Je me présente, Antoine, vingt et un ans, un mètre quatre-vingt-quinze, quatre-vingt-deux kilos, cheveux bruns, yeux marron avec un physique assez classique et convenablement musclé.
Je vis dans la maison de mes parents avec ma mère, Audrey, et ma sur, Emilie. Mon père est décédé quand j’étais enfant et ma mère et ma sur étant toutes les deux seules, je me retrouve donc comme étant le seul mâle dans la maison. En ce qui me concerne, je suis en couple avec une fille qui s’appelle Chloé, qui a le même âge que moi et avec qui je m’entends très bien.
Notre maison est une assez belle maison, plutôt moderne, située dans un quartier bien fréquenté d’un petit village en périphérie de la ville. La porte d’entrée donne directement sur les escaliers et notre salon qui est lui-même collé à une spacieuse cuisine américaine.
Venant seulement de sortir du lycée en tant que bachelier après avoir redoublé plusieurs fois, j’ai comme projet futur de faire une école d’ingénieur.
En attendant, nous sommes en plein mois de juin, les vacances scolaires viennent de commencer et je n’ai aucun plan de prévu pour ces vacances.
C’est le premier jour des vacances, et c’est un bruit venant du rez-de-chaussée qui me sort de mon sommeil. Étant encore fatigué des examens de fin d’année, je décide de rester encore un peu couché pour profiter d’une belle matinée d’été en mode flemmard.
Les yeux encore un peu fermés de fatigue, je prends mon téléphone sur la table de nuit et je commence à me balader sur quelques sites pornos pour bien commencer la journée. Malheureusement je ne peux pas obtenir d’aide de Chloé à ce niveau-là puisqu’elle est en voyage avec sa famille jusqu’à la fin du mois.
Quelques secondes plus tard, je remarque que mon pénis est déjà bien tendu et je commence à masser ce chibre de presque vingt centimètres de long pour seize de circonférence.
Une fois mon affaire terminée, je me lève et je pars en direction de la douche. Quel meilleur moyen de commencer les vacances que par une bonne branlette matinale suivie d’une bonne douche chaude.
Après être sorti de la douche, je m’essuie, je m’habille et je me dirige vers les escaliers.
Une fois arrivé en bas, je dis bonjour à ma mère et je suppose que ma sur dort encore étant donné qu’elle n’est pas devant la télévision.
M’installant à table pour prendre le petit-déjeuner avec maman, elle me pose la question :
— Tu as des trucs de prévus pour aujourd’hui ?
Et en avalant une cuillère entière de céréales, je lui réponds :
— Je pense que je vais aller traîner un peu chez Hugo, tu vois qui c’est ?
Maman, faisant un tour avec ses yeux, me répond :
— Ah, oui ! Hugo. Je me souviens à présent. Un camarade de classe du lycée c’est bien ça ?
La bouche complètement pleine de lait et de céréales, je lui réponds brièvement, ennuyé par ce début de conversation assez plat :
— Ouais c’est ça, c’est un camarade de classe du lycée. Je pars vers dix heures et je pense que je ne rentrerai que ce soir.
Maman, se levant de table, répond de manière assez furtive tout en se dirigeant vers les escaliers :
— OK, pas de soucis. Moi je vais aller faire les magasins cette après-midi, il faut bien profiter un peu d’un si beau temps ! dit-elle, en regardant par la fenêtre.
Je décide donc de monter dans ma chambre pour envoyer un message à Hugo et lui dire que je passerai dans la matinée et qu’on pourra traîner un peu pendant la journée.
Après avoir enfilé mes vêtements, je me dirige vers les escaliers pour me poser un peu devant la télé avant de partir chez Hugo. Sur le chemin des escaliers, je m’arrête brusquement, attiré par des gémissements qui semblent provenir de la chambre de ma sur.
En arrivant devant la porte d’Émilie, je passe à côté de la salle de bain et j’entends maman qui prend sa douche et je suis maintenant certain que le bruit ne peut venir que de la chambre d’Emilie.
Collant mon oreille contre la porte, je peux entendre ma sur lâcher des petits cris de plaisir, et je ne peux résister à la tentation de regarder dans le trou de la serrure.
Ce que j’imaginais était bel et bien en train de se produire ; ma sur est en train de se doigter seule dans son lit en regardant une vidéo sur son téléphone. Immédiatement, et sans que j’ai le moindre contrôle sur la situation, une bosse se forme dans mon pantalon et mon érection prend de plus en plus d’ampleur au fil du temps.
Je n’ai jamais vraiment été sexuellement attiré par ma sur ou par ma mère, mais de voir Emilie totalement nue en train de se doigter comme une folle devant moi me fait, je dois l’avouer, beaucoup d’effet.
Je décide enfin, malgré le fait que maman soit dans la salle de bain juste à côté, de sortir ma bite qui est déjà au garde-à-vous, prête à en découdre. Je commence les mouvements de va-et-vient avec ma main en me focalisant sur ce corps de rêve qui m’est présenté comme un cadeau tombé du ciel.
Ma sur a deux ans de plus que moi, c’est une fille assez grande, brune aux yeux bleus, mais surtout avec une poitrine à couper le souffle. Ses seins ont déjà prouvé leur efficacité plus d’une fois, lorsque l’on marchait dans la rue ou n’importe quand en présence de ma sur, les hommes se retournaient toujours pour admirer son décolleté.
Autre que ça, elle a effectivement un très beau visage avec des sourcils très bien soignés, une bouche qu’on meurt d’envie d’embrasser et un cul à réveiller un mort.
Cela dit, elle en reste malgré tout ma sur, et c’est pour cela qu’elle ne m’a jamais réellement intéressé… du moins jusqu’à aujourd’hui.
Toujours en me masturbant, j’entends d’un coup un bruit venant de la salle de bain. Je me dépêche de ranger mon engin dans mon pantalon et je cours me cacher dans ma chambre, comme si de rien n’était.
Au bout d’une vingtaine de minutes, je décide enfin à sortir pour aller rejoindre Hugo qui commençait à m’attendre avec impatiente.
En rentrant le soir, je tombe directement sur ma sur, couchée sur le canapé en train de regarder un film avec sa meilleure amie, Manon, que je voyais assez souvent au lycée et que je continue de voir quand elle passe chez nous. Elle habite également avec ses parents quelques maisons plus loin, dans la même rue que nous.
Manon est une fille magnifique, elle a tout d’une femme parfaite ; environ un mètre soixante, ne pesant pas plus de cinquante-cinq kilos, elle est mignonne avec une poitrine très bien proportionnée et des fesses bien rondes donnant envie à tout voyageur d’y poser ses valises. Elle a de longs cheveux bruns qui descendent jusque dans le milieu de son dos.
De ce que je sais, son père est tunisien et sa mère est italienne, ce qui explique sans doute sa peau naturellement bronzée d’une couleur foncée très attirante.
Elle porte parfois des lunettes qui vont très bien avec son visage d’ange, mais la plupart du temps elle préfère tout simplement porter des lentilles. Son magnifique sourire laisse paraître des dents d’un blanc éclatant se cachant derrière des lèvres pulpeuses. Elle a toujours eu un caractère un peu coquin et provocateur qui lui donne beaucoup de charme, en plus d’être drôle et intelligente. Elle a de longs cheveux bruns qui sont d’une beauté resplendissante.
Manon a trois ans de moins que moi, et cela fait maintenant des années que je rêve secrètement de la baiser. S’il y a bien une fille pour laquelle je meurs sexuellement d’envie, c’est bien elle.
Ce soir-là, je décide, après m’être changé, de m’asseoir un peu avec elles devant la télé avant d’aller me coucher. Ma sur étant déjà quasiment endormie et ma mère étant déjà au lit, il ne reste plus que Manon et moi d’éveillés dans la maison. Manon me fait un signe de la tête pour me dire salut et je fais la même chose avant de m’asseoir à côté d’elle.
Au bout de quelques minutes et sans qu’on ait eu besoin de toucher à la télécommande, la chaîne change d’elle-même et passe sur des programmes de nuit qui visent plus des publics adultes.
Dans notre cas, c’est un porno qui est apparu à l’écran et après nous être regardés avec une certaine gêne, on a commencé à rire à voix basse de la situation plutôt que de cultiver la gêne.
Il s’agit d’un film qui a l’air assez long avec comme acteurs une belle brune style typique des pornos c’est-à-dire gros cul, gros seins et très dévergondée, et un gars avec une grosse bite et très musclé.
Quand le gars fait son apparition et qu’il déballe sa queue sur l’écran HD du salon, je peux voir Manon à côté de moi qui décroise lentement ses jambes tout en me fixant et en se mordillant la lèvre inférieure.
Il va sans dire qu’un semblant d’érection commence à faire son apparition dans mon jogging et quand le film accélère et que le gars commence à pénétrer la chatte de la fille à la télé, Manon commence tout doucement à se rapprocher de moi tout en me regardant dans le blanc des yeux avec un regard exaltant de désir très excitant qui donne directement l’ordre du garde-à-vous à ma bite et cette dernière répond au pas sans broncher.
Baissant les yeux pour regarder la bosse qui s’est formée sous mon jogging, elle me dit :
— Eh bien, qu’est-ce quil se passe là en dessous ? J’ai l’impression qu’il y en a un qui commence à avoir un peu faim là-dedans ! dit-elle en posant sa main sur la bosse de mon jogging.
Moi, comme un imbécile heureux, je ne sais pas quoi répondre et je sens ma queue prendre beaucoup d’ampleur sous la main de Manon.
J’arrive tout de même à balbutier :
— Wow euh écoute M-M-Manon… t’es vraiment super excitante, mais ma sur est juste à côté, on ne peut pas faire ça…!! dis-je à voix basse.
Je m’imagine déjà ce qui se passerait si je me laissais aller sans faire attention à ma sur et à ma mère, lui baisser sa culotte pour la pénétrer à fond jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir dans toute la maison et que je lui gicle tout mon foutre au plus profond de sa chatte…
Manon commence à me caresser de manière plus explicite, et enfin elle se décide à glisser sa main dans mon jogging pour branler cette grosse bite qui ne demande qu’à être libérée de sa prison.
— Dis donc, t’as un gros paquet là-dedans j’ai l’impression… et dire que j’ai raté ça pendant toutes ces années…! dit-elle, tout en décalottant au maximum ma queue sous mon jogging.
De mon côté, je me décide également à glisser une main dans son jean et, après quelques secondes de recherche, je tombe sur son clitoris qui est déjà bien sorti au vu de la situation plus qu’excitante dans laquelle nous nous trouvons.
Pendant plusieurs minutes, nous nous faisons plaisir l’un l’autre sans bouger, jusqu’à ce qu’un mouvement inattendu mette un terme à nos stimulations.
Ma sur commence à bouger et se relève lentement en regardant vers la télévision. Elle ne peut pas manquer le gars qui est en train de défoncer la chatte d’une belle brune couchée sur le dos et se prenant plus de vingt centimètres de queue dans son vagin.
Surprise de ce qu’elle voit, son premier réflexe est de regarder dans notre direction à la recherche d’indices pouvant nous trahir sur ce que nous venons de faire.
Elle ne voit rien de suspect et après nous avoir souhaité bonne nuit, elle décide tout simplement de monter pour aller se coucher.
Manon a l’habitude de dormir à la maison ; elle et ma sur se connaissent depuis longtemps déjà et maman et moi la connaissons aussi depuis des années, c’est une personne en qui notre famille a confiance.
Me disant l’avoir échappé belle, j’ai du mal à dire quoi que ce soit par rapport à ce qui vient de se passer.
— Elle a bien vu le porno à la télé, on est d’accord… ? Pourquoi est-ce qu’elle n’a pas réagi d’après toi ? demandais-je à Manon.
Me regardant toujours avec son visage d’ange, elle me répond, d’un air très simple :
— Tu sais le porno c’est rien de bien méchant hein, tout le monde en regarde, tout le monde sait ce que c’est… et elle était quand même bien dans les vapes Emilie ahah !… Et puis, le gars était assez beau gosse et bien membré tu vois… un peu comme toi quoi.
Je ne sais pas pourquoi, mais cette réponse a un effet immédiat sur mon érection qui refait surface au bout de quelques secondes seulement, et Manon ne manque pas de s’en rendre compte et de me faire un petit sourire très excitant en guise de réponse à cette réaction.
Cela dit, je préfère couper court à cette situation qui me laisse encore perplexe et je préfère lui souhaiter une bonne nuit pour pouvoir remonter dans ma chambre et penser à ce qu’il vient de se passer.
Après avoir fait le vide dans ma tête, je me couche et je m’endors dans les cinq minutes qui suivent pour une bonne nuit de sommeil bien méritée.
La semaine qui suivit ne fut pas très riche en évènements ; quelques soirées par ci, quelques sorties par là, mais sans plus.
Je ne me suis pas masturbé depuis une semaine et mes couilles commencent vraiment à me faire mal ; à vrai dire j’attends avec impatience que Chloé rentre de son voyage pour pouvoir passer du temps avec elle.
Une après-midi, je me retrouve à travailler un peu sur l’ordinateur lorsque j’entends quelqu’un toquer à ma porte :
— Entrez ! criai-je.
— Hey, ça va ? me demanda Emilie.
— Ouais bah ça peut aller, je bosse un peu sur un projet sur lequel on avait commencé à travailler avec les potes de classe, mais je t’avouerais que c’est assez chiant quand même, dis-je d’un air ennuyé.
— Ah okay, bah bonne chance dans ce cas écoute… Ah oui ! d’ailleurs…
Ce d’ailleurs résonne dans ma tête comme si elle allait me poser des questions sur ce qui s’est passé avec Manon la semaine dernière. Je commence à trembler un peu et elle prend son temps pour continuer sa phrase :
— Je pars avec maman ce soir, on va au resto avec des amis à elle parce qu’elle ne voulait pas y aller seule… donc voilà, il y a encore des pâtes au frigo si jamais ! m’informa-t-elle.
— Tu sais, je n’ai plus douze ans… je pense pouvoir prendre soin de moi, mais merci quand même… répliquais-je.
— OK, eh bah alors à plus tard ! Et ne reste pas trop longtemps sur l’écran, c’est pas bon pour les yeux !! dit-elle avant de me faire un clin d’il en tournant les talons et en fermant la porte derrière elle.
Immédiatement après que maman et Emilie soient parties, je me jette sur mon lit et je prends mon téléphone en main à la recherche d’un porno à regarder pour libérer la tension qui s’est accumulée depuis une semaine dans mes testicules.
Je commence mon affaire et ma bite, déjà dure avant même de m’être couché sur mon lit à cause de l’abstinence, est au garde-à-vous et ne demande qu’à être branlée.
En plein milieu de ma masturbation, j’entends la sonnette de la porte d’entrée et je préfère ne pas répondre au vu de mon occupation actuelle.
La personne qui sonne à la porte se révèle être plus têtue que jamais et je me décide contre ma volonté à me rhabiller pour aller voir de quoi il s’agit.
En ouvrant la porte, j’ai la surprise de voir qu’il s’agit de Manon, qui n’attend même pas mon autorisation pour rentrer.
— Wow ! Maintenant, je comprends mieux pourquoi t’as mis tant de temps à répondre, dit-elle en montrant du doigt mon entrejambe qui laissait très clairement paraître un sexe en pleine érection.
Puis elle rajouta :
— Tu sais, j’ai vu par la fenêtre ta mère et ta sur partir en voiture, donc je me suis dit que peut-être on pourrait passer la soirée ensemble ? demanda-t-elle, un sourire au coin des lèvres.
Bouche bée, je ne sais pas quoi lui répondre. Je suis en pleine érection face à la fille que j’ai toujours eu envie de baiser, en plus de ça la coquine ne s’est pas fait prier pour venir habillée comme une petite chaudasse avec un t-shirt très court laissant paraître son beau ventre plat, son nombril et sa belle taille, sans parler du relief de sa poitrine qui est extrêmement bien mise en valeur. Elle porte également un jean très court coupé juste au-dessus du pli de ses fesses, me laissant une vue splendide sur ces dernières, et est maquillée juste comme il faut en ayant tout de même fait plus que son standard habituel. Ses belles jambes mises en valeur par des baskets de couleur blanche me donnaient terriblement envie de découvrir ce qui se cachait au bout.
Mon pénis gonflait un peu plus à chaque seconde qui passait, et impossible pour Manon de ne pas remarquer le monstre affamé dans mon jogging.
Finalement, je me décide à lui répondre :
— Euh ouais OK on peut faire ça, je n’ai rien de prévu pour ce soir de toute façon.
Et c’est ainsi que l’on se dirige vers le salon.
C’est elle qui prend l’initiative d’allumer la télévision, sans doute a-t-elle vu que l’état d’excitation dans lequel je me trouve ne me permet pas de faire quoi que ce soit nécessitant d’être debout.
Elle vient s’asseoir à côté de moi et met une chaîne télé qui traite généralement de la nature.
Au bout de cinq minutes d’ennui, Manon reprend la télécommande et se décide à mettre une chaîne un peu plus chaude, puisqu’il s’agit ni plus ni moins d’une chaîne pornographique.
30 secondes plus tard, on peut déjà voir une belle blonde en train de se faire ramoner le cul par une grosse bite noire, et j’entends Manon rire et quand je tourne la tête je la vois me fixer toujours avec son regard pour lequel personne au monde ne pourrait résister.
En posant sa main sur mon jogging comme elle l’avait fait la dernière fois, elle commence déjà à frotter ma bosse de haut en bas et, toujours en me fixant, elle me chuchote dans l’oreille :
— Maintenant tu vas me laisser y goûter, elle a l’air énorme et j’ai vraiment envie de la toucher…
Ne pouvant tout simplement plus lui résister, j’acquiesce en faisant un bref mouvement de la tête.
Deux secondes plus tard, elle commence à m’embrasser comme une fille amoureuse puis elle se décide à tirer mon jogging pour coincer la ceinture sous mes couilles libérant mon membre déjà totalement en érection. Manon se lèche les lèvres et profite de la vue de cette magnifique queue qui se redresse fièrement à la vue de celle qui la soulagera.
Sans que je demande quoi que ce soit, elle commence à branler cette pièce de viande avec pour commencer une seule main puis quelques minutes plus tard, avec ses deux mains.
Entre-temps, le film qui était affiché à la télé a changé et c’est maintenant au tour d’une femme ressemblant beaucoup à Manon de se faire vigoureusement baiser par une belle bite, ce qui ne fait que de renforcer mon érection qui est déjà extrêmement dure.
Après quelques minutes à me branler à deux mains, Manon se décide à se mettre à genoux devant moi et se place entre mes jambes. Elle tire mon jogging, mes chaussettes et mon caleçon pour ne plus laisser paraître qu’un monument en acier trempé redressé à la verticale devant elle.
Elle en profite également pour retirer son soutien-gorge, et la vue de sa magnifique poitrine a comme conséquence de faire apparaître une goutte de liquide préséminal au bout de ma queue.
Elle attrape ma bite à sa base en l’entourant d’une petite main chaude et la tire vers elle tout en approchant sa bouche vers mon intimité sans jamais me perdre du regard. Elle commence par lécher et aspirer mes couilles en remontant lentement vers mon gland. Sa langue est entièrement collée sur cette barre de fer et elle finit par tomber nez à nez avec la goutte de liquide qui scintille au bout de mon gland avant de rapidement l’avaler d’un habile coup de langue. Elle se décide enfin à rentrer ses lèvres en contact avec mon gland pour au final aspirer ce dernier dans sa bouche telle une sucette.
Au vu de sa technique, elle ne m’a pas l’air d’être très expérimentée, mais elle s’applique et met beaucoup d’amour dans ce qu’elle fait, rendant les choses diaboliquement plaisantes.
Relâchant l’emprise sur mon gland avec un ’ plop ! ’ elle me fixe avec un regard extrêmement excitant dans le fond des yeux et, rapprochant sa bouche vers mon gland, elle dépose un long et doux baiser sur le bout très sensible de ma bite. Ses lèvres se plaquent sur mon gland et je suis obligé de serrer le canapé avec mes mains pour ne pas gicler toute ma purée quand je vois le blanc le plus pur dans ses yeux me fixer sans relâche juste au-dessus de sa magnifique poitrine.
Quelques dizaines de secondes plus tard, j’en frissonne encore et je me dis que plus le temps passe et plus cette petite coquine prend confiance en elle.
En continuant à me branler et à me sucer sans relâche, je vois tout de même que la pauvre a du mal à faire son travail correctement à cause de la dimension de ma queue qui est vraiment gigantesque, surtout pour elle qui est assez petite. Elle fait malgré tout ce qu’elle peut pour avaler le plus de centimètres possible dans sa bouche et oh mon Dieu que c’est bon.
Ses deux petites mains ne recouvrent même pas plus de la moitié de ma bite et, malgré tous ses efforts, elle ne parvient pas à avaler plus de la moitié de ce monstre dans sa gorge.
Soudain, contre toute attente, elle pousse ma queue le plus loin possible dans sa gorge et je passe à deux doigts de l’orgasme quand je sens mon gland descendre le long de la gorge et de l’oesophage de cette petite salope.
Je me dépêche de poser mes mains derrière sa tête, l’empêchant de se libérer et profitant d’avoir mon gros calibre tout au fond de la gorge de cette bonnasse.
Je crois rêver tellement le plaisir d’avoir ma bite ancrée au plus profond de la gorge de Manon est intense, et à peu de chose près le plaisir étant tel que je ne dois pas passer loin de tomber dans les vapes, c’est le paradis sur Terre.
Je peux voir la peau déformée au niveau de son cou indiquant le positionnement de ma queue dans son oesophage, puis je me décide enfin à la laisser récupérer son souffle en lâchant l’emprise sur sa tête.
Sortant ma bite de sa gorge, on peut tous les deux voir des filets de salive et de liquide préséminal dégouliner un peu partout sur son t-shirt, son visage, sur ses petites mains et glisser le long de mes couilles.
Me regardant droit dans les yeux tout en souriant, elle me dit :
— J’pensais pas pouvoir te prendre en entier dans ma gorge ! ta bite est énorme ! et en plus elle a vraiment bon goût, je vais continuer à sucer mon bonbon encore un peu…
Puis elle reprend son repas toujours en souriant et sans jamais me quitter des yeux. Elle lèche, elle suce, elle aspire mon gland et avale ma queue entière dans son oesophage sans broncher, quel bonheur ! Qui aurait cru qu’une si petite femme arriverait à avaler en entier une si grosse bite.
La sensation de cette délicieuse langue autour de mon gland est divine et à plusieurs reprises je dois me retenir pour ne pas exploser dans la bouche de Manon.
Après quelques minutes, je lui dis, sûr de moi :
— Déshabille-toi, j’ai envie de goûter à ta chatte.
Elle rigole fièrement, puis m’obéit et commence à enlever le reste de ses habits.
Je fais de même et j’enlève mon t-shirt tout en l’embrassant passionnément.
C’est une baise folle qui s’annonce ; en attendant qu’elle finisse de se déshabiller, ma queue est totalement dressée et elle sait vers où elle doit aller, se dirigeant vers Manon comme si elle avait une conscience, comme si elle se souvenait de la personne qui sait lui faire du bien et la soulager.
Après qu’elle ait enlevé sa culotte, je la pousse sur le canapé et je la place à quatre pattes sans même lui demander son autorisation.
Je me positionne derrière elle et m’agrippant à ses hanches à pleines mains, je dirige délicatement mon gland au bord de sa petite fente avant de pousser petit à petit tout mon mât dans sa chatte serrée et bouillante. Mes seize centimètres de circonférence ont du mal à forcer le passage, et au fur et à mesure que ma queue gagne du terrain dans son intimité, Manon lâche quelques cris de douleur et quelques larmes qui font malheureusement partie de cette étape inévitable.
Manon pose une main contre ma hanche afin de ralentir cette progression douloureuse, mais sa chatte affamée parle à sa place et avale joyeusement ma queue avec impatience en créant une sensation d’aspiration et de succion grâce aux contractions de ses muscles.
Une fois que j’ai réussi à rentrer les vingt centimètres de bite dans sa chatte serrée, je marque une pause et j’en profite pour savourer l’étroitesse et la chaleur de cette jeune chatte qui n’a sans doute pas souvent vu le loup.
Toujours ancré dans le fond de son ventre, je me concentre à présent sur son clitoris que je ne cesse de titiller afin de stimuler sa production de cyprine.
Quelques minutes plus tard, cette petite salope est déjà bien trempée et après plusieurs va-et-vient, je n’ai presque plus aucun mal à rentrer entièrement mon chibre dans ses entrailles.
La prenant par les épaules, je décide de passer à la vitesse supérieure en donnant de gros coups de reins contre ses fesses.
Manon crie de plus en plus fort, et pour éviter que les voisins ne nous entendent, je n’ai d’autre choix que de me coucher sur elle pour la pousser contre le canapé afin que ses cris soient étouffés par les coussins.
Elle est à présent couchée sur le ventre et je la pilonne sans scrupules comme un lapin en chaleur. J’ai une vue magnifique sur ses fesses et Manon ne cesse de geindre sous mes coups de boutoir.
Je la pénètre de plus en plus profondément et elle lâche toujours de petits cris quand le bout de ma queue tape son col pour venir buter dans un cul-de-sac.
Manon essaie tant bien que mal de prendre part active à cette baise fougueuse, mais le fait que je la tienne de tout mon poids avec une main sur sa hanche et l’autre sur son épaule l’empêche totalement de se relever ou ne serait-ce que de bouger.
J’accélère la cadence et la baise à présent à un rythme très rapide quand soudain elle se voit frappée d’un orgasme dévastateur et les muscles qui compriment ma queue à l’intérieur de sa chatte manquent de peu de provoquer mon orgasme. Elle hurle de plaisir comme une chienne en chaleur et je continue de la marteler tel un marteau piqueur. Sa jouissance dure pendant plusieurs dizaines de secondes et elle ne cesse pas de lâcher de bruyants cris aigus caractérisant son plaisir.
Je me décide finalement à me retirer et je l’entends souffler quand ma queue sort enfin de ses entrailles pour prendre une pause. En retirant mon membre de sa fente, je peux voir de longs filets brillants composés d’un mélange de salive, de liquide préséminal, mais surtout de la cyprine de Manon couler le long de ma bite et tomber sur ses fesses et le bas de son dos.
Étant partant pour un moment en face à face, je l’aide à se retourner pour la coucher sur le dos et que l’on se mette en position du missionnaire, et je l’embrasse tendrement en pénétrant de nouveau dans ce puits chaud, étroit et mouillé que je ne quitterai pour rien au monde. Sa chatte aspire amoureusement ma bite comme si elle venait de retrouver un ami perdu depuis longtemps.
Après quelques minutes de baise, je prends ses jambes que je cale contre mon torse et mes épaules afin de lui garantir la pénétration la plus profonde qui soit.
Au moment de replonger ma verge dans son intimité, je pousse d’un coup le plus fort possible et Manon hurle de plaisir et de douleur quand mon gland frappe violemment son col pour finir par se loger dans un cul-de-sac.
Accélérant le rythme de la pénétration, je sens la jouissance venir et Manon a dû le lire sur mon visage étant donné qu’elle s’est empressée d’enrouler ses jambes autour de ma taille pour ne pas me laisser me retirer. Heureusement, j’arrive à gérer l’excitation à temps et à repousser le moment fatidique pour pouvoir encore bien profiter de cette chatte envoyée par les dieux.
Intérieurement, je me demande tout de même ce qu’il vient de se passer, serait-ce les hormones qui ont fait que Manon ressente l’envie de me voir éjaculer en elle ? Dans tous les cas, c’était une réaction certes inattendue, mais extrêmement excitante.
Prenant quelques minutes de pause, j’en profite pour ralentir un peu le mouvement et en guise de mécontentement, je sens que Manon serre les muscles de sa chatte le plus fort qu’elle le peut sur ma queue, et j’ai soudain la violente impression que sa chatte est en train de me broyer la bite.
Manon me regarde avec un sourire espiègle et m’invite à me laisser me faire chevaucher. C’est avec grand plaisir que je m’assois sur le canapé et qu’elle vient me rejoindre pour s’empaler sur ma verge dure comme du béton. En prenant mes mains pour les poser sur ses douces chevilles, elle place ses petits pieds de manière à les emboîter à l’intérieur de mes cuisses m’offrant un panorama à couper le souffle.
Au début, elle décide de titiller un peu mon gland en remuant ses magnifiques fesses dessus et je me dois de l’arrêter sans quoi l’éjaculation aurait été imminente. Je la laisse gérer cette chevauchée du diable et nous soupirons tous deux de bonheur en nous embrassant quand elle monte et descend sur toute la longueur de mon pieu en ébullition.
Jetant un regard au niveau de son entrejambe, je vois que ma bite la transperce totalement, sa chatte est si étroite que j’ai l’impression que quelque chose risque de se déchirer à n’importe quel moment.
— Ouhh… ça va aller ma belle ? Tu m’as l’air entièrement écartelée par ma queue… dis-je en respirant très fort.
— Aaaaah ouuuuui ça va alller….. ta bite est giganteeeeeesque… AAAhhouu elle essaie toujours… aahh… de se frayer un chemin vers mon col la… la coquine…!… dit-elle en rebondissant frénétiquement sur mon pieu.
Heureusement que le restant de la salive de Manon, mélangée à mon liquide préséminal et sa cyprine aident à la pénétration autrement je ne vois pas comment cette petite salope pourrait prendre toute ma chair dans son ventre.
Elle accélère de plus en plus le rythme auquel elle monte et descend sur mon pieu et au bout de quelques minutes on se retrouve à baiser à une vitesse phénoménale. Des bruits d’aspirations, de frottements, de clapotis et d’air qui s’échappent se font entendre dans tout le salon, accompagnant nos gémissements et les cris de la fille à la télévision. Sentant le jus monter dans ma verge, j’attrape Manon par les épaules pour ralentir la vitesse à laquelle cette salope déchaînée grimpe sur ma bite.
Tout en posant ses mains sur mes épaules, elle se décide finalement à mettre ses pieds sur le canapé de chaque côté de mes hanches pour ne pas perdre le moindre centimètre de cette structure édifiée par les dieux.
Ma bite est totalement compressée par cette jeune chatte étroite et chaque seconde est un combat contre moi-même pour ne pas gicler ma semence trop tôt.
Elle pousse sur ses jambes pour me baiser comme elle le peut, mais commençant à fatiguer, je me doute que je vais devoir finir nos ébats à la sueur de mon front.
Après quelques lents allers-retours, je reprends les reines et l’invite à reposer ses jambes de chaque côté de mes cuisses.
Je commence à la baiser, mais notre position ne me permettant pas de le faire au rythme que je voudrais, je nous décale vers le bord du canapé afin d’avoir les fesses dans le vide et de pouvoir l’assaillir de mes coups de reins. Elle pose ses mains sur mon torse et la pointe de ses pieds par terre et arrive enfin à trouver une certaine stabilité lui permettant de résister à mes coups de boutoir. Je la baise sauvagement et chaque coup arrive à soulever ses petits pieds du sol pendant une demi-seconde.
Voyant l’expression sur mon visage, elle se doute bien que je ne vais pas tarder à éjaculer toute ma dose et, entre chaque coup de reins, elle halète :
— Aaahhhh… je ne prends pas la piiilule… aaaahh… il faudraah… aaAHH… quee tu te retires…
Étant trop occupé à la baiser à fond, je ne prête pas vraiment attention à ce qu’elle dit et tout ce que j’ai en tête c’est de me vider les couilles dans sa chatte jusqu’à la dernière goutte.
Regardant son magnifique corps de déesse bronzée aux attributs avantageux, et avec l’eau à la bouche, je lui dis :
— Aaaah… si tu savais depuis combien de temps j’avais envie de te baiser ! Prends bien tout mon chibre, n’en laisse pas un centimètre dehors… hmm, c’est bon… j’vais te remplir d’une quantité de foutre comme t’en as jamais vu !
Au bord de la jouissance, j’accélère une dernière fois le rythme en donnant tout ce que j’ai et, Manon, comprenant ce qui va se passer, essaie de sortir de mon étreinte, mais je passe mes mains autour de sa taille et de ses épaules tout en collant ses seins contre mon torse afin de m’assurer qu’elle ne puisse plus bouger. Les muscles de mes jambes ont du mal à tenir le rythme, mais ignorant la souffrance physique, je continue à lui martyriser brutalement la chatte.
Malgré le fait que je sois en train de lui marteler le fond de son ventre, elle bégaye en essayant de me prévenir une dernière fois :
— AAahhh… c’est teellement booon… ta bite est énooorme, je la sens cogner partout dans mes entrailles… mais n’oublie pas que tu devras te retir… aaaAAHHH !!
Je ne lui laisse pas un moment de répit, et sa respiration devient de plus en plus saccagée pendant que je lui laboure la chatte.
Elle a soudainement du mal à rester en place et se tord sous un violent orgasme qui provoque des contractions dans son vagin et étrangle ma queue qui ne va pas tarder à exploser. Ses jambes flageolent sous son terrible orgasme et je dois la maintenir en place sur ma queue pour qu’elle ne s’écroule pas par terre.
Sentant arriver le point de non-retour, mon instinct animal de reproduction reprend le dessus, et au lieu de me retirer, j’enfonce ma queue le plus profondément possible dans sa chatte. Tout en appuyant sur le bas de son dos, je sonde avec le bout de ma bite l’entrée du canal du col de l’utérus et une fois l’orifice localisé, j’aligne mon phallus avec ce dernier en l’enfournant d’un coup sec de toute sa longueur et de tout son diamètre dans sa chatte, lui extirpant un cri mélangé de plaisir et de douleur à glacer le sang. Le bout de mon gland semble être collé au col de Manon et c’est comme si nos organes essayaient de nous imiter en s’embrassant passionnément.
Toujours en maintenant Manon par la taille et les épaules, je la serre le plus possible contre moi. Je sens que mon orgasme est imminent et ma bite va exploser d’une seconde à l’autre. Sa chatte affamée m’implore de la nourrir en se contractant de plus en plus sur ma queue comme si elle voulait la presser pour en extraire son précieux jus.
Je me crispe, je ferme les yeux et je serre fort les dents lorsque mon foutre sort de ma bite. Les premiers jets sont d’une puissance dévastatrice, traversant l’ouverture de son col sans éprouver la moindre résistance pour venir finir leur course en s’écrasant contre la paroi de son utérus. Déversant une énorme quantité de foutre dans son ventre, je peine à ne pas m’écrouler sous cette sensation de plaisir extrême.
Mon orgasme est tellement violent qu’il déclenche immédiatement celui de Manon et, ayant chacun la tête dans le cou de l’autre, nous sommes parfaitement emboîtés et physiquement liés au moment de notre jouissance. Pendant un moment, toutes les choses superficielles, le temps et l’espace disparaissent pour ne laisser place qu’à notre union sauvage brûlante de désir.
Ma jouissance se termine et je continue de gicler encore quelques jets moins puissants au fond de sa chatte et je sens une grosse pression pousser sur le gland de ma bite dû à la quantité de foutre que j’y ai déposé. C’est comme si pendant toutes ces années j’avais stocké des litres et des litres de foutre pour le libérer aujourd’hui dans la chatte de Manon.
À ce moment précis, j’ai l’impression d’avoir assouvi le but ultime pour lequel j’ai été créé en giclant la totalité de mon foutre dans son ventre, et c’est sans aucun doute le meilleur moment de ma vie.
Je reste sans bouger en la tenant bien droite sur mon pieu et fermement dans mes bras. Je donne encore quelques coups de reins afin de m’assurer que ma semence ait bien eu le temps de traverser le col de son utérus et, au bout de quelques minutes, je me décide enfin à relâcher mon emprise pour la laisser se libérer de ma colonne d’acier qui a laissé sa petite chatte remplie et meurtrie. En se relevant, Manon laisse s’échapper un cocktail des différentes substances de notre union qui glisse le long de ma bite et des lèvres de sa chatte pour venir s’écraser par terre.
— Antoine, c’était divin… dit-elle en me lançant un regard plein d’amour.
— C’était vraiment la meilleure baise à laquelle j’ai participé de toute ma vie ! admettais-je, satisfait d’avoir enfin les couilles vides.
Elle m’embrasse une dernière fois avant de se lever quand soudain Manon et moi entendons la porte d’entrée s’ouvrir…