LE DÉVOUEMENT DE MA COUSINE
Episode 2
Je m’appelle Thomas, je suis un jeune homme de 18 ans à qui la vie était offerte.
Je suis tétraplégique partiel et comme si ça ne suffisait pas une blessure au cou ma déchiqueté les cordes vocales.
Le seul plaisir que j’ai, je le dois à ma cousine Sylvie qui s’occupe de moi d’une manière pas banale.
2ème épisode.
-Lisa, le meilleur est à venir…, si tu te sens prête à devenir une femme, je te prête Thomas et son gourdin mais avant il faut prendre quelques précautions.
Sylvie reprend la pomme de douche et nettoie ma verge redevenue flasque consciencieusement avant d’expliquer à Lisa.
-Je ne veux pas qu’il te mette en cloque et comme je n’ai pas ce qu’il faut, je vais employer un remède radical.
Elle va dans la chambre et revient avec un anneau en plastique dur.
-Je vais le passer sur sa queue mais comme tu vois, cet anneau fait à peine 3 cm et demi et va tellement serrer sa queue qu’il ne pourra pas éjaculer. Mais ça a un inconvénient, le sang va être coincé dans sa bite et elle sera encore plus raide et dure qu’avant, et surtout encore un peu plus grosse. Il faudra que je le casse tout à l’heure pour pouvoir le retirer.
-Tu vas apprendre à faire l’amour avec un homme, et avec Thomas, c’est toi qui dirige !
-Assied-toi sur ses cuisses et plaque ton ventre contre le sien. Regarde-le dans les yeux !
Lisa s’est saisit de mon pénis et le caresse doucement. Lentement mais sûrement, le sang gorge avec difficulté les corps caverneux de ma verge en pulsant avec puissance malgré l’anneau qui emprisonne ma hampe.
Ma verge est devenue dure comme l’acier mais mon handicap à l’avantage que je ne ressens pas la douleur de mon chibre congestionné et étranglé à la base.
Entre nos deux corps, un phallus de marbre se dresse, immobile.
-C’est bien, tu es une femme prête pour faire l’amour, soulève-toi sur la pointe des pieds et présente sa cheville devant ta mortaise, mais vas-y doucement car il a un sacré calibre!
Lisa se saisit de ma queue et la dirige vers son coquillage inviolé.
-On dirait un bout de bois brûlant, c’est si dur et pourtant si doux, ça va me faire mal ?
-Détend-toi ! Lui répond Sylvie, tout va bien se passer et nos petits préliminaires de tout à l’heure ont bien lubrifié ton vagin!
Sylvie me regarde dans les yeux, on se comprend d’un seul regard, je sais qu’elle doit déployer beaucoup de persuasion pour convaincre Lisa à se laisser dépuceler par un tel gourdin.
— Regarde comme il est fier que tu lui donnes ton pucelage !
Rajoute Sylvie en s’agenouillant pour être aux premières loges. Elle a quand même un moment de crainte. Lisa a le même âge qu’elle mais a un corps de petite fille, des seins menus et un sexe à peine couvert d’un fin duvet. On ne dirait pas une jeune femme de 18 ans mais une fille de 13 ans.
-Tu es sûre que…que je peux faire ça ? Je ne suis pas un peu trop …
— Mais non, ne crains rien, toutes les femmes doivent passer par là un jour ! Et puis avec Thomas, c’est toi qui commande, tu peux aller à ton rythme sans subir le mâle !
-Regarde ses yeux, il te donne sa queue, et ses couilles aussi d’ailleurs pour que tu t’amuses avec, hein que tu veux bien, Thomas ?
— Il faut que tu te décides maintenant, mets-toi bien droite cuisses écartées, mets son engin à la verticale de ta chatte !
-Attends, mais il est énorme ! J’ai peur de ne jamais pou…
-Mais non ! Laisse-toi descendre, appuie ta raie sur son gland. Ça va s’emboîter tout seul !
Détends-toi !
Mon gland congestionné vient d’écarter l’échancrure de la vulve et s’y insinue doucement. Lisa est toute tremblante et Sylvie s’est saisit de mon nud pour le diriger correctement dans l’ouverture de ses petites lèvres ou disparaît ma prune violacée. Tout doucement, Lisa s’empale sur moi.
Ça va ? S’inquiète Sylvie.
Lisa desserre à peine les dents pour répondre.
Oui, oui, ça va ! Mais quand je descends dessus je crois que c’est trop gros. On dirait qu’on me déchire le ventre !
-Essaie encore un peu chérie, sa queue appuie sur ta membrane, elle est à peine engagée et il faut des fois forcer brusquement la première fois pour déchirer l’hymen.
— Je ne peux pas ! Son barreau est trop gros !
-Une chatte peut tout accueillir, ne fait pas la peureuse, descend encore un peu mais il faut y aller franchement. D’habitude, c’est l’homme qui s’en charge !
La vulve moule au plus prêt ma flamberge qui n’est rentrée que de quelques centimètres.
-C’est trop gros j’te dis ! Ça ne rentrera jamais, ça fait trop mal ! Implore Lisa.
Sylvie, toujours à genoux, regarde le gland qui arrive avec peine à se glisser dans l’étroit fourreau, le prépuce tiré en arrière retenu par le frein tendu à se rompre.
La scène est presque obscène et Sylvie décide de prendre les choses en main.
Lisa est toujours sur la pointe des pieds, Sylvie écarte brusquement la cuisse gauche et bouscule la jambe droite de Lisa qui glisse sur le sol mouillé de la douche.
Lisa ayant perdu son point d’appui, s’écroule sur mes cuisses, s’empalant jusqu’à la garde sur l’obélisque dressé.
Elle pousse un hurlement de démente quand le gland trigonocéphale vient s’abouter au fond de sa matrice, compressant le col de son utérus.
Tel un ressort, elle s’éjecte du pieu recouvert de traces de sang fiché en elle.
-Excuse-moi, Lisa ! Grimace Sylvie. Mais c’était le seul moyen, et tu vois bien que c’est possible, toute sa queue est rentrée !
Lisa est tellement tremblante qu’il faut un long moment avant que Sylvie arrive à la rassurer et la persuader de revenir se frotter au supplice de cette tige pharaonique.
Lisa frotte avec appréhension ma bite sur les lèvres de son vagin avant de l’enfoncer tout doucement en commentant, couinant et gémissant de douleur et plaisir à la fois.
-Quel pieu ! Je le fais glisser doucement, il rentre mais putain qu’il est gros, ça y est, ses couilles buttent sur mes fesses.
-Je fais des va et vient sur sa bite énorme qui rentre au fond de mon puits d’amour !
Elle gémit de plus en plus en activant la cadence. Elle sent mon pénis en elle qui la remplit. Soudain elle se crispe sous la jouissance.
Je m’abandonne aussi à la jouissance.
Sylvie qui avait pris mes bourses à pleine main sent les couilles durcir et se rétracter et s’exclame.
-Ouh-la-la ! J’crois que ça y est ! Il a tout lâché, il se vide mais tu sens rien j’espère ?
Un râle de bête sort de ma gorge.
— RRRRrrrrrrrrrrrhhhhhhaaargnnhhh !…
— Euhhhh ! Si, sa queue est encore plus grosse et plus dure si c’est possible !
— Il doit avoir l’urètre complètement engorgé mais mon cokring fait son effet !
J’ai les yeux exorbités et figés et dans lesquels on peut lire toute la détresse d’un homme qu’on empêche d’expulser sa semence libératrice.
-Tu t’es vidé mais tu gardes tout pour toi ! Dit d’une voix espiègle Sylvie en me regardant dans les yeux.
Mon phallus est toujours emprisonné dans l’étroit fourreau.
— Tu sens toujours rien, Lisa, il a pas craché ?
— Non, mais il est devenu vraiment dur comme un manche de pioche !
La main de Sylvie moulée sur mes bourses les sent animées d’une vie propre pendant quelques secondes pendant qu’elles se décongestionnent.
— C’est bon ! Il est purgé, tu peux libérer son poireau, maintenant il faut le vidanger avant qu’il ne lui arrive un problème, mais Recule-toi ! Explique ma cousine.
Sylvie approche une pince à ongles et précautionneusement coupe l’anneau, aussitôt, sous la pression dans l’urètre, une giclée épaisse lui retombe sur les seins suivit d’un ruisseau de liquide blanchâtre qui s’écoule sans fin de ma verge. Le foutre macule mon nombril avant de lentement glisser jusqu’à mon bas-ventre.
-Eh bien mon salaud, t’en avais encore plein les burnes !
Ricane ma cousine en donnant un dernier coup de jet sur mon corps, ses seins et sur le sol pour le nettoyer de la quantité phénoménale de liquide séminale qui le jonche avant de reprendre la parole.
-Bon, maintenant on se sèche et on va l’étendre sur son lit. J’ai un fantasme que je n’ai jamais osé faire avec lui mais aujourd’hui je suis comme déchaînée !
Une fois qu’elles m’ont couché sur le dos, elle explique.
-On va se servir de son corps comme d’un sex-toy, de ses mains, de sa queue, mais surtout je veux que pour une fois, il participe, Je veux qu’il me broute la chatte, qu’il se serve de sa langue, qu’il goûte mon jus !
Sylvie explique à Lisa ce qu’elles vont faire.
-On va se mettre de chaque coté du lit, prendre ses mains et s’en servir pour se branler avec ses doigts, oh ouiii regarde, j’arrive à en mettre trois en même temps dans ma chatte !
Sylvie se sert de ma main comme d’un vibromasseur, elle la manipule en l’empoignant fermement. Elle se branle en se servant de mes longs doigts.
Mais elle se lasse vite de cette main inerte et en veut plus.
Elle monte sur le lit et s’assied sur mon visage, j’ai la chatte au niveau de la bouche et mon nez dans son trou du cul.
Je glisse ma langue dans la commissure inférieure de la longue fente sexuelle, la remonte lentement jusqu’au repli supérieur des grandes lèvres, découvrant le merveilleux bouton d’amour.
J’essaie de lui procurer un maximum de plaisir, prenant mon temps pour lui lécher avec application la vulve suintante, recueillant le jus chaud et épicé qui s’en écoule de plus en plus abondamment.
Ma langue vient fouetter le clitoris fièrement érigé hors de son nid avant de s’égarer en chemin jusqu’à l’adorable illet plissé que j’explore délicatement, alternant longuement prospections anales et vaginales.
Pendant ce temps Lisa s’amuse avec ma hampe et mes boules, la petite coquine y prend goût.
Le corps secoué de spasmes voluptueux, Sylvie s’abandonne sans pudeur à l’extraordinaire cunnilingus que je lui prodigue.
Se contorsionnant voluptueusement, elle sent le plaisir monter du fond de ses entrailles, Lisa n’est pas en reste et presse les seins douloureux de Sylvie sous ses caresses. Elle empoigne les volumineuses mamelles pour les étreindre passionnément.
Ma cousine comprend que l’orgasme ne va pas tarder à l’emporter. Une violente jouissance, la fait se cambrer furieusement me coupant la respiration.
Une onde dévastatrice explose au plus profond de son vagin en feu, irradiant son bas-ventre, qui déverse un torrent brûlant et incontrôlable qui dévaste ses chairs intimes avant de jaillir en un flot impétueux d’entre les grandes lèvres de sa vulve ravagée.
Je suis pris sous ce flux bouillonnant, qui surgissant inopinément des entrailles de ma cousine me remplit la bouche. Je ne veux rien perdre de ce sexe exhalant sa liqueur magique au goût âcre avec force.
Ce n’est que lorsque la source miraculeuse est tarit, qu’elle retire alors sa vulve humide, ainsi que le clitoris monstrueusement gonflé de mon visage trempé des humeurs intimes de ma cousine.
Les deux chipies jouent maintenant avec ma queue qui depuis un long moment bande impatiemment, mes testicules sont de nouveau prêts au combat.
La chatte de Lisa a prit la place de celle de Sylvie sur ma bouche, ma cousine est à genoux sur le lit, à califourchon sur moi et fait du rodéo comme une folle sur ma queue.
Il est difficile de se concentrer sur une foufoune qui laisse suinter un miel plus parfumé et sucré que celui de ma cousine quand un furie s’éclate la moule sur mon pieu, faisant tressauter le lit.
Soudain elle se calme, se retire de l’axe qui la transperce qu’elle prend à pleine main et déplace son corps de quelques centimètres en attirant l’attention de Lisa.
-Regarde, tu ne seras pas la seule à se faire dépuceler aujourd’hui, je vais m’empaler le fion sur son défonce-cul !
Lentement, très lentement, elle plie les genoux faisant entrer en contact ma tête chercheuse avec son anneau ridé.
Lisa s’est retiré de mon visage pour que je puisse voir, Sylvie a la bouche déformée par un rictus quand mon gland disparaît enfin dans son anus.
Je voie ma verge progresser dans les reins de Sylvie qui maintenant hurle comme une hystérique en tortillant du croupion mais continue sa progression.
Mais c’est une petite courageuse et elle continue sa descente aux enfers, mon pal, recouvert de nos sécrétions, entre centimètre après centimètre jusqu’à ce que mes couilles butent sur ses fesses.
Puis ses lents va et viens éveillent progressivement le plaisir de Sylvie qui est devenue une véritable chienne en rut. Elle pousse son derrière vers le gros porteur afin de se faire pénétrer encore plus profondément me regardant droit dans les yeux.
Après un temps d’adaptation à l’intrus glissé dans ses intestins, elle reprend sa galopade effrénée quand soudain elle s’exclame en s’éjectant de ma bite en arrosant mes noyaux agonisants de son liquide doré.
— Bon sang ! Il remet ça et moi aussi !
-Ça quoooiihhh ? Demande Lisa.
Une giclée de cyprine arrose le phallus congestionné de son ultime orgasme.
— Il jouit ! Il jouit encore, un vrai bouc, ses couilles trouvent encore du jus ! Je ne sais pas où il va en chercher autant, on lui avait portant bien essorer la prostate !
Sylvie se précipite sur mon nud, ouvrant ses mâchoires au maximum pour récolter ce qu’elle peut.
Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond sa gorge. Elle s’accroche à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide séminal, secouant et suçant en même temps, ne voulant pas libérer ma pine avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de ma semence.
Elle relève enfin la tête se léchant les lèvres encore pleines de mon sperme et jette à Lisa.
-Bon, je crois que cette fois-ci, on a du lui vider complètement les burnes. On le rhabille et on le laisse faire de beaux rêves.
Si tu veux revenir me donner un coup de main une autre fois, tu me le dis !
Lisa lui rétorque aussitôt.
-Ma fois je ne dis pas non si je peux rendre service !
Elles se regardent puis éclatent de rire.