouger. Je ne savais pas qui sexprimait, mais cétait une voix féminine.
Mais regardez ça comme il bande !!Qui sen occupe ?
Je reconnus alors la voix de Paula. Je me gardais bien de bouger, restant là, sur les dos, jambes légèrement écartées avec entre les cuisses ce pieu qui me faisait mal à force dêtre dur. Une main sapprocha, entre mes cils encore fermés, je laissais filtrer un soupçon de regard. Cette main plana un instant au dessus de mon phallus turgescent et cinq doigts entourèrent le membre comme pour juger de sa solidité. Ces doigts sagitèrent doucement en ne faisant queffleurer la peau, sans vraiment se livrer à une vraie masturbation. Cétait pire encore. Je faisais des efforts désespérés pour rester immobile. Et toujours cette satanée bite qui me faisait un mal de chien à force dêtre dure.
Quest-ce que tu attends ?
Là, je reconnus la voix de Paul qui encourageait sa jumelle à aller plus loin. La main quitta mon sexe. Un raclement de pieds sur le sable et cest le cul de Paula que jeus en gros plan. Ses pieds se posèrent de chaque côté de mes jambes, elle saccroupit. De sa main gauche, elle écarta les lèvres de sa chatte, reprit mon membre dans sa main droite, présenta mon braquemart à lentrée de sa grotte. Elle mouillait abondamment et le gland pénétra sans effort. Dun mouvement brusque, elle posa son cul sur mon ventre et pour la première fois de ma vie, ma bite disparut à lintérieur dun sexe baveux. Cette fois, je ne pus retenir un grognement de satisfaction. Cest encore Paul qui me questionna :
Elle est bonne, hein, la chatte de ma frangine ? Vas-y ma poule, fais lui le trot anglais.
Obéissante, Paula sexécuta. Je voyais devant mes yeux son bassin se soulever et redescendre. A chaque aller et retour, ma bite ressortait presque entièrement pour senfouir à nouveau au plus profond du sexe qui, maintenant dégoulinait de cyprine. A ce petit jeu, je ne pus tenir longtemps. Un cri, un spasme et je me répandis en longs jets au fin fond de la chatte. A la fin de mon éjaculation, Paula ne se releva pas tout de suite. Elle sadressa à Rose.
Approche-toi et mets-toi sur le dos. Oui, là, juste à côté.
Quand elle jugea que la posture de Rose fut satisfaisante, elle se releva brusquement, fourra deux doigts dans sa chatte pour empêcher mon sperme de ressortir. Elle se positionna au dessus de la tête de Rose.
Ouvre la bouche.
Paula saccroupit à presque toucher avec sa chatte les lèvres de Rose. Elle retira ses doigts, et déversa dans la bouche ouverte de Rose tout le contenu de son vagin, sécrétions et sperme. Je vis Rose déglutir et avaler le tout avec des « mummm » de plaisir. Paul, qui entre temps sétait branlé, profita des lèvres ouvertes de Rose pour rajouter son propre sperme au mien. Il ajouta :
Dis donc Rose, ce puceau, il a éjaculé dans une bouche et dans une chatte, il ne lui manque plus quun cul pour que ce soit complet. Allez, on se rhabille, on finira ça plus tard. Ok ? Au fait Rose, tu nous avais promis de nous présenter à ta famille. Cest pour quand cette invitation ?
Pour ce soir. Il y aura une sacrée surprise.
Ah bon ! Quoi ?
Si je te le dis ça ne sera plus une surprise. Je vous laisse, il faut que jaille voir un copain, justement pour la surprise.Allez rendez-vous à vingt heures à la maison.