Je mappelle Jacqueline, jai 70 ans, je suis mariée, jai une fille et je fais lamour avec mon frère Jean de deux ans mon cadet depuis maintenant plus de cinquante ans.
Il est marié lui aussi et a un garçon du même âge que ma fille.
Tout a commencé javais 18 ans et mon frère 16, nos parents ne voulaient pas me laisser aller seule (avec mon copain) au cinéma et donc mon frère nous accompagnait, il regardait le film alors que mon copain et moi flirtions et je me laissais caresser les seins et la fente, quelquefois je caressais le sexe de mon copain et il jouissait dans mes mains et dans son mouchoir.
Nous nhabitions pas tout près du cinéma, nous avions deux kilomètres à faire à pied. Un soir en rentrant, alors que javais fait jouir mon copain, mon frère voulu tout dire à nos parents si je le lui montrais pas ma poitrine, pendant tout le retour, il me demandait de lui montrer mes petits seins, alors quand nous sommes presquarrivé, je soulevais mon pull pour satisfaire sa curiosité.
Il ne dit rien et cétait devenu une habitude et avant de rentrer, je soulevais mon pull.
Un soir alors que je soulève mon pull pour le laisser voir ma poitrine, mon frère me demanda de marranger pour quil puisse sortir avec une copine si je voulais quil ne dise rien, alors je demandais à mon copine de venir avec nous au cinéma.
Je savais, pour en avoir parlé avec elle quelle nétait plus vierge et que cela ne la dérangeait pas de sortir avec mon frère, donc nous sommes quatre au cinéma, je flirte avec mon copain et la copine avec mon frère.
En quelques minutes, ma copine a les seins sortis, mon frère les suce et elle sort la queue de mon frère pas pour la branler mais pour la sucer, Je regarde le pieu de mon frère, il a une énorme bite, deux fois mon copain, ma copine le suce avidement, je branle moi aussi mon copain, mais je narrive pas à me concentrer et quitter des yeux la grosse queue de mon frère.
Nous rentrons tous les deux comme nous le faisons à chaque fois que nous sortons, mais quand je soulève mon pull pour leur montrer ma petite poitrine, je lui demande de voir sa grosse queue quil me montre sans problème.
Jadmire sa belle queue au moins une fois par semaine, et un soir, je lui demande si je peux la prendre dans ma main je lui autorise de caresser ma poitrine, sous ses mains mes seins durcissent.
Au contact de ma main, je sens sa queue devenir très dure et elle me semble encore plus grosse que dans la bouche de ma copine, peut-être à cause de lobscurité au cinéma, il caresse aussi mon entrejambe qui est encore toute mouillée.
Malgré le fait quil a déjà jouit dans la bouche de ma copine, mon frère jouit à nouveau dans ma main et moi je jouis sur ses doigts.
Nous prenons lhabitude, avant de rentrer nous coucher, de nous faire jouir ; je maperçois que mon frère me fait plus jouir que mon copain.
Quelques semaines après, mon copain nous demande de venir chez lui au lieu daller au cinéma, ses parents sont absents.
Je sais bien quen acceptant, mon frère et moi nous allons perdre notre pucelage mais nous nous retrouvons tous les quatre dans la chambre de mon copain.
Ma copine est déjà nue, mon frère a lui la bite sortie mon copain aussi, moi je suis à moitié nue, je nai plus de pull, jai encore ma petite culotte, mais plus pour longtemps.
Ma copine soccupe de la queue de mon frère, alors que mon copain soccupe de ma chatte avec sa bouche, mon clitoris est gros et jattends dêtre pénétrée dune minute à lautre.
Mon frère est sur le dos, ma copine sur lui, on voit que ce nest pas la première fois quelle fait lamour, elle accélère les va et vient, mais elle demande à mon frère de ne pas rester en elle, puisque la pilule nest pas encore autorisée en France, et que nous navons pas eu le temps dacheter des préservatifs.
Mon copain me pénètre, il v doucement je lui ai dit que cest la première fois, alors que ma copine chevauche mon frère de toute son énergie, je ne les quitte pas des yeux.
Ma copine commence à jouir, elle pousse de petits gémissements, alors que moi jai un peu mal, puis elle sécroule sur mon frère, elle jouit en criant de bonheur, mon frère sort sa queue et jouit lui aussi sur son ventre, moi je ne ressent pas grand-chose, et mon copain inonde mon ventre de sperme.
Ma copine me dit quheureusement que nétait plu vierge, parce que la queue de mon frère est tellement grosse quelle aurait dégusté.
Nous nous quittons, mais avant de rentrer à la maison je fais jouir mon frère et malgré le fait quil a déjà jouit, il envoie dans mes mains une bonne quantité de sperme.
Toutes les semaines, je baise avec mon copain avec qui je narrive pas à jouir et mon frère baise ma copine qui a toujours mal quand elle baise avec une grosse queue et mon frère et moi jouissons avant de rentrer.
Ce petit manège dure pendant quelques semaines et un soir, alors que nous venons de jouir, je dis à mon frère que cette nuit jai envie de sa grosse bite dans ma chatte et que je vais venir le retrouver dans son lit.
Depuis ce jour, nous couchons ensemble une ou deux fois par semaine, jarrive facilement à jouir avec sa queue, il me remplit complètement, à croire que mon vagin est fait pour recevoir des grosses bites et lui il est bien en moi, mais il ne jouit jamais dans mon ventre, il jouit dessus, je ne vais pas être enceinte de mon frère.
Nous évitions de faire trop de bruit pour ne pas alerter nos parents, cest pour cette raison que je venais dans sa chambre qui était plus éloignée, mais un jour, en regagnant ma chambre, notre mère maperçut sortir de la chambre de mon frère à trois heures de matin.
Le lendemain, ce fut notre fête, elle nous demandât depuis combien de temps cela durait et comme nous lui avons répondu depuis quatre ans environ, elle se fâchât et me dit quil faut que je me marie le plus rapidement possible et que joubli mon frère.
Je me mariais, un peu forcé trois mois après, mon mari est gentil, mais je narrivais pas à oublier mon frère ; mon mari ne me satisfaisait pas et je voyais mon frère en cachette une fois par semaine.
Mon frère se mariât quelques mois après, mais sa femme naimait pas tellement lui faire lamour, elle avait mal, alors nous avons continué notre relation.
Lors des réunions de famille, maman sarrangeait toujours pour que nous ne soyons pas proches lun de lautre, papa ignorant tout de notre relation, maman croyait bien aussi que ce soit terminé.
Mon mari ma mis enceinte, je le dis à mon frère avant même à mon mari et je lui dis quil peut rester en moi que je ne risque plus rien et quaprès je me ferais mettre un stérilet pour être tranquille.
Ma belle-sur, la femme de mon frère, tomba enceinte presquen même temps que moi.
Nous accouchons à un mois dintervalle, évidement mon frère et ma belle-sur sont parrain et marraine de ma fille, alors que mon mari et moi le sont de leur fils.
Nos enfants sont grands maintenant, ils ont 18 ans maintenant et ma relation avec mon frère continue toujours, bien sûr à linsu de nos famille, nous habitons la même ville, deux maisons côte à côte, nous les avons acheté ensemble, nos enfants ont été élevé ensemble bien entendu.
Un jour je téléphone à mon frère pour lui dire que je crois que mon mari a une maitresse, je ne suis pas jalouse, je naime pas faire lamour avec lui, mais par curiosité jaimerai la connaître.
Nous décidons de le suite tous les deux, plusieurs jours sont nécessaire pour arriver à nos fins, et curieusement nous arrivons à une petite auberge en bord de seine, que nous connaissons bien, puisque nous y venons souvent, les couples irréguliers sont reçu sans problème et comme cest assez éloigné de tout, cest très discret.
Il est 12 heures 30, certainement quil a invité son amie à déjeuner et ils iront dans une chambre pour faire un petit ou un gros câlin.
Nous laissons passer un petit quart dheure, mon frère et moi entrons à notre tour dans lauberge, à notre grande surprise, la maitresse de mon mari est la femme de mon frère, ils sont très surpris et un peu gênés de nous voir, mon frère sans hésiter va sasseoir à leur table, je le suis et ils demande si nous pouvons déjeuner avec eux.
Nous déjeunons avec eux, sans parler de la situation, en fin de repas mon frère se lève, va payer laddition et revient avec une clef de chambre, le tend à mon mari en lui disant de continuer laprès-midi, que nous les attendons pour lapéritif vers 18 heures, puis nous les quittons.
Nous regagnons la voiture et je dis à mon frère quil est un peu vache de leur gâcher laprès-midi alors que nous allons faire lamour et il me répond que nous nallons pas faire lamour cet après-midi, mais comme eux nous allons passer notre première nuit ensemble.
Quand nous arrivons à la maison, nous trouvons nos enfants dans le salon et nous les prévenons que ce soir nous prenons lapéritif ensemble, ceux-ci nous demande si ils pourront rester dans la chambre pour réviser leur examens.
Vers 17 heures 30, ma femme et mon beau-frère arrivent, un peu gênés, mon frère les invite à sasseoir dans le canapé lun à côté de lautre, alors que je viens masseoir à côté de mon frère.
Un grand silence règne, mon mari prend la parole pour dire que si nous sommes daccord, nous allons divorcer à lamiable, mais que nous resterons amis, mon frère répond que rien ne va changer, que nous aussi nous sommes amants et certainement avant eux, puisquils nont pu commencer quaprès son mariage et même que cest assez surprenant que nous nous sommes jamais rencontré à lauberge.
Comme nous sommes tous daccord, il nous reste à mettre les enfants au courant, mon frère dit que cela est facile puisquils révise à létage, nous montons donc lescalier et nous entrons dans la chambre de mon filleul et à notre grande surprise nous les trouvons nus , ma fille sur mon filleul en train de faire lamour.
Ils sont très surpris de nous voir, je dis à ma fille : « Quand vous aurez fini de réviser, nous vous attendons dans le salon. » Nous redescendons. Quelques minutes après, nos enfants nous rejoignent, soit ils avaient fini, soit nous leur avons coupé lardeur.
Mon frère leur annonce nos relations, mais nous ne connaissions pas la vôtre.
Nos enfants nous répondent quils savent depuis toujours pour maman et parrain et papa et marraine, cela se voyait à leurs regards, nous cela fait deux ans maintenant et vous navez rien vus.
Je prends la parole pour dire que dun côté comme de lautre, cela ne droit rien changer hormis le faîte que maintenant nous ne devons plus nous cacher.
La nuit prochaine sera la première nuit dans les bras de nos amants.
La vie a continué, nos enfants ont près de 40 ans maintenant, ils ont quittés la maison et sont toujours ensemble, ils nous ont même fait un petit fils.